cours 8 Flashcards

(19 cards)

1
Q

décrit la conscience de soi

A

Conscience de soi -> psychologique. C’est un représentation mentale qui définit qui je suis et qui influence grandement le développement socio-affectif. Au préscolaire il se décrit en se basant sur les caractéristiques observables : nom, possessions, comportements et émotions/attitudes habituelles des 3,5 ans. Dés 4 ans ils comprennent le sens des termes et dès 5 ans leur évaluation correspond à celle de leurs mères.

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2
Q

nomme ce qui contribue a un développement positif du concept de soi

A

attachement sécurisant (se décrire positivement à 5 ans) , les conversations parent-enfant élaboratrice et qui focalise sur les états internes de l’enfant (parler de leurs causes et conséquences. Évoquer quand enfant à réussi à se remettre d’une émotion douloureuse). Dès 2 ans, les parents donnent de l’information au cours de ces conversation et le concept de soi persiste dans le temps vers 4 ans (voir vidéo de soi-même ou s’imaginer des situations futur)

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3
Q

explique l’émergence de l’estime de soi

A

jugements que l’on porte sur notre propre valeur et les sentiments liés à ces jugements. À l’âge préscolaire, on fait des évaluations spécifiques et non globale et on distingue mal les compétence réelle que l’on à vs celles qu’on désire donc on se surestime. Les parents ont sois des attentes réaliste et encouragement vs critique et honte.

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4
Q

Nomme les diverses habiletés (4) du développement affectif

A

(a) La compréhension des émotions : s’améliore beaucoup. Ils peuvent juger les causes des émotions dès 4-5 ans , ils interprète les émotions à partir du comportement, ils réalisent le lien entre les pensées et les émotions, ils aident à soulager les autres mais difficile d’interpréter quand signes contradictoires. Les parents peuvent aider en ayant des discussions élaboratives , s’ils nomme et explique , s’ils reconnait les émotions de l’enfant et si ils font des compromis lors de conflits.

(b) L'auto-régulation des émotions : le langage aide beaucoup en diminuant les stimuli sensoriels , en se réconfortant et en changant les buts ce qui fait que les explosions d'émotions diminuent. Le contrôle volontaire est aussi encore vital et va prédire la coopération et la capacité de porter un masque émotif. Lorsque l'enfant à un tempérament difficile l'inhibition et les distractions sont plus difficile. Le parentage va être important pour gérer ses propres émotions et donner des stratégies. Il y à un risque si les parents expriment peu d'émotions et nient les émotions de l'enfant qui va donc être du parentage inefficace 

(c) Émotions reliées à la conscience de soi : sensibilité accrue aux critiques et éloges /évaluation positive mais peux être overwhelming. La fierté et la culpabilité et quand la ressentir dépend encore des autres. Si le jugement est fréquent, ces émotions sont trop intenses on est mieux de focaliser sur ce qui peux être améliorer que de juger la valeur de l'enfant (honte vs culpabilité)

(d) Empathie : ils utilisent d'avantge de mots pour la communiquer. En général l'empathie cognitives (comprendre les émotions de l'autre) mène à l'altruisme. L'empathie émotive (ressentir avec ) est un risque de détresse personnelle et peux miètre sur l'auto régulation émotive. Le parentage sois attachement sécurisant, sensibilité vs style colérique, punitif
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5
Q

explique la sociabilité dans la période préscolaire selon Parten

A

La sociabilité dans la période préscolaire selon Parten commence avec le jeu solitaire, après le jeu parallèle (l’un après l’autre), après le jeu associatif (activités séparées mais échanges) et finalement le jeu coopératif (but commun)

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6
Q

Décrit la maturité cognitive du jeu (son évolution)

A

À 0-2 ans : jeux fonctionnels qui sont des mouvements simples et répétitifs avec ou sans objets. De 3 à 6 ans ce sont des jeux constructifs qui est de crée ou construire quelque chose. Et de 2 à 6 ans il y à les jeux faire-semblant qui est de jouer des rôles de tous les jours ou imaginé. On s’inquiète si le jeu est immature, répétitif et sans but.

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7
Q

explique le type d’enfant/type de jeu

A

Les enfants inhibés/anxiété sociale vont observer longuement . Les enfants impulsifs font des jeu solitaire répétitif. Certains enfants préfèrent simplement jouer seul sans être anxieux ni impulsif. Les filles font plus de jeu socio-drmatique tandis que les gars plus des jeux de bagarre. On pense que l’imagination est moins importante quand les enfants participent déjè dans le monde des adultes.

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8
Q

explique les premiers amis/meilleur ami

A

c’est quelqu’un qui t’aime bien et qui joue avec toi mais ils changent fréquemment, Les enfants sont plus encourageant émotionnellement envers ses amis. Qui est leur meilleur ami? Un an plus tard 40% des enfants avait rementionné le/la même donc ça change souvent

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9
Q

explique la résolution de problèmes sociaux

A

La résolution de problèmes sociaux : les conflits sont une occasion d’apprendre et de mettre en pratique les stratégies pour résoudre problèmes et que les deux partis soient satisfaits. Il y à beaucoup d’amélioration durant la période préscolaire. De 2 à 4 ans : augmentation des émotions positives et des comportements pro-sociaux lors des négociations. Puis dès 5-7 ans il y à la persuasion, le compromis et les stratégies alternatives qui sont développés.

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10
Q

nomme les types d’influences parentales sur les pairs

A

Directe : organise des activités formelles entre pairs, modèle : initier contact, bon hôte, conseils : comment agir avec autrui. Indirecte : attachement sécurisant, communication sensible et riche émotivement, houer au même niveau surtout de même sexe.

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11
Q

explique le sens moral et son évolution

A

Le sens moral est le fait de distinguer le bien du mal et accommoder les besoins des autres. Il y à des signes de cela chez les petites. À 3 mois : préfèrent le personnage gentil , 1,5 ans : s’attend à un partage juste et à 2 ans ils juge leur comportement et celui des autres. À l’âge préscolaire il y à le début de la moralité avec le contrôle externe des adultes et puis dans les standards et principes internes.

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12
Q

explique le développement moral selon la théorie psychanalytique

A

Théorie Psychanalytique (la conscience/surmoi se forme en s’identifiant au parent du même sexe)

- Selon lui le developpement moral est pas complète à 5-6 ans , les enfants obéit au surmoi afin d'éviter la culpabilité. Aussi , les enfants ne sont pas motivé par la peur de la punition ou de perdre l'amour parentale. En effet, si l'amour est conditionnel c'est associé à la culpabilité excessive , risque d'être niée (diminue conscience). La punition et la menace sons associé à un moins bon développement moral chez l'enfant 

- Pour lui c'est surtout la discipline inductive qui facilite le développement moral. Après que l'enfant ai fait un méfait il faut : souligner l'impact du geste posé sur l'autre, faire remarque la détresse de l'autre, clarifier que c'est lui qui en est la cause, expliquer avec chaleur et insister. Cela est efficace dès 2 ans et est associé à moins de méfaits, plus de confessions, de réparations et de prosocialité.  Cela fonctionne parce que ça motive l'enfant à se conformer aux principes moraux (en expliquant comment se conduire, mettre accent sur impact du geste, suit consigne car ça à du sens, crée un script)

- Les caractéristiques de l'enfant va impacter des pratiques parentales. Si l'enfant est empathique : induction plus efficace. Le tempérament joue aussi un rôle. Si l'enfant est inhibé les stratégies douces suffisent mais si l'enfant est impulsifs c'est seulement une relation positive, fermeté et induction qui fonctionne. 

Rôle de la culpabilité : Freud avait raison au sujet de la culpabilité comme motivation pour les gestes moraux. C’est associé à l’arrêt des méfaits, la réparation et la prosocialité. Il faut induire la culpabilité basée sur l’empathie comme ça on influence sans être coercitif.

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13
Q

explique le développement moral selon la théorie de l’apprentissage social

A
  • Selon eux, la culpabilité ne serait pas le seul déterminant du comportement moral. Il faut aussi le modelage (observe, immite) et le renforcement du geste.
    • Pour que le modèle soit bon il faut : chaleur et sensibilité , compétence et pouvoir et cohérence entre ce que l’adulte dit et fait. À 3 ans : le désir d’imiter va prédire le comportement et les émotions moraux. Avoir eu des modèles prosociaux est lié à la prosocialité et cela à un impact surtout au bas âge
    • Effets des punitions corporelles : obéisance vs intériorisation , problèmes de santé mentale (toute la vie) , effets secondaires : modeles d’agression, entraine colère, apprend à éviter l’adulte qui punit, renforcement pour l’adulte (pente glissante vers abus) et risque de transfert intergénérationnel. Les facteurs de risque d’utiliser la punition : avoir un SSE faible, avoir des problèmes de santé mentale, être moins éduqués, conflits conjugaux.

Alternatives et stratégie positive : alternative il y à le time out, le retrait de privilège qui va être plus efficace si il y à de la constance, du contexte de relation chaleureuse et une explication. Relation positive + stratégie positive - alternative efficace de Kochanska. Les stratégies positives sont : voir une transgression comme occasion d’enseigner , prévenir les occasions d’inconduites, expliquer la raison derrière la règle, encourager les comportements matures…

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14
Q

explique le développement moral selon la théorie cognitive-comportementale

A
  • Pour eux les enfants sont des penseurs actifs. Dès le préscolaire , ils posent des jugement moraux basés sur les concepts de justice et d’équités ( on tinet compte de l’intention dès 3 ans, distingue mensonge de vérité dès 4 ans , distingue impératifs moraux (protger droits, bien-être) vs conventions sociales (bonnes manières) vs choix personnels (droits individuels). La violation morale est la plus grave. Raisonnement rigide par contre ( mentir est toujours mal)

Ils sont capable de distinguer les impératifs moraux vs les conventions sociales car après une offense morale on observe que les pairs réagissent fortement et que les adultes soulignent les droits/sentiments des victimes. Par contre après une violation d’une convention sociale les pairs réagissent moins fortement et les adultes demandent l’obéissance sans explication.

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15
Q

explique l’acquisition de la catégorie de genre

A

Le genre est l’une des premières catégories formée vers 2 ans et dès que ces catégories sont crée , des comportement et activités y sont associées. Il y à une hausse des comportements stéréotypes de 2 à 13 ans qui va être pire chez les enfants qui ont été les plus stéréotypés durant le préscolaire. Au préscolaire on associe jouets, habits, couleurs. Les croyances se reflètent dans les comportements et les traits. Entre 3 et 4 ans : les croyances deviennent fortes et rigides. Ils ne réalisent pas que les caractéristiques associées au genre ne déterminent pas i un individu est M ou F.

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16
Q

explique l’influence de la biologie et de l’environnement sur l’acquisition des rôles de genre

A
  • La biologie comme influence sur l’acquisition des stéréotypes de genre : la perspective évolutionniste que comme fonction adaptative les hommes sont en compétition avec les partenaires et qu’ils doivent dominer tandis que les femmes prennent soins des enfants et doivent être sensible. Aussi les hormones chez les filles qui ont plus d’androgènes prénatales elles vont avoir des préférences plus masculines et chez les gars qui vont avoir moins d’Androgènes prénatal vont avoir des comportements plus féminins. Aussi le stress maternel et les produits chimiques industriel

L’environnement comme influence sur l’acquisition des stéréotypes de genre : il y à premièrement la famille qui à des attentes, les jouets offerts, les types d’interaction. C’est souvent pire chez les garçons et pire chez les pères et c’est mieux si les parents agissent moins stéréotypiquement. Par la suite il y à les enseignants qui encourage surtout les filles à faire des activités structuré (obéir ,aider) et qui donnent plus d’attention, d’éloges et de désapprobation aux garçons. Aussi , les pairs du même sexe car ils jouent plus avec. Finalement il y à l’environnement social plus large comme la télé , le matériel scolaire, les ordinateurs , les dessins animés et les jeux vidéos

17
Q

explique l’identité de genre et les étapes de la constance du genre

A
  • L’identité de genre : image de soi relativement féminine ou masculine. Androgynie c’est lorsqu’il y à des scores élevés aux deux types de caractéristiques et l’identité masculine ou androgyne donnent une meilleure estime de soi et une meilleure adaptation. L’identité de genre se développe selon la théorie de l’apprentissage social comme une acquiert des comportements puis on les organises en une image de soi. Pour la théorie cognitivo-développementales : on acquiert une constance du genre qui va elle guider nos comportements.
    • La constance du genre s’établie en trois étapes. 1) identité du genre (équiter propre sexe et celui d’autrui) 2) stabilité du genre (stable dans le temps) et 3) cohérence du genre (pas alteré par apparence et activité)
18
Q

explique la théorie du schéma du genre et ses conséquences

A
  • Théorie schéma du genre : explique comment les pressions sociales et les cognitions de l’enfant affectent les rôles sexuels. Assez jeunes on remarque les préférences et on les organise en schéma de genre pour interpréter le monde (F ou M). Dès qu’on identifie son propre sexe, on sélectionne les schémas qui y correspondent. On l’utilise comme un filtre pour l’information qui nous motive à nous conformer

Conséquence du traitement de l’info par le schéma du genre: chez les enfants de 4-5 les jouets perdaient leur attrait si était pour l’autre genre. Ce type de pensée est puissant et peux faire une distorsion de la mémoire pour le comportement sexuel incompatible. Ça ajoute aussi leur propre préférence aux biais stéréotypés, pensant que les autres aiment ou mais les mêmes choses que soi

19
Q

nomme les trois aspects importants des pratiques parentales et les 4 catégories de pratique parentale de Baumrind

A

trois aspects : acceptation . cadre et soutien de l’autonomie

(a) Démocratique (contrôle et chaleur) : chaleur et sensibilité , cadre, requêtes appropriés, écoute, respect , soutien autonomie. Bienfaits nombreux : humeur, auto-régulation , persévérance, coopération, maturité, performance scolaire 

(b) Autoritaire (contrôle mais pas de chaleur) : distance , rejet, plusieurs demandes, coercition, dominer , contrôle psychologique, décide pour l'enfant. Mène à des problèmes variées comme l'anxiété, l'hostilité et la dépendance

(c) Permissif (chaleur mais pas de contrôle) : chaleur, indulgent , pas de requête, laisse décider même si il est pas prêt. Cela peux mener à des problèmes d'impulsivité, de désobéissance, dépendance , de performance scolaire 

Désengagé (pas de chaleur et pas de contrôle) : pas de lien, pas de demande, indifférent à son autonomie. Lorsque c’est extrême c,est de la négligence. Peux mener à de l’anti sociabilité , une faible performance scolaire et auto-régulation