cours 7 Flashcards

(23 cards)

1
Q

Décrit selon Piaget l’ingrédient principal du développement cognitif en décrivant le jeu symbolique et les symboles

A
  • Selon Piaget, le langage est PAS ingrédient principal du dev cognitif , c’est surtout les activités sensorimotrices
    • Jeu symbolique : en faisant semblant, enfants pratiquent et renforcent leurs schèmes représentatifs. Avec le temps le jeu symbolique se détaches des conditions de la réalité, est moins orienté vers soi et devient plus complexe. Énormément de bienfaits + amis imaginaire= habiletés sociales plus développé.

Comment faciliter les jeux symboliques au préscolaire : fournir assez d’espace et de matériel , superviser sans contrôler , donne rud matériel sans fonction évidente

Symboles : comprendre que qqchose représente quelque chose de spécifique de la vrai vie. Représentations dualiste : un objet comme tel ET un symbole (maitrisé autour de 3 ans seulement). Quand un objet à deux identités les enfants ratent quand on demande verbalement jusqu’à 6-7 ans mais réussissent lorsque c’est non-verbal à 3 ans.

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2
Q

Nomme les limites de la pensée pré-opératoires

A

Piaget définit aussi ce stade par ce que les enfants ne comprennent PAS encore. Pas d’opérations. Leur pensée est souvent rigide, illogique , ne tinet compte qu’un aspect à la fois et est très influencé par
les apparences.

 1) Biais égocentrique de la pensée = se représente son monde,, mais tend à favoriser son propre point de vue, pense que les autres ont le même. (mais, des 2-3 ans ils sont conscient du point de vue de l'autre si objets sont familiers. À 4 ans , ils adaptent le langage à l'âge de petits de 2 ans. Mêmes les bébés distingues les êtres animés vs inanimés. 

2) Difficulté avec la conservation de la matière. 

3) Manque de classification hiérarchique
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3
Q

nomme les principes éducatifs découlant de Piaget

A

Principes éducatifs découlant de Piaget : apprentissage par découverte, être sensible à la disposition des enfants à apprendre, accepter les différences individuelles

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4
Q

explique ce qui est important dans la théorie socio-culturelle de Vygotsky

A
  • Grande importance accordée au langage. Les enfants commencent à se parler comme ils parlent aux autres. Le langage complexifie leur pensée et aide à contrôler leur propre comportement.

Piaget voyait le fait de se parler comme égocentrique tandis que Vygotsky voit cela comme la fondation pour tous les processus cognitifs de haut niveau. Le langage privé va aider les enfants à penser à leur processus mentaux et à guider leurs actions, graduellement il devient silencieux. Ils utilisent plus le langage privé lors de taches qui sont de difficulté modéré, ça va favoriser l’attention et la performance. Les enfants avec des problèmes d’apprentissage et de comportement l’utilisent plus longtemps.

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5
Q

nomme les deux éléments essentiels pour les interactions sociales et le développement cognitif

A

1) Intersubjectivité (2 partis se rejoignent , arrivent à une compréhension commune, partagée). L’adulte explique de façon à ce que l’enfant comprenne). Cela favorise la langage

2) Scaffolding (ajuster enseignement) = Échafaudage. L’enfant reprend les directives reçues dans son langage privé. Un bon scaffodling des parents : enfants utilisent plus de langage privé, plus de succès lors des défis et meilleur développement cognitif

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6
Q

nomme les critiques de la théorie de Vygotsky

A
  • Les critiques de Vygotsky : la communication verbales n’est pas la seule façon dont la pensée se développe, dans les cultures ou la scolarisation occupe une place moins grande, moins d’enseignement et de conversations et la théorie en dit peu sur la façon dont les facultés motrices, de perception, d’attention , de mémoire et de résolution de problème contribuent au processus cognitif de haut niveau.
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7
Q

traitement de l’info : nomme les fonctions executives qui aident les enfants à contrôler leur attention et soutiennent les compétences académiques et sociales

A

(a) Inhibition : résister à un stimulus/réponse dominante. La capacité d’inhibition au préscolaire va prédire la maturité sociale, et la performance dans les math et la lecture
(b) Réorientation flexible de l’attention : changer ce sur quoi en porte attention, selon ce qui est important en ce moment . S’améliore grandement durant préscolaire et continue. L’inhibition contribue !
(c) Mémoire de travail : garder en tête et manipuler plus d’informations simultanément, y combiner des informations. Contribue au contrôle de l’attention, la planification. Elle permet de : rendre le jeu plus compliqués, résoudre des problèmes plus compliqués, garder plusieurs règles en tête , réorienter son attention avec flexibilité
Planification : amélioration au préscolaire. Planifier = préparer une séquence d’action à l’avance et allouer son attention à chaque étape, pour atteindre but. L’inhibition préfère l’action et les adultes sont des modèles. La planification est efficace vers 5 ans.

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8
Q

traitement de l’info : explique le lien fonctions éxécutives-culture

A

Lien fonction exécutives-culture : SES faibles est lié négativement car il y à moins de scaffolding, la relation parent-enfant est plus négative et il y à moins d’opportunités informelles d’apprentissage donc ça à un impact sur la littéracie et les compétences en mathématique. La pauvreté et le parentage négatif nuisent à la régulation du stress liés à des comportements et cognitions plus réactifs et inflexibles vs réfléchis et flexibles.

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9
Q

traitement de l’info : décrit la mémoire a cette âge

A

La mémoire : ils sont très bien capable de reconnaitre mais se rappeler est plus difficile car c’est lié au langage et ils utilisent peu les stratégies de mémoire même si on leur contre comment pcq leur mémoire de travail est limitée. Mémoire sémantique = info retirée de son contexte, mémoire épisodique = évènement (evenements routiniers = sous formes de scripts : description générale de ce qui arrive et quand ça arrive , evenement uniques = souvenirs autobiographique).

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10
Q

traitement de l’info : explique la résolution de problème

A

(théorie du chevauchement des stratégies de Siegler). Devis microgénique : essaie, expérimente une variété de stratégies, observe à quel point elles fonctionnent, graduellement, sélectionne celle qui mène à des réponses rapides et justes, parmi enfants de tous âges

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11
Q

traitement de l’info : explique la théorie de l’esprit et les facteurs contribuant a la théorie de l’esprit

A

: ensemble cohérent d’idées à propos des acivités mentales. Déjà les bébés de 1 ans vois les autres comme des être intentionnels, ayant des états mentaux , les partagent et s’influencent. À deux ans : ils comprennent les émotions et els désirs distincts des autres

Les facteurs contribuant à la théorie de l’esprit : langage et raisonnement verbal (actv cortex préfrontal gauche quand réussit jeu de fausse croyance), fonctions exécutives (surtout l’inhibition), les jeux symbolqiues et les interactions sociales (mind-mindedness de la mère, fratrie, variations culturelles)

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12
Q

explique la compréhension des activités mentales et la compréhension des activités mentales des autres

A

Comprendre les activités mentales : à 3 ans penser = dans notre tête, ils savent que qq peux penser à qq chose sans le voir/toucher mais ne réalisent pas que qqn est entrain de penser s’il fait qqchose. Croient que action liée aux désirs. Chez ceux de 4 ans les comprennent que les désirs et les croyances guident nos actions mais ils ont des limites comme ayant peu d’attention aux processus impliqués dans l’acquisition des croyances. Beauocup d’enfant de 4 ans réussissent le jeu de fausse croyance et très peu d’enfant de 3 ans

Comprendre les états mentaux des autres : capacité se renforcit de 4 à 6 ans. C’est utile pour réfléchir aux émotions et pensées. Cela va contribuer aux habiletés sociales, à la confiance sélective et à la lecutre (comprendre histoire). Les signes précoces de ce la sont : violation des attentes qui est un signe de la théorie de l’esprit à 15 mois. Aussi, la méthode comportementale qui est que les bambins de 18 mois qui aident un adulte en lui donnant ce qu’il semble désirer

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13
Q

explique l’alphabétisation émergente et comment la soutenir au primaire

A
  • Alphabétisation émergente : efforts actifs pour comprendre le sens des symboles écrits à travers des expériences formelles ( croit qu’une lettre est un mot, qu’une image est liée au sens et utilise le son du nom des lettres). Elle repose sur le langage et les connaissances : conscience phonologique (remarque, manipule sons de sa langue), connaissances des correspondances son-symbole , vocabulaire, grammaire, compétence narrative contribient aussi. Un faible SSE moins de livres 25h vs 1000h qui donne un écart alphabétisation émergente et la lecture durant le primaire.

Soutenir l’alphabétisation émergente au préscolaire : fournir matériel littéraire, s’engager dans des lectures interactives, faire des sorties, signaler les sons correpsondants aux lettres, jouer avec les rimes et d’autres jeux avec les sons de la langue, poemes , histoire qui riment , soutenir les efforts d’écriture des enfants spécialement les récits, être un modèle

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14
Q

traitement de l’info : explique le raisonnement mathématique

A

repose aussi sur les connaissances informelles. : À 14-16 mois ils peuvent faire de l’ordinalité qui est de comparer les quantités , ordre (ex : 2>1). Ils commencent à compter vers 2 ans (comprend?). Vers 3,5-4 ans ils font de la cardinalité donc ils comprennent que le dernier nombre quand on compte , c’est la quantité. Puis vers 4 ans ils sont capable de compter pour résoudre des problèmes comme la stratégie Min (compte à partir du plus grand). Ces connaissances émergent de façon universlles mais le soutien des adultes aident , moins si faible SSE’ écart entrée école.

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15
Q

explique ce que le QI mesure et les facteurs menant aux différences individuelles

A

LE QI va mesurer les habiletés mentales verbales et non verbales (visuo-spatiales) variées mais ça ne couvre pas toutes les habiletés humaines. Le score est influencé par les facteurs culturels et situationnels. Le Qi qu’on à dès 6 ou 7 ans va permettre de prédire notre QI ultérieur et notre performance académique.

Facteurs contribuant aux différences individuelles sont : l’environnement à la maison, la qualité de la garderie/pré-maternelle et les médias (télévision, ordinateurs, émissions éducatives)

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16
Q

explique le lien entre le QI et les aspects cognitives du HOMe

A

Les aspects cognitifs du HOME de 3 à 6 ans : stimulation cognitive, stimulation langagière, organisation de l’environnement physique, soutien/affection, encouragement des comportements académiques et sociaux, sorties , résolution de conflits sans utilisation de la force. Malgré un SSE faible si les scores du HOME sont élevés l’enfant aura un meilleur QI, langage , alphabétisation émergente , scores et une meilleure lecture 4 ans plus tard

17
Q

nomme les interventions précoces

A
  • Interventions précoces. Un an de head Start à 3-4 ans va avoir des bienfaits après un an mais l’écart académique est disparu à la fin de la première année de primaire lors d’école de piètre qualité. L’implication parentale améliore les bienfaits de headstart à long terme car contre.
    • Enrichir les services de garde avec le head start REDI mène à un curriculum enrichi avec des formations et mentorats des éducateurs, les habiletés sont plus développé de la fin de l’année jusqu’à la fin de la maternelle et surtout au primaire!. C’est une rentabilité de Head start mais moins de la moitié des enfants défavorisés en ont accès.
18
Q

explique la situation des écrans avec l’environnement, les médias éducatifs et les média digital interactif

A
  • Environnement des écrans : chez les 2-8 ans ils passent en moyenne par jour 1h30 de télé + 1h de tablette/telephone. Le temps de télé va diminuer la lecture, la performance académique et les intéractions sociales. 40% des gens ont la télé constante en arriv;re plan encore pire si la télé est dans la chambre. Cela va diminuer l’attention soutenue, diminuer les interactions parents-enfants, crée des retards moteurs, cognitifs et langagier
    • Médias éducatifs : les gens ayant un SSE faible écoute plus de télé mais regardent autant de télé éducative que les familles plus favorisées” par exemple sesame street mène à des gains en math, alphabétisation au primaire et lecture et performance au secondaire. La qualité éducative vient du fait que c’est d’un rythme lent et qu’il y à une seule trame narrative.

Média digital interactif (majorité des enfants âge préscolaire l’utilisent) cela ; requiert une action de la part de l’enfant , presque 100% des enfants de SSE élevé et 70% des SSE faible ont un ordi avec internet , avec scaffolding les programmes d’alphabétisation/math favorisent les connaissances, laisser enfants l’utiliser directement pour accroitre intérêt et attention, meilleures interactions parent-enfant avec un livre papier vs Ebook, intro à la programmation , mais la plupart du temps : divertissement,

19
Q

explique le développement du vocabulaire a cet âge préscolaire

A

Développement du vocabulaire : 250 mots à 2 ans, 10 000 à 6ans donc en moyenne 5 nouveaux mots par jours. Mappage rapide : lien entre nouveau mot et concept après rencontre brève étiqueter objet, verbe et qualitatif.

20
Q

nomme les stratégies d’apprentissage dans le développement du langage

A

Stratégies d’apprentissage : trouver à quoi le nouveau mot règle, contraste avec mots connus et suppose qui s’agit du niveau de catégorisation intermédiaire. Biais d’exclusivité mutuelle: suppose qu’uj seul mot réfère à une catégories distincte, quand objets sont différents. Biais de la forme (propriété perceptuelle impossible pour les catégories). Dés 3 ans : un objet, plusieurs noms: flexibilité. Syntactic bootstrapping : trouve à quoi le mot réfère en observant comment il est utilisé dans la structure de phrases. Il y à aussi : indices sociaux des autres, explications directes des autres et invente des mots/métaphores.

21
Q

explique le développement de la grammaire au préscolaire

A
  • Développement de la grammaire : ils combinent des mots en phrases avec l’ordre et avec l’étude avec des verbes inventés. Aussi quand on sait former des phrases à 3 mots : +flexible et plus efficace. Surgénéralisation : application des règles tout le temps sans exceptions. Structures complexes :apprentissage graduel et long.
22
Q

explique les conversations a l’âge préscolaire

A

appendre à communiquer de façon efficace, appropriée, pragmatique. Déjà habiletés vers 2 ans et progresse graduellement avec âge. À 3 ans on peux inférer sens d’un message indirect. Les interactions avec la fratrie aide, c’est plis sifficile si privé , s’adapter à l’interlocuteur.

23
Q

explique comment soutenir l’Apprentissage du langage durant la période préscolaire

A

lire des histoire chacun son tour, conversations avec partenaire plus expérimenté, rétroaction explicite et constructive sans critique , rétroaction indirecte comme restructurer en forme correct, élaborer en augmentation la complexité des phrases.