cours 6 Flashcards
(29 cards)
explique les émotions et comment lire les émotions de bébé
émotions
- role primordial (relations,exploration monde, soi)
- émotions = partie intégrante des systèmes dynamiques d’action des bébés
- énergie, moteur de développement
- se complexifient, se raffinent
lire les émotions de bébé :
- vaccinations , gestes, surtout expression faciales
- association expression faciale et émotions de la même façon autour du globe (universel)
- mais se fier seulement à l’expression faciale peut mener à l’erreur (ex bébés aveugles avec peu d’expression faciales)
- utiliser plusieurs indices (vocal, facial,gestuel et situationnel) pour les interpréter
- émotions se complexifient, avec le développement et la coordination des capacités et avec les expériences, les buts et les contextes changent
- au début il y a deux états : attirance (on aime) ou retrait (on aime pas)
- les expressions deviennent de plus en plus organisées (claires) , le reflet des parents aiderai comme imiter l’enfant et nommer l’expression
explique la première apparition de la joie
- Sourires
- nouveau nés : dodo, repu,caressée (random)
- vers 1 mois : voit quelque chose de spécial
- vers 2 mois : il m’a souri ! : sourire social
*variations culturelles - Rires
- 3-4 mois : suite a une sensation forte, puis plus subtile
rires et sourires : plus souvent avec des gens familiers (vers 6 mois) et différents sourires (vers 1 ans)
explique la première apparition de la colère
- a partir de 4 à 6 mois , situations variées
- augmente jusqu’a 2ème année : capacités augmentent , comportements intentionnel… veut contrôler propres actions et leurs effets
- valeur adaptative : se défendre, surmonter obstacles, motive adulte venir et consoler
explique l’apparition de la tristesse
- a partir de 2 mois, situations variées
- moins fréquent que la colère. Tristesse surtout si privé d’affection.
- étude : visage immobile de l’adulte , bébé tente de la faire réagir, pleure, se retire (méthodologie still face)
- absence de communication (ex parent en dépression sévère) = grand risque pour développement
explique l’apparition de la peur
- a partir de 6 mois, quand nouveau (jouet, endroit)
- augmente jusqu’a 2ème année
- peur de l’étranger (la plus fréquente). Nuances : tempérament, style de l’étranger, culture
- valeur adaptative : bébé peut se déplacer, explorer… mais ne va pas trop loin! Autour du parent, sa base de sécurité
explique l’évolution de la compréhension des émotions des autres
dès premiers mois : imite expression faciles. Contagion émotive et/ou conditionnement opérant
- 3 mois : sensible à l’échange, sa structure, a des attentes
- 4-5 mois : distingue les émotions (positive vs négatives) , voix , puis visage
- 6 mois : associe voix et visages
- 7 mois : traite indices de façon unifiée (comme adultes) émotions a un sens, en tant que réaction à quelque chose
explique la référence sociale
8 à 10 mois : recherche info de quelqu’un de fiable lors d’une situation incertaine
- l’émotion du parent influence son comportement
- voix = plus efficace (avec ou sans expression faciale)
- peut comparer sa propre réaction a celle des autres
*plus que réagir aux émotions de l’autre… utiliser signaux (guide actions, comprendre intentions autrui)
nomme les émotions reliées a la conscience de soi et leur émergence
- honte, embarras
- culpabilité
- fierté
- envie
émergence 18-24 mois
- conscience du soi (individu unique, séparé)
- aussi besoin de l’adulte, savoir quand les ressentir
role : accomplissement, morale
- variation culturelle
explique l’auto-régulation émotive
- en plus d’exprimer ses émotions, savoir les gérer
- stratégies, afin d’ajuster notre état émotif a un niveau d’intensité confortable et atteindre nos buts
- cette habileté contribue a l’ajustement cognitif et social
- nécessite du controle volontaire
progrès grâce au développement du cortex cérébral et a l’assistance des parents
- nouaison : dépend du parent (calmer, distraire)
- 2 à 4 mois : interactions face à face, montre objets exerce tolérance en évoquant plaisir + ajuste intensité
- 3 mois : peut réorienter son attention, se réconforter
- 6 mois : communique mieux besoins , se déplacer est utile (approche ou éloigner )
- vers 1 an : soutient davantage attention
l’aide des parents contribue au développement de l’auto-régulation émotive (sensibilité, empathie vs impatience, colère)
*ne pas aider bébé, qui ne peut s’auto réguler : entrent le dev de cette habileté
c’est aussi savoir comment exprimer ses émotions
- parents imitent davantage les émotions plaisantes (différences sexuelles et culturelles dès 1 an)
- langage/représentations mentales + vocabulaire dès 18 mois, utilise peu pour réguler émotions. Crises : ne pas plier, sympathie , distraire, suggère plus tard meilleure façon gérer refus
- nommes ses émotions (vers 2 ans) : aide/guide parent à aider
explique le tempérament avec l’étude et ses types
différences individuelles stables au niveau de la réactivité et de l’auto-régulation, tôt dans la vie
- réactivité : rapidité et intensité des émotions, de l’attention et des activités motrices
- auto-régulation : stratégies pour réguler cette réactivité
*serait la pierre angulaire de la personnalité
étude de Thomas et Chess
- tempérament augmente risque de problème psychologiques ou protège de l’impact du stress familial
- pratiques parentales influencent style émotif
les types de tempérament : a partir de 9 dimensions, 3 types
- facile (40%) : régulier, humeur généralement positive, s’adapte facilement
- difficile (10%) : irrégulier, humeur négative/intense, accepte difficilement changement
- lent à s’adapter (15%) : agit/réagit peu, humeur négative, s’adapte lentement
- 35% ne sont pas caractérisé
explique le modèle de rothnart
réactivité
- niveau d’activité : niveau d’activité motrice globale
- attention et persévérance : dur.e de l’orientation ou de l’intérêt
- peur, détresse : inquiétude et détresse en réponse a un stimulus intense ou nouveau, incluant le temps d’adaptation a de nouvelles situations
- irritabilité : niveau d’agitation, pleurs et de détresse lorsque frustration des désirs
- affects positifs : fréquence d’expression de joie et de plaisir.
régulation
- controle volontaire : capacité de supprimer volontairement une réaction dominante dans le but de planifier et d’exécuter une réponse plus adapté (prédit ajustement social et académique et ce, dans nombreuses cultures)
explique comment on mesure le tempérament
- entrevues, questionnaires parents, autre
- observation a la maison
- observations/mesures physiologique en laboratoire
face a la nouveauté ..
- inhibé/timides : émotions négatives/retrait
- désinhibés/sociables : émotions positive/approche
explique le développement de la timidité
les plus inhibés/timides (20%)
les désinhibés (40%)
20-25% de ces enfants extreme le sont restés
ce qui différencient les enfants timides, face a la nouveauté :
- activité amygdale, du cortex frontal (droit)
- rythme cardiaque, pression sanguine
- cortisol salivaire, pupilles dilatées, bout doigts froids
*l’amygdale traite infos sur nouveauté et émotions
parentage : affection, soutien,demandes appropriés,
explique la stabilité du tempérament
faible durant la petite enfance, le tempérament se développe !
Prédiction long terme plus fiable si temp T1 est mesuré après 3 ans
capacité du controle volontaire qui se développe
- grands progrès 2,5 ans à 3 ans ( dev rapide des aires du cortex préfrontal)
- influence du type de l’intensité de l’émotion à réguler
explique l’influence génétique/environnement du tempérament
- le terme tempérament implique contribution génétique
- estimés d’héritabilité (tempérament/personnalité) environ 0,5
- corrélation gène-environnement
différences ethnicité
- asiatique : moins actifs, moins iritables, consolent mieux, plus craintifs
différence sexe
- garçons : plus irritables, impulsifs, actifs
- filles : plus de tibité , meilleure contrôle volontaire, plus de coopération
explique la susceptibilité différentielle du parentale de bonne vs pas bonne qualité + les expérience uniques des enfants d’une même famille
- tous les bébés bénéficient du parentale soutenant, mais ce sont les bébés ayant un tempérament difficile qui en bénéficient le plus
- le piètre patentage enfreint le développement de tous les bébés, mais ce sont les bébés ayant un tempérament difficile dont le développement est le plus sévèrement affecté
- plasticité accrue, impact sur effet des interventions
expériences uniques des enfants d’une meme famille
- fratrie : parents voient leurs enfants plus distincts les uns des autres qu’ils ne le sont
- accent sur différences influences les pratiques parentales
- plus tard, enfants chercheront a se distinguer
explique goodness-of-fit (l’ajustement et l’acceptation )
Ajustement
- quand tempérament de l’enfant interfère avec adaptation, parents doivent contrecarrer ses dispositions avec douceur. Il s’Agit pour le parent de s’ajuster en créant un milieu qui reconnaisse le tempérament de l’enfant, tout en encourageant un meilleur fonctionnement
- quand le parent ne s’ajuste pas, l’enfant difficile recoit des pratiques punitives qui vont accentuer ses difficultés , qui stressent les parents davantage (cercle vicieux)
- par contre si le parent s’ajuste et fait preuve de sensibilité , constance, les difficultés peuvent diminuer
Acceptation
- quand le tempérament de bébé correspond a ce qui est valorisé, l’adaptation psychosociale est favorisée
donne la conclusion du tempérament (ajustement et acceptation)
- le tempérament de l’enfant affecte les parents
- cependant, un aspect important de l’ajustement (fit) est l’effort délibéré que fait le parent pour s’ajuster aux tendances naturelles de son enfant
- quand les parents acceptent les dispositions de l’enfant , il est possible de travailler avec elles , et de l’aider a adopter un style plus adapté, favorisant son développement et son bien-être
- pour les bébés difficile : défaire la corrélation gène-environnement afin de ne âs aggraver la situation
explique le développement de l’attachement
attachement : lien affectif durable avec un individu dont on a besoin, qui n’est pas aisément remplaçable, vers qui on se tourne en période de détresse, dont on croit qu’il est en mesure de nous protéger, de nous aider et dont on n’apprécie pas se séparer
- freud L lien mère-bébé = base autres relations, OUI et qualité relation parent-enfant aussi
- pcq elle nourrit le bébé? (psychanalytique,béhaviorisme) en fait… attachement n’est pas associé a la satisfaction de la faim
- étude sur les singes qui préfèrent la mère douce même si elle donnait pas la nourriture que l’autre.
Explique la théorie éthologique de l’attachement de Bowlby avec ses étapes
- ce lien spécial, ne peut être compris que dans contexte d’évolution. Reetinet l’idée de Freud, que ce premier lien intime a un gros impact
- idée imprégnation de lorenz
- bébés humains ont des comportements innées qui gardent parent tout près : protéger du danger soutenir l’exploration
- Preéattachement (0 à 6 semaines)
- serre doigt, sourit, pleure
- reconnait voix, odeur , visage de maman
- ok si elle part - Émergence de l’attachement (6e semaine à 6-8 mois)
- répons différemment a la personne familiale;re
- sentiment de confiance
- encore ok si elle part - L’attachement proprement dit (6-8 nous à 18-24 mois)
- lien d’Attachement est évident
- chigne si elle part, sa base de sécurité
- la préfère, sa base pour aller explore
- proteste si elle part ( de plus en plus entre 6 et 15 mois)
- anxiété de opération (lié a la permanence de l’objet ?) - Formation relation réciproque (18-24 mois)
- proteste moins, car comprend mieux allées et venus
explique le modèle interne
- Au cours des 4 phases, enfant construit un lien durable,
qui sert de base de sécurité en l’absence du parent. Cette image sert de modèle interne (ensemble d’attentes) à
propos (disponibilité, chance être soutenu et interaction avec ces figures) - Une partie essentielle de la personnalité
- Un guide pour toutes relations futures !
*on révise notre modèle (capacités, interactions)
comment mesurer la sécurité de l’attachement et quels sont les 4 types d’attachement ?
- qualité de l’attachement
- la technique de mesure en labo entre 1 et 2 ans. Situation étrange (Ainsworth) (base de sécurité pour explorer , parent plus réconfortant que quelqu’un d’autre)
- la qualité de l’attachement définie surtout par les réactions lors des réunions
les 4 types
1. sécurisant
- le parent est considéré comme une base de sécurité, recherche active du contact avec lui à son retour
2. évitant
- semble indifférent au parent, se sépare sans problème de ce dernier et évite le contact lors de la réunion
3. Résistant/ambivalent
- recherche la proximité avec le parent, explore peu. Est en détresse quand quitte, puis collant + colère a la réunion.
4. Désorganisé : type qui reflète la plus grande insécurité. À la réunion Lenfant se montre souvent confus, et présente des comportements contradictoires
nomme les 4 types d’attachement
- Sécurisant : le parent est considéré comme une base de sécurité, recherche active du contact avec lui a son retour
- Évitant : semble indifférent au parent, se séparer sans problème de ce dernier, et évite le contact lors de la réunion
- Résistant : recherche la proximité avec le parent, explore peu. Est en détresse quand quitte, puis collant + colère a la réunion
- Désorganisé : type qui reflète la plus grande insécurité. À la réunion l’enfant se montre souvent confus, et présente des comportements contradictoire
explique la méthode Q-Sort
- méthode privilégiée pour les enfants de 1 à 5 ans
- se base sur l’observation a la maison, de plus de 90 comportements
- par parent ou autre observateur bien formé
- reflète bien relation, au quotidien
- mais nécessite beaucoup de temps et de permet de différencier les différents types d’attachement insécurisant
