Cours 9 (nao) Flashcards

1
Q

ou se trouve le pré-frontal

A

dans le lobe frontal duhhh

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2
Q

Le lobe frontal et les structures associées sous-tendent un ensemble de fonctions associées à quoi

A

au contrôle et à la gestion du comportement de la motivation, et de la personnalité

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3
Q

v ou f : nos valeurs sont situés dans le lobe frontal

A

v

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4
Q

le lobe frontal intègre les informations ______________ et _________ pour ensuite moduler et diriger les comportements.

A

limbiques (émotions) et sensorielles

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5
Q

Comparé aux autres régions : le cortex préfrontal (particulièrement orbitofrontal) à une plus grande quoi

A

variabilité morphologique inter-individuelle

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6
Q

variabilité morphologique inter-individuelle

A

difficile de venir identifier les gyrus, sulcus comme on fait avec le pariétal, pcq région bcp de variabilité entre les individus, logique car la région qui détermine et qui reflète notre personnalité, qui elle est vrm différente entre les individus

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7
Q

v ou f: préfrontal à une taille disproportionnée chez l’humain

A

V, Taille disproportionnée chez l’humain

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8
Q

mes notes sur cortex préfrontal / orbitofrontal variabilité morphologique:

A
  • difficile d’identifier des fonctions aux gyri et sulci parce que y’a trop de variabilité entre les personnes
    • région reflétant la personnalité alors c’est pour ca c’est différent
  • la plus grande différence cortical humains vs animaux
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9
Q

Les caractéristiques neurologiques des structures pointent vers 3 divisions principales:

A
  • Préfontal latéral
  • Préfrontal Médial
  • Préfrontal orbitofrontal
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10
Q
  • Préfontal latéral
A

contrôle cognitif/planification, il relie tt la partie externe du cerveau

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11
Q
  • Préfrontal Médial
A

contrôle émotionnel (amygdale, système limbique)  reçoit les infos et transmet. Pourquoi? bien positionnée pour être connecté à l’amygdale, le système limbique, l’hypothalamus, etc. so elle recoit les connexion et va venir les gerer

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12
Q
  • Préfrontal orbitofrontal
A

contrôle comportemental/motivationnel (NGC)

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13
Q

En plus de déficits spécifiques associés à chaque division, une lésion frontale étendue peut amener

A

des comportements d’utilisation / dépendance à l’environnement

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14
Q

c’est quoi des comportements d’utilisation / dépendance à l’environnement

A

patients utilisent ce qui est présent, même lorsque pas pertinent (p.ex.: il y a des lunettes devant eux, ils les mettent, même si pas à eux et en ont pas besoin)- agir de façon réactive à tout ce qui arrive sans se contrôler

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15
Q

(mes notes) lésion à l’aire orbitofrontale:

A

La personne ne peut plus agir d’elle-même, seulement réagir

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16
Q

Cortex Préfrontal Latéral (lPFC)

A

Région richement connectée aux régions associatives temporopariétales (ex., faisceau longitudinal supérieur).

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17
Q

Contrôle cognitif du Cortex Préfrontal Latéral (lPFC)

A

mémoire de travail, attention sélective, planification, en raison d’un rôle de ‘node central’ dans les circuits exécutifs et attentionnels dorsaux.

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18
Q

◦ Attention sélective:

A

contrôle du réseau attentionnel dorsal, sélection des stimuli pertinents ( agir comme un filtre)

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19
Q

◦ Mémoire de travail & planification:

A

contrôle du réseau exécutif dorsal, région principale activée dans des tâches de planification telles que la Tour de Londres.
◦ Effet démontré de la motivation dans la mobilisation de la fonction

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20
Q

Cortex Préfrontal Latéral (lPFC) = Région à surface du cerveau, excellente cible pour la :

A

neurostimulation non-invasive

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21
Q

Lésions au Cortex Préfrontal Latéral (lPFC)

A

déficits en mémoire de travail, planification, attention, et motivation (état aboulique)

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22
Q

état aboulique

A

état sans volonté, pas motivation, donc aucune exécution

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23
Q

Gradient fonctionnel identifiés par méta-analyse de 14,000 études

A

Gradient caudal - rostral = unimodal - transmodal

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24
Q

◦ Caudal:

A

connectivité avec réseaux dorsaux attentionnels/sensorimoteurs (mémoire à court terme : travail /attention sélective);

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25
Q

◦ Central:

A

connectivité avec réseaux de salience/contrôle exécutif (planification/flexibilité/inhibition/vigilance);

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26
Q

◦ Rostral:

A

connectivité avec réseaux mode par défaut (jugement: mémoire et émotions)

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27
Q

Gradient dorso-ventral organisé selon un principe _________ vs ______________

A

spatial (dorsal) vs non-spatial/langagier (ventral)

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28
Q

◦ Dorsal:

A

mémoire de travail, planification/flexibilité dans les tâches spatiales (comme la Tour de Londres)

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29
Q

◦ Ventral:

A

actif en inhibition, planification/flexibilité dans les actions motrices et verbales

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30
Q

Connectivité médiée par le :

A

faisceau longitudinal supérieur

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31
Q

Latéralisation du LPFC (exemples) droit vs gauche

A

Gauche: rôle dominant pour le langage et la mémoire déclarative
◦ Ex: fonctions langagières, mémoire déclarative, jugement, lecture/sémantique/compréhension de phrases
Droite: rôle dominant pour les processus de surveillance/gestion des stimuli sensoriels et du contrôle des actions-réactions  contrôle nos actions/gestes
◦ Ex: traitement somatosensoriel, inhibition, mouvements oculaires, traitement des erreurs/rétroactions

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32
Q

Cortex préfrontal médial (mPFC)
Comprend :

A

le gyrus frontal médial (cortex cingulaire antérieur) et ventromédial.

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33
Q

Cortex préfrontal médial (mPFC) Rôle de :

A

de contrôle émotionnel: traitement de l’affect, l’analyse des valeurs, formation de schémas (psychanalyse) via connections avec l’hippocampe et l’axe HPA

◦ Sélection des souvenirs pertinents (hippocampe) à la décision / analyse émotionnelle, morale.  guide comportement selon ce qui est important pour nous

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34
Q

Organisation ventrale-dorsale du contrôle émotionnel : Partie dorsale

A

inhibe les réponses HPA anticipatoires mais pas réflexives  feedback négatif permettant la gestion de l’anxiété ( ont a un contrôle)

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35
Q

Organisation ventrale-dorsale du contrôle émotionnel : Partie ventrale

A

innerve régions activant SNA  activation réponse ‘fight or flight’

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36
Q

Lésions latéralisées, gauche vs droit:

A

état de dépression (gauche) ou état de manie (lésion à droite)

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37
Q

Cortex préfrontal médial (mPFC) : lis des faits

A
  • Connectivité importante dans les régions mnésiques et émotionnelles
  • Régulation des systèmes neuromodulateurs: dépression, anxiété
  • Processus de formation de schémas (ex., catastrophization), mauvaise estime de soi, etc.: amygdale  vmPFC–> formation hippocampique et systèmes neuromodulateurs qui sont impliqués dans les maladies psychiatriques notamment
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38
Q

Lésions au vmPFC associés à :

A

déficits d’émotions sociales (empathie, embarras, culpabilité) et à un déficit réponse électrodermale face à des stimuli dérangeants émotionnellement  émoussement de l’affect (ca fait comme un syndrome psychopathique ou la personne ne réagit plus aux stimuli dérangeant et ne ressent plus embarras, etc)
* Réponse préservée pour des stimuli surprenants!

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39
Q

Lésions pendant le développement (en enfance) amènent plus de ________________ vs si la région est lésée à l’âge adulte

A

décisions égoïstes

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40
Q
  • Lésions pendant le développement (en enfance) amènent plus de décisions égoïstes vs si la région est lésée à l’âge adulte  sous-tend quoi
A

tend le développement moral ( le réflexe c’était déjà établie et aura moins de déficits)

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41
Q

lis, ya rien de par coeur dans ca

A
  • Encodage des attentes, positives et négatives (ex. activations associations ‘chocolat’( attente +) vs ‘douleur’( attente -))
  • Rôle complexe du mPFC avec l’hippocampe dans la mémoire.
     Peut établir des souvenirs de lieux, odeurs, et objets ne dépend pas du mPFC ( l’hippocampe)
     Ajouter une valence émotionnelle à la situation rend le souvenir dépendant du mPFC
  • Ex: conditions de succès/échec, émotions
  • Lorsque lésion impossible de consolider des souvenirs avec une valence + ou -
  • Perturbation amène incapacité à consolider de tels souvenirs, avec une période critique de 1-2 heures après l’événement émotionnel traumatique ou significatif émotionnel → 1-2 heures pour consolider le souvenir
  • Courbe d’apprentissage diffère de l’hippocampe
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42
Q

Cortex Orbitofrontal (OFC)

A

Connectivité avec cortex olfactifs et gustatifs, visuels, somatosensoriels, cauditifs, sous-cortical, limbique, et aire tegmentale ventrale

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43
Q

Cortex Orbitofrontal (OFC) lié a quel circuit

A

circuit de la récompense : dopamine ex : manger une poutine A vs manger B infos différentes rejoignent le OFC pr savoir si on est satisfait ou non.

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44
Q

Encode les valeurs et l’activation ___________ avec la satisfaction et ___________ avec les manques = ex : lorsqu’on manque de qq chose (besoins primaires, secondaires)

A

diminue!!!

augmente

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45
Q

V ou f: Dysfonction impliquée dans les dépendances (boucle cortico-striato-thalamo-corticale) * manque

A

v

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46
Q

Perturbation de l’OFC augmente aussi les :

A

comportements à risque ( ex : personnes dépendantes ( manque) prennent plus de risques)

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47
Q
  1. Connections avec le striatum sous-tendent les :
  2. Connections avec l’amygdale sous-tendent les :
A
  1. comportements de recherche de récompense
  2. associations émotionnelles (activité perturbée en dépendances)
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48
Q

Lésions Cortex Orbitofrontal (OFC)

A

impulsivité/pauvre jugement

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49
Q

Lésions Cortex Orbitofrontal (OFC) au singe

A

Abolit le phénomène de satisfaction : circuit de la récompense fonctionne sans arrête, singe continue de se récompenser sans jamais être assez satisfait pr arrêter / dévaluation des renforçateurs, c.-à-d.., continue à chercher récompense même quand ne fonctionne plus.
◦ Il va jms être satisfait, si on lui donne des beignes il va en manger sans cesse jusqua temps detre malade, il va binge eat asf

◦ quand on enlève l’aire orbitofrontale, le circuit de la récompense continue sans frein (ex.: manger sans cesse)

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50
Q

◦ Phineas Gage

A

difficulté dans la prise de décisions, absence d’affect, irresponsabilité, comportement social inapproprié.

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51
Q

V ou F: Cortex Orbitofrontal (OFC) Encode la valeur des renforçateurs/punitions, sociaux et émotionnels + impliqué dans la prise de décision.

A

V

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52
Q

Gradient

A

activation est gradé dans une côté spécifique (ex : activation médial relié à récompense)

53
Q

◦ Gradient médial-latéral:

A

récompense (plaisait) vs punition (déplaisant)
médial = plus c’est centré, plus c’est plaisant
latéral = l’inverse

54
Q

◦ Antéro-postérieur:

A

abstrait (argent) vs primaire (nourriture).

55
Q

Latéralisation présente mais habituellement moins marquée que le préfrontal latéral droit vs gauche:

A

◦ Droit-renforçateurs primaires: appétit, douleur, etc.
◦ Gauche-renforçateurs sociaux: honte, fierté, etc.
◦ Lésions à droite sont associés à davantage de déficits

56
Q

Étude de cas OFC Profils de deux patients qui montre ce genre de gradients là
PATIENT A

A

Patiente A: accident d’auto à 15 mois, testée à 20 ans. Lésion à gauche
◦ À 3 ans: pas de réponse aux punitions verbales et physiques
◦ À 14 ans: trouble des conduites (vols fréquents, arrestations, abus physique et verbal), absence d’amis, comportement sexuel risqué, impossibilité de conserver un emploi, absence de remords ou culpabilité, absence d’empathie/comportements maternels.

57
Q

Étude de cas OFC Profils de deux patients qui montre ce genre de gradients là
PATIENT B

A

Patient B: à 3 mois, résection d’une tumeur. Testé à 23 ans. Lésion à droite primaires (c’est étrange, nourriture surgelée, p.e)
◦ 9 ans: absence de motivation, crises de colère violentes
◦ 16 ans: activités restreintes (télévision/musique)  motivation, hygiène personnelle négligée, obésité morbide, choix alimentaires anormaux: aliments surgelées, comportement financier dangereux (dettes), menaces verbales/physiques, comportement sexuel irresponsable, absence de culpabilité/remords/empathie

58
Q

Le fonctionnement du OFC sous-tend le

A

jugement

59
Q

jugement

A

fonction cognitive associés à la capacité de prendre des décisions bien adaptées, des bonnes décisions

60
Q

jugement étudié avec quel test

A

Étudiés avec le Iowa Gambling Task aller chercher l’instinct de jugement

61
Q

Iowa Gambling Task

A

◦ Tâche étudiant la prise de décisions avec des cartes
◦ Les cartes sont dans 4 jeux (« decks »)
◦ Chaque carte pigée permet de perdre de l’argent ou gain
 bad decks en bout de ligne donnent une perte  pattern différents : petite perte/grosse perte / si on pige plus des good decks  gains nette
gens sont libres de piger les cartes comme ils veulent
◦ Probabilités de gains/pertes diffèrent par jeu de carte (les jeux C et D sont avantageux au long cours.
◦ A et B sont « haut risque »

62
Q

Iowa Gambling Task OFC : Patients lésés

A
  • Patients lésés OFC ne choisissent pas les options avec une faible récompense immédiate et des gains positifs à long terme convergent vers les bad decks, pas de sentiments de stress, sueur, etc.
63
Q

Iowa Gambling Task OFC : Patients pas de lésions

A
  • Les participants contrôles (pas de lésions) développaient un instinct ( bad feeling de piger ça convergent vers les good decks)
64
Q

Dans les lésions : On note également _______ d’activité électrodermale - l’OFC est lié à l’activation du SNA lors de l’anticipation des conséquences négatives

A

moins

65
Q

activité électrodermale

A

( quand on sue quand on est inquiet) lors des décisions à haut risque mais oui pour bruit fors ( sursaut) * Bruit fort faisais en sorte qu’ils suait parce que ca passe pas par le même chemin, la prise de decision n’active pas le chemin du stress pr les personnes avec lésions mais le bruit fort oui

66
Q
  • Conclusion Iowa Gambling Task
A

Les lésions avaient un déficit spécifique à la prise de décision ( jugement) et non juste à la peur et inquiétude, car maintient de réponse de peur/sursaut
* les participants non lésés gagnaient un instinct par rapport aux « bad decks »
* les participants lésés orbitaient plus autour des « bad decks »

67
Q

Fonctions exécutives
Définition

A

ensemble hétérogène de fonctions cognitives permettant d’adapter le comportement dirigé vers un but.

68
Q

Les fonctions exécutives sont nécessaires pour

A

réguler les comportements dans les situations cognitives, sociales, et émotionnelles  Fonctions “à haut niveau”, qui sous sous-tendues par le cortex préfrontal.

69
Q

TSA, TOC, TDAH, schizophrénie, dépendances/troubles comportementaux, dépression, associé à :

A

des faiblesses exécutives, variables.

70
Q

Fonctions exécutives - TSA

A

principalement flexibilité, abstraction (pensée concrète), jugement

71
Q

Fonctions exécutives - TOC/troubles anxieux

A

principalement flexibilité, parfois inhibition, mais la mémoire de travail peut fonctionner moins bien en raison d’interférence des pensées obsessionnelles

72
Q

Fonctions exécutives - TDAH

A

principalement inhibition et planification, flexibilité peut être augmentée.

73
Q

Fonctions exécutives - Schizophrénie

A

déficits globaux et variables (ex., abstraction, planification, flexibilité, mémoire de travail). * associé avec le plus de déficits exécutifs et ampleur ( meilleur prédicteur du fonctionnement) , performance des fonctions exécutives chez individus avec schizophrénie vont définir la gravité de leur trouble (fonctionnement avec le trouble) même avec la présence de symptômes positifs

74
Q

Fonctions exécutives - Dépendances/troubles comportementaux

A

ce sont des troubles impulsifs.

75
Q

Fonctions exécutives - Dépression

A

flexibilité et vitesse de traitement

76
Q

Tests utiles pour évaluer la fonction exécutive (frontale) – voir cours 2 * résumé de test important à savoir en général SAVOIR LES TEST

A

◦ Wisconsin Card Sorting Test: flexibilité, abstraction
◦ Trail Making Test: flexibilité
◦ Séquence de chiffres: mémoire de travail
◦ Tour de Londres: planification
◦ Stroop: inhibition

Examination « au chevet »
◦ ex: Luria alterating sequence tasks, go-no-go

77
Q

Modèle de Diamond (2013) - Synthèse des fonctions exécutives - Contrôle inhibitoire

A

capacité à contrôler son attention, comportements, pensées, et/ou émotions pour résister à une prédisposition interne (impulsion ou qqchose qui peux nous déconcentrer dans la fenêtre) ou une attirance externe.

78
Q

Inhibition attentionnelle (attention sélective):

A

résister à l’attrait d’un stimulus  contrôler système attentionnel (pariétal-préfrontal)

79
Q

◦ Inhibition cognitive:

A

résister aux pensées/souvenirs non-désirés (suppression)  activation dorsal antérieur cingulaire, dorsolatéral préfrontal, et pariétal.

80
Q

◦ Inhibition émotionnelle:

A

résister aux émotions/motivations (délai de gratification)  système ventral, vlPFC et amygdale.

81
Q

◦ Inhibition comportementale:

A

résister à donner des réponses verbales ou motrices  système frontostriatal (dorsal antérieur cingulaire et SMA, dorsal et ventral latéral PFC, etc.)

82
Q

◦ Tests Contrôle inhibitoire:

A

Stroop, délai-de-gratification, go/no-go, stop-signal  il y a de la controverse sur ce qu’exactement les tâches mesurent.

83
Q

◦ Contrôle inhibitoire mesuré tôt dans la vie est très prédictif du succès dans la vie :

A

= moins de décrochage, décisions à risque, consommation, santé (obésité -), +salaire, moins de dossiers criminels, plus heureux, et ce, contrôlant pour QI, genre, classe sociale.

84
Q

Déclin normal lors du vieillissement et Contrôle inhibitoire

A

si un de nos grands-parents semblent devenir un peu plus inappropriés (vieux mononcle cochon) contrôle inhibitoire décline de façon normale mais pas la mémoire par contre.

85
Q

Mémoire de travail:

A

capacité à retenir et manipuler l’information mentalement. Mémoire de travail = manipuler l’information à se souvenir (ex.: mettre 5 chiffres en ordre croissant)

86
Q

Dissociation (droite vs gauche) verbale et non-verbale (spatiale) - boucle phonologique et calepin visuospatial

A

Verbale = gauche et non-verbale = droite

87
Q

Distinguer mémoire de travail avec mémoire à court terme

A

Distinguer mémoire de travail ( lorsqu’on fait qq chose : ex: dire 5 chiffres en ordre croissant) avec mémoire à court terme (= simple maintien de l’information : ex: retenir 5 chiffres sans rien faire avec )

88
Q

Mémoire de travail : Capacité essentielle pour ______________ et la ______________________

A

l’apprentissage (lieu de traitement de l’information qui entre par les sens) et la résolution de problèmes (lieu de manipulation et de rassemblement des informations nécessaires)

89
Q

Endroit dans le préfrontal : MDT = vs MCT =

A

MDT = dorsolatéral préfrontal vs MCT = ventrolatéral préfrontal.

90
Q

Lien MDT et inhibition

A

il faut pouvoir inhiber les distractions pour ne pas interférer avec la MDT et il faut garder en tête notre objectif pour savoir quoi inhiber!

91
Q

Développement de la MDT:

A

se développe très tôt (empans de 1-2 dès la petite enfance)

92
Q

V ou F: La MDT se développe avant et plus rapidement de la MCT.

A

Faux, La MCT se développe avant et plus rapidement de la MDT.

93
Q

V ou F: Déclin de la performance lors du vieillissement = dû un déclin inhibitoire et non un déclin en soi de la mémoire.

A

V, déclin inhibitoire: plus de distraction, mais garde même capacité/empan

94
Q

Flexibilité Cognitive:

A

Capacité à changer de schéma attention ou conceptuel (« set-shifting ») et à ajuster sa façon d’exécuter une tâche (« task-switching »).
◦ Développement tardif (7-9 ans), jusqu’à 21-30 ans.
◦ Associé à des meilleures habiletés de lecture, plus grande résilience, plus grande créativité, et meilleure qualité de vie.

95
Q

Flexibilité Cognitive, Évaluation dans des tâches de

A

de « set-shifting » et « task-switching ».
◦ Pauvre flexibilité cognitive amène 1) davantage d’erreurs, ou 2) ralentissement accru à ces tâches.

96
Q

Intelligence fluide:

A

Définie comme la capacité à raisonner, résoudre des problèmes, et percevoir des relations qui unissent des items. Comprend le raisonnement logique déductif et inductif ◦ Considérée une fonction exécutive supérieure selon ce modèle.

97
Q

_______________ sont un test très fiable et valide d’intelligence fluide.

A

Matrices de Raven

98
Q

Corrélation élevée ou faible entre score aux Matrices de Raven et fonctionnement exécutif.

A

élevée

99
Q

Développement des fonctions exécutives

A
  • En maturant, les enfants et les jeunes font face à des environnements sociaux de plus en plus complexes et à des demandes en autonomie grandissants développement des fonctions exécutives se fait en coordination avec ces demandes.
100
Q

Développement des fonctions exécutives – Mémoire de travail

A
  • Associée au développement du DLPFC et de ses interactions avec le réseau attentionnel frontoparietal (VLPFC, sulcus intrapariétal, gyrus supramarginal).
101
Q
  • Mémoire de travail rudimentaire entre 6-9 mois: tâche A-non-B de Piaget.
A
  • Tâche A-non B : Enfant observe un objet désiré (jouet intéressant), qui est ensuite caché sous A. Le retrouve avec succès. Lorsque l’objet est caché sous B, l’enfant est parfois capable de réussir la tâche (trouver l’objet sous B), si l’enfant va le chercher rapidement (pas distrait). Sinon, l’échoue.
102
Q

La mémoire de travail est facilement dépassée par des ___________ ou l’exigence de manipulation de l’information chez les enfants, tandis que les adolescents sont plus capables d’exécuter ces tâches plus difficiles.

A

distracteurs

103
Q
  • Le développement des capacités de mémoire de travail est sous-tendu par un changement dans les _____________ de circuits cérébraux.
A

activations IRMf

104
Q

Les adultes = recrutent plusieurs régions du réseau _________ lors de l’ensemble des tâches de mémoire de travail / attention sélective (inhibition de distracteurs).

A

frontopariétal

105
Q

Les enfants = recrutent le réseau frontopariétal lors des tâches simples de mémoire de travail, mais les tâches complexes (manipulation/sélection) recrutent/fait activer les régions _______________ – mode de fonctionnement différent. ( vont changer plus de régions)

A

ventromédiales

106
Q

v ou f : ’’capacité à réfléchir avec recul chez l’adulte’’ vs enfants quand trop d’exigences va aller rapidement avec ventromédiales et moins prendre du recul donc échou

A

v

107
Q

Développement des fonctions exécutives – Régulation de soi / inhibition

A
  • Les enfants doivent souvent lutter entre des choix contradictoires: faire leurs devoirs ou jouer, …la capacité d’inhibition/contrôle de soi permet de comparer les options et inhiber les impulsions / gratification immédiate pour un choix aligné avec les valeurs et objectifs à long terme de l’enfant / famille / société.
  • Possible d’observer capacité rudimentaire dès 9 mois dans la tâche de Piaget A-pas-B: pour aller chercher l’objet dans B, il faut inhiber la réponse automatique de A.
  • Performances aux tâches de contrôle cognitif (Stroop, Go/No-Go, Stop-Signal) augmente progressivement à travers la maturation, jusqu’à atteindre la capacité adulte.
  • Enfants facilement dépassés par exigences grandissantes des tâches d’inhibition
  • Augmentation de l’activité frontostriatale (PF-latéral, ACC, et striatum) progressivement avec l’âge dans une tâche de Stroop.
  • Le pariétal termine sa maturation à l’adolescence et le préfrontal à l’âge adulte.
108
Q

Trouble déficit de l’attention/hyperactivité (au fil des années)

A
  • Descriptions de symptomatologie du TDAH au 19e siècle
  • 1900: ‘’défaut de contrôle moral chez les enfants’’ – observations d’enfants intelligents mais qui ne pouvaient pas contrôler leur comportement.
  • 1936: effet bénéfique de la benzédrine, un amphétamine, sur l’hyperactivité a été remarqué, mais usage non-popularisé  déjà traitement pr TDAH
  • Trouble non reconnu au DSM-I, mais symptômes diagnostiqués comme ‘dysfonction cérébrale minimale’.
  • 1968: DSM-II ‘’réaction hypercinétique de l’enfance’’
  • 1980: DSM-III ‘trouble déficit attention avec ou sans hyperactivité’’
  • 1994: DSM-IV: trouble déficit de l’attention/hyperactivité, avec présentations inattentives, hyperactives, ou combinées.
109
Q

Caractéristiques diagnostiques dus tdah

A

Trouble neurodéveloppemental caractérisé par un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui est en-dessous du niveau attendu pour l’âge

110
Q

◦ Inattention

A

correspond à distractibilité, manque de persévérance, du mal à soutenir son attention, et le fait d’être désorganisé qui n’est pas dû à une attitude d’opposition ni à un manque de compréhension

111
Q

V ou F: C’est pas normal d’être inattentif si on ne comprend pas.

A

F, c’est normal, Si on va dans une classe post doctoral de physique on va se sentir tda

112
Q

◦ Hyperactivité

A

correspond à activité verbo-motrice excessive (p. ex.: court partout, parle beaucoup, bouge beaucoup (“bougeotte”), ne commence pas ce qu’il finit, etc.).
◦ Différence enfant/adulte: hyperactivité motrice  verbal, ou intensité d’activité qui peut être épuisante pour les autres.

113
Q

◦ Impulsivité

A

correspond à actions précipitées, dans l’instant présent, p.ex.: réponses trop rapides, interrompre les autres, “pas de filtre”, etc.

114
Q

d’autres caractéristiques du tda

A

Perturbant le fonctionnement, dans plusieurs sphères (famille, social, scolaire, travail, en évaluation).
Débute en enfance  dans l’historique, on doit relever des symptômes avant 12 ans. ( pas avoir dx avant 12 ans mais voir des symptômes pcq souvent trouble masqué par compétence intellectuelle , donc quand les attentes du milieu excèdent les capacités de compensation qu’on peut détecter les problèmes)
Capacités de compensation (p.ex.: potentiel intellectuel élevé) peuvent masquer l’impact fonctionnel du trouble, mais il faut relever des symptômes en enfance.
Les attentes du milieu font ressortir les difficultés  détectable plus aisément à l’école (âge scolaire), car c’est là que les comportements associés sont particulièrement dérangeants.

115
Q

TDAH adulte :

A

◦ Hyperactivité davantage verbale (parler beaucoup) et interne (agitation intérieure), mais tendance à gigoter sur son siège demeure.
◦ Tendance à choisir des emplois actifs où à compenser, partiellement
◦ Difficultés à se concentrer sur les activités ennuyantes (lecture, paperasse), distrait, difficultés à gérer son temps, terminer des tâches, désorganisés par des attentes/exigences (‘tout ce que j’ai à faire’)
◦ Impulsivité peut être plus lourde de conséquences (ex., choix impulsifs, emplois, relations, conduite automobile impulsive), conséquences sociales et occupationnelles (ex. interrompre les autres, etc.)

116
Q

tdah enfant vs adulte

A
117
Q

Points saillants tda

A
  • 25-50% de rémission vt pas dire que plus de prob attentions ou hyperactifs mais progression/évolution ( pas associé à un dx (diagnostic))
  • Présentation davantage inattentive à l’âge adulte, moins impulsivité/hyperactivité et moins de combinés
  • Ratio H/F égalise à l’âge adulte
118
Q

Étiologie tda

A

Trouble causé par l’interaction de nombreux facteurs:
◦ Génétique: 0.8 d’héritabilité (forte génétique) (comparaison, la grandeur est héritable à 0.85, la schizophrénie à 0.7 et l’asthme à 0.4)
◦ 40-60% des parents avec un TDAH auront un enfant TDAH
◦ 25% des enfants avec TDAH ont au moins 1 parent avec TDAH
◦ Associé à de nombreux gènes associés à la dopamine qui se transmet
◦ Environnemental: très faible poids à la naissance (<1500g) x2-3 risque, antécédents de sévices ou carences de soins en enfance, exposition à agents tératogènes, alcool in utero, infections.

119
Q

V ou F: Le mode d’interaction familial est un facteur de risque, et influence l’évolution (e.g. trouble des conduites)

A

FAUX: Le mode d’interaction familial n’est pas un facteur de risque, mais influence l’évolution (e.g. trouble des conduites)
Associé à un tempérament élevé en recherche de nouveauté

120
Q

Comorbidités tdah

A

Fréquemment comorbide avec troubles disruptifs/impulsifs :
◦ Le trouble oppositionnel avec provocation (TOP) chez environ la moitié des enfants avec présentation combinée et le quart avec présentation inattentive (associé à un tempérament ‘difficile’/irritable)
◦ Trouble des conduites concomitant chez ¼ avec la présentation combinée.
Trouble spécifique des apprentissages est également une comorbidité fréquente (3#10 des personnes dyslexiques ont aussi un TDAH)
TSA: 14% des individus TDAH ont un TSA. ~50% des TSA ont un TDAH
Chez les adultes : troubles de la personnalité de l’axe B, troubles d’usages des substances (15% vs 5%), difficultés en emploi, infractions au code de la route.

121
Q

Diagnostique différentiel

A
122
Q

Modèle neurologique

A
  • Les symptômes du TDAH reposent sur un défaut du développement de circuits passant par le lobe frontal, caractérisé par un délai de maturation (qui va possiblement rattraper la norme  rémission).
  • Altérations (fonctionnelles et morphologiques) dans plusieurs réseaux impliqués dans le contrôle moteur, et attentionnel soutiennent profils hétérogènes.
123
Q

Modèle de connectivité fonctionnelle: Circuit Corticostriatothalamocortical (CSTC)

A

Nombreuses preuves d’anomalies structurelles (épaisseur corticale), métaboliques, fonctionnelles.
◦ Circuit dorsolatéral préfrontal CSTC: attention soutenue et planification
◦ Circuit ventrolatéral préfrontal CSTC: régulation émotionnelle
◦ Circuit cingulaire antérieur CSTC: attention sélective
◦ Circuit moteur CSTC (cortex moteur primaire, aire motrice supplémentaire, aire prémotrice): hyperactivité (moins d’activation  plus d’hyperactivité).
◦ Circuit orbitofrontal CSTC: impulsivité

Différences dans les systèmes de neurotransmetteurs: systèmes cathécolaminergiques (dopamine, noradrénaline)
◦ retard de la maturation des systèmes dopaminergique chez les enfants et adolescents TDAH
◦ niveaux de dopamine et de molécules transporteuses plus basses dans régions du circuit CSTC du cerveau d’adultes TDAH.

124
Q

Traitements pharmacologiques

A

L’utilisation de psychostimulants demeure le traitement de choix pour le TDA/H (toutes sévérités)
◦ Inhibent la recapture présynaptique de NE et DA ( dopamine et norépinephrine  moins dans la fente synaptique)
◦ Options non-psychostimulants mais aussi action sur NE et DA ( antidépresseur,p.e)

125
Q

Utilisation à long terme associé à :

A

un meilleur pronostic, social, des apprentissages, et développemental.
◦ Cependant que le médicament soit bien dosé (effets secondaires)
◦ Effets secondaires sur l’appétit, insomnie, maux de ventre, maux de tête, irritabilité, diminuent avec le temps.

À long terme  psychostimulants augmentent el flux sanguin aux circuits, normalisent la composition moléculaire des réseaux, et favorisent la normalisation du fonctionnement
Réduisent le risque d’abus de substances, car normalisent l’activité du circuit orbitofrontal OFC, car si manque de jus, - cap de contrôler nos envies, satisfactions.

126
Q

pire conséquence c’est quoi

A

◦ Suppression de la croissance, perte de jusqu’à 1 pouce, on sait pas pourquoi

127
Q

Traitements non-pharmacologique

A

essentiel adjuvant au traitement pharmaco exercice physique, accommodements
◦ Le traitement non-pharmacologique peut être suffisant pour un TDAH léger.
◦ Le traitement non-pharmacologique seul est insuffisant pour le TDAH modéré ou sévère
◦ Le traitement non-pharmacologique devrait être combiné au traitement pharmacologique car traitement pharmacologique seul le permet pas toujours d’obtenir une réponse thérapeutique suffisante

128
Q

L’effet de L’exercice physique aérobique régulier

A

augmente l’excitabilité des circuits CTSC ( car délais de développement) et réduit l’hyperactivité, et augmente le flux sanguin au cerveau, améliorant l’attention.
◦ Potentialise davantage l’effet de la médication ( pas effet additif mais potentiel)

129
Q

Les accommodements sociaux et scolaires servent à pallier les difficultés du trouble, exemples:

A

◦ Prendre des courtes pauses lors des tâches pour recharger ses capacités attentionnelles
◦ Placement avantageux pour pallier la distractibilité (en avant de la classer).
◦ Bouger lors des leçons/tâches nécessitant la concentration  élastique en dessous table pr bouger leur jambe
◦ Conditions d’examen favorables à la concentration (local à part)