nutrition Flashcards

1
Q

def nutrition

A

La nutrition est l’apport alimentaire
répondant aux besoins de l’organisme.

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2
Q

bonne nutrition

A

– c’est-à-dire un régime adapté et
équilibré – et la pratique régulière d’exercice physique
sont essentielles pour un bonne santé.

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3
Q

mauvaise nutrition

A

– c’est-à-dire un régime adapté et
équilibré – et la pratique régulière d’exercice physique
sont essentielles pour un bonne santé.

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4
Q

augmenter

A

fruit et legumes
legumes secs
fruits a coque
fait maison
activité physique

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5
Q

aller vers

A

pain complet
poisson gras et maigre alterner
huile colva noix et olive
produit laitier suiffisante mais limitée
saison et produit local
bio

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6
Q

reduire

A

alcool
sucre
salées
charcuterie
viande
nutriscore D et E
assis

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7
Q

On distingue :
Macro-nutriment
Micro-nutriment

A

Macro-nutriments : apportent de l’énergie sous forme de calories.
Micro-nutriments : n’apportent pas d’énergie, mais certains sont quand même nécessaires à la bonne
santé orale (sans eux on observe des symptômes dans la bouche des patients)

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8
Q

Recommandations Nutritionnelles AHA
prot =
glucide =
lipide =

A

prot = 10-20%
glucide = 55%
lipide = 30%

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9
Q

equivalent calorie
prot
glucide
lipide

A

prot 1g -> 4kcal
glucide 1g-> 4kcal
lipide 1g -> 9kc

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10
Q

pour les lipides
§ Les acides gras saturés:
§ Les acides gras monoinsaturés:
§ Les acides gras polyinsaturés:
§ Cholestérol:

A

pour les lipides
§ Les acides gras saturés: 8-10%
§ Les acides gras monoinsaturés: jusqu’à 15%
§ Les acides gras polyinsaturés: jusqu’à 10%
§ Cholestérol: moins de 300 mg

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11
Q

● 1 heure de footing 10 Km/h
✔ Femme 25 ans, 1,65m, 55 Kg:
✔ Homme 25 ans, 1,80m, 80 Kg:

A

● 1 heure de footing 10 Km/h
✔ Femme 25 ans, 1,65m, 55 Kg: 600 kcal
✔ Homme 25 ans, 1,80m, 80 Kg: 850 kcal

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12
Q

métabolisme au repos

A

§ Détermine l’énergie nécessaire pour maintenir le corps
en vie
§ Compte pour les 2/3 de la dépense énergétique pour
la majorité des occidentaux
§ Le reste est associé à l’activité physique volontaire

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13
Q

métabolisme au repos
varie avec

A

§ Âge
§ Sexe
§ % de graisse et de muscle: composition corporelle
§ Diète
§ Croissance

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14
Q

representative value for activity factor per unit of time

A

repos = x1
very light : sassoir debout, conduire ,… = x1,5
lght : marcher = 2,5x
moderate = marcher + vite velo skier tennis danser x 5
heavy : marcher avec charge escalade basket foot ,.. x7

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15
Q

calcul

A

1) Pour chaque activité on multiplie le facteur multiplicateur (x1 , x1.5, x2,5, x5, x7)par le nombre d’heures
2) On fait la somme des heures d’une part (=24h), et des produits obtenus précédemment d’autre part
3) On divise le total des produits par le total des heures : on obtient un facteur.
4) On multiplie ce facteur par le REE (métabolisme de base H=1750 F=1350) : on obtient le nombre de kcal dépensées.
- Journée sédentaire (comme à la fac) = 2400 calories pour un homme et 1850 pour une femme
- Journée active (en vacances) = 4000 calories pour un homme et 3000 pour une femme

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16
Q

IMC
- maigre
- normal :
- surpoids :
- obésité :

A
  • <18,5 : Maigre
  • 18,5<IMC<25 : Normal
  • 25<IMC<30 : Surpoids
  • > 30 : Obésité
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17
Q

Densité
nutritionnelle

A

§ Quantité de 14 nutriments pour 100 calories
§ vitamines B1, B2, B3, B6, B9, B12, vitamine C, vitamine A,
calcium, magnésium, potassium, fer, zinc, protéines
§ Densité calorique
§ Calorie vide

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18
Q

Case reports et Case series

A

▪ On prend une population où tous les sujets sont touchés par la pathologie ou le point
d’intérêt et on décrit l’état des personnes à un instant t
▪ Ce sont des études descriptives et non analytiques
▪ Rapides et peu chers

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19
Q

Case reports et Case series
avantage

A

-Identifier de nouveaux problèmes de santé et
alerter l’opinion (ex : scorbut)
- Hypothèses selon les similitudes des
groupes
- Hypothèses sur l’origine

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20
Q

Case reports et Case series
Inconvénients :

A
  • ne permettent pas d’établir de lien decause à effet
  • Pas de comparaison : tous les sujets ontle point d’intérêt (absence d’un groupe
    de comparaison)
  • Pas relation temporelle : aucun suividans le temps, pas de cause à effet
  • Est-ce que l’exposition précédait la cause
    ? On ne peut pas savoir car on n’a pas suivi la population dans le temps.
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21
Q

Etudes transversales

A

On recueille des données (exposition, maladie) pour une population importante à un moment déterminé.
L’étude transversale donne un instantané de la population concernée à un instant t. Ce qui est intéressant
c’est qu’on peut comparer les études transversales entre elles.

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22
Q

Etudes transversales
avantages

A
  • Les études transversales sont très utiles pour analyser la prévalence d’une maladie
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23
Q

Etudes transversales
inconvenients

A

§ Aucun suivi
§ Pas de répétitions chez le même individu
§ Identification des cas longs, les maladies brèves sont
difficiles à identifier
§ Exposition vs maladie?

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24
Q

Etudes écologiques

A

L’objectif de ces études est de déterminer les variations de fréquence d’une maladie dans l’espace (une
région, un établissement ..) et de faire correspondre ces variations avec des facteurs environnementaux.
Les données sont recueillies sur de grandes populations.

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25
Q

Etudes écologiques
Avantages :

A

Fréquence globale d’une maladie et relation à des
expositions
§ Grande population, exploration précoce
§ Data aggreges (pas d’info individuelle)

26
Q

etude ecologique
limites

A

§ L’exposition et l’effet ne sont pas forcément chez le
même individu
§ Facteurs de confusion inidentifiables
§ Relation non-linéaires?

27
Q

La revue
differents types

A
  • La revue narrative : l’expert a choisi les articles qui rentraient dans son étude. On ne peut pas vérifier
    ce qu’il nous dit. C’est seulement un avis d’expert.
  • La revue systématique : Il nous dit comment il a fait ce recherche, et normalement si nous suivons le
    même matériel de méthode nous retrouvons exactement la même chose. Donc la vérification de ces
    données est possible.
  • La méta-analyse : En plus des éléments ci-dessus, quand il a agréger les études ensemble, il a refait les
    statistiques en mélangeant les articles entres eux.
  • Guidelines : Quand une société scientifique (typiquement l’OMS) publie les recommandations en
    fonctions des méta-analyses
  • Cochrane : idem que les guidelines.
28
Q

fonction CHO

A

Source d’énergie
§ Nécessaire pour le rôle de protéines
§ Evite la cétose (consommation des graisses)
§ Strutural

28
Q

classification CHO

A

§Monosaccharides
-> Glucose, fructose et galactose
§Disaccharides
-> Sucrose, maltose et lactose
§Polysaccharides
-> Amidon
-> Fibres
—-> Insolubles
—-> Solubles

29
Q

Pouvoir sucrant
§ Saccharose:
§ Fructose:
§ Glucose:
§ Lactose:
§ Sucralose:
§ Aspartame:
§ Amidon:

A

§ Saccharose: 1
§ Fructose: 1,5
§ Glucose: 0,7
§ Lactose: 0,3
§ Sucralose: 650
§ Aspartame: 200
§ Amidon: 0,3

30
Q

Indice glycémique :

A

c’est la capacité d’un aliment à élever la glycémie (taux de sucre dans le
sang) après ingestion

31
Q

Aliments avec un IG bas ( <55%) :

A
  • Légumes
  • Produits laitiers,
32
Q

Aliments avec un IG moyen ( entre 55 et 70%)

A
  • Fruits
  • Café sucré
33
Q

Aliments avec IG fort (>70%) :

A
  • Bière
  • Miel
  • Pain blanc (85%)
  • Pomme de terre
34
Q

: Insulinorésistance

A

se définit comme un état de diminution de la réponse cellulaire et tissulaire à
l’insuline.

35
Q

Comment s’installe la résistance à l’insuline ?

A

Une alimentation riche en glucides et beaucoup de grignotages, induit une constante hyperglycémie.
L’hyperglycémie permanente induit une demande constante de sécrétion d’insuline.
Les cellules hépatiques, musculaires et adipeuses deviennent résistantes à l’insuline, il y a moins de
glucose qui entre dans ces cellules et celui-ci reste dans le sang.

36
Q

L’insulinorésistance induit :

A
  • Perte de satiété
  • Hyperglycémie
  • Hyperinsulinémie
  • D’autres problèmes de santé (diabète type 2)
37
Q

Sucres ajoutés

A

Les recommandations disent qu’il ne faut pas dépasser 25 grammes de sucres ajoutés chez les femmes et 37
grammes chez les hommes par jour. Ce qui est équivalent à un smoothie pour une femme et un coca pour un
homme.

38
Q

Cariogénécité et nutrition
L’étiologie des lésions carieuses est décrite dans le diagramme de Keyes et Jordan. Il existe 4 facteurs
étiologiques

A
  • Surface dentaire
  • Bactéries cariogènes
  • Alimentation cariogène
  • Temps = processus sur le long terme
39
Q

Le potentiel cariogénique des aliments est lié à

A

Le potentiel cariogénique des aliments est lié à leur contenu en sucres fermentables. Leur pouvoir
cariogène dépend de leur aptitude à fermenter, c’est-à-dire à produire des acides. Les sucres fermentables
sont essentiellement les sucres simples

40
Q

Amidons et Caries:

A

Les amidons (sucres complexes) sont moins
cariogènes que les sucres simples, mais ils peuvent tout de même
contribuer à la cariogenèse lorsqu’ils sont fermentés par des
bactéries buccales.

41
Q

Consommation de Fibres

A

§ Effet Protecteur des Fibres: Les fibres, en particulier celles
provenant de fruits et légumes frais, peuvent avoir un effet de
nettoyage mécanique sur les dents, contribuant ainsi à la réduction
du risque de caries.

42
Q

fibre et pH salivaire

A

: La mastication de certains aliments riches
en fibres peut stimuler la production de salive, qui a un effet
tamponnant et peut contribuer à neutraliser les acides.

43
Q

Aliments à base de fibres et Bactéries Buccales:

A

Certaines fibres
alimentaires peuvent également avoir des effets prébiotiques,
favorisant des microbiomes buccaux plus sains.

44
Q

potentiel cariogene

A

§ Fermentabilité:
§ Rétention
§ Consistance
§ Fréquence de Consommation
§ Autres Composants de l’Aliment

45
Q

§ Fermentabilité:
§ Rétention
§ Consistance

A

§ Fermentabilité: La facilité avec laquelle un sucre est fermenté par les bactéries orales.
§ Rétention: Combien de temps un aliment reste dans la bouche.
§ Consistance: Les aliments collants ou mous sont plus
susceptibles de rester sur la dent, augmentant le risque de caries.

46
Q

Fréquence de Consommation
§ Autres Composants de l’Aliment:

A

Fréquence de Consommation: Plus la fréquence de
consommation d’aliments cariogènes est élevée, plus le risque
de caries est élevé.
§ Autres Composants de l’Aliment: La présence de
composants protecteurs comme le calcium, les phosphates, ou
les protéines peut moduler la cariogénicité.

47
Q

erosion dentaire

A

: Les acides provenant des aliments et des
boissons (comme les sodas et les agrumes) peuvent
directement éroder l’émail dentaire.

48
Q

Rôle du pH Salivaire:

A

La salive joue un rôle protecteur contre
l’érosion acide. Les personnes ayant un faible débit salivaire ou
une salive moins tamponnante peuvent être plus susceptibles à
l’érosion dentaire.

49
Q

acidité interaction avec d’autres facteurs

A

Des éléments comme la
température de la boisson, la durée du contact avec les dents,
et même la séquence de consommation peuvent influencer le
degré d’érosion

50
Q

lipide simple :

A

on retrouve les acides gras (AG) qui correspondent à de grandes chaînes
aliphatiques, et le glycérol. Parmi eux, on retrouve le triglycéride est une molécule de glycérol et 3
acides gras.

51
Q

Les acides gras peuvent être

A

saturés ou insaturés.
Les AG saturés ne présentent pas de double liaison. Cela signifie qu’il y a un nombre maximum
d’hydrogènes (H) dans la chaîne. Les AG mono-insaturés n’ont qu’une seule double liaison. Les
AG polyinsaturés sont constitués de plusieurs doubles liaisons

52
Q

Les AC insaturés peuvent prendre deux conformations différentes

A

Dans la configuration Trans, les hydrogènes autour de la double liaison sont de côté opposé. Les
AG trans sont fabriqués par procédés industriels et n’existent donc pas naturellement. Ils sont
associés à une augmentation du risque cardio-vasculaire et du cholestérol total.
Dans la confirmation Cis, les hydrogènes autour de la double liaison sont du même côté. Les acides
gras Cis prennent des angles. Ils sont majoritairement naturels.

53
Q

lipide composé

A

Il existe aussi des lipides composés qui sont moins fréquents. Ils comprennent les phospholipides
qui sont importants pour la membrane biologique, et les stérols, qui dérivent du cholestérol et qui
donnent les hormones stéroïdiennes.

54
Q

exemple
acide gras insature

A

Les oméga 3, 6 et 9 sont des AG insaturés. Les omégas 3 se retrouvent plutôt dans les poissons, les
oméga 6 dans les œufs et les huiles végétales, et les oméga 9 dans l’avocat

55
Q

exemple graisses saturées

A

Les graisses saturées sont retrouvées dans les aliments carnés ou frits.

56
Q

graisse indus

A

Enfin, les AG trans se retrouvent dans les produits industriels très transformés (ex: gâteaux
apéritifs).

57
Q

fonction prot

A

Les protéines ne présentent pas que des fonctions énergétiques. Elles sont principalement utilisées
dans la construction de tissus. Ce sont des nutriments importantes pour les enzymes car ils vont
donner des acides aminés nécessaires aux protéines, aux hormones et aux anticorps.

58
Q

malnutrition lié aux prot

A

Parmi les déficits en protéines, on en retrouve deux majeurs : le marasme (maigreur extrême) et le
kwashiorkor (ballonnement abdominal).

59
Q

Protéines de la cavité buccale

A

Les protéines sont très importantes pour la croissance et le développement normal de tous les tissus.
Les déficiences en protéines légères sont associées à des risques infectieux augmentés. Les excès
en protéines peuvent entraîner des problèmes de fuite de calcium des os.

60
Q

Déficiences des éléments

A

Certains déficits ou excès des éléments peuvent avoir des effets directs sur la cavité orale et
principalement sur les muqueuses.

61
Q

Déficiences des vitamines

A

Parmi les vitamines liposolubles, on retrouve les vitamines A, D, E et K.
Un défaut de vitamine A entraîne des défauts de cicatrisation et des kératoses.
Un défaut de vitamine D entraîne un rachitisme