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PSY2510 | Psycho. sociale > Chapitre 12 | La psychologie légale > Flashcards

Chapitre 12 | La psychologie légale Flashcards

1
Q

Que font les psychologues en psychologie légale AU CIVIL (Psychologues)? [3]

A
  • Évaluation des compétences
  • Évaluation garde d’enfants
  • Expertise dans cas de compensation
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Q

Que font les psychologues en psychologie légale CAUSES CRIMINELLES (Psychiatres)? [6]

A
  • Aptitudes à subir son procès
  • Présence de trouble mental au moment du crime?
  • Profilage criminel
  • Sélection des jurys
  • Expertises
  • Risque de récidive et violence
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3
Q

Que font les psychologues au niveau académique? [6]

A
  • Font des recherches sur éléments reliés au domaine légal:
    • Détecter les mensonges
    • Sélection et caractéristiques des jurys
    • Mémoire et témoignages
    • Caractéristiques des criminels
  • Agissent comme témoins experts sur ces éléments
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4
Q

Qu’est-ce que le PROFILAGE? [4]

A
  • Impression formée du suspect:
    • En lui attribuant certains traits.
    • En le soupçonnant de certains comportements.
    • Parce qu’il appartient à tel ou tel groupe.
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5
Q

Qu’est-ce que le PROFILAGE RACIAL? [4]

A
  • Mesure prise par une personne en position d’autorité à l’encontre d’autrui
  • Sans motif réel ou soupçon raisonnable
  • Généralisations fondées sur l’ethnie, la race, la religion
  • Pour des raisons de sécurité
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6
Q

Qu’est-ce que le PROFILAGE CRIMINEL? [2]

A
  • Profil psychologique d’un criminel afin d’en déduire les caractéristiques du suspect possible
  • Processus d’attribution reposant sur une démarche scientifique
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7
Q

Le PROFILAGE CRIMINEL se fait à partir de quoi? [3]

A
  • Des descriptions des témoins ou des victimes survivantes
  • D’informations recueillies sur la scène du crime
    • p.ex.: scène de crime organisé ou non)
  • De traits communs à un type de crime donné.
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8
Q

[4] CRITIQUES du profilage?

A
  • Profils manquent de support empirique
  • Accordent plus d’importance à la personnalité qu’à la situation
  • Profils vagues et ambigus
  • Ne sont pas toujours absolu, des fois on se trompent, les profilages ne sont pas toujours adéquats
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9
Q

Que démontrent les recherches à propos de LA PREUVE? [3]

A
  1. La mémoire des témoins oculaires est imparfaite.
  2. Certains facteurs particuliers risquent de fausser la mémoire.
  3. Les jurés ne tiennent pas assez compte de ces facteurs.
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10
Q

Quelle est la principale cause des erreurs judiciaires et pourquoi [3]?

A
  • Les témoins oculaires car ils peuvent se tromper au moment de:
    • L’acquisition de l’information
    • L’emmagasinage de l’information
    • Retrait d’information
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11
Q

Qu’est-ce que l’acquisition [2]? [L’ACQUISITION DE L’INFORMATION]

A
  • Processus où nous notons les informations dans notre environnement et y prêtons attention
  • DONC = Perception des faits et l’interprétation qu’en donne le témoin au moment de l’événement…
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12
Q

Qu’est-ce qui nuit à L’ACQUISITION DE L’INFO. en général [5]?

A
  • Les crimes sont commis dans des conditions qui nuisent à la perception.
  • Nous ne pouvons prêter attention à toute l’info. relative à l’événement
  • Les criminels se déguisent ou modifient leur apparence.
  • Les événements relatifs au crime se déroulent rapidement.
  • Les témoins sont éloignés du coupable.
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13
Q

Qu’est-ce qui nuit à L’ACQUISITION DE L’INFO. par rapport au témoin [4]?

A

Le témoin est:

  • Est en proie à des émotions intenses
  • Éprouve beaucoup de stress
  • Se souvient davantage de l’arme du crime
  • Se remémore plus facilement les traits de sa propre ethnie
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14
Q

Qu’est-ce que l’EMMAGASINAGE DE L’INFO.?

A

Processus de maintient de l’info. dans notre mémoire pour ne pas l’oublier

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15
Q

Qu’est-ce qui nuit à l’EMMAGASINAGE DE L’INFO.? [7]

A
  • Le temps
  • Les nouvelles infos. portées à l’attention du témoin
  • Mémoire reconstructive:
    • lorsque la mémoire d’un événement est altérée par les infos. obtenues une fois que l’événement s’est produit.
  • Suggestions subtiles dans les commentaires/questions
  • La manière de poser les questions, dans le choix des verbes et des adjectifs
  • La présence d’autres témoins, qui créent des conditions de conformisme
  • La présentation de photos de suspects possibles
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16
Q

Dans l’EMMAGASINAGE DE L’INFO., comment les événements postérieurs influencent notre mémoire? [3 hypothèses]

A
  1. Les nouvelles infos. effaceraient les anciennes.
  2. On comble les trous des détails manquants.
  3. On oublie la provenance des infos. (ancienne VS nouvelle).
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17
Q

Qu’est-ce que le RETRAIT DE L’INFO.?

A

Récupérer des infos. emmagasinées dans notre mémoire

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18
Q

Quand est-ce que le RETRAIT DE L’INFO. intervient? [3]

A
  • Lors de l’établissement d’un portrait-robot
  • Lors d’une séance d’identification
  • Lors d’un interrogatoire par les policiers ou les avocats
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19
Q

Qu’est-ce qu’une SÉANCE D’IDENTIFICATION? [RETRAIT D’INFO.]

A

Présenter le suspect parmi des personnes qui défilent successivement.

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20
Q

Comment augmenter la fiabilité des réponses lors de SÉANCE D’IDENTIFICATION? [4] [RETRAIT D’INFO.]

A
  • L’apparence des personnes ne doit pas trop varier.
  • Lors de plusieurs séances, on doit faire varier l’ordre de présentation.
  • S’il y a plusieurs témoins, ils devraient participer à tour de rôle aux séances.
    • Il faut éviter toute source d’influence.
    • Donner aucun indice au témoin
  • Le policier qui participe à la séance doit ignorer qui est le suspect.
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21
Q

Comment augmenter la fiabilité des réponses lors d’INTERROGATOIRES DES TÉMOINS? [6] [RETRAIT D’INFO.]

A
  • Établir d’abord une bonne relation
  • Poser des questions ouvertes
  • Encourager le témoin à être actif
    • à ne pas chercher à deviner ce qui s’est passé (slmt ce qu’il est sûr)
  • Inviter le témoin à reproduire le contexte mentalement:
    • Lui demander de fermer les yeux
    • Recourir à des dessins
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22
Q

Dans la QUALITÉ DU TÉMOIGNAGE EN COUR par quoi est influencé le jury? [4]

A
  • Le degré d’assurance du témoin
  • La fiabilité
  • Les victimes de viol
  • Les enfants
23
Q

Le degré d’assurance du témoin [3] [QUALITÉ DU TÉMOIGNAGE EN COUR]

A
  • Pas de lien établi entre le degré de confiance du témoin et l’exactitude de son témoignage
  • Malgré cela… Les jurés accordent plus de crédibilité à un témoin sûr de lui qu’à un témoin hésitant.
  • Le rappel tardif d’informations est interprété comme une incohérence.
24
Q

La fiabilité [5] [QUALITÉ DU TÉMOIGNAGE EN COUR]

A
  • ↓ Les jeunes enfants, les personnes âgées et les personnes ayant une faible estime de soi.
    • plus vulnérables aux fausses informations
  • ↑ Les personnes ayant un QI élevé:
    • Meilleurs capacités de perception, de mémorisation et de reconnaissance des visages
    • Résistent mieux aux fausses informations
25
Q

Les victimes de viol [QUALITÉ DU TÉMOIGNAGE EN COUR]

A

Plus susceptibles d’être perçues comme crédibles si elles sont émotives que si elles sont impassibles.

26
Q

Les enfants [3] [QUALITÉ DU TÉMOIGNAGE EN COUR]

A
  • Réponses plus exactes avec des questions ouvertes
  • Perçus comme étant plus honnêtes
  • Les poupées et les dessins (PAS TRÈS UTILE)
27
Q

Par quels [3] caractéristiques de l’accusé sont influencés les juges/jurés?

A
  • L’apparence physique:
    • belles personnes sont plus innocentées ou ont des peines moins sévères (sauf si l’accusé à utilisé sa beauté pour commettre son crime)
  • L’ethnie:
    • les Noirs ont des peines plus lourdes que les blancs pour des crimes semblables.
  • Le statut socio-économique:
    • personnes avec SSE élevé sont plus innocentées ou ont des peines moins sévères
28
Q

Quelles [4] sortes de FAUSSES CONFESSIONS donnent l’accusé?

A
  • Volontaires: pour éviter à un proche d’être condamné.
  • Pathologiques: par désir inconsidéré de notoriété.
  • Par coercition: pour éviter de mauvais traitements
  • Ou la personne finit par se convaincre elle-même de sa culpabilité.
29
Q

[3] causes possible des fausses confessions?

A
  • Méthodes utilisées
  • Les croyances des policiers
  • La vulnérabilité de certaines personnes
30
Q

Méthodes utilisées [3] [CAUSE DES FAUSSES CONFESSIONS]

A
  • L’isolement accroît l’anxiété du suspect.
  • Le recours à des preuves fictives
  • La démonstration au suspect que sa situation est sans espoir.
31
Q

Les croyances des policiers [3] [CAUSE DES FAUSSES CONFESSIONS]

A
  • Lorsqu’il y a une forte présomption de culpabilité. Le but premier de l’interrogatoire est de faire avouer le suspect: biais de culpabilité
    • Le policier est plus attentif aux indices de culpabilité.
    • Il exerce plus de pression sur le suspect pour obtenir un aveu.
32
Q

La vulnérabilité de certaines personnes [4] [CAUSE DES FAUSSES CONFESSIONS]

A
  • Les jeunes
  • Les individus avec handicap intellectuel
  • Les individus souffrant de psychopathologie.
  • Les innocents (par naïveté)
33
Q

Et les jurés sur les fausses confessions? [3]

A
  • Difficulté à faire abstraction d’une confession
  • Erreur d’attribution fondamentale
  • Se disent qu’eux-mêmes n’avoueraient jamais un crime qu’ils n’ont pas commis.
34
Q

Qu’est-ce que la technique Reid [4] [TECHNIQUE D’INTERROGATION POLICIÈRE]

A
  • Isole le suspect
  • Confronte avec des preuves réelles et/ou fictives
  • Refus d’alibis ou dénégations
  • Tactiques de maximisation (Bad Cop)
  • Tactiques de minimisation (Good Cop)
35
Q

Qu’est-ce que la technique « Mr. Big » [3] [TECHNIQUE D’INTERROGATION POLICIÈRE]

A
  • Policier se fait passer pour un criminel et propose un emploi très lucratif au suspect
  • Le suspect participe à des crimes (organisés par la police) pendant quelques mois.
  • On l’invite à rencontrer Mr. Big le grand Patron de l’organisation criminelle…
36
Q

Dans la DÉTECTION DES MENSONGES, quel sont les [3] indices PARAVERBAUX corrélés avec la tromperie?

A
  • Le ton de la voix (+ aiguë)
  • La latence de la réponse (+ courte)
  • Erreurs d’élocution (+)
37
Q

Dans la DÉTECTION DES MENSONGES, quel sont les [2] indices NON VERBAUX corrélés avec la tromperie?

A
  • Signes de têtes affirmatifs (-)
  • Mouvements des mains et des jambes (-)
38
Q

Dans la DÉTECTION DES MENSONGES, quel sont les [3] indices du CONTENU DE LA COMMUNICATION corrélés avec la tromperie?

A
  • Hésitation (-)
  • Incohérence (-)
  • Trou dans la narration (-)
39
Q

Toutefois, que dit la recherche à propos des indices corrélés avec la tromperie? [2]

A
  • Les recherches indiquent qu’il n’y a pas d’indice qui soit toujours présent en cas de tromperie.
  • Les mêmes indices peuvent être présents lors de mensonges et de vérités.
40
Q

Quels sont les [4] approches de la détection des mensonges?

A
  • Physiologique: augmentation de l’activation physiologique.
  • Émotive: peur d’être pris et de culpabilité
  • Comportementale: micro-affects du visage
  • Cognitive: mentir demande plus d’efforts
41
Q

[3] caractéristiques du MONITORING DE LA RÉALITÉ (MR) [Protocole d’interrogation - Approche cognitive]

A
  • Les souvenirs d’événements vécus et les souvenirs d’événements imaginés ne sont pas de qualité égale:
    • Vécus: sont riches en informations sensorielles, temporelles et spatiales.
    • Imaginés: reposent sur des raisonnements cognitifs.
42
Q

Comment démasquer les menteurs dans le MONITORING DE LA RÉALITÉ (MR)? [4] [Protocole d’interrogation - Approche cognitive]

A
  • On peut augmenter le fardeau cognitif:
    • Fait réciter les événements en commençant par la fin
    • Demander de faire un croquis de l’endroit
    • Poser des questions spatiales et temporelles inattendues
43
Q

[3] caractéristiques du POLYGRAPHE DE « DÉTECTEUR » DE MENSONGES [Protocole d’interrogation - Approche physiologique]

A
  • Enregistre la sudation, la tension sanguine et la respiration
  • Augmentent en présence d’émotions et seraient peut-être liés aux mensonges
  • Toutefois, ces indices peuvent apparaître même en l’absence de mensonges.
44
Q

Dans le polygraphe le « détecteur » de mensonges, qu’est-ce que Le Test de la Comparaison de Questions (TCQ)? [6]

A
  1. On obtient l’info. biographique du suspect et sa version du crime.
  2. On démontre au suspect la capacité de détection du polygraphe (ex.: jeu de carte)
  3. On pose trois types de questions:
    • Neutres (p.ex.: Vivez-vous en Ontario?)
    • Liées au crime (p.ex.: Avez-vous volé l’ordinateur?)
    • Mensonges probables (p.ex.: Depuis les 20 dernières années, avez-vous déjà pris quelque chose qui ne vous appartenait pas?)
45
Q

Interprétation du Test de la Comparaison de Questions (TCQ) [2]

A
  • Si innocent: mensonge probable plus élevé
  • Si coupable: liées au crime plus élevé
46
Q

[2] Critiques du Test de la Comparaison de Questions (TCQ)

A
  • Taux d’erreurs élevés
  • Niveau d’activation peut être plus élevé avec questions liées au crime même chez la personne innocente
47
Q

Dans le polygraphe de « détecteur » de mensonges, qu’est-ce que le Test de la Connaissance Coupable (TCC)? [2]

A
  • On questionne sur un élément/détail du crime connu seulement par le coupable
  • On analyse sa réaction physiologique à la vue ou l’audition de cet élément du crime.
48
Q

[3] caractéristiques du Test de la Connaissance Coupable (TCC)

A
  • Très utilisé au Japon
  • Mais encore trop de faux négatifs
  • De plus, on n’a pas toujours l’info. sur les détails du crime…
49
Q

Dans la DÉTECTION DES MENSONGES, qu’est-ce que la résonance magnétique? [2]

A
  • Permet de mesurer l’activité cérébrale
  • Le mensonge activerait les zones associées à l’inhibition (retenir de l’info.) et la résolution de conflit (ne pas se confondre dans nos infos.).
  • Mais encore à ses débuts, bcp de critiques…
50
Q

Comment se fait le choix des jurés? [3 étapes]

A
  1. Préparation d’une liste de personnes admissibles à partir de la liste électorale.
  2. Tirage au sort d’un certain nombre de personnes.
  3. Voir-dire:
    • C’est l’examen de l’admissibilité à la fonction de juré effectué par le juge et les avocats
    • Ces derniers peuvent être influencés par leurs croyances/préjugés/stéréotypes
51
Q

Selon quoi choisit-on les candidats pour le juré? [4]

A
  • Les théories implicites de la personnalité:
    • type de schémas que les individus utilisent pour inférer des traits qui s’accordent généralement entre eux
  • Les stéréotypes culturels
  • Les recherches:
    • variables démographiques
    • Similitudes entre juré et accusé
    • Types de cause
  • L’éthnie:
    • Si les preuves sont faibles: jurés moins sévères envers la même couleur de peau qu’eux.
    • Si les preuves sont accablantes: jurés plus sévères envers la même couleur de peau qu’eux.
52
Q

Est-ce que ces techniques de sélection des candidats sont efficaces? [2]

A
  • Il a été démontré que les croyances, attitudes et valeurs d’un juré influencent le verdict.
  • Cela est particulièrement vrai dans les causes de viol et peine de mort
53
Q

Les effets du battage médiatique avant le procès [3]

A
  • Les premières impressions issues des médias peuvent biaiser le jugement des jurés.
  • Les amener à interpréter les faits présentés au procès de façon préjudiciable pour l’accusé.
  • Ainsi, les jurés sont d’autant plus portés à détester un criminel qu’ils ont entendu parler du crime qu’il a commis avant le procès.
54
Q

Comment réduire l’effet des médias? [4]

A
  • Questionner le jury sur leurs connaissances initiales
  • Demander le huis clos
  • Reporter la cause
  • Faire le procès dans une autre juridiction

PSY2510 | Psycho. sociale (9 decks)

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