patho dégénératives Flashcards

1
Q

pb soulevés (≠ avt et maintenant)

A

diag certain seulement à l’autopsie → on voit 30% d’erreurs diag (Ds 70% le diag est bon dc positif)
parfois, lésions mais pas de maladies
on veut faire le diag + tôt → réalisa° de nvx outils ou à dvlp

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2
Q

durée de la maldie et les ≠ phases?

A

phase pré-symptomatique: Ø symptômes cliniques mais lésions ds tête (10-20 ans)

plainte cognitive isolée: les S se plaignent d’avoir une mémoire qui n’est pas comme avt mais S autonome et bilan neuropsy normal. Durée indéterminée encore.

Tbles cognitifs mineurs (Mild Cognitive Impairment/ phase prodromale) – S autonomes, petites anomalies ds tests mais OK (entre 6 mois et 12 ans)

Tbles cognitifs majeurs (anciennement = démence). Lésions formées, S et entourage se plaint, tests patho et perte d’autonomie. Période qui dure de 10 à 15 ans. Plusieurs stades au sein de cette période: stade léger, modéré et sévère.

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3
Q

3 dim° ds le diag?

A
  • stade
  • diag syndromique
  • protéine/IRM
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4
Q

les 4 choix pr le diag syndromique?

A
  1. Présentat° à dominante cognitive:
    - présenta° à dominante amnésique
    - présenta° à dominante non amnésique:
    tble langage / tble visuel / syndrome dyséxécutif cognitif / apraxie progressive des membres/ syndrome cortico-basal/ autre
    présenta° cognitive multidomaine
  2. Présenta° clin à dominante cptale ou psycho
    - Syndrome dysexécutif comportemental
    - Troubles émotionnels ou affectifs
    - Troubles productifs (délire, hallucinations, agitation etc…)
    - Autre
     3. Présentation clinique sans dominante cliniquement significative (association de déficits cognitifs et de troubles comportementaux et/ou psychologiques) 
    
     4 Non applicable
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5
Q

diag dif de la MA

A
  • confusion mentale
  • dépression
  • apnée du sommeil
  • MCL
  • tble co vasculaires
  • MLFT
  • APPL
  • SCB
  • ACP
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6
Q

confusion mentale symptômes

A
  • Altération cérébrale globale et aiguë
  • Causes toxiques et métaboliques ++
  • Potentiellement grave
  • Favorisée par: âge, polypathologie, polymédication, démence pré-existante
  • Tbles de l’attention et de la vigilance au premier plan, avec onirisme, obnubilation, et souvent agitation, inversion du rythme nycthéméral
  • Le traitement est surtout celui de la cause
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7
Q

symptômes dépression

A
  • Tristesse, douleur morale, rumination, incurabilité, idées suicidaires, signes somatiques
  • Parfois (surtout sujets âgés) troubles cognitifs (surtout exécutifs et mémoire, surttt tble de la récup) avec perte d’autonomie, pouvant faire évoquer une démence («dépression pseudo-démentielle»)
  • Un patient atteint de démence peut aussi être dépressif. Dans la MA, la dépress est un symptôme inaugural chez certains. C’est aussi un facteur de risque et ça pt aussi survenir au cours de la maladie
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8
Q

symptomes apnées sommeil

A

Symptômes nocturnes
• Endormissement rapide
• Ronflements entrecoupés de pauses avec reprise ventilatoire bruyante
• Pauses respiratoires supérieures à 10s
• Agitation, Nycturie, Insomnie (n’arrive jamais à descendre en sommeil lent profond dc pas de sommeil récupérateur)

Symptômes diurnes
• Somnolence diurne excessive
• Asthénie
• Troubles du caractère (irritabilité/anxiété)/ de l’humeur (dépression) • Troubles de la libido et une impuissance
• Troubles de la mémoire et attentionnels ( pvt ê visibles aux tests, améliorés une fois que le S est traité)

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9
Q

quelle protéine pour quelles maladies?

A

• Amyloïdopathie (agrégat d’Aß) et Dégesnérescence neurofibrillaire (agrégat de Tau): diag de maladie d’Alzheimer
• Tauopathies primaires gliales et neuronales: (agrégats intracellulaires de protéines Tau):
paralysie supra nucléaire progressive,
dégénérescence cortico-basale,
DLFT du à la mutation du gène MAPT
• Anomalies de l’ubiquitine et de la TPD 43 :
DFT et atteinte du motoeurone (mutation C9ORF72) (cf sclérose latérale amyotrophique- tt ce quie st moteur est touch
DFT et parkinsonisme (mutation de la progranuline)
•Synucléinopathies (agrégats d’α-synucléines): maladie de Parkinson, Maladie à corps de Lewy, atrophie multi systématisées
→ c’est seulement ac les protéines qu’on pt poser diag quasi certain.

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10
Q

démarche diag

A
  • Identité : important car on voit son âge, son sexe (ds MA, pt ê un peu plus de femme)
  • Motif de consultation : important de voir si lui sait qu’il a des tbles ou pas et important
  • Habitus : situa° maritale et familiale, son niveau socio-cult (études, emploi), ses loisirs (chgt de f°t), sa famille (pr savoir s’il a du soutient et connaître f°t du couple), autonomie, modif° perso, sommeil, conso alcool/tabac/autre
  • ATCD : familiaux et perso (psychiatriques et médicaux: dépression?, tumeurs?, ttt?, facteurs de risque de MCV→ hypertension, diabète?, Régime alimentaire pr carence en B12)
  • TTT
  • Toxiques
  • Histoire de la maladie: Plaintes mnésiques +troubles cognitifs/troubles comportementaux/troubles psychiatriques/troubles du sommeil
  • Tests de dépistage (les nommer et dire à quoi ils servent) : le MMS, la MOCA, le BREF, 5 mots de Dubois, déno de BEC96 → svt utilisés par médecins
  • Examen clinique :
  • Les Trois examens complémentaires obligatoires: bilan neuropsy… Si MMS <15, inutile que le neuropsy fasse un bilan (inféreiur à 20: à éviter) → car évident, IRM (car on voit + de choses qu’au scanner) et prise de sang (pr éliminer ttes les causes curables)
  • Les traitements
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11
Q

histoire et tbles recherchés lors du bilan?

A

A rechercher lors du bilan ( 70% du W de neuropsy est fait ac l’interrogatoire du S):
- Les troubles cognitifs
- Les troubles comportementaux et de la personnalité
- Les troubles psychiatriques
- Les troubles du sommeil:
(Le sujet âgé dément: retard de ^phase, svt se couche + tard; ↓SLP,↑SLL ,↑latence du sommeil paradoxal/perturbation de la rythmicité circadienne)
Parasomnies
• Cauchemars (/!\alcool, betabloquant et hypnotiques)
• TCSP= tbles du cpt en sommeil paradoxal (mise en acte physique d’une activité mentale onirique mais restent ds leur lit. ≠ de somnabules) → ds ttes les alphasinucléidopathie
• Phénomène de déambulation nocturne
• Sundowning ou syndrome du coucher du soleil (recrudescence vespérale des troubles du comportement : angoisse, confusion, DTS, hallucinations, troubles perceptivo-verbales)
- Les épisodes confusionnels
- Répercussions sur l’autonomie (activités élaborées atteintes au 1er stade, activités élem atteint au stade modéré, soins perso atteint à un stade + sévère)
Autres plaintes attirant l’attention sur SNC ou SNP

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12
Q

quels sont les tests de dépistage

A
  • MMS de Folstein 1975 : OTS (ds DFT: orienta° temporel atteint avt spatial), mémoire (apprentissage + test de la MCT épisodique), calcul, Triade aphaso-apraxoagnosique (22 et 23, on évalue expression, 24: la répét° qui est 1 f°t à part, 25: compréhension d’un ordre complexe, 28: compréhension écrite, 29: expression écrite, 30: praxies visuo-constructives et plannifica°)
    Def° des stades: léger ->20, modéré → 15, modérément sévère → 10, sévère → 2 et très sévère <2).
    Evolu° rapide si perte de 3 pts ou + au MMSE en moins de 6 mois.
  • BREF : fonctions exécutives
  • HORLOGE: 1/ doit mettre les chiffres, 2/ mettre l’heure
  • 5 mots de DUBOIS : mémoire et profil mnésique ( hippocampique ou dysexécutif) → 1/ lire les mots et essayer de les retenir 2/ encodage indicé 3/ apprentissage (5 mots sans indicage puis ac indice si nécessaire) 4/ tâche interférente non verbale (pr paser en MLT) 5/ rappel différé libre puis ac indice si nécessaire. Parfois, des S ac pb de mémoire mais bon nvx arrivent à compenser sur les 5 mots mais pas sur le RL-RI. (dia 33: cas 1: syndrome amnésique vrai: l’indicage ne normalise pas. Cas 2: tble mnésique du à un tble dyséxécutif 1:21 cas 3: normal cas 4: tble attentionnel)
  • Praxies réflexives
  • MIS (test de dépistage de la MLT) (ressemble au 5 mots de Dubois)
  • MOCA (test global, évaluation moins fine de la mémoire mais plus sensible): test bcp mieux les FE que le MMS et est bcp + fin (tble cognitif mineur jusqu’à 16/30)
  • Deno BEC 96
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13
Q

examen clinique

A

• Pour le diagnostique étiologique
- Recherche de signes de focalisation: bouge plus de bras, sens plus une main
- Syndrome extrapyramidal :petits pas, penché en avant, raide, akynésie, hypertonie, tremblement, plus de balancement des bras
- Réflexes archaïques: grasping, réflexe de succion
• Pour l’interprétation des troubles cognitifs
- Vérifier audition/acuité visuelle → isole les gens et aggrave les tbles cognitifs
• Pour le traitement
- TA
- Examen cardiaque !
- Poids

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14
Q

but du bilan neuropsycho

A

Il va contribuer à définir le STADE.
Il va permettre:
- de faire une cartographie des troubles cognitifs: quelles f° st atteintes ou non?
- de préciser la sévérité des troubles par catégorie
- de définir un syndrome clinique → tableau de tble qui prédominent
• Il va contribuer au diagnostic étiologique mais ce ne sera qu’un argument parmi d’autres (en aucun cas on l’affirme!!)
• Il va permettre le prise en charge des troubles sur le plan fonctionnel: explication aux patient et aux proches de ce qui se passe, éventuellement rééducation…

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15
Q

examens complémentaires?

A

1/ Biologie (systématique et selon le contexte clinique on ajoute certaines analyses)
2/ Imagerie morphologique: IRM cérébrale → élimine les autres causes et précise localisa° de l’atrophie
3/ Examens fonctionnels:
- Scintigraphie cérébrale de perfusion cérébrale: Met en évidence un hypodébit cérébral dans les zones atteintes. Ces anomalies précèdent l’atrophie cérébrale
- PET Scan au FDG (Fluorodexoxyglucose) : Met en évidence un hypométabolisme cérébral (moins de glucose, le seul « aliment » consommé par les neurones) dans les zones atteintes. Peut-être un peu plus précoce et plus fin sur le plan anatomique que la scintigraphie
4/Les examens qui permettent d’approcher les lésions anatomopathologiques :
- La Ponction lombaire: seuls des biomarqueurs pour la maladie d’Alzheimer et la progranuline dans un type de DLFT sont dosés en pratique courante actuellement, pas de marqueurs dans les autres pathologies (études en cours). Les marqueurs de plaques amyloïdes et de Tauopathie (arrivent dans notre pratique quotidienne = équivalent en PET scan de notre ponction lombaire pour la maladie d’Alzheimer)
5/le DAT scan: atteinte des neurones dopaminergiques présynatiques (plusieurs maladies sont concernées (PSP, DCB, MPI, DCL, AMS, et même certaines DFT)
6/l’EEG pour la MCJ

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16
Q

MA données générales

A

• Maladie neurodégénérative atteignant les aires associatives
• Responsable de 60% des démences
• Une maladie mondiale: 14000 cas en Isère, 800 000 cas en France, 50 millions dans le monde
• Environ 150 000 nouveaux cas par an en France
• Prévalence
– Moins de 1% avant 65 ans, – 5% jusqu’à 75 ans,
– 6% jusqu’à 85 ans – 33% après 85 ans
• 10% des Maladies d’Alzheimer ont moins de 65 ans, moins de 1% sont d’origine génétique
• Syndrome amnésique initial dans 65% des cas
• Scores de sévérité (cf avt) LE MMSE : Mini-Mental State Examination, /30

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17
Q

MA facteurs de risque

A

Age
Sexe féminin : ne ressort pas de la même manière selon les pays (pb: svt: les femems ont fait moins d’études dc moins de réserve cogn et + vieilles)
Terrain génétique (prédispositions) (allèle APOE4 prédispose) 2h
Traumatisme crânien
Substances neurotoxiques (solvants, métaux lourds)
Malnutrition
facteurs psychosociaux
Dépression

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18
Q

MA déf clinico pathologique

A

• Des signes cliniques: De la plainte à la démence sévère
• Des lésions:
* La cascade amyloïde (Des peptides solubles aux plaques séniles) * perte neuronale (TAU)
*Les lésions neuronales (Dégénérescences neurofibrillaire - Ptau) * Perte synaptique et atrophie
MA n’est ni un syndrome, ni une maladie anatomopathologique → MA correspond à asso de lésion et de signes cliniques

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19
Q

début d’une MA - symptômes

A

• 65% des MA commencent par un MCI amnésique
• Mais que pour les 35% restants, la maladie commence par
Des troubles gnosiques (atrophie corticale postérieure)
Un syndrome cortico-basal
Des troubles phasiques , syndrome d’aphasie primaire progressive logopénique
Des troubles dysexécutifs
Plus rarement une atteinte de la mémoire sémantique ou des troubles du comportement

La dégénérescence neurofibrillaire liée à protéine Tau suit/est corrélée aux tbles cognitifs. Si pb de mémoire → dégénérescence ds hippocampe et para-hippo etc. Ne se propage pas par contiguité mais en suivant les réseaux de neurones.
Dépots amyloides: Dépôt au hasard dans le néocortex, indépendamment de la forme clinique, un peu + en frontal. Même localisa° pr ttes les formes

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20
Q

MA forme typique -évolution

A

Cette forme évolue schématiquement en 3 phases:
• Troubles mnésiques isolés (« phase pré-démentielle » ou « prodromale ») = Trouble cognitif mineur de la MA (qqs mois à plusieurs années)
• Phase d’état: tble co majeurs (démence légère et modérée) 5 à 7 ans
• Phase terminale (démence sévère) 2 ans

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21
Q

MA - le MCI

A

de qques mois à qques années
• Troubles de mémoire relativement isolés, dont le patient se plaint le plus souvent (la famille ne s’en aperçoit pas forcément)
• Début insidieux et aggravation progressive
• Aboutit plus ou moins rapidement (qqs mois à plusieurs années) à un véritable syndrome amnésique

Tble co mineur de la MA = MCI amnésique

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22
Q

MA aspects cliniques de la plainte mnésique

A
  • Conscients de leur difficulté de mémoire et les racontent eux-mêmes
  • Peuvent en préciser eux-mêmes l’ancienneté et la nature, contrairement aux patients MA dont le principal rapporteur est l’entourage
  • Oublis non bénins et d’une forte intensité contrairement aux sujets sains
  • Nécessite d’augmenter les aides mnésiques (agenda, notes)
  • Retentissement de plus en plus invalidant sur les activités complexes de la vie quotidienne une gestion plus difficile et une multiplications des vérifications
  • Déjà rechercher l’apathie, l’irritabilité, la difficulté à prendre des décisions, l’anxiété, les items dépressifs (Palmer et al. Neurology 2007)
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23
Q

l’amnésie antérograde ds la MA

A
  • Incapacité à apprendre de nouvelles informations
  • Le sujet et/ou l’informant signale un déclin des performances cognitives et/ou fonctionnelles par rapport aux capacités antérieures
  • Les choses sont plus souvent perdues
  • Le patient repose plusieurs fois les mêmes questions
  • Des événements importants sont oubliés sans que ce soit « systématique », Des engagements sociaux aussi, des actes à effectuer • Difficulté à suivre une conversation, à lire un livre en plusieurs soirs
  • Se perdent dans les lieux non familiers

Syndrome amnésique de type hippocampique (Dubois et al.)
- Un rappel libre effondré
- Un effet limité de l’indiçage sur le rappel
- Un grand nombre d’intrusions et de fausses reconnaissances ( Tounsi et al. 1999)
AU RL-RI 16:
Difficultés d’encodage, avec absence d’aide par la structuration sémantique du matériel
Déficit rappel libre, avec absence de normalisation par l’indiçage et la reconnaissance
Présences d’intrusions
Oubli en rappel différé

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24
Q

diag diff de la MA

A
  • Dépression, médicaments: déficit prédominant sur l’encodage
  • DFT, démence vasculaire, atteinte des boucles fronto-sous-corticales: déficit de la récupération, normalisation par l’indiçage
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25
Q

amnésie rétrogade ds la MA

A
  • Rarement totale au début
  • D’abord limitée dans le temps avec gradient temporel (loi de Ribot = préservation des souvenirs les plus anciens)
  • Souvenirs personnels ou événements, contextualisés (mémoire épisodique); atteinte des connaissances générales plus tardives
26
Q

quels autres tbles que la mémoire ds le stade de tble co mineur de la MA?

A
  • A ce stade, il n’y a aucune détérioration intellectuelle et l’autonomie est quasi-normale
  • anomalies discrètes relativement caractéristiques:
  • Baisse fluence verbale catégorielle (< formelle)
  • Troubles de la flexibilité mentale
  • Déficit de dénomination et d’identification des visages célèbres
  • Troubles de l’écriture (dysorthographie)
  • Troubles attentionnels (Stroop)
27
Q

Ds le stade de tble co majeur de la MA, quels tbles?

A
  • mémoire: aggravation de tbles de la mémoire antéro (oubli à mesure) + mémoire rétro (s’aggarve ++; loi de ribot)
  • tbles dyséxécutifs nets
    Les troubles des fonctions instru s’installent et s’accentuent → syndrome aphaso-apraxo-agnosique
    • Aphasie:
    Manque du mot dans le discours spontané (circonlocutions, périphrases), puis dans les épreuves de dénomination
    Prédominance des paraphasies sémantiques
    Détérioration de l’écriture
    Troubles de compréhension
    Discours de plus en plus vide et jargonné
    • Troubles du calcul
    • Agnosie:
    Déficit d’identification des personnes, puis des objets; les personnes proches finissent par ne plus être reconnues, et le patient peut même ne pas se reconnaître dans un miroir
    Moindre conscience des déficits (anosognosie)
    • Apraxie:
    Visuo-constructive (difficulté à reproduire des figures complexes)
    Des membres: gestes sans signification, symboliques, transitifs
    D’habillage
    • Des troubles du comportement peuvent apparaître: → agitation, agressivité, insomnie, déambulation, apathie….
  • souvent favorisés par
    un environnement physique et/ou humain inadapté
    des pathologies intercurrentes (douleurs, etc car la personne a des difficultés à s’exprimer)
    des besoins physiologiques
    de la dépression ou de l’anxiété
    des idées délirantes avec ou sans hallucinations
    fréquents et graves, accéléra° du déclin cogn, modif qualité de vie, source de mortalité, source de iatrogénie, hospit°, impact sur cout
    → tbles du cpt moteur (agitat°, agressif, fugue…), tbles des conduites élem ( alim°, sexualité, rythme veille-sommeil), tble psychia (humeur, dépress, anx, personnalité, anhédonie…), tble psychotiques (hallu, parano…)
    • Possible: crises d’épilepsie, myoclonies, amaigrissement
28
Q

phase terminale de la MA

A
  • « Désert cognitif »
  • Troubles moteurs “perte de la marche
  • Difficultés d’alimentation
  • Troubles sphinctériens
  • Décès par complications liées à la dénutrition et à l’alitement
29
Q

MCL généralités

A

2e maladie la + fréquente après la MA
• Les corps de Lewy sont des inclusions intraneuronales retrouvées:
Dans la maladie de Parkinson (substance noire)
Dans la démence à corps de Lewy
dans les 2 maladies: syndrome extra-pyramidal mais différences:
• Dans la maladie de Parkinson, la démence est tardive (Démence parkinsonienne)
• Dans la démence à corps de Lewy, la démence précède les signe parkinsoniens

30
Q

MCL critères diagnostiques révisés de Mc Keith

A

1/ Manifestation centrale (essentielle pour le diagnostic d’une probable ou possible DCL)
• Déclin cognitif progressif ( répercussion sur l’autonomie/relations sociales/ professionnelles)
• Une altération mnésique -> pas tjrs au début
• Les troubles de l’attention, des fonctions exécutives et des capacités visuo-spatiales peuvent être au premier plan.

2/Signes cardinaux (2 signes sont suffisants pour le diagnostic de DCL probable et 1 seul pour le diagnostic de DCL possible)

  • Fluctuations cognitives
  • Hallucinations visuelles
  • syndrome parkinsonien

3/ Manifestations évoquant une DCL (la présence d’au moins une de ces manifestations en plus d’au moins un signe cardinal est suffisante pour le diagnostic de DCL probable, et en l’absence de signe cardinal pour le diagnostic de DCL possible)

  • Trouble du sommeil paradoxal
  • Hypersensibilité aux neuroleptiques
  • Réduction de fixation du transporteur de dopamine dans le striatum

4/Symptômes en faveur d’une DCL (souvent présents mais manquant de spécificité)

  • Chutes répétées et syncopes
  • Pertes de connaissance
  • Dysautonomie
  • Hallucinations autres que visuelles
  • Idées délirantes systématisées
  • Dépression
  • Préservation relative des structures temporales internes en TEMP ou TEP avec réduction de l’activité occipitale
  • Ondes lentes à l’EEG avec activité pointue transitoire dans les régions temporales
31
Q

imagerie ds MCL

A

IRM cérébrale: normale ou atrophie sous-corticale
DATscan pathologique
réduction activité occipitale

32
Q

fluctuations ds MCL

A
  • Signe souvent mal évalué. → important d’interroger l’entourage « A-t-il des épisodes où sa pensée semble claire et d’autres fois où il devient confus? »
  • Probablement la principale cause de non diagnostic des maladies à corps de Lewy.
  • Fluctuations: Brèves (d’un moment à l’autre) → “troubles attentionnels, fluctuations de vigilance» ou Plus longues (heures, jours, semaines) → “tableau confusionnel »

4 caractéristiques :
• Somnolence ou léthargie de jour.
• Sommeils de plus de 2 heures de jour.
• Regard fixe pendant de longues périodes.
• Épisodes où le langage est désorganisé.

33
Q

TCV généralités

A

Aucune caractéristique pathognomique du TCV

1/Sévérité du trouble cognitif
-Déficit ou Trouble cognitif léger/Démence ou trouble cognitif majeur

2/Caractéristiques des lésions vasculaires parenchymenteuses

  • Nature ischémiques/Hémorragiques
  • Nombre: Unique/multiples
  • Localisation : Corticale/sous Corticale
  • Taille des vaisseaux lésés: gros/petits

3/Pathologies vasculaires sous-jacentes et pathologies associées
Maladies des gros vaisseaux:
-Athérosclérose
-Pathologies emboliques : caillots qui se forment

Maladies des petits vaisseaux cérébraux:

  • Artériosclérose
  • Angiopathie amyloïde cérébrale sporadique
  • Maladies héréditaires des petites artères cérébrales
  • Formes mixtes en associations à la maladie d’Alzheimer et même à la DCL
34
Q

TCV des petits vaisseaux: caractéristiques

A

Forme la plus fréquente des TCV: 40 à 70% Ressemble un peu à maladie fronto temporale mais en plus léger

Diagnostic:
1/Tableau cognitif et clinique évocateur
2/Evolution souvent progressive et lente ou par à coups
3/Imagerie cérébrale : lésions de la substance blanche périventriculaire/lacunes/microsaignements sous corticaux
4/Absence de signes en faveur d’une autre cause de trouble cognitif dans les formes « pures »

Etiologie : Artériosclérose liée à l’âge et à l’HTA (hypertension artérielle) (Maladie de Binswanger)

troubles cognitifs :
•Troubles de l’Attention et fonctions exécutives+++
•Déficit mnésique de profil sous-cortical (donc aidé par indiçage)
•Ralentissement psychomoteur
•FI préservées

≥ 1 signes suivants
•Troubles de l’humeur et de la personnalité
•dépression, apathie, incontinence émotionnelle
•Troubles de la marche et chutes
•Troubles sphinctériens

IRM: lacunes, espaces périvasculaires…

35
Q

TCV des gros vaisseaux

A

Diagnostic
1/Trouble cognitif (dépend du territoire, tout est possible)
2/Relation temporelle entre le trouble cognitif et ≥ 1 AVC
3/Infarctus unique ou multiples à l’imagerie
4/Absence de signes en faveur d’une autres cause de trouble cognitif

Pathologies sous jacentes Gros vx»>petits vaisseaux

36
Q

DLFT généralités

A

Regroupe 3 maladies:
1.Démence Fronto-temporale=Maladie fronto-temporale
troubles du comportement au premier plan – 3 types:
•comportement stéréotypé, compulsif, ritualisé : DL – le pseudo pbsessionnel – type «stéérotypique»
•comportement apathique, inerte, insouciant : GCA - le pseudo déprimé – type «apathique»
•comportement désinhibé, troubles des conduites sociales : OF – le pseudo maniaque – type «désinhibé»
2.aphasie progressive non fluente
3.aphasie progressive fluente : démence sémantique

37
Q

DFT critères diag

A

1/pathologie neurodégénérative :
A.Critère indispensable :
Détérioration progressive du comportement et u de la cognition sur la base du suivi ou de l’interrogatoire (rapport d’un informant fiable)
Au moins trois des symptômes suivants doivent être retenus
Désinhibition comportementale précoce* (* dans les 3 premières années)
Comportement social inapproprié
Perte des convenances sociales ou de politesse
Actes impulsifs, irréfléchis voire imprudents
Apathie / Inertie précoce
Perte de sympathie ou empathie précoce
Réponse diminuée aux besoins et sentiments des autres
Désintérêt social, altération des relations interpersonnelles, émoussement affectif
Comportement persévératif, stéréotypé ou compulsif-obsessionnel
Mouvements répétitifs simples
Comportements complexes compulsifs, rituels: même symptome que TOC mais sans angoisse
Stéréotypies verbales
Hyperoralité et changement des habitudes alimentaires
Modification des goûts alimentaires
Gloutonnerie, consommation aggravée d’alcool ou de cigarettes
Troubles cognitifs
Déficit des fonctions exécutives
Respect relatif de la mémoire épisodique
Respect relatif des fonctions visuospatiales

Bilan neuropsychologique:
Déficit des fonctions exécutives
Troubles de la cognition sociale
Attention le BNP peut être normal au début de la maladie

Critères révisés de la DFT, Racovsky K et al. Brain 2011:
B.Présence d’un déclin fonctionnel significatif sur la base de :
Données de l’informant → il doit y avoir une rupture ac le cpt antérieur du patient
Échelles (AVQ…)

C.Imagerie compatible
Atrophie frontale et /ou temporale antérieure en IRM ou Scanner
Hypométabolisme frontal et /ou temporal antérieur en SPECT ou TEP

D.Si possible, avec la présence d’une mutation génétique connue (critère pas obligatoire) (fréquent)

2/Critères d’exclusion
Les déficits peuvent être expliqués par une autre affection neurodégénérative ou une affection médicale (absence d’APP, de démence
sémantique ; absence de maladie systémique pouvant influer sur la cognition ; absence de lésions vasculaires suggérant une démence vasculaire)
Les troubles du comportement peuvent être mieux expliqués par une pathologie psychiatrique
Les biomarqueurs sont en faveur d’une maladie d’Alzheimer ou d’un autre trouble neurodégénératif

38
Q

DFT examen neurologique somatique

A
  • Au début et pendant longtemps, il est normal
  • Signes frontaux, réflexes archaïques: réflexe de succion, grasping, comportement de préhension, d’utilisation, d’imitation….
  • apraxie de la marche
  • Sous-utilisation motrice
  • Rares signes pyramidaux
  • Atteintes de la corne antérieure SLA (sclérose latérale amyotrophique – svt associé)
  • Syndrome extrapyramidal
  • Désordres végétatifs: malaises, hypotension
39
Q

mémoire ds DFT

A

•Pas de syndrome amnésique
•Un profil caractéristique de troubles de l’apprentissage à long terme
•Schématiquement, pas de difficulté pour apprendre des informations nouvelles, si:
-Qu’il y ait une aide à la structuration sémantique du matériel à l’encodage (« encodage profond » + absence de relâchement de l’interférence proactive)
-Qu’il y ait une aide au moment du rappel sous forme d’indices ou de choix multiple (rappel libre < rappel indicé < reconnaissance)
-Qu’on élimine tous les symptômes perturbants (troubles attentionnels, distractibilité, persévérations)
Dans la vraie vie, ils ont donc souvent des troubles de la mémoire même s’ils ne sont pas amnésiques au sens pur du terme Ils se souviennent de façon partielle et pas d’eux-mêmes d’évènements en les confondant et en les situant imparfaitement les uns par rapport aux autres
Épreuve d’apprentissage verbal à long terme type RL/RI16 (Grober & Buschke)
•Contrôle encodage •Réapprentissage sélectif •Rappel libre et indicé •Reconnaissance
→ Au cours du syndrome frontal:
- difficultés d’encodage - chute du rappel libre - aide importante de l’indiçage - performances normalisées par la reconnaissance

40
Q

imagerie DFT

A

cerveau jaune/vert à l’avant → tt l’avant ne fonctionne plus

41
Q

démence sémantique (DS ) critères

A
  • perte des connaissances sémantiques (manque mot pr objets/personnes, tble compréhension mots, déficit identification objets, portant sur mêmes objets), s’installant insidieusement et s’aggravant progressivement
  • > progressive , globale et multimodale
  • normalité des épreuves épargnant l’utilisa° de concepts (perception , mémoire au jour le jour, orientation, fluidité de discours, phonologie, raisonnement non verbal, capacités visuo-spatiales, gestes… -> ok)
  • autonomie préservée
42
Q

imagerie DS

A

anomalies temporales (antéro-inférieure) bilatérales et asymétriques

43
Q

formes atypiques de la DS?

A
  • une seule modalité atteinte

- tble co non sémantiques associés

44
Q

cpt dans la DS

A

logorhéique
parle toujours d’eux et par rapport à eux-mêmes
psychorigides
alim: ne mangent q’une seule chose
conscient de leurs troubles et grande souffrance

45
Q

APPNF diag clinique

A
  • Au moins un des critères suivants
    • 1/agrammatisme -> finit par style télégraphique puis mutisme
    • 2/faire un effort pour parler
  • 2 Au moins deux des critères suivants
    • Altération de la compréhension des phrases complexes sur le plan syntaxique
    • Compréhension du mot isolé préservé
    • Compréhension de la connaissance des objets
46
Q

APPNF imagerie

A

atrophie (avec hypoperf en spect et hypométa) périsylvienne frontale postérieure gche

Régions concernées: gyrus frontal inférieur, cortex prémoteur, AMS, insula

47
Q

APPNF 2e nom

A

APP agrammatique probable

48
Q

APP logopénique diag clinique

A
  • Association des deux critères suivants
    • Manque du mot en langage spontané et en dénomination
    • Troubles de la répétition de phrases
  • Présence d’au moins trois des 4 critères suivants
    • Erreur phonologique en dénomination et en langage spontané
    • Pas de troubles de compréhension du mot isolé ni de la connaissance des objets
    • Pas de troubles arthriques
    • Pas d’agrammatisme franc
49
Q

APP logopénique: spécificité?

A

Alzheimer qui commence par le langage. Dure en gl 2 ans avant que les signes de la MA apparaissent

50
Q

APP logopénique: imagerie?

A
  • Prédominance de l’atrophie périsylvienne temporale gauche et pariétale en IRM
  • Prédominance de l’hypométabolisme en PET FDG ou de l’hypoperfusion en SPECT
  • Régions concernées: jonction temporo-pariétale, gyrus supramarginalis, angulaire, lobe temporal postérieur
51
Q

PSP caractéristiques

A
  • Atteinte oculomotrice des mouvements conjugués des yeux
  • Hypertonie axiale, tête en hyperextension
  • Bradykinésie
  • Chutes sans dysautonomie (svt parce que trop en hyper-extension et tombent en arrière)
  • Syndrome pseudobulbaire (immobilité de la face mais motilité automatique conservée, rire et pleurer spasmodiques)
  • Démence: profil dysexécutif sur le mode apathique le + souvent, patient psychorigide avec un effondrement de la fluence littérale (bcp + que catégorielle)

Signe spécifique à l’IRM mais apparaît après plusieurs années:
A et B = normal C = signe du colibri → angle obtu en D

52
Q

SCB critères diag

A

syndrome cortico basal → mode d’entrée ds maladie (svt, diag de MA ensuite) → ≠ de dégénérescence cortico-basal
Epidémio = 700 patitents contre 800000 pr MA.

Critères diag - Critères principaux :
•Début insidieux et évolution progressive
•Pas de cause identifiable (tumeur, infarctus…)
•Dysfonction corticale comprenant au moins un des signes suivants:
-Apraxie idéomotrice focale ou asymétrique
-Phénomène du « membre étranger » (parfois, le membre fonctionne en autonomie)
-Troubles sensitif cortical
-Héminégligence sensitive ou visuelle
-Apraxie constructive
-Myoclonies focales ou asymétriques (mvts en sursaut, par accoups)
-Apraxie du langage/aphasie non fluente
•Syndrome extrapyramidal comprenant au moins un des signes suivants:
-Hypertonie focale ou asymétrique d’un membre et dopa-résistance
-Dystonie focale ou asymétrie d’un membre

53
Q

DLFT: syndrome clinique et diag anatomopathologique?

A

pas toujours bonne correspondance entre syndrome clinique et diagnostic anatomopathologique
Pour les DLFT, APP, PSP, DCB, plusieurs étio sont possibles et les évolutions clinique sont variables

Neuropathologie:
•Explorer les régions : gyrus frontal moyen (F2); gyrus temporal supérieur; lobe pariétal; hippocampe et gyrus cingulaire.
•Marquages : Tau, ubiquitine (Ubi), α-synucléine •Un autre de moyen de faire un diagnostic de certitude dans les DLFT: la génétique •Environ 40% des DLFT sont d’origine génétique

54
Q

syndrome de Benson: autre nom?

et spécificité?

A

atrophie corticale postérieure

Ds 95% des cas, c’est une entrée dans la MA

55
Q

caractéristiques du syndrome de Benson?

A
  • Pas de définition claire et de critères diagnostiques consensuels
  • Première description par F. Benson et al, Archives of Neurology, 1988
  • Syndrome clinico-radiologique individualisé dans le cadre des syndromes démentiels d’origine dégénérative
  • Caractérisé par une altération progressive des fonctions visuelles supérieures
  • Contrastant avec une préservation au moins relative de la mémoire et des autres fonctions cognitives
  • Peuvent être associée une apraxie, une agraphie, un syndrome de Gertsmann, des troubles du langage
  • Associée à l’imagerie à des anomalies dans les régions corticales postérieures ( hypo perfusion en SPECT/hypométabolisme en PETscan FDG/ atrophie en IRM )
  • Atteinte des aires visuelles primaires possible

Atteinte de la voie du where: la + fréquente

56
Q

imagerie syndrome de benson

A

inverse DFT

57
Q

maladie de Creutzfeldt Jakob - caractéristiques générales

A

Maladie rare incidence = 1,4/106/an
(Alzheimer = 1,4/103/an)
•sporadique > 80% (au hasard – pas d’explication)
•familiale 10-15%
•iatrogène 5% (hormone de croissance; autres)
•nouveau variant («vache folle»)
Étude du gène PRNP: recherche d’une mutation
Codon 129 Méthionine/Méthionine : facteur de risque

58
Q

creutzfeldt jakob : caractéristiques clinqiues

A
  • 50-70 ans (16-86)
  • démence rapidement progressive (très vite et très violent pr tt le monde)
  • myoclonies, ataxie, signes cérébelleux, signes visuels, syndrome pyramidal, syndrome extra-pyramidal, mutisme akinétique
  • décès en 8 mois (évolution en 6 semaines à 2 ans)
  • EEG: ondes triphasiques, périodiques
  • LCR: protéine 14-3-3 et protéine Tau augmentées (prot Tau → mort neuonale . On ne peut pas la doser tellement c’est élevé)
  • IRM séquences de diffusion et Flair: hypersignaux du cortex et des noyaux gris
59
Q

hydrocéphalie à pression normale:

autre nom + caractéristiques cliniques

A

(augmenta° de volume mais pas d’hyperpression dc pas de maux de tête)
•Appelée aussi hydrocéphalie à pression normale
•Défaut de résorption du LCR (on sécrète et réabsorbe le LCR tt le temps mais ds cette maladie, défaut), se développant très progressivement, donc sans augmentation de pression
•Primitive ou secondaire (hémorragie méningée, méningite)
•Triade d’Hakim et Adams:
•Syndrome démentiel (frontal ++)
•Incontinence urinaire
•Troubles de la marche : plutôt tendance à marcher à petit pas
•Imagerie:
•Dilatation ventriculaire
•Absence d’atrophie corticale

60
Q

hydrocéphalie à pression normale: soin

A

•Test thérapeutique:
•Ponction lombaire soustractive (30 cc) et on regardent s’ils marchent mieux, réflechissent mieux etc dans les heures/jours qui suivent. Si ça fonctionne, on peut les opérer en mettant une valve qui aspire en permancence le liquide.
•Efficacité surtout si:
Forme secondaire
Troubles de la marche au premier plan (car fonctionne moins bien sur tbles cognitifs etc)
•Traitement:
•PL itératives
•Dérivation du LCR (ventriculo-péritonéale)

61
Q

ttt et PEC des maladies neurodégénératives?

A
  • Intervenants nombreux
    • Médecin généraliste + spécialistes
    • Psychologue
    • Orthophoniste, kiné, infirmière, aide-soignante, ergothérapeute
    • Assistante sociale
  • Education et soutien aux aidants
    • Notion de « fardeau »
    • Stress et ses conséquences
  • Aucun traitement curatif
  • Ne pas nuire (attention aux ttt; peuvent ê très sensibles – mettre des ttes petites doses au départ)
  • Favoriser:
  • Qualité de vie
    • Communication et capacités à interagir
    • Maintien de l’intégrité physique et morale
    • Prévenir les troubles du comportement (attention: si aidant anxieux patient va certainement ê anxieux – très poreux)
  • Une prise en charge double
    • Sanitaire
    • Médico-sociale
62
Q

ne pas négliger ds la PEC

A
  • Traitement des pathologies associées, des déficiences sensorielles
  • Prévention:
    • Chutes
    • Conduite automobile
    • Accidents domestiques
    • Nutrition
  • Attention aux médicaments
    • Effets secondaires ++