Intra - QCM Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la psychologie sociale cherche à comprendre ?
A. Les causes de l’agression
B. Les causes du comportement et de la pensée sociale
C. Les causes de la douleur physique
D. Les causes de la douleur sociale
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. Les causes du comportement et de la pensée sociale

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2
Q

Quels sont les facteurs qui influencent la façon dont on pense et on agit selon la psychologie sociale ?
A. Les actions et les caractéristiques des autres
B. Le processus cognitif
C. Les variables environnementales
D. Le contexte culturel
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

F. Toutes ces réponses

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3
Q

Quel est le but de la psychologie sociale selon Allport (1968) ?
A. Comprendre et expliquer comment les pensées, les sentiments et les comportements des individus sont influencés par leur propre présence
B. Comprendre et expliquer comment les pensées, les sentiments et les comportements des individus sont influencés par la présence imaginaire (implicite, indirecte) ou explicite (directe) des autres
C. Comprendre et expliquer comment les pensées, les sentiments et les comportements des individus sont influencés par la présence des animaux
D. Comprendre et expliquer comment les pensées, les sentiments et les comportements des individus sont influencés par la présence des objets inanimés
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. Comprendre et expliquer comment les pensées, les sentiments et les comportements des individus sont influencés par la présence imaginaire (implicite, indirecte) ou explicite (directe) des autres

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4
Q

Qu’est-ce qui est souvent sous-estimé selon la psychologie sociale ?
A. Le pouvoir de la situation
B. Le pouvoir de l’individu
C. Le pouvoir de l’agression
D. Le pouvoir de la douleur sociale
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

A. Le pouvoir de la situation

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5
Q

Quelle est la relation entre l’individu et la situation selon le passage ?
A. Il y a une relation unidirectionnelle entre l’individu et la situation
B. Il y a une relation bidirectionnelle entre l’individu et la situation
C. Il n’y a aucune relation entre l’individu et la situation
D. La relation entre l’individu et la situation est inconnue
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. Il y a une relation bidirectionnelle entre l’individu et la situation

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6
Q

Quelle est la plus grande leçon de la psychologie sociale ?
A. Le pouvoir de l’individu
B. Le pouvoir de la situation
C. Le pouvoir de l’agression
D. Le pouvoir de la douleur sociale
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. Le pouvoir de la situation

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7
Q

Qu’est-ce qui est souvent sous-estimé selon la psychologie sociale ?
A. Le pouvoir de l’individu
B. Le pouvoir de la situation
C. Le pouvoir de l’agression
D. Le pouvoir de la douleur sociale
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. Le pouvoir de la situation

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8
Q

Qu’est-ce qui inclut les pensées, les sentiments, les comportements selon le passage ?
A. Un comportement antisocial
B. Un comportement agressif
C. Un comportement passif
D. Un comportement social
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

D. Un comportement social

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9
Q

Qu’est-ce que la psychologie sociale se concentre à expliquer ?
A. L’esprit animal et le comportement des animaux
B. L’esprit humain et le comportement des humains
C. L’esprit des machines et le comportement des machines
D. L’esprit des plantes et le comportement des plantes
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. L’esprit humain et le comportement des humains

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10
Q

Qu’est-ce qui a un impact sur notre comportement social selon le passage ?
A. La présence explicite des autres, implicite
B. Leurs caractéristiques
C. Les stimulis sociaux
D. Tous les éléments ci-dessus
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

D. Tous les éléments ci-dessus

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11
Q

Qu’est-ce qui peut souvent déterminer le comportement des individus malgré leurs différences individuelles ?
A. Les situations antisociales
B. Les situations agressives
C. Les situations passives
D. Les situations sociales
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

D. Les situations sociales

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12
Q

Qu’est-ce qui a un impact sur notre comportement social selon le passage ?
A. Leur présence explicite, implicite
B. Leurs caractéristiques
C. Les stimulis sociaux
D. Tous les éléments ci-dessus
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

F. Toutes ces réponses

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13
Q

Qu’est-ce qui a un impact sur les autres et les situations sociales selon le passage ?
A. Cognition sociale: De par nos pensées, nos croyances, nos stéréotypes, nos souvenirs, etc.
B. Différences individuelles: De par notre personnalité/tempérament.
C. Tous les éléments ci-dessus
D. Aucun des éléments ci-dessus

A

C. Toutes ces réponses

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14
Q

Quand la psychologie sociale a-t-elle vu le jour selon le passage ?
A. Lorsqu’on commence à appliquer la méthode scientifique pour comprendre de vieilles questions philosophiques par rapport aux comportements humains et leurs processus mentaux
B. Lorsqu’on commence à appliquer la méthode scientifique pour comprendre de nouvelles questions philosophiques par rapport aux comportements humains et leurs processus mentaux
C. Lorsqu’on commence à appliquer la méthode scientifique pour comprendre de vieilles questions philosophiques par rapport à l’agression et la douleur sociale
D. Lorsqu’on commence à appliquer la méthode scientifique pour comprendre de nouvelles questions philosophiques par rapport à l’agression et la douleur sociale
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

E. Aucune de ces réponses

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15
Q

Qui sont les influences anciennes de la psychologie sociale mentionnées dans le passage ?
A. Triplett, McDougall, Allport
B. Platon, Aristote
C. Thurstone, Likert, Bartlett, Sherif, Murphy
D. Zajonc, Gergen
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. Platon, Aristote

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16
Q

Quand ont eu lieu les vrais débuts de la discipline de la psychologie sociale selon le passage ?
A. Les années 1930
B. 1897 à 1930
C. Les années 1960 et 1970
D. Les années 1980 et 1990
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. 1897 à 1930

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17
Q

Qu’est-ce qui a été développé dans les années 1930 ?
A. Les cognitions sociales, la psychologie sociale appliquée et les statistiques
B. L’approche scientifique (méthodologique)
C. Trois nouveaux thèmes (cognitions inconscientes, influence de la culture, aspects biologiques)
D. Deux nouveaux courants (psychologie positive, crise de la reproductibilité comme deuxième crise de confiance)
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. L’approche scientifique (méthodologique)

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18
Q

Quels sont les nouveaux champs d’études et approfondissement de champs déjà existants qui ont été développés dans les années 1960 et 1970 ?
A. Les cognitions sociales, le so, la psychologie sociale appliquée et les statistiques
B. Trois nouveaux thèmes (cognitions inconscientes, influence de la culture, aspects biologiques)
C. Deux nouveaux courants (psychologie positive, crise de la reproductibilité comme deuxième crise de confiance)
D. Nouveaux champs d’études et approfondissement de champs déjà existants
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

D. Nouveaux champs d’études et approfondissement de champs déjà existants

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19
Q

Qu’est-ce qui a été développé dans les années 1980 et 1990 selon le passage ?
A. L’approche scientifique (méthodologique)
B. Les cognitions sociales, le so, la psychologie sociale appliquée et les statistiques
C. Trois nouveaux thèmes (cognitions inconscientes, influence de la culture, aspects biologiques)
D. Deux nouveaux courants (psychologie positive, crise de la reproductibilité comme deuxième crise de confiance)
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B. Les cognitions sociales, la psychologie sociale appliquée, les statistiques

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20
Q

Qu’est-ce qui a été développé dans les années 2000 à aujourd’hui selon le passage ?
B. Les cognitions sociales, le so, la psychologie sociale appliquée et les statistiques
C. Trois nouveaux thèmes (cognitions inconscientes, influence de la culture, aspects biologiques)
D. Deux nouveaux courants (psychologie positive, crise de la reproductibilité comme deuxième crise de confiance)
E. L’approche scientifique (méthodologique)
F. Aucune de ces réponses
G. Toutes ces réponses

A

C. Trois nouveaux thèmes (cognitions inconscientes, influence de la culture, aspects biologiques)

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21
Q

Pourquoi les méthodes de recherches sont importantes?
A. C’est important pour le cours!
B. Comprendre la manière dont la recherche se déroule
C. Comprendre les théories, concepts, sujets présentés
D. Permettre de décider quelle information est utile et quelle information peut être ignorée

A

B

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22
Q

Qu’est-ce qu’une connaissance générale des méthodes de recherche nous aide à éviter?
A. Les erreurs de logique
B. Les erreurs de calcul
C. Les erreurs de syntaxe
D. Les erreurs de grammaire

A

A

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23
Q

Qu’est-ce que le biais égocentrique?
A. Tendance à attribuer un succès à des causes internes
B. Tendance à attribuer un échec à des causes externes
C. Tendance à se percevoir comme meilleur que la moyenne
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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24
Q

Quel est l’avantage du biais égocentrique?
A. Il peut protéger une personne de la dépression et de l’anxiété
B. Il peut motiver une personne à persévérer
C. Il est bénéfique pour la survie de l’individu
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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25
Q

Quel est le désavantage du biais égocentrique?
A. Il nous empêche parfois de faire face à la réalité
B. Il peut amener des erreurs de jugement
C. Il peut avoir des conséquences fâcheuses à l’intérieur de relations interpersonnelles
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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26
Q

Le biais égocentrique a été observé dans de nombreux pays et à travers de nombreuses populations de façon homogène peu importe leur composition.
A. Vrai
B. Faux

A

A

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27
Q

La science est nécessaire afin de résoudre les mystères de la psychologie sociale.
A. Vrai
B. Faux

A

A

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28
Q

L’intuition, le sens commun, les expériences personnelles sont scientifiques et mènent toujours à des résultats fiables et non contradictoires.
A. Vrai
B. Faux

A

B

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29
Q

Notre biais personnel peut nous faire faire des erreurs lorsqu’on pense à notre environnement social.
A. Vrai
B. Faux

A

A

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30
Q

Corrélation ne veut pas toujours dire causation.
A. Vrai
B. Faux

A

A

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31
Q

La science fait référence à:
A. Un ensemble de valeurs
B. Plusieurs méthodes de recherches
C. Un ensemble de démarches nécessaires pour obtenir des connaissances valides
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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32
Q

Quelle est la première étape de la recherche scientifique?
A. Choix de la méthode de recherche
B. Formulation d’hypothèses
C. Choix de la mesure du phénomène d’intérêt
D. Analyse statistique des données

A

B

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33
Q

Qu’est-ce qu’une variable dépendante?
A. La variable qui prédit ou qui cause la VD
B. Variable qui a un effet sur la VD
C. Le phénomène d’intérêt, la variable mesurée
D. Un troisième facteur invisible qui peut influencer la corrélation de la VI sur la VD

A

C

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34
Q

Qu’est-ce qu’une variable indépendante?
A. La variable qui prédit ou qui cause la VD
B. Variable qui a un effet sur la VD
C. Le phénomène d’intérêt, la variable mesurée
D. Un troisième facteur invisible qui peut influencer la corrélation de la VI sur la VD

A

A

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35
Q

Qu’est-ce qu’une variable de contrôle?
A. La variable qui prédit ou qui cause la VD
B. Variable qui a un effet sur la VD
C. Le phénomène d’intérêt, la variable mesurée
D. Un troisième facteur invisible qui peut influencer la corrélation de la VI sur la VD

A

B

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36
Q

Qu’est-ce qu’une médiation?
A. La relation entre la VI et la VD est expliquée par une variable médiatrice
B. La variable modératrice fait moduler la relation entre la VI et la VD
C. Un troisième facteur invisible qui peut influencer la corrélation de la VI sur la VD
D. Tous les éléments ci-dessus

A

A

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37
Q

Qu’est-ce qu’une modération?
A. La relation entre la VI et la VD est expliquée par une variable médiatrice
B. La variable modératrice fait moduler la relation entre la VI et la VD
C. Un troisième facteur invisible qui peut influencer la corrélation de la VI sur la VD
D. Tous les éléments ci-dessus

A

B

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38
Q

🃏

A

🦩

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39
Q

🦩

A

🦩

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40
Q

Qu’est-ce qu’une variable de contrôle?
A. La variable qui prédit ou qui cause la VD
B. Variable qui a un effet sur la VD
C. Le phénomène d’intérêt, la variable mesurée
D. Un troisième facteur invisible qui peut influencer la corrélation de la VI sur la VD

A

D

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41
Q

Qu’est-ce qu’une théorie selon les concepts fondamentaux?
A. Une question posée
B. Un ensemble intégré de principes expliquant et prédisant des phénomènes observés
C. Une idée réfutable

A

B

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42
Q

Que spécifie une hypothèse?
A. Elle est toujours vraie
B. Elle est une partie spécifique de la théorie qui peut être testée et qui est techniquement réfutable
C. Elle ne peut pas être testée

A

B

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43
Q

Qu’est-ce qu’une variable dans les concepts fondamentaux?
A. Elle doit toujours être mesurable
B. Elle ne peut pas être une idée ou un objet
C. C’est quelque chose qui peut prendre n’importe quelle valeur et peut être mesuré dans le cadre d’une recherche

A

C

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44
Q

Qu’est-ce qu’une théorie selon les concepts fondamentaux?
A. Une question posée
B. Un ensemble intégré de principes expliquant et prédisant des phénomènes observés
C. Une idée réfutable

A

B

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45
Q

Que spécifie une hypothèse?
A. Elle est toujours vraie
B. Elle est une partie spécifique de la théorie qui peut être testée et qui est techniquement réfutable
C. Elle ne peut pas être testée

A

B

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46
Q

Qu’est-ce qu’une variable dans les concepts fondamentaux?
A. Elle doit toujours être mesurable
B. Elle ne peut pas être une idée ou un objet
C. C’est quelque chose qui peut prendre n’importe quelle valeur et peut être mesuré dans le cadre d’une recherche

A

C

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47
Q

Qu’est-ce qu’une variable médiatrice dans une relation entre deux variables?
A. Une variable qui influence la relation entre la variable indépendante (X) et la variable dépendante (Y)
B. Une variable qui modifie l’effet de la variable indépendante (X) sur la variable dépendante (Y)
C. Une variable qui est influencée par la variable indépendante (X) et qui influence à son tour la variable dépendante (Y)

A

C

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48
Q

Qu’est-ce qu’une variable modératrice dans une relation entre deux variables?
A. Une variable qui influence la relation entre la variable indépendante (X) et la variable dépendante (Y)
B. Une variable qui modifie l’effet de la variable indépendante (X) sur la variable dépendante (Y)
C. Une variable qui est influencée par la variable indépendante (X) et qui influence à son tour la variable dépendante (Y)

A

B

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49
Q

Dans une étude, il est constaté que le stress (X) affecte la qualité du sommeil (Y). Cependant, cette relation est plus forte pour les personnes ayant des niveaux d’anxiété élevés. Quel rôle joue l’anxiété dans cette relation?
A. Variable médiatrice
B. Variable modératrice
C. Ni l’un ni l’autre

A

B

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50
Q

Les chercheurs découvrent que l’exercice (X) améliore la santé mentale (Y). Ils découvrent également que cet effet se produit parce que l’exercice augmente l’estime de soi (M). Quel rôle joue l’estime de soi dans cette relation?
A. Variable médiatrice
B. Variable modératrice
C. Ni l’un ni l’autre

A

A

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51
Q

Dans une expérience, on observe que l’effet positif du soutien social (X) sur le bonheur (Y) est plus fort pour les individus qui ont vécu des événements traumatisants que pour ceux qui n’en ont pas vécu. Quel rôle jouent les événements traumatisants dans cette relation?
A. Variable médiatrice
B. Variable modératrice
C. Ni l’un ni l’autre

A

B

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52
Q

Qu’est-ce qu’un devis expérimental?
A. Un devis qui peut être classifié sur un continuum de contrôle
B. Un devis qui peut établir une relation cause-effet
C. Un devis qui peut faire une prédiction
D. Tous les éléments ci-dessus

A

B

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53
Q

Quelle est la distinction entre la méthode expérimentale et non-expérimentale corrélationnelle?
A. La méthode expérimentale peut faire une prédiction
B. La méthode non-expérimentale corrélationnelle peut y assigner une explication
C. Seule la méthode expérimentale peut établir une relation cause-effet
D. Tous les éléments ci-dessus

A

C

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54
Q

Pourquoi y a-t-il une préférence pour le laboratoire en psychologie sociale?
A. Le devis concorde avec le modèle causal qui prévaut en psychologie sociale
B. Le vrai monde est trop complexe à comprendre
C. Il n’est pas suffisant de demander aux gens ce qu’ils font et pourquoi ils agissent de certaines façons
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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55
Q

Quels sont les problèmes avec le devis en laboratoire en psychologie sociale?
A. La signification du comportement social
B. Diviser un problème social pour pouvoir l’étudier
C. Artificiel et peu réel
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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56
Q

Qu’est-ce qui est perçu comme des influences causales en psychologie sociale?
A. Les processus cognitifs
B. Les comportements sociaux
C. Les facteurs que nous devons découvrir
D. Tous les éléments ci-dessus

A

A

(les processus
cognitifs sont perçus comme des influences causales: nous cherchons les réponses
dans les processus affectant la manière dont les gens pensent, et de la manière dont
les gens pensent qu’ils pensent)

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57
Q

Qu’est-ce qui est d’autant plus problématique que les problèmes possibles du laboratoire en psychologie sociale?
A. L’introspection
B. Le vrai monde
C. Les processus cognitifs
D. Tous les éléments ci-dessus

A

A

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58
Q

Qu’est-ce que le soi?
A. Une théorie qui nous aide à faire des recherches sur nous-même
B. Au centre de notre monde et nous aide à organiser notre perception du monde
C. Quelque chose qui peut changer
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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59
Q

Qu’est-ce que la conscience de soi?
A. Unique aux humains
B. La conception du JE
C. L’élément durable et constant qui crée une continuité chez la personne
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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60
Q

Qu’est-ce que le JE dans la conscience de soi?
A. AGENT (actif) = le soi comme processus
B. OBJET (passif) = soi comme contenu
C. Ni l’un ni l’autre

A

A

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61
Q

Qu’est-ce que le MOI dans la conscience de soi?
A. AGENT (actif) = le soi comme processus
B. OBJET (passif) = soi comme contenu
C. Ni l’un ni l’autre

A

B

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62
Q

Le soi peut-il changer?
A. Oui
B. Non
C. Cela dépend du contexte

A

C

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63
Q

Qu’est-ce que la continuité de soi?
A. Le sentiment subjectif entre le passé d’une personne et son soi présent
B. A des propriétés auto-régulatoires
C. Aurait des conséquences sur les choix d’une personne, ses jugements, ses comportements, etc.
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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64
Q

Qu’est-ce que le concept du soi social de William James?
A. Représente les connaissances qui découlent des relations sociales
B. Les interactions avec autrui forgent une grande partie de notre identité
C. Ni l’un ni l’autre
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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65
Q

Nous avons tendance à traiter plus efficacement et mieux mémoriser de l’information se rapportant à nous-même ou nos expériences.
A. Vrai
B. Faux

A

A

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66
Q

Nous avons tendance à croire que les autres nous portent plus d’attention et plus de jugement qu’iels le font en réalité.
A. Vrai
B. Faux

A

A

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67
Q

Le changement (ou la continuité) du soi pose un gros défi à la psychologie.
A. Vrai
B. Faux

A

A

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68
Q

Qu’est-ce que la clarté du concept de soi?
A. Mesure selon laquelle le concept de soi est clair, défini, cohérent et stable à travers le temps
B. Au contraire, un concept de soi moins clair mène à une plus grande tendance à être influencé par des stimuli sociaux pertinents au soi
C. Un concept de soi plus clair mène à une meilleure perception du soi personnel et collectif
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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69
Q

Qu’est-ce qu’un schéma du soi?
A. Une structure cognitive qui représente, de manière organisée, les connaissances que nous avons sur nous-mêmes
B. Des généralisations cognitives à propos de soi issues d’expériences passées qui organisent et guident le traitement d’informations
C. Des généralisations qui peuvent être changés par nos expériences
D. Tous les éléments ci-dessus

A

D

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70
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi?
A. Une attitude ou évaluation que nous avons face à nous-même
B. L’état = situationnelle: c’est l’estime de soi à un moment donné
C. Le trait/disposition = essence: c’est le niveau de base ou la qualité stable à long terme de l’estime de soi
D. Tous les éléments ci-dessus

A

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71
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi explicite?
A. L’estime de soi tel qu’auto-rapporté par une personne
B. Souvent mesuré avec le Implicit Association Test (IAT)
C. Ni l’un ni l’autre

A

A

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72
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi implicite?
A. L’estime de soi tel qu’auto-rapporté par une personne
B. Automatique ou inconsciente, souvent mesuré avec le Implicit Association Test (IAT)
C. Ni l’un ni l’autre

A

B

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73
Q

Pour les étudiants ayant une contingence de l’estime de soi élevée, le refus à un concours prédit quoi?
A. Une diminution plus forte de l’estime globale et une augmentation des émotions négatives
B. Une augmentation plus forte de l’estime globale et une augmentation des émotions positives
C. Ni l’un ni l’autre

A

A

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74
Q

Pour les étudiants ayant une contingence de l’estime de soi élevée, l’acceptation à un concours prédit quoi?
A. Une diminution plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions négatives
B. Une augmentation plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions positives
C. Ni l’un ni l’autre

A

B

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75
Q

Qu’est-ce qui peut mener à des erreurs de logique (cause à effet vs corrélation) et on peut être apporter à surestimer ses mérites et ses capacités, même chez les psychologues et les cliniciens?
A. L’estime de soi qui cause un sentiment bon/de bien être
B. L’estime de soi qui cause un sentiment mauvais/de mal être
C. Ni l’un ni l’autre

A

A

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76
Q

Qu’est-ce qui est associé mais n’est pas cause à effet, c’est corrélationnel?
A. L’estime de soi qui cause un sentiment bon/de bien être
B. L’estime de soi qui cause un sentiment mauvais/de mal être
C. Ni l’un ni l’autre

A

A

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77
Q

Il y a présentement beaucoup d’études très rigoureuses sur quoi?
A. L’estime de soi
B. Le concept de soi
C. Ni l’un ni l’autre

A

A

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78
Q

Qu’est-ce que la clarté du concept de soi?
A. Mesure selon laquelle le concept de soi est clair, défini, cohérent et stable à travers le temps
B. Un concept de soi moins clair = plus tendance à être influencé par des stimuli sociaux pertinents au soi
C. Un concept de soi plus clair = meilleure perception du soi personnel et collectif
D. Toutes ces réponses

A

D

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79
Q

🃏

A

C

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80
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi explicite?
B. L’estime de soi tel qu’auto-rapporté par une personne
C. Souvent mesuré avec le Implicit Association Test (IAT)
D. Ni l’un ni l’autre

A

B et C

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81
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi implicite?
B. L’estime de soi tel qu’auto-rapporté par une personne
C. Automatique ou inconsciente, souvent mesuré avec le Implicit Association Test (IAT)
D. Ni l’un ni l’autre

A

C

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82
Q

Pour les étudiants ayant une contingence de l’estime de soi élevée, le refus à un concours prédit quoi?
B. Une diminution plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions négatives
C. Une augmentation plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions positives
D. Ni l’un ni l’autre

A

B

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83
Q

Pour les étudiants ayant une contingence de l’estime de soi élevée, l’acceptation à un concours prédit quoi?
B. Une diminution plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions négatives
C. Une augmentation plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions positives
D. Ni l’un ni l’autre

A

C

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84
Q

Qu’est-ce qui est associé mais n’est pas cause à effet, c’est corrélationnel?
B. L’estime de soi qui cause un sentiment bon/de bien être
C. L’estime de soi qui cause un sentiment mauvais/de mal être
D. Ni l’un ni l’autre

A

B

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85
Q

Quelle est la conséquence de l’estime de soi mentionnée dans l’image?
A. Augmentation de la confiance
B. Diminution de l’anxiété
C. Découlant du degré d’inclusion sociale
D. Amélioration des compétences sociales
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

C

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86
Q

Quel outil est utilisé pour surveiller ce que les autres pensent de vous?
A. Sociomètre
B. Psychomètre
C. Baromètre émotionnel
D. Thermomètre social
E. Aucune de ces réponses
F.Toutes ces réponses

A

A

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87
Q

Quel lien est présent dans l’image?
A.Un lien vers un article académique
B.Un lien vers une vidéo YouTube
C.Un lien vers un blog sur l’estime de soi
D.Un lien vers un site Web gouvernemental
E.Aucune de ces réponses
F.Toutes ces réponses

A

B

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88
Q

Que représente le schéma avec les flèches et les boîtes dans l’image?
A.Le processus d’amélioration de l’estime de soi
B.La corrélation entre inclusion sociale et estime de soi
C.Les étapes pour augmenter la confiance en soi
D.Le cycle du rejet social et son impact sur l’estime personnelle
E.Aucune des réponses ci-dessus
F.Toutes les réponses ci-dessus

A

B

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89
Q

Quelle est la différence principale entre l’estime de soi explicite et implicite selon Jordan et al., 2003, JPSP?
B. L’estime de soi explicite est plus facile à mesurer
C. L’estime de soi implicite est plus stable
D. L’estime de soi explicite est plus liée à la confiance en soi
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B

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90
Q

Quel outil est mentionné pour mesurer l’estime de soi implicite?
A. Psychomètre
B. Baromètre émotionnel
C. TAI: test d’association implicite
D. Thermomètre social
E. Aucune de ces réponses
F.Toutes ces réponses

A

C

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91
Q

Qu’est-ce que le NPI ?
A. Un outil pour mesurer l’estime de soi
B. Un outil pour mesurer le narcissisme
C. Un outil pour mesurer l’agressivité
D. Un outil pour mesurer l’inclusion sociale
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B

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92
Q

Comment les individus narcissiques réagissent-ils lorsque leur perception positive d’eux-mêmes est mise en doute ?
A. Ils deviennent plus confiants
B. Ils réagissent de manière défensive (agressive)
C. Ils cherchent à améliorer leur estime de soi
D. Ils cherchent à augmenter leur inclusion sociale
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B

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93
Q

Quelle est la vision sous-jacente de la vision grandiose du soi des individus narcissiques ?
A. Une estime de soi élevée
B. Une estime de soi plutôt fragile
C. Une estime de soi stable
D. Une estime de soi basée sur l’inclusion sociale
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B

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94
Q

Quel est le lien entre l’agressivité et l’estime de soi selon l’image?
A. L’agressivité est plus élevée lorsque l’estime de soi est stable
B. L’agressivité est plus élevée lorsque l’estime de soi est instable/fragile
C. L’agressivité n’est pas liée à l’estime de soi
D. L’agressivité est plus élevée lorsque l’estime de soi est élevée
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

B

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95
Q

Quel outil est utilisé pour mesurer l’estime de soi explicite selon Rosenberg, 1965?
A. Psychomètre
B. Baromètre émotionnel
C. TAI: test d’association implicite
D. Rosenberg, 1965
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses

A

D

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96
Q
  1. Qu’est-ce que l’interactionnisme symbolique ?
    B. Une théorie sociologique
    C. Un principe de physique
    D. Une méthode de recherche en psychologie
A

B. Une théorie sociologique

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97
Q
  1. Qui a introduit le concept d’interactionnisme symbolique ?
    B. Emile Durkheim
    C. Charles Cooley
    D. Karl Marx
A

C. Charles Cooley

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98
Q
  1. Qu’est-ce que le principe de distinctivité ?
    B. Un concept en psychologie
    C. Une loi en physique
    D. Une théorie en économie
A

B. Un concept en psychologie

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99
Q
  1. Qui a introduit le principe de distinctivité ?
    B. Sigmund Freud
    C. William James
    D. McGuire
A

D. McGuire

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100
Q
  1. La culture a-t-elle un impact sur le soi ?
    B. Oui
    C. Non
    D. Cela dépend
A

B. Oui

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101
Q
  1. Qu’est-ce qui nous offre un reflet de nous-mêmes selon l’interactionnisme symbolique ?
    B. Les autres
    C. Notre environnement
    D. Nos expériences passées
A

B. Les autres

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102
Q
  1. Selon le principe de distinctivité, que cherchons-nous à être ?
    B. Unique et distinct
    C. Conforme et similaire
    D. Indépendant et autonome
A

B. Unique et distinct

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103
Q
  1. Qu’est-ce qu’un schéma dans le contexte de la cognition?
    B. Une structure cognitive organisée
    C. Un processus perceptuel
    D. Une stratégie cognitive
A

B. Une structure cognitive organisée

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104
Q
  1. Comment la réalité est-elle transformée selon la théorie cognitive?
    B. À travers nos sens
    C. À travers nos émotions
    D. À travers nos actions
A

B. À travers nos sens

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105
Q
  1. Qu’est-ce qui peut nous amener à faire des erreurs de jugement?
    B. Nos stratégies cognitives
    C. Nos perceptions sociales
    D. Nos schémas
A

B. Nos stratégies cognitives

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106
Q
  1. Qu’est-ce que les perceptions sociales?
    B. Les processus qui produisent et maintiennent nos conceptions des autres
    C. Les processus qui interprètent et analysent les informations provenant du monde social
    D. Les processus qui stockent et remémorent les informations
A

B. Les processus qui produisent et maintiennent nos conceptions des autres

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107
Q
  1. Qu’est-ce que les cognitions sociales?
    B. Les processus qui interprètent, se rappellent, analysent et utilisent les perceptions sociales
    C. Les processus qui produisent et maintiennent nos conceptions des autres
    D. Les processus qui stockent et remémorent les informations
A

B. Les processus qui interprètent, se rappellent, analysent et utilisent les perceptions sociales

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108
Q
  1. Qu’est-ce qui colore notre réalité perçue?
    B. Nos schémas, notre capacité à stocker et remémorer des informations, et notre jugement
    C. Nos perceptions sociales
    D. Nos stratégies cognitives
A

B. Nos schémas, notre capacité à stocker et remémorer des informations, et notre jugement

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109
Q
  1. Qu’est-ce qui peut nourrir des biais et des stéréotypes?
    B. Nos stratégies cognitives
    C. Nos perceptions sociales
    D. Nos schémas
A

B. Nos stratégies cognitives

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110
Q
  1. Qu’est-ce qu’un schéma dans le contexte de la cognition?
    B. Une source d’information rapide
    C. Une structure cognitive organisée
    D. Un concept théorique
A

C. Une structure cognitive organisée

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111
Q
  1. Qu’est-ce qui peut introduire un certain biais de jugement dans notre perception sociale?
    B. Les schémas
    C. Les heuristiques
    D. Le contexte
A

B. Les schémas

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112
Q
  1. Qu’est-ce que les perceptions sociales?
    B. Processus perceptuel qui produit et maintient nos conceptions des autres personnes
    C. L’ensemble des processus cognitifs qui permettent d’interpréter, se rappeler, analyser et utiliser les perceptions sociales provenant du monde social
    D. Les processus qui stockent et remémorent les informations
A

B. Processus perceptuel qui produit et maintient nos conceptions des autres personnes

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113
Q
  1. Qu’est-ce qui colore notre réalité perçue?
    B. Nos schémas, notre capacité à stocker et remémorer des informations ainsi que notre jugement
    C. Nos perceptions sociales
    D. Nos stratégies cognitives
A

B. Nos schémas, notre capacité à stocker et remémorer des informations ainsi que notre jugement

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114
Q
  1. Qu’est-ce qui peut nourrir des biais et des stéréotypes?
    B. Nos stratégies cognitives
    C. Nos perceptions sociales
    D. Nos schémas
A

B. Nos stratégies cognitives

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115
Q
  1. Qu’est-ce qu’un schéma dans le contexte de la cognition?
    A. Un processus perceptuel
    B. Une source d’information rapide
    C. Une structure cognitive organisée
    D. Un concept théorique
A

C. Une structure cognitive organisée

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116
Q
  1. Comment la réalité est-elle colorée selon la théorie cognitive?
    A. À travers nos émotions
    B. À travers nos sens
    C. À travers nos perceptions
    D. À travers nos schémas
A

D. À travers nos schémas

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117
Q

🃏

A

C. L’ensemble des processus cognitifs qui permettent d’interpréter, se rappeler, analyser et utiliser les perceptions sociales provenant du monde social

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118
Q
  1. Qu’est-ce qui peut nourrir des biais et des stéréotypes?
    A. Nos perceptions sociales
    B. Nos stratégies cognitives
    C. Nos schémas
    D. Nos prototypes
A

D. Nos prototypes (une sorte de schéma)

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119
Q
  1. Qu’est-ce qu’un stéréotype culturel dans le contexte de l’étude de Condry & Condry (1976)?
    A. Un processus perceptuel
    B. Une source d’information rapide
    C. Un type de schéma
    D. Un concept théorique
A

C. Un type de schéma

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120
Q
  1. Selon l’étude de Condry & Condry (1976), quel rôle le stéréotype culturel associé au genre a-t-il joué?
    A. Il a influencé la perception et l’interprétation du comportement du bébé
    B. Il a influencé les schémas
    C. Il a influencé le contexte
    D. Il a influencé les perceptions sociales
A

A. Il a influencé la perception et l’interprétation du comportement du bébé

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121
Q
  1. Selon l’étude de Condry & Condry (1976), qu’est-ce qui a été perçu et interprété à travers le stéréotype culturel associé au genre?
    A. Les émotions du bébé
    B. Les sens du bébé
    C. Les perceptions du bébé
    D. Les schémas du bébé
A

A. Les émotions du bébé

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122
Q
  1. Selon l’étude de Condry & Condry (1976), qu’est-ce qui a été mesuré sur l’axe des Y du graphique?
    A. L’intensité des émotions du bébé
    B. Les stratégies cognitives du bébé
    C. Les schémas du bébé
    D. Le contexte du bébé
A

A. L’intensité des émotions du bébé

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123
Q
  1. Selon l’étude de Condry & Condry (1976), quelles émotions du bébé ont été représentées dans le graphique?
    A. La joie et la tristesse
    B. La colère et la peur
    C. L’excitation et la surprise
    D. Le dégoût et le mépris
A

B. La colère et la peur

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124
Q
  1. Selon l’étude de Condry & Condry (1976), qu’est-ce qui a été comparé dans le graphique?
    A. Les émotions de deux bébés différents
    B. Les émotions du même bébé perçues différemment en fonction du genre attribué
    C. Les émotions du même bébé à différents moments
    D. Les émotions de deux bébés du même genre
A

B. Les émotions du même bébé perçues différemment en fonction du genre attribué

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125
Q
  1. Qu’est-ce qu’un stéréotype culturel dans le contexte de l’étude de Condry & Condry (1976)?
    A. Un processus perceptuel
    B. Une source d’information rapide
    C. Un type de schéma
    D. Un concept théorique
A

C. Un type de schéma

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126
Q
  1. Selon l’étude de Condry & Condry (1976), quel rôle le stéréotype culturel associé au genre a-t-il joué?
    A. Il a influencé la perception et l’interprétation du comportement du bébé
    B. Il a influencé les schémas
    C. Il a influencé le contexte
    D. Il a influencé les perceptions sociales
A

A. Il a influencé la perception et l’interprétation du comportement du bébé

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127
Q
  1. Comment la réalité est-elle transformée selon la théorie cognitive?
    A. À travers nos émotions
    B. À travers nos sens
    C. À travers nos perceptions
    D. À travers nos schémas
A

D. À travers nos schémas

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128
Q
  1. Qu’est-ce qui peut nous amener à faire des erreurs de jugement?
    A. Nos perceptions sociales
    B. Nos stratégies cognitives
    C. Nos schémas
    D. Le contexte
A

B. Nos stratégies cognitives

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129
Q
  1. Qu’est-ce que les perceptions sociales?
    A. Les processus qui interprètent et analysent les informations provenant du monde social
    B. Processus perceptuel qui produit et maintient nos conceptions des autres personnes
    C. L’ensemble des processus cognitifs qui permettent d’interpréter, se rappeler, analyser et utiliser les perceptions sociales provenant du monde social
    D. Les processus qui stockent et remémorent les informations
A

B. Processus perceptuel qui produit et maintient nos conceptions des autres personnes

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130
Q
  1. Qu’est-ce qu’un prototype dans le contexte de la perception des objets vs. la perception des individus?

A. Un cliché ou stéréotype
B. Une catégorie sociale
C. Une corrélation illusoire
D. Un type de schéma

A

A. Un cliché ou stéréotype

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131
Q
  1. Que contiennent les prototypes selon le texte?
    A. Des traits, des comportements, des sentiments
    B. Des formes
    C. Des couleurs
    D. Des catégories sociales
A

A. Des traits, des comportements, des sentiments

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132
Q
  1. À quoi sert la catégorisation sociale ?
    A. À nuire aux individus
    B. Elle est automatique et habituellement utile
    C. À créer des stéréotypes
    D. À influencer les perceptions sociales
A

B. Elle est automatique et habituellement utile

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133
Q
  1. Quelle est une des raisons pour lesquelles les individus développent des stéréotypes et préjugés selon le texte?
    A. Catégorisation sociale
    B. Corrélation illusoire
    C. Prototype
    D. Perception des objets
A

B. Corrélation illusoire

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134
Q
  1. Qui a fait des recherches sur le taux de criminalité des Américains noirs selon le texte?
    A. Hamilton & Sherman
    B. Smith & Johnson
    C. King & Malcolm
    D. Condry & Condry
A

A. Hamilton & Sherman

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135
Q
  1. Quel pourcentage de la population représente les Américains noirs selon le texte?
    A. Environ 10%
    B. Environ 12%
    C. Environ 15%
    D. Environ 20%
A

B. Environ 12%

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136
Q
  1. La criminalité est-elle considérée comme un événement distinct/non-normatif dans le texte?
    A. Oui
    B. Non
    C. Incertain
    D. Le texte ne le précise pas
A

A. Oui

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137
Q
  1. Qu’est-ce qu’un raccourci dans le contexte de la psychologie sociale?
    B. Un processus perceptuel
    C. Une règle générale (rule of thumb)
    D. Un concept théorique
A

C. Une règle générale (rule of thumb)

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138
Q
  1. Quel est le rôle des raccourcis dans le jugement selon le texte?
    B. Ils influencent la perception et l’interprétation du comportement
    C. Ils aident à aller de l’avant & à évaluer, économisant de l’énergie cognitive
    D. Ils créent des stéréotypes
A

C. Ils aident à aller de l’avant & à évaluer, économisant de l’énergie cognitive

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139
Q
  1. Qu’est-ce qu’une heuristique de représentativité selon le texte?
    B. Un processus qui détermine si un individu fait partie d’une catégorie particulière
    C. Un processus qui influence la disponibilité des exemples qui nous viennent en tête
    D. Un processus qui influence la simulation des conséquences des situations semblables
A

B. Un processus qui détermine si un individu fait partie d’une catégorie particulière

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140
Q
  1. Qu’est-ce qu’une heuristique de disponibilité?
    B. Un processus qui détermine si un individu fait partie d’une catégorie particulière
    C. Un processus qui influence la disponibilité des exemples qui nous viennent en tête
    D. Un processus qui influence la simulation des conséquences des situations semblables
A

C. Un processus qui influence la disponibilité des exemples qui nous viennent en tête

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141
Q
  1. Qu’est-ce qu’une heuristique par simulation?
    B. Un processus qui détermine si un individu fait partie d’une catégorie particulière
    C. Un processus qui influence la disponibilité des exemples qui nous viennent en tête
    D. Un processus qui influence la simulation des conséquences des situations semblables
A

D. Un processus qui influence la simulation des conséquences des situations semblables

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142
Q
  1. Qu’est-ce qui est souvent inexact dans les jugements sociaux ?
    B. Les perceptions sociales
    C. Les stratégies cognitives
    D. Les stéréotypes et préjugés
A

D. Les stéréotypes et préjugés

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143
Q
  1. Qu’est-ce qui peut être le résultat des mécanismes qui produisent habituellement un jugement acceptable et adaptatif ?
    B. Des erreurs et illusions
    C. Une perception incomplète de la réalité
    D. Une capacité d’attention limitée
A

B. Des erreurs et illusions

144
Q
  1. Qu’est-ce qui peut influencer notre perception de la même réalité ?
    B. L’activation (ou l’amorçage) de schémas
    C. Les stéréotypes culturels
    D. Les prototypes
A

B. L’activation (ou l’amorçage) de schémas

145
Q
  1. Qu’est-ce qui est considéré comme un exemple de prototype ?
    B. Les présentations attendues des personnes (modèle idéal)
    C. Les traits, comportements, sentiments attribués rapidement aux types de personnes
    D. Les catégories sociales
A

B. Les présentations attendues des personnes (modèle idéal)

146
Q
  1. Qu’est-ce que l’amorçage en psychologie?
    A. L’activation de structures cognitives par le contexte social passé
    B. L’activation de structures cognitives par le contexte social actuel
    C. L’activation de structures cognitives par le contexte social futur
A

B

147
Q
  1. Quel est l’effet de l’amorçage?
    A. Il influence nos émotions et sentiments
    B. Il influence nos perceptions et comportements
    C. Il influence nos pensées et idées
A

B

Amorçage/activation: L’activation de structures cognitives par le contexte social actuel. L’activation de ces structures cognitives (même subliminalement) influence nos perceptions et comportements.

148
Q
  1. Quelle est une critique récente des études utilisant l’amorçage?
    A. Certains résultats passés ont été répliqués
    B. Certains résultats passés n’ont pas été répliqués
    C. Certains résultats passés ont été modifiés
A

B

149
Q
  1. Qu’est-ce qu’un modérateur dans le contexte de l’amorçage?
    A. Un facteur qui diminue l’effet de l’amorçage
    B. Un facteur qui influence l’effet de l’amorçage
    C. Un facteur qui augmente l’effet de l’amorçage
A

A

150
Q
  1. Quel est un exemple de modérateur dans le contexte de l’amorçage?
    A. Amorçage de l’optimisme mène à plus de persistance suite à la fatigue, mais ce, seulement pour les participants étant schématiques pour le pessimisme
    B. Amorçage de l’optimisme mène à plus de persistance suite à la fatigue, mais ce, seulement pour les participants étant schématiques pour l’optimisme
    C. Amorçage de l’optimisme mène à plus de persistance suite à la fatigue, mais ce, seulement pour les participants étant schématiques pour la neutralité
A

B

151
Q
  1. Qu’est-ce que l’optimisme schématique?
    A. Une tendance à percevoir les situations de manière pessimiste
    B. Une tendance à percevoir les situations de manière neutre
    C. Une tendance à percevoir les situations de manière optimiste
A

C

152
Q
  1. Qu’est-ce que l’activation subliminale?
    A. L’activation de structures cognitives par des stimuli perceptibles
    B. L’activation de structures cognitives par des stimuli imperceptibles
    C. L’activation de structures cognitives par des stimuli neutres
A

B

153
Q
  1. Qu’est-ce que la réplication en recherche?
    A. La capacité à obtenir des résultats différents avec les mêmes méthodes
    B. La capacité à obtenir les mêmes résultats avec des méthodes différentes
    C. La capacité à obtenir les mêmes résultats avec les mêmes méthodes
A

C

154
Q
  1. Qu’est-ce que la fatigue en psychologie?
    A. Un état de somnolence
    B. Un état d’épuisement mental ou physique
    C. Un état d’excitation
A

B

155
Q
  1. Pourquoi fait-on des attributions?
    A. Comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
    B. Prévenir les échecs et expliquer les événements inattendus
    C. Exprimer nos perceptions du monde aux autres
A

B

156
Q
  1. Pourquoi les attributions sont-elles étudiées en psychologie sociale?
    A. Les attributions expriment comment nous comprenons nos comportements
    B. Elles jouent un rôle essentiel dans nos comportements sociaux.
    C. Les attributions sont étudiées en mesurant, catégorisant et en analysant leur impact et leurs conséquences
A

C

157
Q
  1. Donc la catégorisation des attributions: est utile pour regrouper un nombre d’attributions, ainsi on peut comparer les conséquences de divers types d’attribution.
    A. Vrai
    B. Faux
A

A

158
Q
  1. Aussi utile de faire une théorie pour pouvoir classifier les attributions… Peux prédire des émotions différentes, types d’attribution peuvent prédire des émotions différentes…
    A.Vrai
    B.Faux
A

A

159
Q
  1. Le lieu de causalité: Interne/extreme (reflète soit un aspect de la situation OU un aspect identitaire)
    A.Vrai
    B.Faux
A

B

(reflète soit un aspect de la situation OU un aspect
de la personne)

160
Q
  1. L’attribution de contrôlabilité correspond à l’évaluation controlable/Incontrolable (est-ce qu’il est possible ou non de controler l’attribution?)
    A.Vrai
    B.Faux
A

A

161
Q
  1. Niveau de généralité: Global/Spécifique (est-ce que l’attribution touche à plusieurs domaines dans vie ou bien seulement à un domaine)
    A.Vrai
    B.Faux
A

A

162
Q
  1. Qu’est-ce que l’attribution en psychologie sociale?
A

L’attribution est le processus par lequel les individus expliquent les causes de comportement et d’événements.

163
Q

Qu’est-ce que le biais d’attribution?
A. Le biais d’attribution est la tendance à attribuer ses propres actions à des facteurs externes et les actions des autres à des traits de caractère.
B. Le biais d’attribution est la tendance à attribuer ses propres actions à des facteurs externes et les actions des autres à des traits de caractère.
C. Le biais d’attribution est la tendance à attribuer ses propres actions à des facteurs externes et les actions des autres à des traits de caractère.

A

B

164
Q
  1. Pourquoi fait-on des attributions?
    A. Comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
    B. Prévenir les échecs et expliquer les événements inattendus
    C. Exprimer nos perceptions du monde aux autres
A

B

165
Q
  1. Pourquoi les attributions sont-elles étudiées en psychologie sociale?
    A. Les attributions expriment comment nous comprenons nos comportements
    B. Elles jouent un rôle essentiel dans nos comportements sociaux.
    C. Les attributions sont étudiées en mesurant, catégorisant et en analysant leur impact et leurs conséquences
A

C

166
Q
  1. Donc la catégorisation des attributions: est utile pour regrouper un nombre d’attributions, ainsi on peut comparer les conséquences de divers types d’attribution.
    A. Vrai
    B. Faux
A

A

167
Q
  1. Aussi utile de faire une théorie pour pouvoir classifier les attributions… Peux prédire des émotions différentes, types d’attribution peuvent prédire des émotions différentes…
    A.Vrai
    B.Faux
A

B

168
Q
  1. Le lieu de causalité: Interne/extreme (reflète soit un aspect de la situation OU un aspect identitaire)
    A.Vrai
    B.Faux
A

B

169
Q
  1. Le contrôlable: Controlable/Incontrolable (est-ce qu’il est possible ou non de controler l’attribution?)
    A.Vrai
    B.Faux
A

A

170
Q
  1. Pourquoi fait-on des attributions?
    A. Comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
    B. Prévenir les échecs et expliquer les événements inattendus
    C. Exprimer nos perceptions du monde aux autres
A

B

171
Q
  1. Niveau de généralité: Global/Spécifique (est-ce que l’attribution touche à plusieurs domaines dans vie ou bien c’est un aspect unique)
    A.Vrai
    B.Faux
A

B

172
Q
  1. Donc la catégorisation des attributions: est utile pour regrouper un nombre d’attributions, ainsi on peut comparer les conséquences de divers types d’attribution.
    A. Vrai
    B. Faux
A

A

173
Q
  1. Niveau de généralité: Global/Spécifique (est-ce que l’attribution touche à plusieurs domaines dans vie ou bien c’est un aspect unique)
    A.Vrai
    B.Faux
A

B

174
Q
  1. Donc la catégorisation des attributions: est utile pour regrouper un nombre d’attributions, ainsi on peut comparer les conséquences de divers types d’attribution.
    A. Vrai
    B. Faux
A

A

175
Q
  1. Le contrôlable: Controlable/Incontrolable (est-ce qu’il est possible ou non de controler l’attribution?)
    A.Vrai
    B.Faux
A

A

176
Q
  1. Pourquoi fait-on des attributions?
    A. Comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
    B. Prévenir les échecs et expliquer les événements inattendus
    C. Exprimer nos perceptions du monde aux autres
A

B

177
Q

Comment les attributions sont-elles étudiées en psychologie sociale?

A

Les attributions sont étudiées en mesurant, catégorisant et en analysant leur impact et leurs conséquences

178
Q
  1. Donc la catégorisation des attributions: est utile pour regrouper un nombre d’attributions, ainsi on peut comparer les conséquences de divers types d’attribution.
    A. Vrai
    B. Faux
A

A

179
Q
  1. Le contrôlable: Controlable/Incontrolable (est-ce qu’il est possible ou non de controler l’attribution?)
    A.Vrai
    B.Faux
A

A

180
Q
  1. Qu’est-ce que le schéma causal?
    A. Un raccourci heuristique pour faire des attributions
    B. Une méthode pour arriver à une attribution
    C. Un schéma cognitif issu de nos expériences
A

A et C

181
Q

De quoi est formé un schéma causal ?

A

Le schéma causal est: de l’information relative aux relations causales dans notre environnement social et storé dans un schéma cognitif

182
Q
  1. Qu’est-ce que le principe d’augmentation?
    A. Une cause inhibitrice présentée avec une cause facilitante augmente la force de cette deuxième cause
    B. Un principe qui augmente la correspondance entre le comportement et la personnalité
    C. Un principe qui augmente la force d’une attribution
A

A

183
Q
  1. Qu’est-ce que le biais égocentrique?
    A. Un biais où on attribue nos succès à des causes internes et nos échecs à des causes externes
    B. Un biais où on attribue nos échecs à des causes internes et nos succès à des causes externes
    C. Un biais où on attribue tous nos comportements à des causes internes
A

A

184
Q
  1. Qu’est-ce que la covariation?
    A. Un principe où deux éléments ont lieu en même temps ou au même endroit
    B. Un principe où un élément a lieu en fonction de l’autre
    C. Un principe où deux éléments ont lieu indépendamment l’un de l’autre
A

A

185
Q
  1. Qu’est-ce que la désirabilité sociale?
    A. Un comportement influencé par les normes sociales
    B. Un comportement influencé par les critères internes
    C. Un comportement influencé par les deux
A

A

186
Q
  1. Qu’est-ce que le choix dans le contexte d’un accident rendant une personne quadriplégique?
    A. L’individu avait le choix du comportement
    B. L’individu n’avait pas le choix du comportement
    C. Le choix du comportement n’a pas d’importance
A

B

187
Q
  1. Qu’est-ce que les effets distinctifs?
    A. Les conséquences distinctives informent davantage sur la personnalité
    B. Les conséquences distinctives n’informent pas sur la personnalité
    C. Les conséquences distinctives informent partiellement sur la personnalité
A

A

188
Q
  1. Qu’est-ce que l’égo depletion?
    A. Un état où avoir trop d’une situation nécessite un rafraîchissement personnel
    B. Un état où avoir peu d’une situation nécessite un rafraîchissement personnel
    C. Un état où la situation n’affecte pas le besoin de rafraîchissement personnel
A

A

189
Q
  1. Qu’est-ce que l’attribution de responsabilité injustifiée?
    A. La tendance à blâmer les victimes suite à un évènement négatif
    B. La tendance à blâmer les auteurs suite à un évènement négatif
    C. La tendance à blâmer les victimes suite à un évènement positif
    D. La tendance à blâmer les auteurs suite à un évènement positif
A

A

190
Q
  1. Qu’est-ce que l’hypothèse du monde juste (Lerner)?
    A. La croyance que nous méritons ce qui nous arrive
    B. La croyance que nous ne méritons pas ce qui nous arrive
    C. La croyance que les bonnes choses arrivent aux mauvaises personnes et les mauvaises aux bonnes
    D. La croyance que les mauvaises choses arrivent aux bonnes personnes et les bonnes aux mauvaises
A

A

191
Q
  1. Pourquoi croire en une telle hypothèse?
    A. Potentiellement un mécanisme de défense contre le manque de contrôle face à la souffrance d’autrui
    B. Potentiellement un mécanisme de défense contre le manque de contrôle face à notre propre souffrance
    C. Justification externe au fait que la vie/le monde est hors de notre contrôle immédiat
    D. Justification interne au fait que la vie/le monde est sous notre contrôle immédiat
A

A

192
Q
  1. Qu’est-ce que le biais égocentrique?
    A. Être biaisé par rapport à soi-même
    B. Être biaisé par rapport aux autres
    C. L’agent responsable de ses actions est au centre de l’attention
    D. De manière générale, lorsqu’on observe les autres on a tendance à trouver la cause là où on la cherche
A

A

193
Q
  1. Qu’est-ce que l’erreur attributionnelle fondamentale?
    A. Biais de correspondance: faire abstraction de la situation/contexte et insister sur le rôle de l’acteur dans l’émission de son comportement
    B. Nous surestimons l’importance des causes dispositionnelles et sous estimons les causes situationnelles lorsqu’on observe autrui
    C. Tendance à attribuer nos actions à la situation et attribution des actions des autres à leur disposition
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

194
Q
  1. Qu’est-ce que le biais acteur-observateur?
    A. La suite logique de l’erreur attributionnelle fondamentale
    B. Tendance à attribuer nos actions à la situation et attribution des actions des autres à leur disposition
    C. Tendance à attribuer nos actions à notre disposition et attribution des actions des autres à la situation
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

B

195
Q
  1. Quelles sont les solutions aux biais attributionnels?
    A. La réattribution (changer nos attributions)
    B. Apprendre à utiliser de nouvelles attributions plus positives pour pouvoir mieux s’adapter psychologiquement après un échec
    C. Mettre l’accent sur l’effort (contrôlable) plutôt que sur les dispositions ou habiletés naturelles sollicitées
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

196
Q
  1. Qu’est-ce que mens rea?
    A. L’intention criminelle
    B. L’intention bénévole
    C. L’intention neutre
    D. L’intention accidentelle
A

A

197
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attitude selon Allport (1935)?
    A. Un état mental et neurophysiologique de préparation à répondre
    B. Une évaluation de soi, d’autrui, d’un objet attitudinal
    C. Un état d’esprit qui influence notre comportement
    D. Une croyance ou un sentiment envers un objet attitudinal
A

B

198
Q
  1. Qu’est-ce que le principe d’augmentation?
    A. Une cause inhibitrice présentée avec une cause facilitante augmente la force de cette deuxième cause
    B. Un principe qui augmente la correspondance entre le comportement et la personnalité
    C. Un principe qui augmente la force d’une attribution
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

C

199
Q
  1. Qu’est-ce que le biais égocentrique?
    A. Un biais où on attribue nos succès à des causes internes et nos échecs à des causes externes
    B. Un biais où on attribue nos échecs à des causes internes et nos succès à des causes externes
    C. Un biais où on attribue tous nos comportements à des causes internes
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

200
Q
  1. Qu’est-ce que la covariation?
    A. Un principe où deux éléments ont lieu en même temps ou au même endroit
    B. Un principe où un élément a lieu en fonction de l’autre
    C. Un principe où deux éléments ont lieu indépendamment l’un de l’autre
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

A

201
Q
  1. Qu’est-ce que la désirabilité sociale?
    A. Un comportement influencé par les normes sociales
    B. Un comportement influencé par les critères internes
    C. Un comportement influencé par les deux
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

202
Q
  1. Qu’est-ce que le choix dans le contexte d’un accident rendant une personne quadriplégique?
    A. L’individu avait le choix du comportement
    B. L’individu n’avait pas le choix du comportement
    C. Le choix du comportement n’a pas d’importance
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

C

203
Q
  1. Qu’est-ce que les effets distinctifs?
    A. Les conséquences distinctives informent davantage sur la personnalité
    B. Les conséquences distinctives n’informent pas sur la personnalité
    C. Les conséquences distinctives informent partiellement sur la personnalité
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

A

204
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attitude selon Allport (1935)?
    B. Un état mental et neurophysiologique de préparation à répondre
    C. Une évaluation de soi, d’autrui, d’un objet attitudinal
    D. Un état d’esprit qui influence notre comportement
    A. Une croyance ou un sentiment envers un objet attitudinal
A

C

205
Q
  1. Qu’est-ce que le principe d’augmentation?
    B. Une cause inhibitrice présentée avec une cause facilitante augmente la force de cette deuxième cause
    C. Un principe qui augmente la correspondance entre le comportement et la personnalité
    D. Un principe qui augmente la force d’une attribution
    A. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

206
Q
  1. Qu’est-ce que le biais égocentrique?
    B. Un biais où on attribue nos succès à des causes internes et nos échecs à des causes externes
    C. Un biais où on attribue nos échecs à des causes internes et nos succès à des causes externes
    D. Un biais où on attribue tous nos comportements à des causes internes
    A. Toutes les réponses ci-dessus
A

A

207
Q
  1. Qu’est-ce que la covariation?
    B. Un principe où deux éléments ont lieu en même temps ou au même endroit
    C. Un principe où un élément a lieu en fonction de l’autre
    D. Un principe où deux éléments ont lieu indépendamment l’un de l’autre
    A. Toutes les réponses ci-dessus
A

C

208
Q
  1. Qu’est-ce que la désirabilité sociale?
    B. Un comportement influencé par les normes sociales
    C. Un comportement influencé par les critères internes
    D. Un comportement influencé par les deux
    A. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

209
Q
  1. Qu’est-ce que le choix dans le contexte d’un accident rendant une personne quadriplégique?
    B. L’individu avait le choix du comportement
    C. L’individu n’avait pas le choix du comportement
    D. Le choix du comportement n’a pas d’importance
    A. Toutes les réponses ci-dessus
A

A

210
Q
  1. Qu’est-ce que le principe d’augmentation?
    C. Une cause inhibitrice présentée avec une cause facilitante augmente la force de cette deuxième cause
    D. Un principe qui augmente la correspondance entre le comportement et la personnalité
    A. Un principe qui augmente la force d’une attribution
    B. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

211
Q
  1. Qu’est-ce que le biais égocentrique?
    D. Un biais où on attribue nos succès à des causes internes et nos échecs à des causes externes
    A. Un biais où on attribue nos échecs à des causes internes et nos succès à des causes externes
    B. Un biais où on attribue tous nos comportements à des causes internes
    C. Toutes les réponses ci-dessus
A

A

212
Q
  1. Qu’est-ce que la covariation?
    A. Un principe où deux éléments ont lieu en même temps ou au même endroit
    B. Un principe où un élément a lieu en fonction de l’autre
    C. Un principe où deux éléments ont lieu indépendamment l’un de l’autre
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

B

213
Q
  1. Qu’est-ce que la désirabilité sociale?
    D. Un comportement influencé par les normes sociales
    A. Un comportement influencé par les critères internes
    B. Un comportement influencé par les deux
    C. Toutes les réponses ci-dessus
A

A

214
Q
  1. Qu’est-ce que le choix dans le contexte d’un accident rendant une personne quadriplégique?
    C. L’individu avait le choix du comportement
    D. L’individu n’avait pas le choix du comportement
    A. Le choix du comportement n’a pas d’importance
    B. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

215
Q
  1. Qu’est-ce que les effets distinctifs?
    B. Les conséquences distinctives informent davantage sur la personnalité
    C. Les conséquences distinctives n’informent pas sur la personnalité
    D. Les conséquences distinctives informent partiellement sur la personnalité
    A. Toutes les réponses ci-dessus
A

C

216
Q
  1. Qu’est-ce que le pouvoir de la situation sociale/l’environnement social?
    A. Peut souvent déterminer le comportement des individus malgré leurs différences individuelles
    B. Peut parfois déterminer le comportement des individus malgré leurs différences individuelles
    C. Peut rarement déterminer le comportement des individus malgré leurs différences individuelles
    D. Ne peut jamais déterminer le comportement des individus malgré leurs différences individuelles
A

A

217
Q
  1. Qu’est-ce que le comportement social peut être effectué de deux façons?
    A. Directe: par la présence d’une personne (et de son comportement)
    B. Indirecte: par l’influence imaginaire ou implicite d’une personne (et de son comportement)
    C. Directe: par la présence d’une situation (et de son comportement)
    D. Indirecte: par l’influence imaginaire ou implicite d’une situation (et de son comportement)
A

B

218
Q
  1. Qu’est-ce que les différences individuelles peuvent faire?
    A. Peuvent à la fois influencer une personne et aider une personne à influencer autrui
    B. Peuvent à la fois influencer une situation et aider une situation à influencer autrui
    C. Peuvent à la fois influencer un environnement et aider un environnement à influencer autrui
    D. Peuvent à la fois influencer un groupe et aider un groupe à influencer autrui
A

A

219
Q
  1. Qu’est-ce que la psychologie sociale vise?
    A. Un cadre intégratif modéré (entre l’interactivité extrême et l’explication réductionniste)
    B. Un cadre intégratif modéré (entre l’interactivité extrême et l’explication expansionniste)
    C. Un cadre intégratif modéré (entre l’interactivité minimale et l’explication réductionniste)
    D. Un cadre intégratif modéré (entre l’interactivité minimale et l’explication expansionniste)
A

A

220
Q
  1. Qu’est-ce que l’effet Dunning-Kruger?
    A. Une prise de connaissances (de base) crée souvent une augmentation de la confiance en la matière connue
    B. Plus la connaissance s’approfondit, plus d’incertitudes se présentent
    C. Les personnes incompétentes pensent en savoir plus qu’elles ne le savent vraiment
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

221
Q
  1. Qu’est-ce que le Sens Commun en psychologie sociale?
    A. Peu fiable, mène souvent à des conclusions erronées, contradictoires ou à des biais cognitifs
    B. Ne s’applique pas universellement
    C. N’explique pas pourquoi un phénomène se produit
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

222
Q
  1. Qui est Floyd Allport?
    A. A publié un des volumes les plus importants de l’histoire de la psychologie sociale
    B. Position béhavioriste basé sur l’apprentissage
    C. A donné une direction à la psychologie sociale basée sur l’individu
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

223
Q
  1. Qui est Kurt Lewin?
    A. Père de la psychologie sociale
    B. Utilise l’environnement de laboratoire créativement
    C. S’intéresse aux problèmes sociaux en se basant sur des fondements théoriques
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

224
Q
  1. Qui est William James?
    A. A inventé le terme ‘the social me’ pour étiqueter les parties de la conscience qui découlent des interactions sociales
    B. Les interactions des autres forgent notre identité
    C. A divisé le soi en trois grandes sphères: Le soi spirituel, Le soi matériel, Le soi social
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

225
Q
  1. Qu’est-ce que le soi spirituel selon William James?
    A. Une partie de la conscience qui découle des interactions sociales
    B. Une partie de la conscience qui découle des interactions matérielles
    C. Une partie de la conscience qui découle des interactions spirituelles
    D. Aucune des réponses ci-dessus
A

A

226
Q
  1. Qu’est-ce que le soi matériel selon William James?
    A. Une partie de la conscience qui découle des interactions sociales
    B. Une partie de la conscience qui découle des interactions matérielles
    C. Une partie de la conscience qui découle des interactions spirituelles
    D. Aucune des réponses ci-dessus
A

B

227
Q
  1. Qu’est-ce que le soi social selon William James?
    A. Une partie de la conscience qui découle des interactions sociales
    B. Une partie de la conscience qui découle des interactions matérielles
    C. Une partie de la conscience qui découle des interactions spirituelles
    D. Aucune des réponses ci-dessus
A

A

228
Q
  1. Qu’est-ce que la psychologie sociale vise?
    A. Un cadre intégratif modéré (entre l’interactivité extrême et l’explication réductionniste)
    B. Un cadre intégratif modéré (entre l’interactivité extrême et l’explication expansionniste)
    C. Un cadre intégratif modéré (entre l’interactivité minimale et l’explication réductionniste)
    D. Un cadre intégratif modéré (entre l’interactivité minimale et l’explication expansionniste)
A

A

229
Q
  1. Qu’est-ce que les interactions des autres forgent selon William James?
    A. Notre identité
    B. Notre personnalité
    C. Notre comportement
    D. Notre cognition
A

A

230
Q
  1. Qu’est-ce que la science?
    A. Un ensemble de démarches nécessaires pour obtenir des connaissances valides (scientifiques) par le biais d’observations obtenues à l’aide d’instruments fiables
    B. Un ensemble de valeurs (exactitude, objectivité, scepticisme, ouverture d’esprit)
    C. Réalisé par plusieurs méthodes de recherche
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

231
Q
  1. Quels sont les aspects fondamentaux de la science?
    A. Problématique/Question de recherche
    B. Réplicabilité et explications de résultats divergents
    C. Statistiques
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

232
Q
  1. Quelles sont les étapes de la recherche scientifique?
    A. Analyse statistique des données
    B. Choix de la mesure du phénomène d’intérêt
    C. Formulation d’hypothèse(s) basée(s) sur de la théorie
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

233
Q
  1. Qu’est-ce qu’une variable médiatrice?
    A. Celles par lesquelles « passe » l’effet d’une variable indépendante (VI) sur une variable dépendante (VD)
    B. Celles qui font varier l’effet d’une VI sur une VD
    C. Celles qui n’influencent pas l’effet d’une VI sur une VD
    D. Aucune des réponses ci-dessus
A

A

234
Q
  1. Qu’est-ce qu’une variable modératrice?
    A. Celles par lesquelles « passe » l’effet d’une VI sur une VD
    B. Celles qui font varier l’effet d’une VI sur une VD
    C. Celles qui n’influencent pas l’effet d’une VI sur une VD
    D. Aucune des réponses ci-dessus
A

B

235
Q
  1. Où peut être réalisée la méthode de recherche (le devis)?
    A. En laboratoire
    B. Sur le terrain
    C. Dans un bureau
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

B

236
Q
  1. Qu’est-ce que la science selon Allport (1968)?
    A. Un ensemble de valeurs (exactitude, objectivité, scepticisme, ouverture d’esprit)
    B. Un ensemble de démarches nécessaires pour obtenir des connaissances valides (scientifiques) par le biais d’observations obtenues à l’aide d’instruments fiables
    C. Réalisé par plusieurs méthodes de recherche
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

237
Q
  1. Qu’est-ce que la science selon Kurt Lewin?
    A. Un ensemble de valeurs (exactitude, objectivité, scepticisme, ouverture d’esprit)
    B. Un ensemble de démarches nécessaires pour obtenir des connaissances valides (scientifiques) par le biais d’observations obtenues à l’aide d’instruments fiables
    C. Réalisé par plusieurs méthodes de recherche
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

238
Q
  1. Qu’est-ce que la science selon William James?
    A. Un ensemble de valeurs (exactitude, objectivité, scepticisme, ouverture d’esprit)
    B. Un ensemble de démarches nécessaires pour obtenir des connaissances valides (scientifiques) par le biais d’observations obtenues à l’aide d’instruments fiables
    C. Réalisé par plusieurs méthodes de recherche
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

239
Q
  1. Qu’est-ce qu’un devis expérimental en laboratoire?
    A. L’expérimentateur(trice) manipule au moins une VI et assigne aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales
    B. L’expérimentateur(trice) manipule au moins une VI et assigne non aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales
    C. L’expérimentateur(trice) ne manipule pas de VI et assigne aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales
    D. L’expérimentateur(trice) ne manipule pas de VI et assigne non aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales
A

A

240
Q
  1. Quel est l’avantage du devis expérimental en laboratoire?
    A. Validité interne, assignation aléatoire infère la causalité
    B. Validité externe, assignation aléatoire infère la causalité
    C. Validité interne, assignation non aléatoire infère la causalité
    D. Validité externe, assignation non aléatoire infère la causalité
A

A

241
Q
  1. Qu’est-ce qu’un devis de la simulation en laboratoire?
    A. Demande aux participants d’agir comme s’ils se trouvaient en situation réelle
    B. Demande aux participants d’agir comme s’ils ne se trouvaient pas en situation réelle
    C. Demande aux participants d’agir comme s’ils se trouvaient en situation irréelle
    D. Demande aux participants d’agir comme s’ils se trouvaient en situation virtuelle
A

A

242
Q
  1. Quel est l’avantage du devis de la simulation en laboratoire?
    A. Implique psychologiquement les participant-es
    B. Implique physiquement les participant-es
    C. Implique émotionnellement les participant-es
    D. Implique virtuellement les participant-es
A

Surtout A
Aussi C

243
Q
  1. Qu’est-ce qu’un devis expérimental sur le terrain?
    A. L’expérimentateur(trice) manipule au moins une VI et assigne aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales sur le terrain
    B. L’expérimentateur(trice) manipule au moins une VI et assigne non aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales sur le terrain
    C. L’expérimentateur(trice) ne manipule pas de VI et assigne aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales sur le terrain
    D. L’expérimentateur(trice) ne manipule pas de VI et assigne non aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales sur le terrain
A

A

244
Q
  1. Quel est l’avantage du devis expérimental sur le terrain?
    A. Meilleure validité externe que le devis expérimental en laboratoire
    B. Meilleure validité interne que le devis expérimental en laboratoire
    C. Moins de réactions de la part des participants
    D. Plus de réactions de la part des participants
A

A

245
Q
  1. Qu’est-ce qu’un devis corrélationnel?
    A. Permet d’étudier les associations entre les variables
    B. Permet d’étudier les dissociations entre les variables
    C. Permet d’étudier les corrélations entre les variables
    D. Permet d’étudier les causalités entre les variables
A

A ou C

246
Q
  1. Quel est l’avantage du devis corrélationnel?
    A. Utiles lors des premières étapes de la recherche et la validation d’instruments
    B. Utiles lors des dernières étapes de la recherche et la validation d’instruments
    C. Utiles lors des étapes intermédiaires de la recherche et la validation d’instruments
    D. Utiles lors de toutes les étapes de la recherche et la validation d’instruments
A

A

247
Q
  1. Qu’est-ce que les psychologues sociaux font de la recherche pour?
    A. Prédire le comportement social en utilisant des études corrélationnelles
    B. Prédire le comportement social en utilisant des études causales
    C. Prédire le comportement social en utilisant des études expérimentales
    D. Prédire le comportement social en utilisant des études observationnelles
A

A

248
Q
  1. Qu’est-ce que les psychologues sociaux tentent d’expliquer?
    A. Le comportement social en conduisant des expérimentations qui manipulent un ou plusieurs facteurs sous des conditions contrôlées
    B. Le comportement social en conduisant des expérimentations qui manipulent un ou plusieurs facteurs sous des conditions non contrôlées
    C. Le comportement social en conduisant des expérimentations qui ne manipulent pas de facteurs sous des conditions contrôlées
    D. Le comportement social en conduisant des expérimentations qui ne manipulent pas de facteurs sous des conditions non contrôlées
A

A

249
Q
  1. Qu’est-ce que le biais de prévisibilité ou biais de connaissance après les faits?
    A. Surestimer la probabilité qu’un événement arrive avant qu’il se soit déroulé
    B. Sous-estimer la probabilité qu’un événement arrive après qu’il se soit déroulé
    C. Surestimer la probabilité qu’un événement arrive après qu’il se soit déroulé
    D. Sous-estimer la probabilité qu’un événement arrive avant qu’il se soit déroulé
A

C

250
Q
  1. Qu’est-ce que le biais de correspondance?
    A. Tendance à faire abstraction de l’influence de l’acteur et à insister sur le rôle de la situation dans l’émission de son comportement
    B. Tendance à faire abstraction de l’influence de l’acteur et de la situation dans l’émission de son comportement
    C. Tendance à faire abstraction de l’influence de la situation et à insister sur le rôle de l’acteur dans l’émission de son comportement
    D. Tendance à insister sur l’influence de l’acteur et de la situation dans l’émission de son comportement
A

C

251
Q
  1. Qu’est-ce que le biais acteur-observateur?
    A. Tendance à attribuer nos actions à des facteurs dispositionnels et celles des autres à la situation
    B. Tendance à attribuer nos actions à la situation et celles des autres à des facteurs dispositionnels
    C. Tendance à attribuer nos actions et celles des autres à la situation
    D. Tendance à attribuer nos actions et celles des autres à des facteurs dispositionnels
A

B

252
Q
  1. Qu’est-ce que l’attribution de responsabilité injustifiée?
    A. Blâmer les victimes suite à un événement positif
    B. Blâmer les victimes suite à un événement négatif
    C. Blâmer les coupables suite à un événement négatif
    D. Blâmer les coupables suite à un événement positif
A

B

253
Q
  1. Qu’est-ce que la théorie du monde juste?
    A. Répercussions karmiques selon la nature fondamentale (bonne/mauvaises) des personnes
    B. Répercussions karmiques selon la nature fondamentale (mauvaises/bonnes) des personnes
    C. Répercussions karmiques selon la nature fondamentale (bonnes/mauvaises) des personnes
    D. Répercussions karmiques selon la nature fondamentale (mauvaises/bonnes) des personnes
A

C

254
Q
  1. Qu’est-ce qu’un devis expérimental en laboratoire?
    A. L’expérimentateur(trice) manipule au moins une VI et assigne non aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales
    B. L’expérimentateur(trice) ne manipule pas de VI et assigne aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales
    C. L’expérimentateur(trice) manipule au moins une VI et assigne aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales
    D. L’expérimentateur(trice) ne manipule pas de VI et assigne non aléatoirement les participant-es aux conditions expérimentales
A

C

255
Q
  1. Quel est l’avantage du devis expérimental en laboratoire?
    A. Validité externe, assignation aléatoire infère la causalité
    B. Validité interne, assignation aléatoire infère la causalité
    C. Validité interne, assignation non aléatoire infère la causalité
    D. Validité externe, assignation non aléatoire infère la causalité
A

B

256
Q
  1. Qu’est-ce que le devis de la simulation en laboratoire?
    A. Demande aux participants d’agir comme s’ils ne se trouvaient pas en situation réelle
    B. Demande aux participants d’agir comme s’ils se trouvaient en situation irréelle
    C. Demande aux participants d’agir comme s’ils se trouvaient en situation réelle
    D. Demande aux participants d’agir comme s’ils se trouvaient en situation virtuelle
A

C

257
Q
  1. Quel est l’avantage du devis de la simulation en laboratoire?
    A. Implique physiquement les participant-es
    B. Implique émotionnellement les participant-es
    C. Implique psychologiquement les participant-es
    D. Implique virtuellement les participant-es
A

C

258
Q
  1. Qu’est-ce que le Soi?
    A. Une entité à l’intérieur du corps qui évalue le monde pour nous, qui enregistre l’information perçue et qui guide nos actions
    B. Au centre de notre monde conscient. Aide à organiser nos pensées et nos actions en relation à nous même et aux autres
    C. La totalité des phénomènes psychologiques inter-reliés qui sont à l’origine, qui causent, ou qui dépendent de notre conscience de soi
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

259
Q
  1. Qu’est-ce que le MOI selon William James?
    A. Les informations que nous avons sur nous-mêmes résultant d’évaluations, de nos interactions et de prises de conscience
    B. Les informations que nous avons sur nous-mêmes résultant d’évaluations, de nos interactions et de prises d’inconscience
    C. Les informations que nous avons sur les autres résultant d’évaluations, de nos interactions et de prises de conscience
    D. Les informations que nous avons sur les autres résultant d’évaluations, de nos interactions et de prises d’inconscience
A

A

260
Q
  1. Qu’est-ce que le soi spirituel selon William James?
    A. Renvoie aux expériences antérieures, aux idéaux, valeurs, habiletés qui sont représentés dans des aspects relativement stables de nous-même
    B. Renvoie aux expériences futures, aux idéaux, valeurs, habiletés qui sont représentés dans des aspects relativement stables de nous-même
    C. Renvoie aux expériences antérieures, aux idéaux, valeurs, habiletés qui sont représentés dans des aspects relativement instables de nous-même
    D. Renvoie aux expériences futures, aux idéaux, valeurs, habiletés qui sont représentés dans des aspects relativement instables de nous-même
A

A

261
Q
  1. Qu’est-ce que le soi matériel selon William James?
    A. Renvoie aux aspects corporels, de nos vêtements, de nos possessions physiques
    B. Renvoie aux aspects corporels, de nos vêtements, de nos possessions spirituelles
    C. Renvoie aux aspects spirituels, de nos vêtements, de nos possessions physiques
    D. Renvoie aux aspects spirituels, de nos vêtements, de nos possessions spirituelles
A

A

262
Q
  1. Qu’est-ce que le soi social selon William James?
    A. Renvoie à l’image que l’on projette aux autres et aux différents rôles qu’on adopte devant les gens qui nous entourent
    B. Renvoie à l’image que l’on projette à soi-même et aux différents rôles qu’on adopte devant soi-même
    C. Renvoie à l’image que l’on projette aux autres et aux différents rôles qu’on adopte devant soi-même
    D. Renvoie à l’image que l’on projette à soi-même et aux différents rôles qu’on adopte devant les gens qui nous entourent
A

A

263
Q
  1. Qu’est-ce que la clarté du concept de soi?
    A. La mesure dans laquelle le concept de soi est clairement défini, cohérent, stable et permet la continuité de la conscience de soi
    B. La mesure dans laquelle le concept de soi est clairement défini, incohérent, instable et permet la discontinuité de la conscience de soi
    C. La mesure dans laquelle le concept de soi est obscurément défini, cohérent, stable et permet la continuité de la conscience de soi
    D. La mesure dans laquelle le concept de soi est obscurément défini, incohérent, instable et permet la discontinuité de la conscience de soi
A

A

264
Q
  1. Qu’est-ce que la grande clarté du concept de soi?
    A. Plus grande possibilité de discrimination face aux stimulis socialement pertinents
    B. Plus grande possibilité de discrimination face aux stimulis socialement impertinents
    C. Plus petite possibilité de discrimination face aux stimulis socialement pertinents
    D. Plus petite possibilité de discrimination face aux stimulis socialement impertinents
A

A

265
Q
  1. Qu’est-ce que la faible clarté du concept de soi?
    A. Plus grande probabilité d’influence de stimulis externes socialement pertinents
    B. Plus grande probabilité d’influence de stimulis internes socialement pertinents
    C. Plus petite probabilité d’influence de stimulis externes socialement pertinents
    D. Plus petite probabilité d’influence de stimulis internes socialement pertinents
A

A

266
Q

Qu’est-ce que le schéma du soi?
A) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
B) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
C) Le système de régulation interne qui analyse et mesure la qualité des relations avec autrui.
D) Aucune de ces réponses.
E) Toutes ces réponses.
F) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.

A

F) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.

267
Q

Qu’est-ce qu’un soi relationnel?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Le système de régulation interne qui analyse et mesure la qualité des relations avec autrui.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.

268
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Le système de régulation interne qui analyse et mesure la qualité des relations avec autrui.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.

269
Q

Qu’est-ce que le TAI?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Le test mesurant le temps de réaction d’un-e participant-e face à des associations cognitives implicites.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

D) Le test mesurant le temps de réaction d’un-e participant-e face à des associations cognitives implicites.

270
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi explicite?
A) Comment nous exprimons notre évaluation de notre estime de soi de façon consciente (souvent à autrui).
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Le système de régulation interne qui analyse et mesure la qualité des relations avec autrui.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

A) Comment nous exprimons notre évaluation de notre estime de soi de façon consciente (souvent à autrui).

271
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi implicite?
A) Est automatique, peut être mesuré par TAI et n’est pas accessible aux processus cognitifs conscients; ce qu’est en réalité notre estime.
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Le système de régulation interne qui analyse et mesure la qualité des relations avec autrui.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

A) Est automatique, peut être mesuré par TAI et n’est pas accessible aux processus cognitifs conscients; ce qu’est en réalité notre estime.

272
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi selon Leary et al.?
A) Un système de régulation interne qui analyse et mesure la qualité des relations avec autrui.
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

A) Un système de régulation interne qui analyse et mesure la qualité des relations avec autrui.

273
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi en tant qu’outil de mesure d’inclusion sociale?
A) Un outil de mesure d’inclusion sociale découlant de l’inclusion dans l’environnement social de l’individu.
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

A) Un outil de mesure d’inclusion sociale découlant de l’inclusion dans l’environnement social de l’individu.

274
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi en tant que symptôme?
A) La basse estime de soi est un symptôme, et non pas la cause de tous les problèmes.
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

A) La basse estime de soi est un symptôme, et non pas la cause de tous les problèmes.

275
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi en tant que biais corrélationnel?
A) On surestime souvent les bienfaits de l’estime de soi.
B) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
C) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
D) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

A) On surestime souvent les bienfaits de l’estime de soi.

276
Q

Qu’est-ce que l’effet d’interférence?
A) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
B) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
C) Ralentissement cognitif lorsqu’on nous exige d’associer des traits négatifs au schéma du soi.
D) Le système de régulation interne qui analyse et mesure la qualité des relations avec autrui.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

C) Ralentissement cognitif lorsqu’on nous exige d’associer des traits négatifs au schéma du soi.

277
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi instable?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) Sensibilité à la critique, aux rétroactions, évaluations.
C) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
D) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

B) Sensibilité à la critique, aux rétroactions, évaluations.

278
Q

Qu’est-ce que la contingence de l’estime de soi?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) Lorsque notre estime de nous-mêmes contingente de certains événements extérieurs à nous-même (notre performance, acceptation par les autres) dans des domaines de vie spécifiques.
C) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
D) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

B) Lorsque notre estime de nous-mêmes contingente de certains événements extérieurs à nous-même (notre performance, acceptation par les autres) dans des domaines de vie spécifiques.

279
Q

Qu’est-ce que l’auto-évaluation?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) Sert à déterminer la valeur de l’information que nous avons sur nous-même.
C) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
D) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

B) Sert à déterminer la valeur de l’information que nous avons sur nous-même.

280
Q

Qu’est-ce que le contexte social & culturel?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) Interactionnisme symbolique: lorsque nous obtenons des informations sur nous même à travers la perception qu’ont les autres de nous.
C) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
D) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

B) Interactionnisme symbolique: lorsque nous obtenons des informations sur nous même à travers la perception qu’ont les autres de nous.

281
Q

D’où vient le Soi?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) De l’observation de soi.
C) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
D) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

B) De l’observation de soi.

282
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi selon Crocker, Sommers & Luthanen (2002)?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) Pour les élèves ayant une contingence d’estime de soi plus ÉLEVÉ (donc plus dépendant sur des facteur externes), le refus/l’acceptation a eu un plus gros impact sur l’estime de soi.
C) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
D) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

B) Pour les élèves ayant une contingence d’estime de soi plus ÉLEVÉ (donc plus dépendant sur des facteur externes), le refus/l’acceptation a eu un plus gros impact sur l’estime de soi.

283
Q

Qu’est-ce que l’estime de soi en tant que symptôme?
A) Les traits du schéma du soi que nous présentons selon le groupe/le contexte social.
B) La basse estime de soi est un symptôme, et non pas la cause de tous les problèmes.
C) La représentation organisée des connaissances que nous avons sur nous-mêmes.
D) L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-mêmes.
E) Aucune de ces réponses.
F) Toutes ces réponses.

A

B) La basse estime de soi est un symptôme, et non pas la cause de tous les problèmes.

284
Q
  1. Qu’est-ce qu’un schéma ?
    A. Un raccourci cognitif
    B. Un concept théorique pour exprimer certains processus de cognition.
    C. Une structure cognitive qui représente de manière organisée les connaissances que nous possédons.
    D. Une source d’information rapide
A

B

285
Q
  1. Qu’est-ce qu’un prototype dans le contexte des schémas ?
    A. Un concept théorique
    B. Un type particulier de schéma qui sert à représenter une plus grande catégorie schématique.
    C. Une structure cognitive
    D. Une source d’information rapide
A

Toutes ces réponses

286
Q
  1. Quel est l’un des avantages des schémas ?
    A. Ils peuvent mener à la formation de biais ou préjugés
    B. Ils influencent l’orientation de nos souvenirs
    C. Ils facilitent la perception d’objets attentionnels déjà intégrés dans un schéma
    D. Ils créent des prophéties qui s’auto-réalisent
A

C

287
Q
  1. Quel est l’un des inconvénients des schémas ?
    A. Ils facilitent la perception d’objets attentionnels déjà intégrés dans un schéma
    B. Ils influencent l’orientation de notre attention
    C. Ils facilitent l’entreposage d’information dans un schéma organisé
    D. Ils organisent facilement de nouvelles informations dans des schémas organisés
A

B

288
Q
  1. Qu’est-ce qu’un raccourci cognitif ?
    A. Un concept théorique
    B. Un type particulier de schéma qui sert à représenter une plus grande catégorie schématique.
    C. Une structure cognitive
    D. Il nous permet de comprendre un monde social très complexe rapidement et selon une préservation d’énergie.
A

D

289
Q
  1. Qu’est-ce qu’un schéma de soi ?
    A. Un concept théorique
    B. Un type particulier de schéma qui sert à représenter une plus grande catégorie schématique.
    C. C’est un schéma que nous possédons sur nous-même.
    D. C’est un type de raccourci cognitif.
A

C

290
Q
  1. Qu’est-ce qu’un stéréotype dans le contexte des schémas ?
    A. Un concept théorique
    B. C’est un type de prototype.
    C. C’est un schéma que nous possédons sur nous-même.
    D. C’est un type de raccourci cognitif.
A

B

291
Q
  1. Comment le contexte peut-il influencer le comportement d’une personne ou d’un groupe ?
    A. À travers l’amorçage/l’activation de schémas appropriés
    B. À travers la motivation
    C. À travers l’occupation cognitive
    D. À travers l’apparence physique
A

A

292
Q
  1. Qu’est-ce que l’amorçage/activation ?
    A. L’individu qui perçoit
    B. L’objet perceptionnel qui reçoit la perception
    C. L’activation de structures cognitives par le contexte social actuel
    D. Les schémas et heuristiques qui tentent d’alléger l’effort cognitif nécessaire pour l’interaction sociale
A

C

293
Q
  1. Qu’est-ce que le percevant ?
    A. L’individu qui perçoit, qui pose une attribution, un jugement, etc.
    B. L’objet perceptionnel qui reçoit la perception
    C. L’environnement social, la situation
    D. Les schémas et heuristiques qui tentent d’alléger l’effort cognitif nécessaire pour l’interaction sociale
A

A

294
Q
  1. Qu’est-ce que la cible ?
    A. L’individu qui perçoit
    B. L’objet perceptionnel qui reçoit la perception, attribution, jugement, etc. du percevant
    C. L’environnement social, la situation
    D. Les schémas et heuristiques qui tentent d’alléger l’effort cognitif nécessaire pour l’interaction sociale
A

B

295
Q
  1. Qu’est-ce qu’un raccourci dans le contexte de l’interaction sociale ?
    A. L’individu qui perçoit
    B. L’objet perceptionnel qui reçoit la perception
    C. L’environnement social, la situation
    D. Les schémas et heuristiques qui tentent d’alléger l’effort cognitif nécessaire pour l’interaction sociale
A

D

296
Q
  1. Qu’est-ce que le traitement de l’information comprend ?
    A. L’individu qui perçoit
    B. L’objet perceptionnel qui reçoit la perception
    C. L’environnement social, la situation
    D. Attention, Entreposage, Rappel, Jugement
A

D

297
Q
  1. Comment la cible peut-elle influencer de façon active et consciente la perception qu’aura le percevant d’elle ?
    A. En dévoilant des indices sur son identité (vêtement, comportements et apparence physique)
    B. En faisant le choix du contexte social dans lequel elle évolue et le choix des interactions entreprises
    C. En adoptant des stratégies appropriées dans les interactions
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

298
Q
  1. Qu’est-ce qui peut diminuer la précision de nos perceptions sociales ?
    A. L’occupation cognitive
    B. L’individu qui perçoit
    C. L’objet perceptionnel qui reçoit la perception
    D. Les schémas et heuristiques qui tentent d’alléger l’effort cognitif nécessaire pour l’interaction sociale
A

A

299
Q
  1. Qu’est-ce qui peut influencer l’orientation de notre attention ?
    A. L’individu qui perçoit
    B. L’objet perceptionnel qui reçoit la perception
    C. Les schémas et heuristiques qui tentent d’alléger l’effort cognitif nécessaire pour l’interaction sociale
    D. Le contexte favorise l’amorçage de certains schémas reliés à la situation
A

D

300
Q
  1. Qu’est-ce que signifie “Porter notre attention” ?
    A. L’information initiale a un très grand impact/influence sur le jugement que l’on porte envers un stimulus par la suite
    B. Nous percevons des cohérences avec nos schémas plus facilement (dépend du percevant et du stimulus)
    C. L’information INCOHÉRENTE peut aussi consolider nos schémas (en les réactivant)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

B

301
Q
  1. Qu’est-ce que signifie “L’entreposage” ?
    A. Lorsque nous avons un schéma organiser, nous pouvons y entreposer de l’information plus facilement
    B. Nous percevons des cohérences avec nos schémas plus facilement (dépend du percevant et du stimulus)
    C. L’information INCOHÉRENTE peut aussi consolider nos schémas (en les réactivant)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

A

302
Q
  1. Qu’est-ce que signifie “Le rappel” ?
    A. L’information initiale a un très grand impact/influence sur le jugement que l’on porte envers un stimulus par la suite
    B. Nous percevons des cohérences avec nos schémas plus facilement (dépend du percevant et du stimulus)
    C. Le rappel se fait en fonction des schémas existants
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

C

303
Q
  1. Qu’est-ce que signifie “Le jugement” ?
    A. L’information initiale a un très grand impact/influence sur le jugement que l’on porte envers un stimulus par la suite
    B. Nous percevons des cohérences avec nos schémas plus facilement (dépend du percevant et du stimulus)
    C. L’information INCOHÉRENTE peut aussi consolider nos schémas (en les réactivant)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

A

304
Q
  1. Qu’est-ce que signifie “Perceptions sociales” ?
    A. Les processus perceptuels qui produisent et maintiennent nos conceptions des autres personnes
    B. Nous percevons des cohérences avec nos schémas plus facilement (dépend du percevant et du stimulus)
    C. L’information INCOHÉRENTE peut aussi consolider nos schémas (en les réactivant)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

A

305
Q
  1. Qu’est-ce que signifie “La perception d’objets et d’individus” ?
    A. L’information initiale a un très grand impact/influence sur le jugement que l’on porte envers un stimulus par la suite
    B. Une personne peut changer après une perception initiale
    C. L’information INCOHÉRENTE peut aussi consolider nos schémas (en les réactivant)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

B

306
Q
  1. Qu’est-ce que signifie “Cognitions sociales” ?
    A. L’ensemble des processus cognitifs utilisés par les individus pour interpréter, analyser, se rappeler et utiliser l’information provenant du monde social
    B. Nous percevons des cohérences avec nos schémas plus facilement (dépend du percevant et du stimulus)
    C. L’information INCOHÉRENTE peut aussi consolider nos schémas (en les réactivant)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

A

307
Q
  1. Qu’est-ce que signifie “la persistance des pensées” ?
    A. L’information initiale a un très grand impact/influence sur le jugement que l’on porte envers un stimulus par la suite
    B. Une fois qu’une pensée est dans notre esprit, elle à tendance à y rester
    C. L’information INCOHÉRENTE peut aussi consolider nos schémas (en les réactivant)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

B

308
Q
  1. Qu’est-ce qui influence le poids que notre jugement fabrique selon la valeur attribuée à ces caractéristiques ?
    A. L’information initiale a un très grand impact/influence sur le jugement que l’on porte envers un stimulus par la suite
    B. Nous percevons des cohérences avec nos schémas plus facilement (dépend du percevant et du stimulus)
    C. Nous pouvons apporter plus d’importance à certaines caractéristiques que d’autres (traits centraux)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

C

309
Q
  1. Qu’est-ce qui risque de teinter les informations qui viendront s’ajouter à un schéma par la suite ?
    A. L’information initiale a un très grand impact/influence sur le jugement que l’on porte envers un stimulus par la suite
    B. La première impression (effet de primauté)
    C. L’information INCOHÉRENTE peut aussi consolider nos schémas (en les réactivant)
    D. Une personne peut influer de façon délibérée sur notre perception d’elle
A

B

310
Q
  1. Qu’est-ce que le jugement dans le contexte du passage ?
    A. Un événement distinctif
    B. Une généralisation exagérée du lien entre deux événements
    C. Souvent inexact et sujet à de nombreux types d’erreurs et préjugés
    D. Un membre de groupe minoritaire
A

C

311
Q
  1. Qu’est-ce que la corrélation illusoire ?
    A. Un événement distinctif
    B. La perception que deux événements distinctifs sont corrélationnels alors qu’ils ne le sont pas réellement
    C. Souvent inexact et sujet à de nombreux types d’erreurs et préjugés
    D. Un membre de groupe minoritaire
A

B

312
Q
  1. Quel est un exemple de corrélation illusoire mentionné dans le passage ?
    A. Il pleut toujours après que je lave ma voiture
    B. Une généralisation exagérée du lien entre deux événements
    C. Souvent inexact et sujet à de nombreux types d’erreurs et préjugés
    D. Un membre de groupe minoritaire
A

A

313
Q
  1. Qu’est-ce qui risque de biaiser à la négative l’opinion sociale reliée au membre du groupe minoritaire ?
    A. Un événement distinctif
    B. Une généralisation exagérée du lien entre deux événements
    C. L’occurrence conjointe de deux événements distinctifs (membre de groupe minoritaire + évènement atypique anormale)
    D. Un membre de groupe minoritaire
A

C

314
Q
  1. Qu’est-ce que la corrélation illusoire aide à comprendre ?
    A. Comment des liens entre des éléments des schémas se forment et comment ces liens contribuent à des stéréotypes
    B. Une généralisation exagérée du lien entre deux événements
    C. Souvent inexact et sujet à de nombreux types d’erreurs et préjugés
    D. Un membre de groupe minoritaire
A

A

315
Q
  1. Qu’est-ce qu’une heuristique de représentativité ?
    A. Influencée par le nombre d’exemples qui nous viennent en tête
    B. Jumelage de l’information dans notre environnement social à un schéma déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent
    C. Prédiction du résultat d’un événement passé ou futur en se basant sur des expériences antérieures
    D. Utilisation d’une information de base (point d’ancrage) pour former une impression en fonction d’autres évènements
A

B

316
Q
  1. Qu’est-ce qu’une heuristique de disponibilité ?
    A. Influencée par le nombre d’exemples qui nous viennent en tête
    B. Jumelage de l’information dans notre environnement social à un schéma déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent
    C. Prédiction du résultat d’un événement passé ou futur en se basant sur des expériences antérieures
    D. Utilisation d’une information de base (point d’ancrage) pour former une impression en fonction d’autres évènements
A

A

317
Q
  1. Qu’est-ce qu’une heuristique par simulation ?
    A. Influencée par le nombre d’exemples qui nous viennent en tête
    B. Jumelage de l’information dans notre environnement social à un schéma déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent
    C. Prédiction du résultat d’un événement passé ou futur en se basant sur des expériences antérieures
    D. Utilisation d’une information de base (point d’ancrage) pour former une impression en fonction d’autres évènements
A

C

318
Q
  1. Qu’est-ce qu’une heuristique d’ancrage ?
    A. Influencée par le nombre d’exemples qui nous viennent en tête
    B. Jumelage de l’information dans notre environnement social à un schéma déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent
    C. Prédiction du résultat d’un événement passé ou futur en se basant sur des expériences antérieures
    D. Utilisation d’une information de base (point d’ancrage) pour former une impression en fonction d’autres évènements
A

D

319
Q
  1. Qu’est-ce qu’une heuristique affective ?
    A. Un stimuli provoque une réaction affective qui n’est pas toujours consciente, mais qui influence quand même nos décisions
    B. Jumelage de l’information dans notre environnement social à un schéma déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent
    C. Prédiction du résultat d’un événement passé ou futur en se basant sur des expériences antérieures
    D. Utilisation d’une information de base (point d’ancrage) pour former une impression en fonction d’autres évènements
A

A

320
Q
  1. Quel est un exemple d’heuristique de représentativité ?
    A. On surestime la chance qu’un événement grave arrive (dramatique, facile de se souvenir) ex. accident d’avion
    B. Est-ce qu’un individu fait partie d’une catégorie particulière? (ex. mon voisin timide, son boulot c’est quoi?: libraire ou vendeur)
    C. Il est plus facile de regretter des évènements qui sont faciles à imaginer
    D. On demande combien de personnes étaient au dernier match des Canadien
A

B

321
Q
  1. Quel est un exemple d’heuristique de disponibilité ?
    A. On surestime la chance qu’un événement grave arrive (dramatique, facile de se souvenir) ex. accident d’avion
    B. Est-ce qu’un individu fait partie d’une catégorie particulière? (ex. mon voisin timide, son boulot c’est quoi?: libraire ou vendeur)
    C. Il est plus facile de regretter des évènements qui sont faciles à imaginer
    D. On demande combien de personnes étaient au dernier match des Canadien
A

A

322
Q
  1. Quel est un exemple d’heuristique par simulation ?
    A. On surestime la chance qu’un événement grave arrive (dramatique, facile de se souvenir) ex. accident d’avion
    B. Est-ce qu’un individu fait partie d’une catégorie particulière? (ex. mon voisin timide, son boulot c’est quoi?: libraire ou vendeur)
    C. Il est plus facile de regretter des évènements qui sont faciles à imaginer
    D. On demande combien de personnes étaient au dernier match des Canadien
A

C

323
Q
  1. Quel est un exemple d’heuristique d’ancrage ?
    A. On surestime la chance qu’un événement grave arrive (dramatique, facile de se souvenir) ex. accident d’avion
    B. Est-ce qu’un individu fait partie d’une catégorie particulière? (ex. mon voisin timide, son boulot c’est quoi?: libraire ou vendeur)
    C. Il est plus facile de regretter des évènements qui sont faciles à imaginer
    D. On demande combien de personnes étaient au dernier match des Canadien
A

D

324
Q
  1. Quel est un exemple d’heuristique affective ?
    A. Horloge antique 1) cadeau de grand-parent vs. 2) cadeau pas spécial. Quel montant vous payez l’assurance qui vous indemnise 100$ si l’horloge est perdue? Paie 2 fois plus cher pour 1) Raisonnable? Ne protège PAS plus, paie seulement si perte et la même indemnité (100$). Attachement émotionnel/valeur émotionnelle de l’horloge
    B. Est-ce qu’un individu fait partie d’une catégorie particulière? (ex. mon voisin timide, son boulot c’est quoi?: libraire ou vendeur)
    C. Il est plus facile de regretter des évènements qui sont faciles à imaginer
    D. On demande combien de personnes étaient au dernier match des Canadien
A

A

325
Q
  1. Qu’est-ce qui influence le plus nos décisions selon l’heuristique affective ?
    A. Un stimuli qui provoque une réaction affective
    B. La rapidité d’accès à l’information d’un schéma
    C. La facilité d’activation de schémas
    D. L’utilisation d’une information de base (point d’ancrage)
A

A

326
Q
  1. Qu’est-ce qui définit l’heuristique de la disponibilité ?
    A. Un stimuli qui provoque une réaction affective
    B. La rapidité d’accès à l’information d’un schéma
    C. La facilité d’activation de schémas
    D. L’utilisation d’une information de base (point d’ancrage)
A

B

327
Q
  1. Qu’est-ce que la vérification et confirmation des hypothèses du percevant ?
    A. L’influence des perceptions sur les comportements du percevant et de la cible
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

B

328
Q
  1. Qu’est-ce qu’une prophétie qui s’auto-réalise ?
    A. L’influence des perceptions sur les comportements du percevant et de la cible
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

A

329
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attribution ?
    A. L’influence des perceptions sur les comportements du percevant et de la cible
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

C

330
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attribution de lieu de causalité interne ?
    A. L’attribution peut être fait par rapport à des caractéristiques d’une personne
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

A

331
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attribution de lieu de causalité externe ?
    A. L’attribution peut être fait par rapport à des caractéristiques de l’environnement social
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

A

332
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attribution stable ?
    A. L’attribution résulte d’un élément constant de la situation
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

A

333
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attribution instable ?
    A. L’attribution résulte d’un élément imprévisible/temporaire
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

A

334
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attribution incontrôlable ?
    A. L’attribution résulte d’un élément qui est hors du champ d’influence de l’attributeur-e
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

A

335
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attribution globale ?
    A. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
    B. Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues ou est unique ou spécifique qu’à un certain contexte
A

A

336
Q
  1. Qu’est-ce que l’impuissance acquise ?
    A. L’influence des perceptions sur les comportements du percevant et de la cible
    B. État psychologique qui a lieu lorsque l’individu croit que les événements sont incontrôlables
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

B

337
Q
  1. Qu’est-ce qui peut résulter en une fragilisation de l’état psychologique ?
    A. L’influence des perceptions sur les comportements du percevant et de la cible
    B. Ce sont les attributions émises pour expliquer la nature (incontrôlable) de la situation
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

B

338
Q
  1. Quels styles attributionnels mènent à l’impuissance acquise ?
    A. Internes, globales et stables
    B. Externes, spécifiques, instables
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

A

339
Q
  1. Quels styles attributionnels mènent à une résilience psychologique ?
    A. Internes, globales et stables
    B. Externes, spécifiques, instables
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

B

340
Q
  1. Qu’est-ce que le blâme personnel caractériel ?
    A. Consiste à blâmer des aspects stables de notre personnalité pour expliquer l’événement négatif qui survient
    B. Consiste à blâmer le comportement que nous avons adopté, et non notre personnalité
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

A

341
Q
  1. Qu’est-ce que le blâme personnel comportemental ?
    A. Consiste à blâmer des aspects stables de notre personnalité pour expliquer l’événement négatif qui survient
    B. Consiste à blâmer le comportement que nous avons adopté, et non notre personnalité
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

B

342
Q
  1. Qu’est-ce qui permet de maintenir l’estime de soi, le sentiment de contrôle, la compréhension de l’événement ?
    A. Le blâme personnel caractériel
    B. Le blâme personnel comportemental
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

B

343
Q
  1. Qu’est-ce qui peut contribuer positivement à l’ajustement psychologique ?
    A. Certains types de blâme
    B. Le blâme personnel comportemental
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

A

344
Q
  1. Qu’est-ce qui peut amener des conséquences psychologiques néfastes ?
    A. L’influence des perceptions sur les comportements du percevant et de la cible
    B. Ce sont les attributions émises pour expliquer la nature (incontrôlable) de la situation
    C. Le pourquoi, la cause: d’un évènement, d’un comportement d’autrui ou de nous-même
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

B

345
Q
  1. Qu’est-ce qui peut résulter en une meilleure adaptation psychologique ?
    A. L’influence des perceptions sur les comportements du percevant et de la cible
    B. Ce sont les attributions émises pour expliquer la nature (incontrôlable) de la situation
    C. Le blâme personnel comportemental
    D. L’attribution résulte ou s’applique à une multitude d’expériences vécues
A

C

346
Q
  1. Pourquoi les attributions sont-elles étudiées en psychologie sociale ?
    A. Pour prédire les événements et expliquer des événements inattendus
    B. Pour comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
    C. Car elles ont un effet important sur nos comportements et jouent un rôle essentiel dans nos comportements sociaux
    D. Pour exprimer nos perceptions du monde aux autres
A

C

347
Q
  1. Qu’est-ce que la théorie des interférences correspondantes ?
    A. C’est une théorie qui explique comment nos comportements sont influencés par les normes sociales
    B. C’est une théorie qui explique comment nous faisons des attributions en fonction de la covariation entre la cause, l’effet et d’autres facteurs
    C. C’est une théorie qui explique comment nos attributions face au comportement d’autrui guident nos réactions émotionnelles et nos propres comportements
    D. C’est une théorie qui explique comment nous faisons des attributions en fonction de la correspondance entre l’attribution du comportement et la disposition de la personne
A

D

348
Q
  1. Qu’est-ce que le consensus dans le contexte de la covariation ?
    A. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent des autres personnes
    B. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent dans diverses activités ou situations
    C. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent dans le temps pour le même genre d’activité
    D. C’est lorsque deux phénomènes ont lieu en même temps ou au même endroit
A

A

349
Q
  1. Qu’est-ce que l’hypothèse du monde juste ?
    A. C’est l’idée que nous voulons continuer à croire que nous méritons ce qui nous arrive
    B. C’est l’idée que les bonnes choses arrivent aux bonnes personnes, les mauvaises aux mauvaises personnes
    C. C’est l’idée que nous réagissons face à des situations de grande souffrance incontrôlable
    D. C’est l’idée que nous faisons des attributions pour comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
A

A

350
Q
  1. Qu’est-ce qu’une réattribution ?
    A. C’est une technique ayant pour but de modifier les attributions antérieures afin de les rendre plus adaptatives
    B. C’est une technique ayant pour but d’apprendre à utiliser de nouvelles attributions plus positives pour pouvoir mieux s’adapter psychologiquement après un échec
    C. C’est une technique ayant pour but de comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
    D. C’est une technique ayant pour but de prédire les événements et expliquer des événements inattendus
A

A

351
Q
  1. Qu’est-ce qu’une attitude ?
    A. C’est une évaluation de soi, d’autrui, d’un objet attitudinal
    B. C’est un état mental et neuropsychologique de préparation à répondre
    C. C’est quelque chose qui exerce une influence directrice ou dynamique sur la réponse de l’individu
    D. C’est une évaluation de soi, d’autrui, d’un objet attitudinal, qui exerce une influence directrice ou dynamique sur la réponse de l’individu
A

D

352
Q
  1. Qu’est-ce que la distinction dans le contexte de la covariation ?
    A. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent des autres personnes
    B. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent dans diverses activités ou situations
    C. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent dans le temps pour le même genre d’activité
    D. C’est lorsque deux phénomènes ont lieu en même temps ou au même endroit
A

B

353
Q
  1. Qu’est-ce que la consistance dans le contexte de la covariation ?
    A. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent des autres personnes
    B. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent dans diverses activités ou situations
    C. C’est lorsque le comportement est pareil ou différent dans le temps pour le même genre d’activité
    D. C’est lorsque deux phénomènes ont lieu en même temps ou au même endroit
A

C

354
Q
  1. Qu’est-ce que le schéma causal ?
    A. C’est une information relative aux relations causales dans notre environnement social et conservée dans la mémoire
    B. C’est le fruit de nos expériences passées, nous permet de faire des attributions rapidement, sans être obligé de faire une analyse poussée
    C. C’est une information qui nous permet de comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
    D. C’est une information qui nous permet de prédire les événements et expliquer des événements inattendus
A

A

355
Q
  1. Pourquoi fait-on des attributions ?
    A. Pour comprendre le monde et en faire du sens avec les stimuli sociaux
    B. Pour prédire les événements et expliquer des événements inattendus
    C. Pour prévenir des échecs futurs et expliquer/excuser nos comportements
    D. Pour exprimer nos perceptions du monde aux autres
A

C

356
Q

Quels biais nous apportent à faire les schémas causaux? (3)

A

○ Principe de l’augmentation
○ Biais égocentrique
○ Attribution de mérite injustifiée