Développement de l’écrit Comissaire Flashcards

(72 cards)

1
Q

Quels sont les deux dimensions que l’on distingue dans la lecture ?

A

L’identification et la reconnaissance des mots

La compréhension des mots

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Q

Qu’est-ce que l’identification et la reconnaissance des mots ?

A

Reconnaître le mot.
Accéder au son du mot.

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3
Q

Qu’est-ce que la compréhension des mots ?

A

Nécessite d’avoir reconnu le mot. Fait appel à d’autres choses.

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4
Q

Que peut-on dire sur les processus d’identification et de compréhension des mots ?

A

Ce sont deux processus différents.
Les difficultés de compréhension peuvent être dû à des difficultés de reconnaissance.
Ils peuvent être lié, mais ils impliquent des mécanismes langagiers spécifiques et des mécanismes cognitifs plus généraux.

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5
Q

En quoi consiste l’identification et la reconnaissance visuelle de mots ?

A

Associer des symboles orthographiques avec des sons.
Connaître les sons.
On met en relation les lettres, mais aussi des plus petites unités orthographiques comme les graphèmes.

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6
Q

Explication de ce qu’est un phonème et un graphème.

A

Phonème : unité minimale de son
Graphème : unité minimale de son mais à l’écrit.

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7
Q

En quoi les phonèmes sont-ils utiles dans l’identification et la reconnaissance visuelle de mots ?

A

Il nous permettent de différencier deux mots.

Ex : porte et poste. Le phonème permet de différencier les deux mots.

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8
Q

Quel est le point important dont il faut tenir compte aussi pour l’identification et la reconnaissance visuelle de mots ?

A

Les lettres qu’on lit ne correspondent pas forcément au son donc il va falloir connaître des unités qui sont plus grandes que juste les lettres.

Exemple : chaud - on a 5 lettres, mais seulement 2 phonèmes.

Donc on traite les lettres mais aussi des unités beaucoup plus large.

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9
Q

Qu’est-ce que la psychologie cognitive linguistique etudie ?

A

Psychologie qui s’intéresse à la manière dont on lit et reconnaît les mots.

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10
Q

À quoi fait-on attention en neurosciences lorsque l’on veut comprendre les bases cérébrales de la lecture ?

A

On s’intéresse au temps de lecture, aux latences, aux productions orales, aux erreurs.

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11
Q

Comment peut-on définir la lecture chez le lecteur expert ?

A

Précise.
Automatique.
Rapide.
Efficace.

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12
Q

Que veut-on dire quand on parle d’une lecture qui est précise chez le lecteur expert ?

A

Idée que les lettres sont proches les unes des autres et pourtant on ne fait pas d’erreur quand on lit. Exemple : O et Q. Seul un petit échange et pourtant on a pas de difficulté à faire la distinction.

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13
Q

Que veut-on dire quand on parle d’une lecture automatique chez le lecteur expert ?

A

L’effet Stroop nous montre que cette lecture est automatique.

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14
Q

Que veut-on dire quand on parle d’une lecture rapide chez le lecteur expert ?

A

Quelques millisecondes suffisent à lire des amorce, de manière non consciente, et ça aura un impact sur le traitement d’information.

On voit également une différence de potentiel évoquées des 200 ms quand on compare des mots fréquents versus des mots non fréquents

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15
Q

Que veut-on dire quand on parle d’une lecture efficace chez le lecteur expert ?

A

On peut tolérer des modifications visuelles. Même si on change la police, l’écriture, on arrive à comprendre. Avec 26 lettres, on peut lire tous les mots de la langue.

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16
Q

Qu’est-ce que l’effet de fréquence lexicale ?

A

C’est ce qui se passe au niveau des corrélats cérébraux quand on lit un mot fréquent versus un mot non fréquent.
Des 200 ms, on observe une sensibilité à la fréquence des mots.

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17
Q

Comment fait-on pour être précis dans sa lecture et différencier des lettres ou mots qui se ressemblent ?

A

On utilise des voisins orthographiques ou voisins orthographique de substitution.

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18
Q

Définition des voisins orthographiques.

A

Mots qui se ressemblent au niveau de l’orthographe.

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19
Q

Définition des voisins, orthographique de substitution.

A

Mots qui se ressemblent, et quand on change une lettre ça modifie le mot.

Exemple : poudre et poutre ou poste et porte.

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20
Q

Quand on lit, qu’est-ce que font nos yeux ?

A

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, l’œil ne fait pas un mouvement continu. Il saute et il fait des saccades.

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21
Q

Pourquoi est-ce que notre œil fait des saccades lorsque l’on lit ?

A

On fait des saccades, parce que notre acuité visuelle maximale se trouve au centre de la fovéa.

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22
Q

Description de la zone fovéale.

A

Zone au centre de la fovéa.
Partie ou l’acuité visuelle est la meilleure.

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23
Q

Description de la zone para fovéale

A

Zone autour de la fovéa.
Les infos extraites sont moins nettes.
Quand on lit des phrases, c’est ce qui nous permet de lire plus vite.

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24
Q

Les saccades de progression, c’est quoi ?

A

Saccades que l’on fait quand on avance dans le texte. On extrait l’info et on avance.
Chez l’adulte, les saccades sont entre 7 et 9 lettres.

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25
Les saccades de régression, c’est quoi ?
Saccades que l’on fait quand on a besoin de revenir en arrière, parce que ce n’est pas clair ou que l’oeil n’est pas arrivé au bon endroit du mot. Plus les mots sont courts, moins ils sont fixés. Les mots fonction sont parfois raté (qui servent à la fonction de la phrase) car on a l’habitude de les voir et on les fixe moins car ils n’ont pas de contenu.
26
Que nous montre l’étude de Kiss Reiner où il compare les mouvements oculomoteur entre des adultes et des enfants de 10 ans ?
Le nombre de caractères est plus faible chez les enfants. La durée de fixation est plus long car ils ont besoin de + de temps pour lire les mots. Ils font plus de régression. Il saute moins les mots longs et les mots courts que les adultes. Il Rouffix davantage les mots longs.
27
Comment expliquer une différence de mouvement oculomoteur chez les adultes et les enfants de 10 ans ?
Peut s’expliquer par le fait qu’ils sont encore en train d’apprendre ainsi que par des facteurs maturationnel (motricité fine).
28
Comment peut-on savoir si l’évolution des mouvements oculomoteur que l’on observe avec l’âge est dû à l’apprentissage ou à la maturation ?
Kolinski propose de se pencher sur des adultes illettrés pour étudier ça. Ou alors sur des enfants qui ont tous le même âge mais qui ont des différences en termes de lecture pour voir dans quelle mesure les mouvements oculomoteur diffèrent
29
Qu’est-ce que l’OVP ?
Optimal viewing position. Idée que l’œil ne saute pas aléatoirement. La position du regard dans le mot n’est pas aléatoire. Il y a une certaine régularité en terme de position du regard.
30
Quel a été le processus en place par Kevin Origane pour montrer la position du regard dans le mot ?
On maintient l’œil au centre d’un point de fixation. La personne fixe le centre et on déplace le mot par rapport à ce centre à gauche et à droite.
31
Comment est-ce que l’on cote la position du regard dans la procédure de Kevin Oregan ?
Le centre correspond au 0. En abscisse, on nous dit ou le mois a été positionné par rapport au centre. En ordonnée, la probabilité d’identification correcte. Plus la courbe haute, puis on a présenté le mot longtemps.
32
Quels sont les résultats de l’étude de Kevin Origane sur la position du regard dans le mot ?
Quelque soit la durée de présentation, on reconnaît mieux le mot quand il est présenté là où on regarde. Quand on lit de gauche à droite, il y a léger avantage à gauche du mot . Quand on lit de droite à gauche, il y a un léger avantage à droite. Préférence pour l’œil à gauche. Zone fovéale plutôt focalisée à gauche et zone para fovéale plutôt focalisée à droite.
33
Quel est l’hypothèse que l’on fait pour expliquer la préférence de l’œil à gauche ?
Il y aurait peut-être plus d’informations à gauche du mot pour le reconnaître.
34
Comment tester l’hypothèse selon laquelle il y aurait plus d’informations à gauche pour reconnaître le mot ?
On pourrait prendre un mot et cacher soit son début, soit sa fin pour voir si on arrive mieux à le reconnaître d’un côté ou d’un autre. Exemple : coccinelle « cocci »
35
Pourquoi est-ce qu’il y aurait une facilité à extraire des informations para fovéale à droite du mot ?
Le langage est plutôt traité à gauche. Peut s’expliquer par la spécialisation hémisphérique. Peut s’expliquer par le phénomène d’asymétrie ou là il y a besoin d’être à gauche extrême mieux ce qui est à droite. Peut être lié au sens de la lecture (de gauche à droite). PS : si c’est lié à la spécialisation hémisphérique, on devrait avoir le même type de résultats avec les gens qui lisent de droite à gauche.
36
À quoi correspond l’empan ?
Taille de la fenêtre d’extraction. Idée que quand on atterrit dans un mot, on extrait des informations autour de là où l’œil fixe. Cette fenêtre pourrait être plus ou moins grande en fonction de différentes caractéristiques et des individus.
37
Définition de l’empan visuo attentionnel.
Nombre de lettres qui peuvent être extraire simultanément en une fixation.
38
Comment mesurer l’empan visuel en lecture de mots ?
On présente des lettres de Paris et d’autres d’un point de fixation. On regarde le pourcentage de reconnaissance de lettres et on peut en déduire la taille d’empan.
39
Procédure de Sylviane Valdois pour mesurer l’empan visuo attentionnel.
Un mot est présenté au centre. Des lettres sont présentes autour. On regarde combien de lettres, la personne peut identifier en une fixation oculaire.
40
Quel est l’hypothèse de Sylviane Valdoie, à propos de la dyslexie ?
Les enfants dyslexiques auraient un empan trop étroit qui ne leur permettent pas de lire les mots irréguliers (monsieur, femme, oignon). Il leur faudrait un empan plus grand pour pouvoir les lire.
41
Grâce à quel paradigme, étudie-t-on l’empan perceptif en lecture de phrase ?
Grâce aux paradigme de la fenêtre mobile.
42
En quoi consiste le paradigme de la fenêtre mobile ?
On a un encadrement imaginaire qui va être créé artificiellement autour du fond de fixation. Les lettres sont visibles de pas et d’autres. Au-delà du centre auront les éléments invisibles. S’informe un carré imaginaire. Dès que la personne effectue une saccade, on va rendre invisible là où l’œil était avant et rend visible d’autres parties. On modifie la taille de la fenêtre.
43
Comment savoir qu’on a l’empan perceptif d’une personne ?
Au moment où la personne lit aussi rapidement avec la fenêtre que sans la fenêtre, on a son empan perceptif.
44
Comment on peut être défini l’empan perceptif en lecture de phrase ?
Empan optimal. Tout ce qui peut être extrait comme lettre de part, et d’autres d’un point de fixation quand on lit.
45
Qu’est-ce que l’empan perceptif en lecture de phrase nous montre/nous donne comme information ?
Montre qu’on extrait des informations en para fovéale et qu’on s’appuie sur celles-ci pour lire et améliorer notre vitesse de lecture. Plus le texte est complexe moins traite en para fovéale parce qu’on a besoin de fixer.
46
Explication de l’étude de Gordon.
Il a comparé différents groupes d’âge sur l’empan visuel. Enfants de CE2, CM2, 5ème et adulte. L’empan en visuel augmente avec l’âge et le niveau de lecture. Ils ont voulu voir si la taille de l’empan visuel était en lien avec la vitesse de lecture. Ils ont présenté une phrase et les gens devaient la lire la plus vite possible.
47
Quels sont les résultats de l’étude de Gordon ?
Plus l’empan visuel augmente, plus la vitesse de lecture augmente. La vitesse de lecture est à 50 % liée à la taille de l’empan visuel.
48
Quelles sont les critiques que l’on peut faire sur l’étude de Gordon ?
Ça vitesse de lecture peut aussi être sensible à la fréquence des mots (on lit plus souvent table que ecchymose), et forcément avec l’âge, il y a une fréquence subjective des mots qui est plus grande. Donc cette plus grosse vitesse de lecture peut être lié à une fréquence subjective plus élevée, et n’a peut-être rien à voir avec la taille de l’empan.
49
Quand on dit des mots, quels sont les informations qui s’activent automatiquement dans notre cerveau ?
Informations sémantique Catégorie grammaticale Genre grammatical Morphologie
50
Les informations sémantique, c’est quoi ?
Concerne le sens. Quand on lit le motion, cela active des concepts liés comme tigre mais aussi des associations, plus libre, comme roi, savane ou même céréales.
51
Les catégories grammaticales, c’est quoi ?
Quand on lit un mot, on accède à la nature de ce mot (nom, verbe, adjectif).
52
Le genre grammatical c’est quoi ?
Quand on lit un mot, par exemple en français, le genre, masculin, féminin ou neutre est activé.
53
Qu’est-ce que la morphologie ?
Quand on lit un mot comme lionceau, leur morphine segmenter sont automatiquement activé : lion + ceau. Cela active des représentations morphologiques et sémantique. Petit lion et morphologie dérivationnelle.
54
Qu’est-ce qu’un homophone ?
Mots qui ont la même prononciation, mais un orthographe est un sens différent. Exemple : Lyon et lion, phare et fare.
55
Que signifie le terme sublexical/infralexical ?
Cela désigne tout ce qui est plus petit que le mot comme les lettres par exemple. La lecture du mot lion active son sens et sa prononciation, mais aussi les représentations sub lexicales de ses lettres.
56
Qu’est-ce qu’une représentation lexicale ?
C’est l’idée que pour reconnaître un mot comme lion, on doit accéder à la forme du mot stocké dans notre mémoire mentale.
57
Quelle est la différence entre la représentation lexicale et la représentation phonologique ?
La représentation lexical et la forme du mot stockée dans notre mémoire mentale. La représentation phonologique et la forme sonore du mot qui est activé lors de la lecture à voix haute.
58
Quand on active une représentation lexicale d’un mot, qu’est-ce qui peut se passer ?
Cela peut parfois entraîner l’activation d’homophone.
59
Que stipule le modèle de lecture de double voix ?
Il postule l’existence de deux voies principales pour la lecture.
60
Selon le modèle de la lecture de double voix, quels sont les deux voies pour la lecture ?
La voix directe ou lexicale. La voix indirecte ou phonologique.
61
Explication de la voix directe ou lexical.
Voie de la lecture experte. Active les infos sur les traits des lettres pour reconnaître le mot entier en accédant à sa représentation stockée dans notre lexique mental. Peut lire aussi bien les mots réguliers que irréguliers. Les mots connus ont un seuil de reconnaissance bas dans notre lexique, ce qui facilite un accès rapide.
62
Comment est-ce qu’on teste la voix directe ou lexical ?
On compare les temps de lecture des mots réelles par rapport à des pseudos mots. Si la lecture des mots réel est plus rapide, cela indique qu’un accès direct à leur représentation lexical.
63
Les pseudo mots c’est quoi ?
Ce sont des mots qui n’existent pas, mais qui respectent les règles orthographiques de la langue.
64
Les mots réguliers irréguliers, c’est quoi ?
Régulier : la prononciation suit les règles graphèmes, phonème comme tomates. Irrégulier : la prononciation ne fuit pas les règles Gramp, phonème comme femme ou monsieur.
65
Quelle est la voix que l’on utilise le plus quand on lit ?
Au cours de l’apprentissage de la lecture, la voie indirecte est souvent privilégié chez l’apprenti lecteur avant que la voie directe ne se développe avec l’expérience et la familiarisation avec les mots.
66
Qu’est-ce que la voie indirecte ou phonologique ?
C’est une voix plus lente qu’on utilise quand on a besoin de faire un traitement du mot de gauche à droite. On assemble la prononciation à partir de chaque correspondance, graphème phoneme. C’est comme ça qu’on lit quand on lit un mot qu’on ne connaît pas et que l’on décode progressivement. On peut aussi utiliser cette voix pour lire des mots réguliers, surtout quand ils ne sont pas familier.
67
Rôle du lobe occipital.
Traitement visuel initial du mot écrit.
68
Rôle des lobes temporaux.
Traitement visuo orthographique et traitement phonologique.
69
Rôle de l’aire frontal.
Impliqué dans la prononciation et l’articulation (même silencieuse).
70
Rôle du lobe temporal
Traitement sémantique (sens des mots).
71
Rôle du lobe pariétal
Impliqué dans l’attention nécessaire à la lecture.
72
Quel est le rôle de l’air visuel de la forme du mot (VWFA)
Rôle crucial dans la reconnaissance des mots écrits