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Semestre 6 > Développement du langage écrit BESSE > Flashcards

Développement du langage écrit BESSE Flashcards

(67 cards)

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1
Q

Qu’est-ce que la morphologie ?

A

Branche qui étudie la structure interne des mots et leur formation à partir d’unité minimale de sens appelé morphème

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Q

Qu’est-ce qu’un morphèmes ?

A

Plus petite unité linguistique porteuse de sens. Exemple : bonjour, donne-moi des exemples de morphèmes.

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3
Q

Donne des exemples de préfixe

A

Pré
In
Re

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4
Q

Donne des exemples de suffixe.

A

Ment
Able
Iser

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Q

Quels sont les deux grandes catégories de morphèmes ?

A

Les morphèmes lexicaux et les morphèmes grammaticaux.

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6
Q

Que contient les morphine lexicaux ?

A

Les mots simples et les mots radicaux.

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7
Q

Les mots simple c’est quoi ?

A

Ils sont composés d’un seul morphine lexical. Ils ont un sens propre et ne peuvent pas être découpés en plus petite unité. Exemple : maison, petit bord ou jardin

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8
Q

Les mots radicaux c’est quoi ?

A

Ils servent à former d’autres mots. Il constitue une base à laquelle on peut ajouter d’autres morphine pour créer de nouveaux mots. Exemple : enfants dans enfantin, terre dans terrestre…

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9
Q

Les morphine grammaticaux, c’est quoi ?

A

Ils n’ont pas de sens, mais servent à organiser la phrase et à donner des informations.

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10
Q

Quels sont les deux types de morphine grammaticaux ?

A

Les mots grammaticaux et les affixes.

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11
Q

Les mots grammaticaux c’est quoi ?

A

Prédisposition : de en
Article : le un
Pronom : je moi

Ils assurent la cohésion et la syntaxe de la phrase en reliant les mots.

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12
Q

Les affixes, c’est quoi ?

A

Ce sont les éléments qui se greffe avant (préfixe) ou après (affixes) un radical. Il ne peuvent pas exister seul.

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13
Q

Quels sont les deux types d’affixes

A

Les affixes flexionnels et les affixes dérivationnels.

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14
Q

Les affixes flexionnel, c’est quoi ?

A

Ils indiquent des variations comme le genre, le nombre, le temps ou la personne. Il modifie la forme d’un mot pour l’accorder dans la phrase.

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15
Q

Les affixes dérivationel, c’est quoi ?

A

Il permet de créer de nouveaux mots avec un sens parfois différent de la base.

In dans inutile
Jardin dans jardinage
Able dans buvable

Les préfixes et suffixes dérivationnels peuvent aussi changer la catégorie grammaticale du mot : boire qui est un verbe devient buvable qui est un adjectif.

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16
Q

Que peut-on dire à propos de l’accolement d’un radical et d’affixe ?

A

Cela donne naissance à des mots complexes ou construit.

Affixe dérivationnel : jardinage, maisonnette, abordable.

Affixe flexionnel : buvons, petite, petits.

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17
Q

Quelles sont les trois types de morphologie que l’on distingue ?

A

La morphologie flexionnelle
La morphologie dérivationelle
La morphologie compositionelle

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18
Q

C’est quoi la morphologie flexionnelle?

A

Règle qui permettent de modifier la forme d’un mot pour indiquer des informations comme le genre le nombre, la personne ou le temps, sans créer un mot nouveau avec un sens différent. On adapte juste la forme du mot pour qu’il s’accorde avec le reste de la phrase.

Exemple : «chat» - chatte, chats
Exemple : je mange, tu manges, il mange
Le temps : je mange, j’ai mangé, je mangerai

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19
Q

Qu’est-ce que la morphologie dérivationnelle ?

A

C’est l’ensemble des règles qui permettent de former un nouveau mot en ajoutant des suffixes ou des préfixes à un mot de base. Le sens du nouveau mot il est au sens du mot de base mais est différent.

Exemple : refaire à partir de faire ou injuste, à partir de juste.
Exemple : jardinier, à partir de jardin, rapidement à partir de rapide ou enfantin à partir de enfants

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20
Q

Qu’est-ce que la morphologie compositionnelle ?

A

C’est la création de nouveaux mots par la combinaison de deux ou plusieurs mots existants.

Exemple : porte + monnaie = porte monnaie
Exemple : pomme + de + terre = pommes de terre
Exemple : week + end = week-end

Ce sont des mots indépendants qui, une fois combiné, forment un seul mot avec sa propre signification.

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21
Q

Qu’est-ce que l’on retrouve dans la morphologie compositionnelles ?

A

Des compositions savantes et des compositions populaires

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22
Q

Les compositions savantes, c’est quoi ?

A

On prend des mots, grecs ou latin, et on les assemble pour faire un nouveau mot. Exemple : bio + logie = biologie

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23
Q

Qu’est-ce que la racine du mot ?

A

C’est son origine étymologique

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24
Q

Qu’est-ce que le radical d’un mot ?

A

La partie du mot qui porte le sens, lexical principal, une fois que les aphtes se sont retirés. Exemple : bord est le radical de abordable.

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25
Qu’est-ce que la base d’un mot ?
Le mot sur lequel un nouveau mot est construit. Exemple : maison et la base de maisonnette.
26
Pourquoi est-ce que l’étude de la morphologie dérivation Nelle est un domaine de recherche important ?
Elle est à l’origine d’une grande partie du vocabulaire français. Elle modifie le lexique et le sens. Elle est complexe. De la transparence orthographique et sémantique
27
Qu’est-ce que la transparence orthographique et sémantique dans la morphologie dérivation Nelle ?
Dépend de la clarté entre la forme et le sens du mot de base et du mot dérivé. Exemple transparent : dent - dentiste. Exemple opaque : œil - oculaire.
28
Les transformations formelle c’est quoi ?
Modification de l’orthographe ou de la prononciation quand on ajoute un suffixe. Exemple : grand + ir = grandir Exemple : beau + té = beauté
29
Dans la morphologie, dérivation, Nelle, c’est quoi les transformations sémantique ?
C’est un changement de signification du mot qui se produit quand on ajoute un affixe. Exemple : faire = défaire Exemple : ami = inimitié
30
En bref, quelle est la différence entre les transformations formelle et sémantique ?
Formelle : les lettres et les sons changent. Sémantique : le sens du mot devient différent.
31
Pourquoi l’amorçage est-il utilisé ?
C’est utilisé pour étudier les processus mentaux impliqués dans la lecture.
32
Quelle est l’idée principale de l’amorçage ?
La présentation d’un premier stimulus qui est l’amorce, va influencer le traitement d’un second stimulus qui lui est la cible.
33
Quel est le postulat dans la technique d’amorçage ?
Le traitement de l’amorce actif des représentations, en mémoire, ce qui facilite ou in le traitement de la cible si elle est liée à l’amorce.
34
Par quoi se manifeste un effet d’amorçage facilitateur ?
Ça se manifeste par des réponses plus rapide et plus précises quand l’amorce est lié à la cible, comparé à une condition neutre.
35
Par quoi se manifeste un amorçage inhibiteur ?
Cela se traduit par des performances moins bonnes
36
Quelles sont les différentes amorce utilisées ?
Amorçage orthographique. Amorçage phonologique. Amorçage sémantique. Amorçage neutre.
37
En quoi consiste l’amorçage orthographique
On présente un mot qui partage des lettres avec la cible. Exemple chantilly pour la cible chant.
38
Qu’est-ce que l’amorçage phonologique ?
On présente un mot qui est un dérivé de la cible qui partage le même radical. Exemple chanteur pour chant.
39
40
Qu’est-ce qu’un amorçage neutre ?
L’amorce n’a pas de lien apparent avec la cible. Exemple : mission pour chant.
41
Qu’est-ce que l’on mesure dans un paradigme d’amorçage ?
On mesure le temps de réaction (rapidité) ou l’exactitude des réponses des participants.
42
Quels sont les amorce que l’on utilise pour isoler l’effet de la morphologie ?
L’amorce pseudo morphologique L’amorce morpho opaque L’amorce morpho transparente
43
Description du modèle de construction intégration.
Comprendre, c’est construire le sens du texte. Le lecteur a un rôle actif et met en place des processus itératif (cycle de traitement pour comprendre). C’est un processus dynamique et continu avec trois niveaux de représentation pour comprendre et mémoriser un texte.
44
Quelles sont les trois niveaux de représentation selon le modèle de construction intégration ?
Structure de surface du texte (niveau le plus bas) Base de texte Modèle de situation
45
Dans le modèle de construction intégration, qu’est-ce que la structure de surface de texte ?
C’est l’analyse des mots de leur syntaxe, de leur ordre et de leur association. On traite le sens des mots et le lien immédiat mais sans élaborer le sens global de la phrase.
46
Dans le modèle de construction intégration, à quoi correspond la base de texte ?
On retient le sens général du texte et les propositions qui sont faites ainsi que leurs relations. Cette proposition est une idée exprimée par une séquence de mots organisés autour d’un prédicat et des éléments qui sont liés qui sont les arguments.
47
Quelles sont les deux niveaux au sein de la base de texte ?
La micro structure et la macro structure.
48
La micro structure, c’est quoi ?
Le sens des propositions individuelles et de leur relation directe. On fait un traitement phrase par phrase. Exemple : le renard regarde la poule - qui regarde quoi ?
49
La macro structure, c’est quoi ?
Interprétation synthétique des propositions. L’objectif est de dégager la structure thématique générale du texte et permet de faire des prédictions sur la suite du texte. Exemple : le voyage est une thématique générale.
50
Selon le modèle de construction intégration, à quoi correspond le modèle de situation ?
C’est une représentation cognitive de l’essentiel du texte. Se base sur l’expérience sensible du lecteur, c’est-à-dire ce qui résonne en nous et ce qu’on mémorise.
51
Dans le modèle de construction intégration, quelles sont les deux processus fondamentaux .
La phase de construction et la phase d’intégration
52
Que peut-on dire à propos de la phase de construction ?
Elle se déroule en quatre étapes et les traitements sont des dumb processes, c’est-à-dire des processus ascendant, automatique et aveugle, sans évaluation immédiate de la cohérence.
53
Quels sont les quatre étapes dans la phase de construction ?
Extraction des concepts Formation d’un réseau positionnel Activation et liaison avec les connaissances du lecteur Activation d’interférence
54
Qu’est-ce que l’amorçage sémantique ?
L’amorce est liée au sens de la cible. Exemple : comptine pour chant.
55
56
Quels sont les deux grands types d’interférence ?
Les interférences de connexion et les interférences de remplissage.
57
En quoi consiste l’expression des concepts ?
Identification de chaque proposition et construction d’une représentation pour chacune.
58
En quoi consiste la formation d’un réseau positionnel ?
Établissement de connexion excitatrice ou de différentes natures (causalité, subordination, directe, indirecte) entre les propositions.
59
En quoi consiste l’activation et la liaison avec les connaissances du lecteur ?
Récupération en mémoire à long terme du réseau, de connaissances du lecteur, activé par les propositions du texte.
60
En quoi consiste l’activation d’inférence ?
Génération d’information, non explicitement, exprimé dans le texte, mais nécessaire à la cohérence de la représentation.
61
Les inférences de connexion, c’est quoi ?
Établissement de lien entre différentes propositions du texte pour assurer la cohérence locale.
62
Les inférences de remplissage, c’est quoi ?
Utilisation des connaissances générales qu’on a sur le monde pour combler les informations manquantes dans le texte et enrichir notre compréhension.
63
À quoi sert la phase d’intégration ?
A. Pour objectif d’assurer la cohérence des informations conservées dans le modèle de situation. Finale.
64
Comment peut-on décrire la phase d’intégration ?
Processus itératif de diffusion de l’activation : renforcement ou atténuation. Mécanisme de satisfaction des contraintes : les informations cohérents sont maintenus tandis que les connexions incohérente, disparaissent. Mécanismes protectionniste : Les propositions qui ont peu de liens avec les autres sont atténuer tandis que celles qui ont de nombreux liens sont renforcées Fermer d’aboutir à un modèle de situation, finale qui peut être mise à jour au fur et à mesure de la lecture.
65
Qu’est-ce que la compréhension ?
Comprendre un énoncé. C’est élaboré la signification d’un ensemble d’informations. On reconstruit activement le sens et on interprète.
66
Qu’est-ce qu’une phrase ?
Unité maximale de structure ou combinatoire syntaxique. Énoncer syntaxique, ment, indépendant et complet du point de vue du sens.
67
Qu’est-ce que la démarcation prosodique et typographique ?
 l’accentuation et la ponctuation marque le début et la fin de la phrase.

Semestre 6 (10 decks)

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