identité cours 8 Flashcards

1
Q

définition réseau social en sciences humaines et sociales

A

Réfère à un agencement de liens entre des individus et/ou des organisations, constituant un groupement qui a un sens (ex : la famille, les collègues de travail, un groupe d’amis, un groupe communautaire, une équipe sportive, etc.).

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2
Q

définition réseau social dans les médias sociaux numériques

A

Réfère aux différentes activités qui intègrent technologie, interaction sociale entre individus ou groupes d’individus, et à la création de contenu.

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3
Q

quel est le nbr maximal de personne que qqn connaît selon Dunbar

A

150

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4
Q

le Nombre de Dunbar : règle de 150 n’inclu pas quelles personnes?

A

Ce nombre n’inclut pas les personnes que quelqu’un connaît personnellement mais avec qui la relation sociale est rompue, ni les vagues connaissances sans relation sociale persistante.

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5
Q

quelle est la corrélation positive observer dans l’étude de nbr de Dunbar qu’il a observé

A

Corrélation positive entre la taille du néocortex et la taille du réseau social

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6
Q

quelles sont les 3 caractéristiques pour qu’une personne soit considérer comme faisant partie d’un réseau

A
  • Faut que ce soit des personnes qu’on reconnait ex: si on entend parler de la personne ou la voit on sait c’est qui, on sait de qui il sagi
  • Faut être capable d’interpréter les réactions de cette personnes dans le sens d’anticiper aussi. On sait à quoi s’attendre de cette personne. Ex: je sais que si je lui parle de qqch elle va s’énerver
  • Faut qu’on est une relation stable avec elle. Veut pas dire à tout les jours ou semaines, mais faut qu’il est une certaine régularité. Ex: si je la voit une fois par année c’est correcte. Qql avec qui je peux encore avoir de la communication peut importe la façon
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7
Q

quelles sont les 2 hypothèses émise de pk le nombre est de 150 personnes

A
  • Possible que ce soit le cortex qui ai influencé le développement social. On a cognitivement la capacité de pouvoir décrire, interpréter, reconnaitre… 150 personnes peut pas en faire plus alors pour ça on arrive a 150 quand notre cerveau s’est dév au max
  • Étant donné on a tendance à avoir 150 personne dans notre entourage ça aurait amener le cerveau à se dév juste assez pour interpréter le comportements de ce nbr de personne seria antes nuestros ancestros que podian solo interpréter 150 personnes, enconces ahora eso es lo maximo que podemos hacer
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8
Q

quelle est la limite du nbr de Dunbar

A

Ce chiffre est très remis en question parce que parfois c’est moins et parfois c’est plus, aussi il a pas évalué directement les humains. Aujourd’hui ce qui est suggérer c’est de ne pas se limiter à ces deux variables

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9
Q

quelle est l’autre variables qui influencerait le nbr de personne de notre réseau

A

Aurait une autre variable qui influence le nbr l’environnement. Certains environnement on est obligé de vivre en grand groupe et autre environnement en petit groupe.
Alors cortex, social et environnement qui s’influence. Pas tout le monde va avoir 150

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10
Q

définition de l’effet du petit monde : théorie des six poignées de main

A

Théorie de Karinthy (1929) selon laquelle la longueur de la chaîne des connaissances sociales requise pour lier une personne arbitrairement choisie à n’importe quelle autre personne sur Terre comporte six liens.

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11
Q

conclusion de Karinthy pour son étude des 6 liens et est-ce que ça a confirmé sa théorie

A

Slm 3 lettre qui se sont rendu à destinations avec 6-7 liens:3 lettres sur 60 lettres qui se sont rendu à destinations. Alors pas bien confirmer la théorie des 6 liens

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12
Q

quelle est la conclusion de l’effet du petit monde, mais dans des communauté précise

A

quand c’Est dans des communauté précises ça fonctionne.Plus de chance que les personnes partagent des liens communs
Alors fonctionne pas dans la planète entière mais dans les communautés oui

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13
Q

quelle est la conclusion des études récentes sur l’effet du petit monde

A

Études plus récentes qui ce sont fait sur internet aussi: en 2016 étude montre que dans les réseaux sociaux si je veux communiquer avec n’importe quelle personne dans la terre ça me prends 3.5 liens (qql qui connait qql qui connait qql)

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14
Q

quelle est la première caractéristique qu’il faut avoir pour qu’on puisse considéré un ensemble de personne comme un réseau

A

Mais, avant tout, il faut qu’un ensemble de personnes soit considéré comme un réseau. Ceci réfère à la perception d’entitativité.

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15
Q

quelles sont les trois choses avec lesquelles on peut accordé au réseau une valeur

A
  • une évaluation des membres individuels (c’est qui les personens qui compose le réseau)
  • des liens entre ces membres (liens positifs, négatifs… entre les personnes)
  • du réseau en tant qu’unité (est-ce que le réseau est uni).
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16
Q

pour évaluer un réseau de quoi on doit tenir compte

A

des personnes dans le reseaux, des liens et de l’ensemble

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17
Q

définition entitativité

A

Degré auquel un groupe peut être considéré comme une entité réelle, une unité cohérente. Est-ce que je considère que le groupe est vrm un groupe que j’identifi clairement que ces personnes là forme un groupe

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18
Q

La perception d’entitativité dépend de l’évaluation de différen tes classes de facteurs (3)

A
  • les particularités chroniques du percevant: celui qui juge l’entitativité, qui observe le groupe on a pas tous la mm façon de concevoir ce qui est uni ou non. Ex: qql qui est plus sociable va avoir besoin de plus de personne pour considérer un groupe vs qql de solitaire
  • les facteurs contextuels: dans quel contexte est le groupe. De travail, sportif, qui se connaisse moins…
  • les propriétés du groupe
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19
Q

vrai ou faux: Peut importe le degré d’entitativité on va quand mm parlé d’un groupe groupe peut être plus ou moins cohérent, mais demeure quand mm un groupe

A

vrai

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20
Q

quelles sont les 7 propriétés qu’un groupe peut avoir pour être plus entitatif

A
  • interdépendance
  • importance
  • interaction
  • durée
  • similarité
  • structure
  • cohésion
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21
Q

quelles sont les 2 propriétés qu’un groupe peut avoir pour être considéré moins entitatif

A
  • taille
  • perméabilité
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22
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition: Degré auquel il est facile de joindre ou de quitter le groupe. Tjr des nouvelles personnes et se familiariser avec du nouv mone

A

perméabilité

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23
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition: Degré auquel le groupe est important pour ses membres. Est-ce que être dans ce groupe ça me rapporte qqch. Ex: dans mon groupe d’ami ils vont m’écouter, si non je me sentirais seul

A

importance

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24
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition: Degré auquel les membres du groupe se sentent liés les uns aux autres et liés au groupe.

A

cohésion

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25
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition:Temps pendant lequel les personnes continuent à constituer un ensemble groupal. Depuis cb de temps on est un groupe

A

durée

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26
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition:Degré auquel les membres du groupe dépendent les uns des autres pour atteindre leurs buts ou résultats. Ex: équipe sportive les gens ont besoins les uns des autres.

A

interdépendance

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27
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition: Degré auquel les membres du groupe se rencontrent sur une base régulière. Pas nécessairement physiquement. Peut être toutes sortes de rencontres.

A

Interaction

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28
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition: Nombre de personnes qui sont membres du groupe. Plus diff que tt le monde interagisse ensemble

A

taille

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29
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition: Degré auquel les membres du groupe partagent des attributs les uns avec les autres. points communs

A

similarité

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30
Q

à quelle propriété de l’entitativité correspond cette définition: Degré auquel le groupe a développé des caractéristiques spécifiques (telles que les rôles, les statuts et les normes).

A

structure

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31
Q

exemples de groupe intime

A

famille, amis, voisins qui se côtoient

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32
Q

exemple de groupe de tâche

A

équipe sportive, orchestre, comité d’étudiants, syndicat de travailleurs

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33
Q

quelles sont les trois caractéristiques des groupes intime et des groupes de tâches

A
  • entitativité élevée
  • Membres qui s’identifient les uns aux autres
  • Plus d’interactions
    interpersonnelles
34
Q

exemple de catégorie sociale

A

femmes, étudiants universitaires, juifs

35
Q

exemple d’ensemble sans lien

A

file de personnes qui attendent à l’arrêt d’autobus, vacanciers à la place, clients dans un magasin à grande surface

36
Q

quelles sont les 3 caractéristiques des catégories sociales et des ensemble sans lien

A
  • Entitativité faible ou moyenne
  • Attachement Symbolique.
  • Phénomène de dépersonnalisation:
37
Q

à quoi fait référence l’attachement symbolique dans les catégories sociales et les ensembles sans lien

A

On partage des points communs je les connais pas, mais je sens un certains liens avec eux parce qu’on partage une certaine passion

38
Q

à quoi peut mener l’attachement symbolique dans les catégories sociales et l’ensemble sans lien

A

Phénomène de dépersonnalisation: individuellement on se voit juste comme un groupe, à cause de cet attachement symbolique

39
Q

définition et particularité de l’intégration sociale

A

Incorporation d’un individu dans un réseau social.

L’individu conserve ses particularités, mais il accepte les normes et croyances du groupe de façon à constituer un tout.

Les gens sont encore différents les uns des autres, mais il a intériorisation des normes. Ex: ado qui aime faire de l’équitation, mais personne dans son groupe d’ami aime en faire  est tjr un ado, mais avec des intérêts diff

40
Q

définition et particularité de l’assimilation sociale

A

Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même réseau social.

L’individu ne se distingue pas des autres membres de son groupe (dépersonnalisation).

Les gens sont semblables et il du conformisme élevé  pas juste intériorisation des normes. La personne pourrait mm se faire expulser du groupe s’il est diff
Ex: les sectes

41
Q

définition et particularité de l’insertion sociale

A

Inclusion d’un individu dans un réseau social (groupe social).

L’individu demeure différent des autres membres du groupe. Les gens se condiere comme diff et il a pas d’intériorisatoin des normes du groupes la personne va rester elle mm, va respecter les normes des autres, mais va pas les intériorisé

Ex: prend un cours de photographie parce que je veux prendre des photos d’animaux, mais les gens de mon cours veulent faire d’autres types de photos je vais pas changer ma décision, mais je vais respecter les autres

42
Q

définition et aspect de l’identification

A

Action de s’identifier à quelqu’un, à un groupe ou à quelque chose. Aspect cognitif je regarde qul son mes ressemblance avec les membre du groupe. Cognitivement je peux voir les ressemblance

43
Q

définition et aspect de l’appartenance

A

Fait d’appartenir à un groupe, à un ensemble. Aspect cognitif et affectif. Pas juste me dire que je ressemble aux autres, mais aussi que j’ai un lien avec ces personnes (sentiments d’appartenance)

44
Q

définition et aspect de la cohésion

A

Caractère d’un réseau dont les membres sont liés les uns aux autres et sont liés au groupe. Aspects affectif et conatif. Comment tous les membres sont lié les uns aux autre, comment les gens aiment leurs groupe (affectif). Mais aussi quand il a une bonne cohésion les gens sont motivé à rester ensemble (conatif)

45
Q

définition et aspect de l’attraction sociale

A

Fait d’être attiré par un groupe. Pas attiré par les personnes du groupe, mais par le groupe. Aspect conatif  ont est motivé à aller vers le groupe

46
Q

à quelle type d’identité les ados vont plus se référer quand ils choisissent leurs styles vestimentaires

A

ils se réferent d’avantage à leurs identité social à quel groupe ils s’identifie et auquel ils veulent que les gens les identifie pour que les gens voit bien qu’ils font partie de ce groupe, augmenter les ressemblance avec ce groupe qu’ils considère comme positif et distinctif.

47
Q

à quelle type d’identité les ados vont plus se référer quand ils choisissent les produits et marques vestimentaires

A

Ex: chemise, jeauns, «converse»… ici on est plus dans les petits détails du style en générale. Ado vont avoir tendance à choisir des objets/petits détails qui leurs permettent de se distinguer. Mais ces marques/objets reste quand mm dans le mm grand style vestimentaire

48
Q

quelles sont les conclusion de l’étude sur les styles vestimentaires concernant la théorie de l’identité sociale

A
  • Dans le but d’obtenir une identité sociale positive, l’adolescent va s’identifier à un groupe qu’il valorise.
  • Les groupes associés à des styles vestimentaires peuvent
    ainsi participer à la construction identitaire de l’adolescent dans la mesure où celui-ci consomme et expose des produits et des marques signifiantes et identifiables par les autres.
49
Q

quelles sont les conclusion de l’étude sur les styles vestimentaires concernant la théorie de l’auto-catégorisation

A
  • En adoptant un style vestimentaire reconnaissable, l’adolescent se voit des ressemblances avec le groupe, ce qui favorise la dépersonnalisation.
  • Aussi, le désir d’appartenance favorise l’adoption et le
    maintien du style vestimentaire.
50
Q

par quoi est favorisé la cohésion

A

Elle est favorisée par le fait que tous les membres du groupe se perçoivent comme formant un tout

51
Q

plus la cohésion est grande plus les membres vont éprouver quel sentiment et que va-t’il se produire

A

Plus la cohésion est grande, plus les membres éprouvent un sentiment d’appartenance au groupe, plus ils s’identifient à lui, et plus ils en sont dépendants on a besoin des un des autres

52
Q

si l’interdépendance est forte dans le groupe que va-t’il se passer avec les points de vue dans le groupe

A

Plus l’interdépendance est forte, plus les points de vue dans le groupe tendent vers l’homogénéité, et plus sont sanctionnés les écarts et les déviations.

53
Q

quelles sont les 5 choses que la cohésion favorise

A

 la conformité au groupe,
* la recherche de consensus,
* la perception stéréotypique,
* la différenciation intergroupe, * l’ethnocentrisme.

54
Q

que veut dire la recherche de consensus dans la cohésion

A

les personnes vont s’influencé pour penser, dire, faire la mm chose

55
Q

que veut dire la perception stéréotypique dans la cohésion

A

perception que tt le monde se ressemble dans le groupe

56
Q

que veut dire la différenciation intergroupe dans la cohésion

A

plus tendance à se trouver différent des autres groupes

57
Q

que veut dire l’ethnocentrisme dans la cohésion

A

phénomène qui fait qu’on utilise notre groupe comme point de référence pour juger les autres groupes. Souvent observe que les gens vont le faire quand pense que leurs groupes est meilleure que les autres

58
Q

quand est-ce que la cohésion entre les membres du groupe est révélée

A

lorsque le contexte est saillant

59
Q

quelle sont les deux types de contexte que quand ils changent il peut avoir un impact

A
  • Quand le contexte intergroupe change, la perception de l’endogroupe change aussi, ainsi que la perception de soi. ex: comme étude de shérif
  • De même, quand le contexte intragroupe (dans mon groupe) change, la perception de l’endogroupe change aussi, ainsi que la perception de soi. ex: mon groupe est devenu très fort pendant mon absence, alors mtn je n’ai pas l’impression qu’on est tous au mm niveau et je me sens moins bonne. Alors la cohésion va être moins forte
60
Q

quelles sont les 3 types d’attractions

A
  • attraction personnelle
  • attraction interpersonnelle
  • attraction sociale
61
Q

attraction personnelle:

A

quand on est attiré par une autre personne, mais l’autre personne est pas attiré envers moi. Ex: j’aimerait aller voir tel concert, mais le chanteurs me connaît pas. Unidirectionnelle

62
Q

attraction interpersonnelle:

A

des personnes qui sont attiré les unes aux autres. Bidirectionnelle

63
Q

attraction sociale:

A

on est attiré par un groupe, je veux faire partie de ce groupe. Unidirectionelle

64
Q

vrai ou faux: les types d’attractions sont dépendant et ne peuvent pas se produire en mm temps dans un groupe

A

faux: Ces construits sont indépendants, mais ils peuvent se produire en même temps dans un groupe. Ex: je peux être attiré par un groupe, parce que mon meilleure ami fait parti de ce groupe

65
Q

qu’est-ce qui produit l’attraction sociale et ce qu’il va se produire

A

L’attitude positive entre les membres du groupe. Si j’ai une bonne attitude envers le groupe, je vais être plus attiré par ce groupe et il a plus de chance que la cohésion soit forte

attitude positive –>attraction sociale –> cohésion

66
Q

quels sont les deux types de statuts lorsque je fais de la comparaison intergroupe

A
  • Statut intergroupe objectif
  • Statut intergroupe subjectif
67
Q

quelles sont les deux types de perception dans le statut intergroupe (avec définition)

A
  • Perception du statut du groupe: comment je perçois le statut de mon groupe de manière générale.
  • Perception de la stabilité de ce statut: est0ce que pense que mon groupe pourrait devenir plus/moin non ou rester pareil
68
Q

quelles sont les deux choses présente lorsque je fais de la comparaison intragroupe

A
  • identification au groupe
  • attraction sociale dépersonnalisée: le groupe dans son tout nous attires
69
Q

quelles sont les étapes avant d’être attiré par un groupe

A

Avant d’être attiré par un groupe je dois me demander ce qu’il a de spécial, comment il se situe et après me demander si je ressemble à ce groupe et si je veux faire partie du groupe

70
Q

comment je vais faire la comparaison du statut intergroupe objectif

A

Va utiliser des données objectives pour comparer les deux groupes. Ex: avec le nombre de points que les groupes on fait

71
Q

comment je vais faire la comparaison du statut intergroupe subjectif

A

Sans se relier à des donner précices. C’est moi qui se dit j’ai l’impression il est meilleure

72
Q

quel est le constat des chercheurs en ce qui concernent l’évaluation objective et subjective du statut intergroupe (2)

A
  • Chercheurs ont constaté que l’évaluation objective et subjective est pas mal semblable. Si objectivement groupe est moins bons vont aussi avoir impression que leurs groupes est moins bons ç
  • Aussi les participants ont plus souvent l’impression que le statut de leurs groupes est stable. Pense pas peut devenir plus ou moins bon
73
Q

qu’est-ce que l’identification au groupe

A

Est-ce que la personne trouve qu’elle ressemble au groupe

74
Q

qu’est-ce que la perception de la clarté des caractéristiques

A

Est-ce que la personne peut clairement définir son groupe/le décrir. Est-ce que la personne à une image claire des carctéristiques de son groupe

75
Q

qu’est-ce que la prototypicalité personnelle

A

Est-ce que la personne trouve qu’elle ressemble au prototype de son groupe (à l’image générale de son groupe)

76
Q

quelles sont les observations des chercheurs en ce qui concerne l’identification au groupe et la perception de la clarté des caractéristiques

A
  • Encore corrélation positive quand pour la personne c’est clair ou se situe son groupe, plus sa va être facile de s’identifier au groupe
  • Plus la personne s’identifie aux membres du groupe plus elle a envie de faire partie de ce groupe
77
Q

Les gens qui font partie d’un groupe qu’ils considèrent comme ayant un statut élevé ont plus tendance à (3 observations)

A
  • Penser que le statut du groupe est légitime parce qu’il est lié à des caractéristiques internes des membres. Tendance a penser que le groupe est meilleure
  • Penser que les groupes sont faiblement perméables.
  • Affirmer qu’ils ne changeront pas de groupe.
78
Q

définition de l’exclusion sociale

A

Le verbe « exclure » signifie de ne pas laisser entrer, ne pas admettre, chasser, tenir à l’écart.

L’exclusion représente une condition dans laquelle un individu se trouve coupé de son réseau social.

79
Q

définition stigmatisation sociale

A

Le verbe « stigmatiser » désigne l’action de dévaloriser, de blâmer avec dureté et publiquement. En plsu de la mettre à l’écart, on va la mettre à l’écart parce que ce n’est pas une bonne personne

La stigmatisation implique un attribut qui jette un discrédit profond sur un individu l’amenant à ne pas être considéré comme ordinaire et sain, mais comme impur et vicié.

80
Q

dans quelle approche l’exclusion sociale à été davantage étudiée

A

l’approche systémique

81
Q

La notion d’exclusion suppose l’existence de…

A

La notion d’exclusion suppose l’existence de déterminants (cause qui peuvent mener à l’exclusion) et de processus (ce qu’il se passe pendant l’exclusion, ce qui fait qu’une personne est maintenu dans l’exclusion) à la fois internes et externes.

82
Q

comme quel type de traitement l’exclusion peut être vécue

A

comme un traitement injuste