9. relation vétérinaire agronome / aspects cliniques Flashcards

1
Q

médecine curative

A

pour régler des problèmes
raisons :
- mortalités élevées
- épidémie qui commence
- nécropsie
- sous-productivité

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2
Q

médecine préventive

A

+ rare
suivi agronomique

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3
Q

déroulement d’une visite de cas curatif

A
  • Discussion avec éleveur ou gérant pour avoir l’anamnèse
  • Visite du (des) bâtiment(s) ou section(s) à problème avec prise possible d’échantillon(s)
  • Rapport immédiat qui contient au moins les recommandations de traitement
  • Rapport ultérieur plus complet

BIOSÉCURITÉ

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4
Q

déroulement d’une visite médecine préventive

A

l’analyse des données de production se fait en premier

Le vétérinaire peut même faire l’analyse préalablement
quand l’éleveur les partage automatiquement par voie électronique.

On reçoit alors un rapport mensuel aussitôt qu’il est généré

visite complète des installations à moins d’un cas particulier qui concerne seulement une section.

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5
Q

soins et méthodes de traitement,par qui ?

A

Les soins sont donnés par l’éleveur

Habilité à le faire

Légal (acte délégué) sur ses animaux

Logique au point de vue économique. Le vétérinaire est une ressource trop dispendieuse pour effectuer de la technique.

Principe à respecter: traiter le moins d’individus possible

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6
Q

3 formes possibles de traitement

A

injectables, eau et aliment

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7
Q

analyses et prélèvements

A
  • Très très fréquents en médecine de population
  • Enjeux économiques sont majeurs
  • Confirme diagnostic
  • Suivi d’une maladie
  • Anitibiorésistance
  • Éleveurs, vétérinaires, techniciens et agronomes en font (gestes techniques)
  • Supervision du vétérinaire
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8
Q

Les prélèvements les plus fréquents

A

1- prises de sang, salives, diarrhée, fluides de castration, fluides linguaux, milieu

2- nécropsies avec prélèvement d’organes

3- tests d’eau

4- écouvillons

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9
Q

qui analyse les prélèvements et comment

A

MAPAQ et FMV pour les nécropsies

+ laboratoires privés pour les autres analyses

  • Analyses très fréquentes:
  • Bactériologie avec antibiogramme (nécropsie)
  • Elisa et PCR
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10
Q

Analyses et prélèvements pour la cuniculture (lapins)

A
  • Animaux complets au MAPAQ
  • Vivants de préférence ou frais morts
  • Représentatifs de la condition (cas aigus et non chroniques affectés d’infection(s) secondaire(s)
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11
Q

but du vétérinaire et de l’agronome

A

rentabiliser l’élevage

  • Quand tout va bien: toute l’équipe est heureuse
  • Quand ça va mal: l’éleveur cherche un coupable…
  • Quand ça va très mal: faillite

Les relations peuvent et doivent être cordiales

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12
Q

Quoi, quand et combien d’animaux doit-on échantillonner?

A

Décision qui dépend de beaucoup de facteurs

Le vétérinaire décide le tout

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13
Q

rôles de l’agronome

A
  • Nutrition, ventilation, bâtiments, analyses économiques (banquier)
  • Analyse de la productivité
  • Régie, sanitation
  • Suivi des recommandations vétérinaires
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14
Q

Vrai ou Faux : En production porcine, il y a beaucoup d’éleveurs qui prélèvent eux-mêmes des échantillons pour les acheminer aux laboratoires

A

VRAI

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15
Q

Vrai ou Faux : En médecine porcine ou cunicole, le vétérinaire peut faire une visite très courte pour aller traiter un ou deux individus.

A

FAUX

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16
Q

Vrai ou Faux : Après une visite vétérinaire en médecine de population, un rapport complet papier est toujours acheminé chez l’éleveur.

A

FAUX

17
Q

Vrai ou Faux : Vétérinaires et agronomes peuvent partager leurs dossiers sans obtenir le consentement de l’éleveur puisque c’est pour son bien.

A

FAUX
le consentement de l’éleveur

18
Q

Vrai ou Faux : En production biologique, la médecine conventionnelle a sa place pour des raisons de bien-être animal.

A

VRAI

19
Q

Vrai ou Faux : En cas de litiges, il faut toujours viser des ententes hors cour.

A

VRAI

20
Q

Vrai ou Faux : En médecine de population, les nécropsies sont occasionnelles.

A

FAUX

21
Q

VRAI OU FAUX
Certaines cliniques engagent techniciens, agronomes et vétérinaires et mettent en commun leurs rapports et suivis

A

VRAI
* Consentement de l’éleveur au préalable
* Tout est informatisé et mis à la disposition de l’éleveur
* Collaboration possible avec d’autres firmes privées d’agronomes

22
Q

but premier de la médecine

A

ne pas faire de tort

Pas l’obligation de résultats mais obligation de moyens.

23
Q

médecine douce

A

approche holistique : prend en compte le corps physique du malade, son mental, son BE et son environnement

24
Q

avantages des médecines alternatives

A

moins de médicaments

pas besoin de période de retrait

MAIS
Pas nécessairement moins cher.
Difficulté de prouver scientifiquement leur efficacité (homéopathie)
Possibles pour des individus et pas applicables sur une population.

25
Q

homéopathie : médecine alternative

A

Provoque les mêmes signes cliniques contrairement à la médecine conventionnelle qui est allopathique (lutte contre les signes cliniques)

Agirait un peu comme un vaccin.
Incite l’organisme à travailler davantage

  • L’ingrédient actif est excessivement dilué
  • La dynamisation donnerait un effet mémoire
26
Q

acupuncture : médecines alternatives

A

Aiguilles (avec ou sans courant électrique) sur nœuds méridiens qui sont appelés points d’acupuncture

Relâchement de composés neurochimiques ou hormones

Effets escomptés: diminution de la douleur, apaisement de troubles fonctionnels (musculaires, digestifs) et de comportement

Ne prétend pas s’attaquer à la cause (elle apaise)

27
Q

Autres médecines alternatives

A
  • Chiropractie (manipulation colonne vertébrale et articulation)
  • Phytothérapie (traitement avec plantes)
  • Aromathérapie (traitement avec des huiles essentiels)
  • Massothérapie (massages)
28
Q

quand est-ce qu’on utilise les médecines alternatives

A
  • Surtout en élevage biologique
  • Il ne faut pas être doctrinaire (il ne faut pas s’acharner : si l’animal ne répond pas au traitement alternatif : traitement conventionnel ou euthanasie)
  • Euthanasies rapides pour les malades qui ne répondent pas au traitement sinon, médecine conventionnelle ou histoires d’horreur au point de vue bien-être
29
Q

qu’est-ce que l’éthique

A

Éthique: ensemble des conceptions morales de quelqu’un, d’un milieu.

Recherche d’idéal de société et de conduite

Différend de légal.
- Ce n’est pas illégal de se vendre ou de vendre notre produit en rabaissant un compétiteur mais ce n’est pas une bonne pratique.
- Ce n’est pas illégal de cacher une erreur mais ce n’est pas une bonne pratique.
- Ce n’est pas illégal de faire une vente au détriment d’un compétiteur mais ce n’est pas élégant de s’en vanter à tout vent.

30
Q

poursuite judiciaire

A

vrai préjudice

faux préjudice

31
Q

Erreur ou négligence - Vous ou votre employeur

A
  • Dommages mineurs: entente hors-cour
  • Dommages majeurs: entente hors-cour le plus possible.

Si la situation dégénère et les avocats s’en mêlent : assurance et bataille d’experts

Ralentit énormément le règlement

32
Q

Erreur ou négligence - Tierce personne

A
  • Dommages mineurs: essayer de convaincre l’éleveur de régler hors-cour
  • Dommages majeurs: aider l’éleveur si impossible de régler hors-cour
    Actions possibles:
    servir d’intermédiaire
    fournir des renseignements
    trouver un expert
    témoignage
    élaborer un rapport
    analyses supplémentaires
33
Q

faux préjudice - nous ou employeur

A

L’éleveur croît à tort que ses pertes découlent d’une erreur de votre part ou de la part de votre employeur.

Discussion et deuxième avis. Si insuccès: vous vous retirez du dossier en avertissant la compagnie d’assurance éventuellement impliquée.

Le climat de confiance sera brisé: vous ne pourrez plus servir ce client.

34
Q

faux préjudice - sur une tierce personne

A

L’éleveur croît à tort que ses pertes découlent d’une erreur ou d’une négligence d’une tierce personne.

Discussion avec lui pour essayer de lui faire entendre raison. Il faut lui faire valoir le côté scientifique du dossier et ses chances de gagner ou perdre la cause.

Il faut alors doser votre implication dans le dossier: perte du client ou perte de crédibilité?