cours 10 Flashcards
(20 cards)
explique comment le concept de soi et la structure/contenu du moi change durant l’âge scolaire
- Le concept de soi devient plus raffinée et l’enfant voit ses forces et ses faiblesses. Il va organisé les observations. C’est à cette période ou la comparaisons sociales va commencer. On peux se qualifier avec des compétences générales et non juste précise. Puis, on peut distinguer les traits positifs et négatifs et voir les nuances.
- Grâce au développement cognitif, la structure du moi va changer (on peux considérer plusieurs aspects et on comprend qu’un trait est associé des désirs et cause le comportement). Le contenu du moi va aussi changer (on voit le point de vue d’autrui et on va l’incorporer dans le moi). ON va aussi avoir des attentes intériorisés comme le soi idéal et un grand écart entre le soi réel et le soi idéal va nuire à l’estime de soi.
explique le changement de l’estime de soi au scolaire et les bénéfices de l’estime de soi
- L’estime de soi est plus réaliste donc elle chute et elle se différencie. Dès 6-7 ans il y aura une structure hiérarchique de l’estime de soi dont celle générale et celle dans les domaines spécifiques qui ont pas tous le même poids . (académique, social, athlétique et physique) (Harter)
- Bénéfices de l’ES : lien entre l’estime de soi dans un domaine , la valeur qu’on va donc accordé dans ce domaine et puis le succès aux activités .ES générale faible est lié à l’anxiété, la dépression et l’anti socialité. L’ES générale élevé est lié à sociabilité, ajusté et consciencieux.
nomme les trois aspects qui influence l’estime de soi
(a) Culture : Les enfants aux ÉU ont une maillure ES que ceux asiatique mais peut-être car on valorise la modestie en Asie. Les enfants afro-américain ont ES un peu plus élevées grâce aux liens familiaux et la fierté ethnique mais l’exposition à la télévision aura l’effet contraire à cause des stéréotypes.
(b) Le genre. Fille plus de ES dans les langue et le sociale tandis que garçons dans les math, l'athlétisme et le physique. Plus on mets l'accent sur l'apparence , moins bonne sera l'estime de soi plus tard et ça dès 5-8 ans. (c) Parentage : le style démocratique résulte en enfant compétent et accepté. Le type contrôlant mène à une faible ES et dépend des autres. Le style permissif mène à une ES trop élevé qui peux mener à un narcissisme. L'ES augmente beaucoup en Amérique du nord ces années et ce qu'il faut faire c'est : éviter les éloges exagérées et encourager les défis optimaux/réalisable
nomme les deux approches de l’attribution d’accomplissement
(1) Attribution de maitrise : attribuer succès aux habiletés perçues comme malléable et attribuer les échecs à des facteurs pouvant être changées. Pour ce type d’attribution le but d’apprentissage est comment améliorer ses habiletés, faire du progrès.
(2) Impuissance acquise : attribuer échec aux habiletés perçues comme fixe si c'est difficile ils se sentent impuissant et penses qu'il n'y à rien à faire. Attribuer le succès à des facteurs hors de son contrôle. Pour ce type d'attribution, le but de performance est comment éviter une mauvaise évaluation ce qui donne de l'anxiété, évitement é échec et donc un cercle vicieux.
nomme les influences sur les attributions d’accomplissement et qu’est ce qu’on doit favoriser
- Influences sur les attributions d’accomplissement : les compliments basé sur le processus (effort) son mieux que les compliments basé sur la personne (trait). Ce sont les enfants ayant de faibles estime de soi qui en reçoivent le plus ce qui donne plus de honte suite à l’échec. Les jugements sur la personne au mieux de décrire le travail sont néfaste même si ils sont positif. Donc les comportements basé sur le processus va communiquer que les habiletés sont malléable et non fixe. Les messages des enseignants ainsi que les différences culturelles ont aussi une influence.
Favoriser l’approche de la maitrise : l’entrainement (dire à l’enfant après un échec qu’il peut y arriver en travaillant plus fort) , focaliser sur la maitrise de la tache/l’amélioration au mieux de la note et des autres, montrer des stratégies efficaces. Il faut donner un défi optimal, valoriser les efforts , faire une rétroaction juste et privée.
nomme l’évolution des émotions reliés a la conscience de soi, a la compréhension des émotions et a l’auto-régulation émotive lors du scolaire
(a) Émotions liées à la conscience de soi : la fierté ou la culpabilité sont relié au succès/échec et sont attribuer à son aspect du soi. Par contre , la honte , surtout si ils sont blâmé et ce n’est pas de leur contrôle , est attribué à tout notre être. Suite à une transgression l’enfant qui vit de la culpabilité est habituellement bien ajusté mais celui qui ressent de la honte à des risque de dépression, colère et agression.
(b) La compréhension des émotions : peux nommer les causes internes, sont plus conscient des émotions multiples, comprend mieux les émotions liés à la conscience de soi, peux réconcilier l'info même si c'est contradictoire, cela contribue à l'empathie et la prosocialité. (c) L'auto-régulation émotive : dès 10 ans ils vont changé vers un coping plus adaptés et vont utilisé des stratégies verbales surtout. Auto-efficacité émotionnelle = se sentir en contrôle de l'expérience émotive. Il y à deux stratégies de coping en état de stress. 1. Coping centré sur le problème : quand les situations semblent modifiable, identifier les difficultés et décider quoi faire pour régler la situation. 2.Coping centré sur l'émotion : quand le coping centre sur le problème ne fonctionne pas, interne, contrôle détresse, quoi faire pour me sentir mieux.
explique l’évolution du développement morale et de la compréhension des droits durant le scolaire
- Développement moral : règles sont intériorisés de plus en plus, grain en prise de perspective , compréhension plus flexible des règles morales . Liens entre conventions sociales et impératifs moraux sont plus claires. Il peuvent utiliser le role du contexte et des intentions pour juger la gravité d’une transgression de convention.
- Compréhension des droits : lorsque les enfants défient l’autorité des adultes, ils le font généralement dans le domaine personnel. Les notions de choix personnel/droits des individus va améliorer la compréhension morale.
explique la compréhension de la diversité/inégalité au scolaire
dès le début du scolaire les enfants associent le pouvoir et les privilèges aux personnes blanches et les statut inférieurs aux personnes de couleur. Peux être parce que les parents caucasiens hésitent de parler d’ethnicité. Dès 5-6 ans les caractéristiques positives sont attribués au blanc. Les enfants blancs évaluent leur groupe positivement , les autres négativement. Les enfants des groupes minoritaires dont du favoritisme envers le groupe majoritaire plutôt qu’envers leur groupe !
explique l’évolution des préjugés au scolaire et quoi faire pour diminuer les préjugés
- Les préjugés faiblissent vers 7-8 ans , à cet âge tout les enfants préfèrent leur propre groupe mais discriminent inconsciemment. Vers 10 ans les enfants commencent à éviter de parler de race afin de ne pas paraitre biaisés. On à plus de préjugé raciaux si on à une visions fixe rigide figée et non modifiable des traits de personnalité , une estime de soi démesuré et un monde social ou les gens sont classé en groupes.
- Pour diminuer les préjugés : L’école les diminuent, favoriser le contact inter-groupe , groupe d’apprentissage coopératif diversifié (+ d’amitiés interraciales), comprendre et valoriser les différences, connaitre les torts causés par les préjudices, Plus enclins à vouloir passer + temps avec autres et à aider membre groupes désavantagées. Le faire renforce la vision de malléabilité des traits
explique le désir d’appartenance a un groupe et l’exclusion au scolaire
- Ils ont un grand désir d’appartenir à un groupe (propre code ,valeurs). Ces groupes se forment à partir de la proximité et de la similarité. Il peux y avoir certaines stabilité mais ça va dépendre de si ils sont dans la même classe l’année d’après. Ça donne de l’expérience , acquisition d’habiletés sociales et plus.
- L’exclusion : pour eux exclure est mal en général mais c’est justifié si ça menaçait le fonctionnement du groupe. Les enfants évincent parfois injustement et souvent avec agressivité relationnelle (rumeurs, parler dans le dos). Cela va enlever l’occasion à l’enfant évincé de développer ses habiletés sociales. Ce qui est recommandé sont les groupes formels comme els groupes qui va éviter les problèmes
explique l’amitié au scolaire
- L’amitié : répond aux besoins et donne de la confiance, le choix devient plus sélectif surtout chez les filles, souvent similitudes mais dépend aussi des occasions. L’amitié peux durer des années, surtout si ils voient l’autre dans plusieurs contextes, stabilité et résolution de conflits . L’effet d’avoir un ami dépend du type d’enfant ça peux augmenter la prosocialité ou l’agressivité qui va opérer à l’intérieur de ces liens de proximité.
explique les deux catégories de l’acceptation des pairs ainsi que les 4 catégories d’élèves
- Les deux catégories de l’acceptation par les pairs : préférence sociale (PS) : qui aimes tu le plus , qui aimes tu le moins ?. Ca donne les populaire , rejetés, controversé , négligés (peu de votes) et moyen. Il y à aussi la popularité perçue : qui crois tu , est admirée par la plupart des autres ?. Le plus apprécia à souvent des compétences sociales élevée. Le plus rejeté à souvent de nombreux problèmes émotifs et sociaux. Ça peux être un facteur de risque pour décrochage, dépression, antisocialité. Possible que plus jeunes ils aillent un faible SSE, parentage coercitif. Les comportements sociaux des enfants contribuent par ce qu’ils évoquent chez leurs pairs(a) Populaires: il y à les populaires-prosocial (les seuls que ce n’est pas un statut temporaire) : compétence sociale/académique, aucune inquiétude. Il y à aussi les populaire-anti social : défie autorité, compétence sportive, agression relationnelle
(b) Controversé : comportement hostiles et prosociaux, ont amis
(c) Négligés : ajustement, habiletés sociales
(d) Rejetés. Il y à les rejetés-agressif : conflits , inattention , impulsivité , déficit interprétation, blâme les autres. Il y à aussi les rejeté-retiré : timide , passif, maladroit attentes négatives par rapport à eux-mêmes. Le fait d’être exclu très tôt va enfreinte l’apprentissage social et académique. Si l’enfant à aucun ami il y à des problèmes d’ajustement sévères. Il y à un risque d’intimidation chez les deux types rejetés surtout les enfants retirés, les enfants agressifs risque d’être les intimidateurs.
explique comment les stéréotypes de genre vont avoir un impact ainsi que la flexibilité des stéréotypes de genre
- Stéréotypes de genres vont avoir un impacts sur les traits de personnalité (fort, dominant vs douce, dépendante) cela va provenir de leurs observations et du traitement des adultes. Les matières scolaires pour les gars ou les filles…stéréotype des adultes comme l’opinion de la mère (compétence math) influence choix de carrière de leurs filles. Mais il y à du progrès majorité des enfants sont en désaccord que les math sont pour les gars.
- Flexibilité des stéréotypes de genre : si on dit oui à est ce que les gars et les filles …. Chevauchement des caractéristiques M et F. Capacité d’intégrer de nombreux indices sociaux distincts et réalisent que le sexe ne détermine pas les traits. Mais , plusieurs , surtout des garçons, n’approuvent pas la violation des normes qui est pour eux de la transgression morale. Les réponses flexible augmente beaucoup à partir de 7 ans. Mais pour beaucoup c’est correct d’exclure les filles car elles ont pas les mêmes intérêts mais pas correct de discriminer sur l’ethnicité.
explique la trajectoire/évolution des filles vs des garçons ainsi que les trois évaluations qu’inclue l’identité de genre
garçons de plus en plus masculin et fille de moins en moins féminine. L’identité de genre inclut ces auto évaluations : correspondance au genre (à quel point on est similaire à son genre) , satisfaction liée au genre (à quel point confortable) et pressions à se conformer aux roles de genre. Si peu similaire et ressent pression = difficultés
explique comment la relation parent-enfant change au scolaire
- Relation parent-enfant : moins de temps avec les parents dès le primaire. Si parentage à été démocratique , plus facile à cet âge (pensée logique/raisonnement plus efficace et plus de respect pour les connaissances du parent). Si on discute ouvertement et on prend des prises de décision conjointe les enfants sont plus ouverts au point de vue du parent quand besoin d’obéissance (situation particulière). Co-régulation : le parent et l’enfant ensemble vont réguler le comportement de l’enfant. Les mères passent plus de temps avec l’enfant en en sait davantage
explique la fratrie et les enfants uniques au scolaire
- Fratrie : source de soutien, rivalité augmente pendant l’âge scolaire, comparaisons , cherche à se distinguer , c’est un bienfaits si ils ont une bonne relation mais ça peux aussi être un risque si il y à des conflits destructeurs
Enfant unique : pas nécessairement gâté. Bénéfices : ES, motivation, performance académique , nombre et qualité d’amitié
explique les familles diversifiés et les parents célibataires
- Familles diversifié : 20-35% des couples lesbienne sont des parents et 5-15% des couples gay. Ça donne du parentage aussi engagés et efficaces (même parfois plus).
Parent célibataire : 90% sont monoparentale, le taux de mères adolescentes à diminué mais le taux adulte à augmenté (femme qui décide de fonder une famille sans être en couple). Les pères africains qui ne cohabitent pas sont davantage impliqué que les autres ethnicités. Être une mère célibataire va augmenter les difficultés financières et aussi pas de père impliqué = plus de problèmes cognitifs et d’antisocialité. Plus de risque de trouble de conduite chez l’enfant si le père est antisocial.
explique les divorces et la réaction de l’enfant selon l’âge
- Divorces : sont en plateau. L’enfant passe en moyenne 5 ans dans une famille monoparentale avant que le parents rentre en couple. Le divorce n’est pas un seul évènement mais bien une transition associé à plusieurs changements. C’est stressant pour les enfants et ça peux être un risque de problèmes d’ajustement mais la plupart s’adaptent bien. Les conséquence immédiates des divorces : conflits, baisse du revenu, stress, quantité/qualité du contact du père diminuent souvent, discipline moins positive. 20-25% des enfants présentent problèmes sévère vs 10% dans les familles intactes.
- La réaction au divorce varient selon l’âge de l’enfant : les jeunes se blâment et les plus vieux peuvent réagir fortement, le tempérament et le sexe (les garçons sont plus à risque car moins bon coping et moins de soutien émotif reçu)
nomme les conséquences à long terme du divorce et comment aider les familles pendant le divorce
- Conséquences long-terme : ES, compétence scolaire, tempérament difficile , problème d’intimité et de sexualité. Ce qui prédit le mieux l’ajustement est la qualité du parentage. Quand la mère à la garde le contacta avec le père est important. Les familles intacte mais conflictuelle serait pire que divorce. Ce qui aide les enfants et le bon coparentage.
- Aider les familles pendant le divorce : médiation + rencontres pour diminuer les conflits associé à la coopération au Québec on à droit à 5 séances gratuites. Éducation parentale : résolution de conflits, coparentage coopératif et bien=être de l’enfant. Garde partagé : les deux parent sont autant poids pour prendre les décisions, soutien financier du parent absent .
explique les femmes recomposé (taux de divorce et types) aussi explique impact si mère aime son travail et si père est impliqué
- Les familles recomposées : taux de divorce plus élevé pour deuxième union que la première : plus les enfants doivent vivre des transitions, plus de risque de problèmes d’ajustement.(a) Mère et son conjoint : plus fréquent, les garçons s’adaptent bine, les filles s’adaptent moins bine, les enfants plus vieux réagissent plus fortement
(b) Père et sa conjoint : mène souvent à moins de contact avec le père, les enfants qui vivent avec le père réagissent mal, filles et belle mère : adaptation moins facile mais s’améliore avec le temps. - Si la mère aime son travail et encore impliqué les enfants auront une meilleure estime de soi, des relations familiales et avec les pairs, des meilleures notes et moins de stéréotypes de genre. Plus il y à d’implication paternelle : meilleur QI, performance scolaire, maturité sociale, flexibilité rôles de genre, santé mentale à l’âge adulte. Mais , si le travail est un fardeau stressant = lié à un parentage de moindre qualité, un moins bon développement cognitif et plus de problèmes de comportements.