Prat inf exam1 Flashcards
(38 cards)
Expliquer les interventions à mettre en œuvre pour minimiser les effets de l’hospitalisation chez l’enfant, ses parents et sa fratrie.——-revoir lectures———–
Enfant
- Angoisse de séparation (3 phases : protestation/déni, dépressif, détachement) : proposer aux parents d’expliquer départ et retour hôpital (calendrier) qui vient quand. rendre accessible objets de transition (toutou, photo…)
- Perte de contrôle : routine, calendriers personnalisés, école à l’hopital, maintenir autonomie. permettre choix (comprimé sirop…). renseigner et préparer intervention
- Atteinte corporelle et douleur :
Parent culpabilité
❖Conseils aux parents pour les effets:- PRENDRE SOIN DE SOI pour aider l’enfant et être disponible sur le plan émotif- parler à une personne de confiance des sentiments, inquiétudes et peurs vs l’hospitalisation- demander de l’aide aux autres pour les tâches ménagères, prendre soin des autres enfants à la maison…
Fraterie : colère jalousie
donner infos sur frere pour diminuer peur
montrer que s’occupe différement de l’enfant
❖Comment les parents peuvent aider la fratrie?- répondre aux questions honnêtement, directement et simplement- dire aux enfants de partager leurs sentiments et leurs inquiétudes- préparer une visite à l’hôpital… … …comment?- passer du temps ensemble- maintenir la ROUTINE- impliquer les enfants dans cette expérience d’hospitalisation… … …comment?
Commencer tot prévention
+
augmenter lien attachement parent enfant
augmente relation diade enfant enfant
stratégies d’adaptation
influence choix de carrière
opportunité enseignement parent enfant
promouvoit sentiment controle
développe habiletés socialisation
3 types de stresseurs
- Angoisse de séparation (3 phases : protestation/déni, dépressif, détachement) : proposer aux parents d’expliquer départ et retour hôpital (calendrier) qui vient quand. rendre accessible objets de transition (toutou, photo…)
- Perte de contrôle : routine, calendriers personnalisés, école à l’hopital, maintenir autonomie. permettre choix (comprimé sirop…). renseigner et préparer intervention
- Atteinte corporelle et douleur : petit pansement= petit bobo
faire dessin sur douleur sur feuille
vulnérabilité au stresseur augmenté: garcon, mauvaise rel parents, tempérament difficile
qi inférieur, relations fam mauvaises, tout petit
3 phases angoisse séparation
protestation/déni, dépressif, détachement
Identifier les facteurs qui influencent les réactions de la fratrie face à l’hospitalisation d’un frère ou d’une sœur.
❖Réactions possibles:- solitude, peur, inquiétude, colère, jalousie, culpabilité, confusion…
❖Facteurs qui influencent ces réactions:- être plus jeune que l’enfant hospitalisé- vivre plusieurs changements- être gardé à la maison par une personne n’étant pas de la famille - avoir peu d’info. à propos de la personne hospitalisée- avoir l’impression que les parents s’occupent différemment de soi vs avant l’hospitalisation…
Préparer psychologiquement et physiquement un enfant aux soins lors de l’hospitalisation.
Pourquoi : réduire anxiété(anxiété de séparation), promouvoir collabo soins, supporter habiletés, enseigner, redonner controle. rendre expérience positive et agréable
À quel moment : dépend age. plus jeune plus explication moment près de explication (jour avant)
Quoi dire : endroit, ce qui subit, durée qui sera la nature . p.671-2
Comment le dire voir tableau mots OK qualicarifs importants. petit aiguille, parent sera la au reveil. toujours terminer sur note positive
Préparation physique de l’enfant ❖Pour l’anxiété de l’enfant lors des procédures:- prévenir les délais et interruptions inutiles (rassembler tout le matériel…)- le nombre de personnes présentes- impliquer l’enfant (permettre des choix, tenir le pansement…)
Identifier les réactions possibles après l’hospitalisation d’un enfant.
plus jeunes
- distance initiale des parents (dure peu longtemps)
- dépendance des parents
- demande attention parentale
- forte opposition à toute séparation
- nouvelles peurs
- résistance à aller au lit troubles sommeil
- retrait social, timidité
- hyperactivité
- habitudes alimentaires perturbées
- régression
plus vieux
- indéprendance (émotionnelle) des parents. froids
- déprendance des parents
- colère envers parents
- jalousie envers les autres
signes normaux d’inadaptation. Si persistance ou atteinte AVQ=>CONSULTER
interventions pour stresseurs
- Angoisse de séparation (3 phases : protestation/déni, dépressif, détachement) : proposer aux parents d’expliquer départ et retour hôpital (calendrier) qui vient quand. rendre accessible objets de transition (toutou, photo…)
- Perte de contrôle : routine, calendriers personnalisés, école à l’hopital, maintenir autonomie. permettre choix (comprimé sirop…). renseigner et préparer intervention
- Atteinte corporelle et douleur :petit pansement= petit bobo. faire dessin sur douleur sur feuille
voir exercices ppt
Identifier le degré de perception et de compréhension de la douleur chez un enfant.
❖ 0-6 mois
- pas de compréhension ni de contrôle de la douleur
- réponses réflexes à la douleur dominées par les perceptions
- douleur perçue comme un mal-être global
❖ Dès 6 mois
- début de localisation et de verbalisation de la douleur (bobo,…)
- craintes de situations douloureuses déjà vécues
- vers 18 mois: recherche de soulagement (câlin,…)
❖ Dès 2 ans
- usage du mot «mal»
- douleur = punition
- disparition de la douleur est magique
- les autres sont responsables de sa douleur
❖ Dès 3 ans
- utilisation spontanée du jeu ou de la distraction pour se sentir mieux
❖ Dès 4-5 ans (situation d’Olivia…)
- capacité à évaluer sa douleur
- capacité à repérer des solutions pour lutter contre sa douleur
❖ Dès 7 ans
- compréhension du lien de cause à effet
- capacité à expliquer le pourquoi de la douleur
- perception exacte du siège de la douleur (mal de tête,…)
- capacité de ressentir la souffrance psychologique (mort,…)
❖ Dès 8-10 ans
- capacité à chiffrer sa douleur
Expliquer les réactions physiologiques et comportementales à la douleur chez un enfant.
❖ Dans le cas d’une douleur chronique , on peut observer ces réactions comportementales- fatigue- visage inexpressif- immobilité- refus de communication :- PERTE D’INTÉRET POUR LE JEU - perte d’appétit Ces réactions donnent l’impression d’un ENFANT TROP SAGE…
*chronique : trouble sommeil, veut pas jouer, dépression
SV augmente pouls et FR. syst nerveux sympathique(doul aigu), sudation, pupilles constriction, front plissé, agitation, rigidité muscu, cris et gémissements-aigu
Pas toujours proportionnel à intensité doul
Choisir les échelles de mesure à prioriser pour évaluer la douleur chez un enfant.
PQRSTU dire bobo
Méthodes d’évaluation
1) Hétéroévaluation: à prioriser pour enfant qui arrive et douleur aigue
* par l’infirmière
(situation d’Olivia…)
* pour les mesures comportementales
(lesquelles?) expression faciales, vocalisations et mouv. corporels
* pour les enfants de __0-4____ ans
* pour les enfants ayant un handicap cognitif,
intubés, en réanimation ou après une opération
* principale échelle utilisée: Échelle FLACC (0-6 ans)
* autre échelle: Échelle EVENDOL (0-7 ans) autre pas a exam
Méthodes d’évaluation
2) Autoévaluation: à prioriser comme 1 ere étape
* par l’enfant
* pour les enfants de __3-4+__ ans
* principales échelles utilisées: Échelle des
visages, EVA (échelle visuelle analogique) et EN (échelle numérique)
* autre échelle: EAQDE (6-12 ans)
En présence de douleur chronique, il est également
important d’évaluer d’autres dimensions chez
l’enfant…lesquelles?
CDI pour dépistage dépression enfant
semi pompe acp enfant
7-8 ans rare avant ado
quelle pharmaco douleur modérée à sévère
pas codéine. MORPHINE
V/F Régression et dépression peuvent être des signes de la douleur?
V
. Les signes vitaux sont de bons paramètres d’évaluation de la douleur?
F
L’enfant calme peut être souffrant?
V
EFFET le plus important/grave et le plus courant/principal opioides
dépression respi
constipation
Se familisariser avec les symptômes typiques des principaux troubles de santé mentale chez les jeunes.
Anxiété : reste ancré dans enfant
Jeunesse souvent avec comorbidité (autre trouble sm)
Voir ppt
Question a choix de reponse
Si exercice fait en classe pas nécessairement de question a examen
Identifier les facteurs de risque associés au TDAH.
Cigarette, alcool périnat, génétique. garcon
Distinguer les types de TDAH.
3 sx importants : hyperactivité, impulsivité et inattention. Gros probleme de motivation
3 types Avec dominance ou combiné. 3 sous type s inttentive, hyperactive/impulsive depuis x mois
Identifier les principaux effets secondaires reliés aux psychostimulants.
Perte d’appétit
Perte de poids
Gain de poids
Maux d’estomac
Nausée
Vomissements
Diarrhée
Sécheresse (peauyeux/bouche)
Soif
Maux de gorge
Difficultés à dormir
Tics
Mal de tête
Tensions musculaires
Fatigue
Vertiges
Transpiration
Agitation/excitation
Irritabilité
Changements d’humeur
Trop focuser «Effet zombie»
Tristesse
Palpitations cardiaques
Changements significatifs de la pression artérielle (plus faible ou plus élevée)
Urine fréquemment
Dysfonction sexuelle
Se sent pire ou différemment lorsque la médication s’estompe (rebond)
Autre:
voir caddra
Sx s’estompent dans le temps
Tics en cas de surdose
Expliquer les interventions à mettre en œuvre dans la prise en charge du TDAH en 1re ligne.
med seule pas suffisante pour traiter tdah
Définir ce qu’est une thérapie par pression négative(TPN)
Méthode active qui consiste à appliquer une pression
subatmosphérique (négative) contrôlée afin de créer un
environnement propice à la guérison des plaies par deuxième
ou troisième intention
La TPN repose sur deux principes(UETMIS-CHUQ,2010)
(1)effet mécanique exercé au niveau de la plaie
(2)effet occlusif
*Expliquer les mécanismes d’action de la TPN
*Microdéformation: se produit au niveau cellulaire en entraînant
l’étirement des cellules:
Stimule l’angiogénèse
Stimule la division et la prolifération cellulaire
*Macrodéformation favorise:
Rapprochement des berges de la plaie
↓ charge bactérienne
↓ exsudat et de l’œdème
↓ cytokines et MMP
↑ facteurs de croissance de l’endothélium vasculaire