prat inf exam2 Flashcards

(91 cards)

1
Q

Connaître les objectifs et les principes d’intervention du programme d’hygiène du sommeil

A

Contrôle par stimulus: Vise l’adoption de comportements favorisant le sommeil
7 directives savoir?
Pour ainées qui ont capapcité cognitive et volonté

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2
Q

Connaître les interventions systématiques et spécifiques liées au sommeil

A

Ø Saine alimentation
Ø Mettre en place une routine de sommeil, respecter la routine de la personne
Ø Lever et coucher à la même heure
Ø Activité relaxante avant coucher
Ø Environnement propice au sommeil (exempt de bruit, température agréable, lumière tamisée, etc.)
Ø Assurer un positionnement adéquat au lit
Ø Se coucher lorsque fatigué
Ø Activité physique (mais à éviter en soirée)
Ø Si la personne ne dort pas après 30 minutes, elle doit se lever et aller dans une autre pièce. Elle retourne dans la chambre lorsqu’elle sent qu’elle a à nouveau sommeil
Ø Réponse aux besoins de base
Ø Regrouper les soins (si requis) la nuit

technique de controle par le stimulus

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3
Q

Connaître les cibles de dépistage et d’évaluation du sommeil
3 outils

A

Examen clinique 1. Anamnèse : OPQRSTU 2. Journal de sommeil: pour les aînés sans pathologie ou 2. Index de sévérité de l’insomnie pour clinicien et grille d’observation des troubles du sommeil: pour les aînés atteints d’un trouble neurocognitif majeur vivant en ressource d’hébergement

Les outils sont indispensables, mais ne permettent pas à eux seuls de reconnaître une trouble du sommeil. L’infirmière doit porter un jugement clinique à partir des données recueillies auprès des personnes âgées

Journal de sommeil:
* Il représente la pierre angulaire de l’évaluation infirmière, car il permet de recueillir des données de base sur les variables importantes du sommeil.
* Il peut être réalisé par l’infirmière lors d’une entrevue avec l’aîné ou on peut demander directement à l’aîné de compléter le journal durant toute une semaine.
* Idéalement, le journal du sommeil devrait couvrir une ou deux semaines. Toutefois, selon le contexte clinique, l’infirmière peut éventuellement le remplir pour un seul cycle de 24 heures.
* Comme le sommeil varie d’une nuit à l’autre, le journal permet d’observer ses variations nocturnes ainsi que les problèmes persistants.
* Il permet de calculer l’efficacité du sommeil de l’aîné.
* Il permet de déterminer la présence éventuelle d’un état pathologique, tel que l’insomnie primaire.
Voir ppt

Grille d’observation des troubles du sommeil
* Elle doit contenir assez de précisions lorsqu’elle est complétée pour permettre de déterminer le type de problème de sommeil.
* Noter approximativement le nombre d’heures de sommeil nocturne: temps écoulé entre le moment de l’endormissement et celui de l’éveil matinal, en déduisant les périodes d’éveil durant la nuit.
* Observer la qualité du sommeil nocturne, le nombre d’apnées ainsi que les mouvements susceptibles d’entraîner des problèmes de sommeil.
* Noter durant la journée les périodes de sieste ou les périodes de somnolence.
* La grille doit comporter les observations de plusieurs journées, idéalement une semaine afin de donner un portrait fidèle du problème de sommeil.
* Lorsque les données colligées dans cette grille suggèrent un problème de sommeil, l’infirmière peut étoffer les informations obtenues en utilisant l’index de sévérité de l’insomnie. L’index est particulièrement utile pour évaluer l’efficacité du traitement mis en œuvre pour tenter de soulager l’insomnie.*******

Index de sévérité de l’insomnie pour clinicien
* Pour que les différentes dimensions de l’index soient couvertes, la participation des infirmières de jour, de soir et de nuit est nécessaire.
* L’infirmière de jour répond aux questions 2 à 5, l’infirmière de soir répond à la question 1 a) et l’infirmière de nuit répond aux questions 1 b) et 1 c).
* Pour assurer la validité des réponses, les infirmières devraient couvrir 3 cycles de 24 heures et donc remplir 3 index.
* La consultation de tous les membres de l’équipe soignante est requise.
Index permet de valider efficacité interventions mises en place

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4
Q

Définir l’insomnie primaire, ses causes et ses impacts

A

3 grandes causes : associés soit à une difficulté d’endormissement ou de maintien du sommeil, soit à un sommeil non réparateur.
L’insomnie se définit comme une insatisfaction associée à une difficulté d’endormissement ou de maintien du sommeil, ou à un réveil précoce matinal.

Pour distinguer l’insomnie clinique du sommeil normal, Morin (2009) propose les indices suivants:
* Prendre plus de 30 minutes pour s’endormir ou passer plus de 30 minutes éveillé au milieu de la nuit;
* Dormir moins de 6,5 heures par nuit, avec une efficacité de sommeil inférieure à 85%.
Voir pas savoir calcul efficacité sommeil

Conséquences
* Qualité de vie perturbée
* Activités quotidiennes désorganisées
* Fatigue physique et psychologique plus élevée durant la journée
* Somnolence diurne plus importante
* Difficulté d’attention et de mémoire plus marquée que chez les
bons dormeurs
* Pour les personnes âgées souffrant de déficits cognitifs: peut
occasionner l’apparition de SCPD (errance, agressivité, etc.)

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5
Q

efficacité de sommeil critique

A
  • Dormir moins de 6,5 heures par nuit, avec une efficacité de sommeil inférieure à 85%.
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6
Q

Connaître les cycles de sommeil et les effets du vieillissement normal sur ceux-ci

A

Vieillissement normal
Stade 1: Augmentation en proportion et en fréquence (5% ® 10% après 65 ans): attribuable aux réveils fréquents
Stade 2: Aucune modification
Stade 3: Modification à divers degrés selon l’aîné
Stade 4: Disparition chez la plupart des aînés
Sommeil paradoxal: Réduction de la durée. Sommeil moins récupérateur et réparateur

– Changements fonctionnels , vieillissement normal
* Allongement de la période d’endormissement (30 minutes ou moins)
* Augmentation de la fréquence et de la longueur des réveils nocturnes (mais 4 réveils ou moins durant la nuit, chacun d’une durée de 20 minutes ou moins)
* Augmentation du temps passé au lit
* Morcellement du sommeil (temps réparti autrement)
* Difficulté à maintenir le sommeil jusqu’au matin
* Même nombre d’heures de sommeil que chez les adultes plus jeunes (30 à 50 ans), mais distribution différente sur une période de 24 heures
* Besoin plus grand de faire une sieste

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7
Q

Connaître les cibles d’évaluation et d’intervention de la vision

A
  • Impacts fonctionnels et impacts sur la sécurité de l’aîné (lire la médication, chutes, etc.)
  • Impacts psychosociaux (stress, frustration, isolement, etc.)
  • Observation du comportement de l’aîné (tatonne, sursaute quand arrive, ne lit plus…)
  • Vision de près et capacité à lire : échelle de Rosenbaum
  • Vision périphérique

Interventions systématiques
Connaitre vieillissement normal et maladies visuelles
Ø Connaître les troubles
Ø S’assurer du port des verres correcteurs
Ø Adapter environnement
Ø place de la table
Ø orientation du lit par rapport à la porte
Ø rideaux aux fenêtres, lumières adaptées
Ø placer la personne dos à la fenêtre pour diminuer l’éblouissement
Ø ajouter une lampe de table plutôt que de laisser uniquement la lumière de plafond
Ø Adapter objets
Ø couleurs et contrastes
Ø Proposer matériel adapté
Ø loupe de travail
Ø téléphone avec grosses touches
Ø livre à gros caractères
Ø Respecter l’ordre et les habitudes
Ø Donner des repères « visuels »
Ø qui je suis, le temps, le paysage, la chambre ou la salle
Ø Dépliants d’informations papier mat et imprimé en noir sur blanc ou jaune

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8
Q

Connaître les cibles d’évaluation et d’intervention de l’audition

A
  • Examen clinique de l’oreille (bouchon sérumen car assèchement séru)
  • Questionnement de l’audition dans les derniers mois (entend des nouveaux bruits, infection, etc.)
  • Test de dépistage : test du chuchotementà connaitres et 2 variantes
  • Vérifier les signes suivants:
  • Manque d’attention
  • Demande souvent de répéter
  • Habitude de tendre l’oreille
  • Manque de réaction au bruit
  • Histoire familiale de problèmes auditifs

Interventions systématiques
Ø S’assurer du port des prothèses auditives fonctionnelles
Ø Se placer en face et au même niveau de la personne pour lui adresser la parole
Ø Avoir l’attention de la personne avant de commencer à parler
Ø Bien articuler, cadence modérée et pause entre les phrases pour s’assurer que la personne entend et qu’elle comprend
Ø Réduire les bruits ambiants (sur attention, concentration)
Ø Utiliser un amplificateur de voix au besoin
Ø Valider la compréhension
Ø Utiliser le langage non verbal : expressions du visage
Ø Utiliser des objets ou des images : tableau de communication

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9
Q

Connaître les interventions systématiques et spécifiques liées à l’élimination vésicale

A

VÉSICALE
Interventions systématiques
Ø Procurer l’aide requise
Ø Établir un horaire d’élimination qui repose sur les habitudes urinaires des personnes
Ø Éviter l’utilisation de culotte d’incontinence
Ø Rappel pour les personnes ayant un trouble cognitif
Ø Profiter des levers pour amener la personne à la toilette
Ø Si OMI, surélever les jambes au coucher
Ø Éliminer les boissons irritantes
Ø Répartir l’hydratation entre 6 h et 18 h

Interventions spécifiques
Ø Rappels programmés
Ø Horaire mictionnel
Ø Entraînement vésical et déclenchement de la vessie
Ø Exercices pelviens ou de Kegel
Ø Traitement pharmacologique (notamment en présence d’infection urinaire)
Ø Cathétérismes intermittents et surveillance du résidu post mictionnel
Ø Adaptation de la salle de toilette
Ø Utiliser des repères visuels

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10
Q

Connaître les interventions systématiques et spécifiques liées à l’élimination intestinale

A

Interventions systématiques
Ø Encourager l’élimination 20 à 30 minutes après les repas
Ø Procurer l’aide requise
Ø *Favoriser la satisfaction des besoins de base
Ø Hydratation
Ø Alimentation: fibres alimentaires
Ø Mobilité
Ø Surveillance médication
Ø Assurer un accès facile et sécuritaire à la toilette
Ø Surveillance de la fréquence de l’élimination intestinale

Interventions spécifiques
Ø Aliment laxatif (ex: jus de pruneau chaud)
Ø Massage abdominal
Ø Méthode de défécation programmée
Ø Application d’un protocole de constipation
Ø Implication de la nutritionniste
Ø Adaptation de la salle de toilette

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11
Q

Connaître les cibles d’évaluation de l’élimination vésicale et intestinale

ajout intest?

A

L’évaluation des problèmes urinaires vise à confirmer et à déterminer la gravité de l’incontinence, le type d’incontinence ainsi que les troubles et les facteurs associés à la perte d’urine.
Il faut procéder à cette évaluation:
1. à l’admission (portrait)
2. régulièrement pendant l’épisode de soin (évolution)
3. lorsque des changements surviennent dans l’état de santé de l’aîné

reconnaitre les facteurs de risque réversibles
Important de connaitre tableau
Facteurs de risques réversibles
: tabagisme, surplus de poids, habitudes de vie et d’hygiène, hydratation, alimentation, élimination intestinale, sédentarité et médicaments(diurétiques)
Journal des urines durant 7 jours pour recherche s et s. 48h peu être suffisant
Si pas en mesure de dire, aller vérifier aux 2h

vérif oedeme, examiner région

Le journal des urines permet de déterminer les caractéristiques de l’incontinence urinaire.

Savoir en gros ce que regarde pour intestinal voir diapo

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12
Q

2 types incontinence urinaires

A

Incontinence urinaire aiguë:
- soudaine, associée à un problème de santé ou consécutive à une intervention chirurgicale ou à l’action de certains médicaments.
- disparaît la plupart du temps avec la résolution du problème primaire.
Incontinence urinaire chronique:
- peut apparaître soudainement lors d’une maladie aiguë ou de manière insidieuse - étiologie physiologique
- s’aggrave avec le temps
- se présente sous quatre formes (d’urgence, de stress, de débordement et fonctionnelle)
- *Il peut être parfois difficile chez les aînés de distinguer les catégories d’incontinence, car une personne peut présenter plus d’une forme d’incontinence.

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13
Q

4-5 types incontinence urinaire chronique

A

Incontinence d’urgence ou par réduction du temps d’alerte
Perte involontaire d’urine accompagnée d’un besoin d’uriner urgent et persistant. L’aîné urine en petites quantités, plus de huit fois par jour ou plus de deux fois par nuit.
Cette forme d’incontinence est souvent stimulée par divers signaux sensoriels tels que le son de l’eau qui coule ou la sensation d’avoir froid.
La quantité d’urine perdue dépend de l’habileté du sphincter et de la capacité de la personne à arrêter sa contraction.
Souvent associée à un désordre génito-urinaire ou neurologique

Incontinence de stress ou à l’effort
Perte d’urine consécutive à un effort qui accroît la pression intra abdominale (au moment de se moucher, tousser, rire, faire de l’exercice ou se pencher)
Causes les plus communes:
- Accouchements multiples (entraîne une faiblesse du plancher pelvien);
- Obésité (l’accumulation de graisses augmente la pression abdominale);
- Exercices physiques avec impact au sol (course à pied, sauts…)
- Prostatectomie.
* Plus fréquent chez les femmes (et les interventions de type hystérectomie)

Incontinence mixte
Perte d’urine involontaire qui combine les symptômes de l’incontinence d’urgence et de l’incontinence d’effort.
L’aîné perd de l’urine lors d’activités quotidiennes ou à l’effort, en plus de ressentir des envies urgentes d’aller aux toilettes et d’uriner souvent et en petites quantités.
Survient fréquemment chez les femmes âgées.
Dans une telle situation, déterminer le symptôme dominant pour établir la cause et orienter les interventions.
Combinaison urgence et effort

Incontinence urinaire de débordement ou par trop plein
Perte d’urine involontaire associée à de légères contractions de la vessie consécutives à son hyperextension. Elle se manifeste par plusieurs symptômes, tels que le goutte-à goutte fréquent ou constant, de petites mictions, la sensation de vessie pleine après la miction et un jet d’urine qui commence difficilement ou qui s’arrête en cours de miction.
Causes les plus communes:
– Hypertrophie bénigne de la prostate;
– Type d’incontinence plus rare chez les femmes.
Peut voir avec bladder scan après. Fait partie examen clinique

Incontinence fonctionnelle
Pertes d’urine associées à l’incapacité de se rendre aux toilettes en raison d’une atteinte cognitive, d’une atteinte de la motricité ou d’obstacles environnementaux. Associé à perte autonomie fonctionnelle ou cognitive
* La perte est donc causée par un facteur étranger au système urinaire.
* Ce type d’incontinence augmente le risque de chute
* Forme d’incontinence souvent la plus fréquente en centre d’hébergement en raison d’un nombre insuffisant de personnels, de la prévalence élevée de troubles neurocognitifs majeurs et de la perte d’autonomie des aînés.

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14
Q

Définir l’incontinence urinaire et ses causes réversibles et irréversibles

A

Perte involontaire d’urine
- Incapacité à retenir ou à contrôler l’urine dans un lieu ou un moment approprié
- L’incontinence urinaire n’est pas considérée comme une maladie, mais bien comme le symptôme d’un problème sous-jacent. ***
- *Les changements normaux associés aux vieillissements ne causent pas l’incontinence urinaire.

Causes réversibles:
* Condition de santé aiguë
– Infection urinaire
– Diminution de la mobilité physique (diminue autonomie fonctionnelle)
– Faiblesse du plancher pelvien
– Constipation
– Prostatectomie
– Hystérectomie
* Médicaments et autres substances
– Diurétiques
– Anticholinergiques
– Psychotropes (antidépresseur, antipsychotiques, sédatifs, etc.)
– Narcotiques
– Bloqueurs alpha adrénergique
– Bloqueurs canaux calcium
– Boissons irritantes pour la vessie (alcool, caféine, chocolat, thé, cola)

Causes irréversibles:
* Maladie dégénérative chronique (maladie de Parkinson, troubles neurocognitifs majeurs) * Accident vasculaire cérébral, diabète
* Chirurgie liée à la fonction urinaire
Entraîne ultimement une incontinence urinaire chronique

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15
Q

Identifier les manifestations atypiques de l’infection urinaire

A
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16
Q

Distinguer le vieillissement normal du vieillissement pathologique vision

et manifest cliniques pathologiques

A

Vieillissement normal - vision
* Diminution:
* de la vision nocturne
* De l’acuité de la vision centrale
* De l’étendue de la vision périphérique
* De l’appréciation des profondeurs et des contrastes de couleurs
* Du diamètre de la pupille
* Du réflexe cornéen
* De la production de larmes
* Ralentissement du réflexe pupillaire
* Augmentation de la sensibilité à l’éblouissement
* Pseudoptosis: abaissement des paupières

Pas d’effet sur autonomie de la personne

Vieillissement pathologique - vision
- Cataracte
- Dégénérescence maculaire
- Glaucome
- Hémianopsie
- Rétinopathie diabétique

**savoir manifest cliniques 3 affections vision
Cataracte
* Baisse progressive de la vision * Impression désagréable de brouillard * Éblouissement * Distorsion de l’image * Diminution de la vision nocturne * Possibilité de vision dédoublée

Glaucome
* Perte de vision périphérique * Impression de halo autour des points lumineux

Dégénérescence maculaire
* Besoin de lumière plus important et baisse de l’acuité visuelle * Zone aveugle dans le champ de la vision centrale et distorsion de l’image, vision possible sur les côtés * Sensation permanente d’ondulation des lignes droites

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17
Q

2 variantes test chuchotement

A

1 doit répéter minimum 6 des 12 chiffres chuchotés

doit répéter 3chiffres-lettres sur 6
ex:2-r-7, e-8-f

commencer par oreiller entend+

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18
Q

Connaître les interventions systématiques et spécifiques liées à la nutrition et à l’hydratation

A

Systématique
ØS’assurer du port des prothèses dentaires
ØVeiller à une hygiène buccodentaire adéquate et régulière
ØFournir l’aide nécessaire à l’alimentation
ØPositionnement au fauteuil pour le repas
ØSurveillance du % du plat principal consommé
ØOffrir un repas dès que la personne n’est plus à jeun
ØEncourager les proches à apporter des aliments que la personne aime

Spécifique
ØDépistage de la malnutrition
ØRéférence en nutrition pour augmenter la prise quotidienne de protéines
ØSi peu d’appétit, offrir le cabaret plat par plat (commencer avec repas principal)
ØServir un supplément nutritionnel
ØS’assurer que la personne utilise adéquatement les aides techniques et l’aide à l’alimentation requise
ØFavoriser la mobilité pour stimuler l’appétit
ØAdapter les textures des solides et la consistance des liquides au besoin (nutritionniste)

nterventions systématiques
Selon la vignette clinique, des exemples:
Ø Donner accès à l’eau (attention si restriction liquidienne)
Ø Offrir à boire à chaque contact
Ø Offrir les médicaments avec une plus grande quantité d’eau
(125 à 250 ml)
Ø Offrir des collations riches en eau
Ø Norme d’hydratation (si pas de restriction): environ 1,5L
par jour
Ø S’assurer de ne pas maintenir inutilement une restriction
liquidienne
Ø Impliquer les proches, les PAB, etc.
Ø Attention aux boissons déshydratantes*

Interventions spécifiques
Selon la vignette clinique, des exemples:
Ø Offrir de l’assistance PRN
Ø Bilan in/out: noter les ingestas (y compris café, thé et les
boissons gazeuses) et consigner les excrétas
Ø Encourager la personne à boire à chaque contact
Ø Augmenter la quantité de liquide avec la médication
Ø Modifier la consistance des liquides si présence de
dysphagie
Ø Impliquer les proches (1 visite – 1 verre d’eau)
Ø Surveillance accrue si vomissement ou diarrhée

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19
Q

Connaître les trois types de déshydratation ***

A
  1. Déshydratation isotonique
    a. –Perte égale d’eau et de sodium.
    b. –Causes: * Vomissements * Diarrhées * Hémorragie * Usage de certains diurétiques * Diabète
  2. Déshydratation hypertonique
    a. -Diminution du volume hydrique corporel total due à une perte d’eau pathologique, à une diminution des apports hydriques ou à la combinaison de ces deux facteurs.
    b. -Causes: * Transpiration excessive (ièvre, canicule) * Dé icit d’apport en eau * Combinaison de ces deux facteurs.
  3. Déshydratation hypotonique
    a. -Perte de sodium supérieure à la perte hydrique.
    b. -Causes: * Troubles rénaux (problèmes de glandes surrénaliennes) * Prise de certains diurétiques * Diminution de la prise orale d’eau et de sel
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20
Q

Connaître les cibles d’évaluation de la nutrition et de l’hydratation

A

Utilisation d’outils de dépistage:
* Mini Nutritional Assessment (MNA-SF) : peut être utilisé en milieu clinique ou communautaire . Détection des personnes souffrant de malnutrition ou présentant un risque de malnutrition. Dans tous milieux. Dépistage et évaluation version longue. Version court dépistage seul
* Outil canadien de dépistage nutritionnel (OCDN): destiné aux milieux hospitaliers de soins aigus. Dépistage pour milieux hospitaliers
Le dépistage du risque nutritionnel vise à détecter les personnes encore asymptomatiques, mais qui sont susceptibles de manifester des problèmes d’ordre nutritionnel à plus ou moins long terme.

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21
Q

Définir la dénutrition protéino-énergétique, ses conséquences ainsi que ses signes et symptômes

A

La malnutrition se dé init comme un déséquilibre de l’état nutritionnel découlant d’apports insuf isants et/ou d’une augmentation des besoins énergétiques et nutritionnels.
Conséquences:
* Accroı̂t la fragilité de l’organisme
* Augmente la prévalence de la morbidité et de la mortalité
* Diminution de la masse et de la force musculaire
* Diminution des défenses immunitaires à aı̂nés plus vulnérables aux infections et aux lésions de pression

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22
Q

Connaître les interventions systématiques et spécifiques liées à l’intégrité de la peau

A

Systématiques
Selon la vignette clinique, des exemples:
ØVéri ier les sites anatomiques des proéminences osseuses aux 8 heures
ØS’assurer d’un bon positionnement au lit et au fauteuil
ØSurveiller l’état de la peau lors des positionnements
ØExercices passifs au lit
ØAssurer l’hydratation par la bouche (une hydratation adéquate protège la peau contre les traumatismes)
ØProiter de toutes les occasions pour mobiliser la personne
ØLaver la peau avec un savon doux et bien assécher (les agents nettoyants à pH neutre diminuent la sécheresse de la peau et aident à stabiliser le pH)
ØSurveiller la présence d’humidité dans les draps
ØUtiliser au besoin des crèmes protectrices
ØEviter le plus possible le port de culotte d’incontinence (pour éviter la macération et l’humidité)

ØHoraire de positionnement aux 2 heures si patient alité (impliquer PAB)
ØAdapter les surfaces de contact, au besoin
ØInterventions selon les facteurs de risque présents
ØSi plaie:
Ø Surveillance clinique de l’évolution des plaies et application du plan de traitement
Ø Surface d’appui spécialisée au besoin et matériel adapté
Ø Enseignement sur l’utilisation du matériel adaptée
Ø S’assurer des apports nutritionnels adéquats

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23
Q

Connaître les cibles d’évaluation de l’intégrité de la peau
**
interprétation 4 niveaux risque braden

A

Braden…
Interprétation du score (4 niveaux de risque)
Score de 15 à 18: risque faible
Score de 13 ou 14: risque modéré
Score de 10 à 12 : risque élevé
Score ≤ à 9: risque très élevé
* L’interprétation du score porte sur deux aspects: le résultat global ainsi que le résultat pour chaque paramètre.
À savoir

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24
Q

Connaître les stades de plaies de pression

A
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25
Connaître les facteurs de risque de l’intégrité de la peau
* Vieillissement normal * changements physiologiques associés au vieillissement normal * Maladies * altération de la perfusion vasculaire (ex: diabète, artériosclérose, insuffisance veineuse, thrombophlébite) * atteinte neurologique (ex: neuropathie diabétique, atteinte sensori-motrice) * déficience immunitaire (ex: cancer) * Altération de l’état nutritionnel * ex: dénutrition protéino-énergétique, anémie ferriprive, déshydratation * Médication * Certaines médications réduisent la résistance des tissus et modifie le processus de cicatrisation * Positionnement au lit ou manipulations inadéquats * entraînant friction/cisaillement
26
Connaître les interventions systématiques et spécifiques liées à la mobilité
Interventions systématiques Selon la vignette clinique, des exemples: ØImpliquer les proches ØMobiliser dès que possible ou programme de marche ØIdéalement mobilisation TID, exercices debout/ assis ØRéduire l’utilisation de sonde, cathéters, drains, etc. ØProfiter de toutes les occasions pour mobiliser la personne, intégrer la marche aux AVQ ØS’assurer du port des lunettes et des prothèses auditives, le cas échéant ØAugmenter progressivement les activités et établir un horaire de marche selon le niveau de tolérance ØSuperviser l’utilisation adéquate de l’accessoire de marche ØAlterner les périodes de repos et de mobilisation Spécifique * Examen clinique dans le contexte des chutes * Limitations fonctionnelles * Si accessoire de marche, vérifier son utilisation * Si à risque de chute, évaluation des causes: - Douleur - HTO (TA couché/debout) - Environnement - Problèmes visuels, auditifs ou sensitifs? - Médication HTO Selon la vignette clinique, des exemples: ØSoulagement de la douleur pré-mobilisation et attendre le pic d’action ØInterventions spécifiques en présence HTO Ø Éviter les changements brusque de position ØDorsiflexion des pieds avant le lever Ø Tête de lit à 30 degrés Ø S’hydrater (respect de la restriction) ØRévision de la médication, … ØProgramme d’intervention individuel selon évaluation des déficits et des capacités ØInterventions spécifiques au risque de chute identifié
27
Connaître les cibles d’évaluation de la mobilité
Évaluation systématique * Comparaison du niveau de mobilité à domicile vs en milieu hospitalier (avant VS maintenant)? * Marche intérieur/extérieur? Exercice? * Chute dans la dernière année? * Observation de la démarche et de l’équilibre * Véri ier la capacité de se transférer et de se mobiliser * Test court (Test talon-orteil, test de marche sur 6 mètres) * Identi ication des facteurs de risque de chute * Syndrome de fragilité? * Présence de douleur? TIMED UP AND GO 3 m allulre normale demi tour et retour assis
28
Décrire le syndrome d’immobilisation et ses conséquences
Dégénérescence physiologique résultant d’une inactivité musculosquelettique, c’est-à-dire d’un niveau d’activité inférieur à la mobilité optimale de la personne. * L’immobilisation est associée à une mortalité accrue, à la réhospitalisation et à l’institutionnalisation. Les pratiques et les structures hospitalières non adaptées aux aı̂nés favorisent leur immobilité. Conséquences sur presque tous les systèmes Conséquences de l’immobilisation: Les effets de l’immobilisation renforcent les changements liés au vieillissement normal et cette synergie accélère la cascade des conséquences de l’immobilisation Et potentiel de récupération + long
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Connaître les interventions systématiques et spécifiques liées à l’autonomie
Exemple Interventions systématiques ØLaisser l’aîné accomplir lui-même ses AVQ (*lui laisser le temps) ØFractionner les AVQ selon la tolérance de l’aîné ØLaisser l’aîné initier l’activité et lui donner de l’aide au besoin ØMettre le matériel à porter de main et disposer d’un éclairage suffisant ØMettre les lunettes et les appareils auditifs, le cas échéant ØAttendre d’obtenir l’attention avant de parler et donner une consigne à la fois ØDiminuer les stimuli durant l’activité ØRespecter les habitudes de vie de l’aîné ØFaire participer la famille dans AVQ/activités ØFaire prendre les repas au fauteuil plutôt qu’au lit/civière Interventions spécifiques ØSoulagement douleur au moins 30-60 minutes pré-activité selon si PO ou S/C ØInterventions spécifiques en cas d’héminégligence visuelle, d’hémiplégie ou de limitations amplitudes MS (placer le matériel du côté sain) ØCompensation pour l’apraxie (initier le geste et laisser la personne terminer, aide à compléter,…) ØAccessoires adaptés au besoin (voir ergo) ØRéférences si besoin suite aux évaluations à l’infirmière spécialisée en gériatrie, ergothérapeute, physiothérapeute, nutritionniste,… équipe inter ØSi la perte d’autonomie persiste au congé, référence au CLSC pour évaluation à domicile
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Connaître les outils de dépistage du risque de perte d’autonomie**** 2
A - Autonomie fonctionnelle ISAR Identification systématique des aînés à risque (ISAR) * Outil de dépistage utilisé à l’urgence (triage) * Réservé aux aı̂nés (65 ans et +) * Objectif: identi ier les aı̂nés à risque élevé de perte d’autonomie pendant ou après une visite à l’urgence jusqu’à 6 mois après * Outil pouvant être compléter par un soignant, l’aı̂né et les proches * Score sur 6 points, se remplit en environ 3 minutes Interprétation : un score de 2 ou plus indique un risque de perte d’autonomie + rapide à exécuter Programme de recherche sur l’intégration des services de maintien de l’autonomie Questionnaire PRISMA-7 * Objectif: détecter(risque) une perte d’autonomie modérée à grave chez les aînés qui ne sont pas connus du réseau de la santé * Réservé aux aînés (65 ans et +) * 7 indicateurs cliniques pouvant être liés à la perte d’autonomie * Chaque réponse positive donne 1 point. * Peut être remplie par l’aîné ou un proche * Administration en 5 minutes, utilité démontrée à l’urgence, au CLSC, en GMF, en clinique de préchirurgie ou en centre de réadaptation. Interprétation : un score total supérieur à 3 ou 4(supérieur ou égal à 3) sur 7 indique une perte d’autonomie. L’ISAR et le PRISMA-7 sont des outils de dépistage du risque de perte d’autonomie. Smaf pas à l’examen, mais fait partie de l’évaluation. Évaluation autonomie Reconnaitre quel outil à utiliser dans quel contexte
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Connaître les objectifs visés par l’AAPA et les niveaux d’interventions
Ce cadre de référence a été conçu pour sensibiliser et outiller les professionnels, les gestionnaires et le personnel des centres hospitaliers au phénomène du déclin fonctionnel iatrogène, afin de le prévenir ou de l’atténuer. Le cadre de référence propose des façons d’améliorer la qualité du séjour et des soins offerts aux personnes âgées en milieu hospitalier. Elle vise à : * Adapter les soins et les services offerts pour mieux répondre aux besoins des personnes âgées * Prévenir la perte d’autonomie liée à un manque d’ac vité physique, mentale ou sociale * Assurer la qualité de vie de la personne âgée hospitalisée Cibles d’évaluation Diminuer les syndromes d’immobilisation et les déliriums liés à l’hospitalisation Évaluation et surveillance clinique des indicateurs de déclin fonctionnel Autonomie (mobilité, chute, douleur) Intégrité de la peau Nutrition et hydratation Élimination Etat cognitif Sommeil Cinq principes généraux de l’AAPA 1. Modèle biomédical conventionnel => Modèle biopsychosocial global 2. . Considération de l’environnement physique et social 3. 3. Traitement des organes atteints => Amélioration fonctionnelle 4. 4. Gestion médicale => gestion d’équipe 5. 5. Episode de soins = continuum
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Distinguer le vieillissement normal du vieillissement pathologique
* Vieillissement normal: Diminution des réserves physiologiques + diminution des capacités fonctionnelles * Récupération fonctionnelle plus longue * Groupe hétérogène * Maladies chroniques, polypathologie * Polymédication ® risque d’interaction médicamenteuse * Sensibilité médicamenteuse accrue * Présentation clinique atypique de leur maladie * Signes atypiques 3 : changement comportement, changement de l’autonomie et changement de l’état mental * Signes vitaux pas a examen * Valeurs de référence propres à l’aı̂ne Organes ne viellissent pas même vitesse * Vieillissement normal: n’altère pas le fonctionnement normal de la personne Pourquoi est-ce important de distinguer le vieillissement normal du vieillissement pathologique? Pour éviter de faire des erreurs de type A ou B Type a : Intervenir sur un « problème » qui constitue en fait un phénomène normal du vieillissement. Ex sommeil change Type b : Ne pas reconnaître un vrai problème de santé en croyant qu’il est causé par le vieillissement normal.
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3 signes atypiques personne ageé
changement comportement, changement de l’autonomie et changement de l’état mental
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2 conséquences importantes hospit vieux
déliirum et syndrome immobilisation
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causes/conséquences délirium et syndrome immobilisation
infections nosocomiales chutes troubles du sommeil douleur déshydratation et malnutrition médication trouble de la mobilité carence sensorielle désordres métaboliques fécalomes, rétention ou incontinence urinaire Les effets de l’immobilisation renforcent les changements liés au vieillissement normal et cette synergie accélère la cascade des conséquences de l’immobilisation
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acte de comission vs omission
Acte de commission: faire une erreur en faisant quelque chose ou faire quelque chose qui n’est pas autorisé. → maltraitance Acte d’omission: ne pas faire sufsamment ou ne rien faire… → négligence
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7 types maltraitance
1. Psychologique 2. Physique 3. Sexuelle 4. Matérielle ou financière 5. Violation des droits 6. Organisationnelle 7. Âgisme
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facteurs de protection propres à la personne maltraitance 6 et environnement 3
SIX FACTEURS DE PROTECTION PROPRES À LA PERSONNE 1. Estime de soi 2. Capacité à demander de l’aide 3. Compréhension des émotions 4. Participation sociale 5. Capacité d’apprendre sur soi-même et sur sa société 6. Maintien de bonnes habitudes de vie FACTEURS DE PROTECTION PROPRES À L’ENVIRONNEMENT Réseau Environnement Capacité financière
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Parmi les propositions ci-dessous, qu’est-il important de déterminer face à des comportements de maltraitance ? A. Les arguments de la personne maltraitante B. Les risques pour la personne maltraitante C. L’intention de la personne maltraitante D. Les antécédents judiciaires de la personne maltraitante
l'intention de la personne maltraitante
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2 formes de maltraitance
violence et négligence 2 formes : violence(malmener, contre sa volonté, intimidation) et négligence (ne pas se soucier de la personne aînée, notamment par une absence d’action appropriée afin de répondre à ses besoins. Omission de soins)
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Prévenir la maltraitance envers les aînés;
Facteurs de risques(environnement) et de vulnérabilité (propre a la personne) * Réduire/ éliminer l’incidence * Promotion+ connaissance+ responsabilisation * Augmenter le degré de sensibilité de tous + contribuer à l’acquisition d’attitudes et de comportements respectueux envers les aînés Balises * Promotion vieillissement actif o Vision positive du vieillissement * Lutter contre l’agisme o Lutter contre les comportements et les politiques visant à stéréotyper, à discriminer et à mettre à l’écart une personne sur la base de son âge. * Promotion de la bientraitance o Dans respect et volontés de la personne o 6 principes directeurs Prévenir = sensibiliser Démarches légales et anticipées
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Repérer les situations de maltraitance envers les aînés;
Repérer: *****Indices: fait observable qui nécessite une évaluation pour savoir s’il y a une situation de maltraitance = tout le monde ******Indicateurs: fait observable évalué qui indique qu’il y a une situation de maltraitance (évaluer les indices) Voir si faits avérés Le repérage peut être Systématique: implique l’utilisation d’un instrument de mesure Informel: lorsqu’on profite d’un lien privilégié avec la personne aînée pour vérifier les indices MALTRAITANCE PSYCHOLOGIQUE Indices : Peur, anxiété, dépression, repli sur soi, hésitation à parler ouvertement, méfiance, interaction craintive avec une ou plusieurs personnes, déclin rapide des capacités cognitives, idéations suicidaires, tentatives de suicide, suicide, etc. MALTRAITANCE PHYSIQUE Indices : Ecchymoses, blessures, perte de poids, détérioration de l’état de santé, manque d’hygiène, attente indue pour le changement de culotte d’aisance, affections cutanées, insalubrité de l’environnement de vie, atrophie musculaire, contention, mort précoce ou suspecte, etc. MALTRAITANCE SEXUELLE Indices : Infections, plaies génitales, angoisse au moment des examens ou des soins, méfiance, repli sur soi, dépression, désinhibition sexuelle, discours subitement très sexualisé, déni de la vie sexuelle des personnes aînées, etc. MALTRAITANCE MATÉRIELLE OU FINANCIÈRE Indices : Transactions bancaires inhabituelles, disparition d’objets de valeur, manque d’argent pour les dépenses courantes, accès limité à l’information sur la gestion des biens de la personne, etc. VIOLATION DES DROITS Indices : Entrave à la participation de la personne aînée dans les choix et les décisions qui la concernent, réponses données par un proche à des questions qui s’adressent à la personne aînée, restriction des visites ou d’accès à l’information, isolement, plaintes ou signalement auprès de diverses instances, etc. MALTRAITANCE ORGANISATIONNELLE Indices : Réduction de la personne à un numéro, prestation de soins ou de services selon des horaires plus ou moins rigides, attente indue avant que la personne reçoive un soin ou un service, détérioration de l’état de santé physique –psychologique –social, plaintes ou signalements auprès de diverses instances, etc. ÂGISME Indices : Non-reconnaissance des droits, des compétences ou des connaissances, utilisation d’expressions réductrices ou infantilisantes, etc. ------------------------------------------------------------------------------------------------------- VALIDER Analyse systématique pour détecter la maltraitance Revue de dossier Entrevue : personne, proches, autres intervenants Examen clinique Observation de la personne âgée et des interactions avec la personne (potentiellement) maltraitante Évaluation spécifique selon le type d’abus
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7 types de maltraitance savoir et reconnaitre*******
Une seule fois ou répétitif, dans le cadre d’une relation de confiance 1. PSYCHOLOGIQUE La maltraitance psychologique désigne les attitudes, les paroles, les gestes ou le défaut d’actions appropriées qui constituent une atteinte au bien-être ou à l’intégrité psychologique Attention: La maltraitance psychologique est sans doute la plus fréquente et la moins visible : Accompagne souvent les autres types de maltraitance. Peut avoir des conséquences tout aussi importantes que les autres types de maltraitance. Menaces… 2. PHYSIQUE Mesures isolement ou med pour errance ou pas med dit que se plaint pour rien 3. SEXUELLE Empêcher relation ex 4. MATÉRIELLE OU FINANCIÈRE Empêcher profiter biens financiers, dissumule infos, couts excessifs pour aines 5. VIOLATION DES DROITS La violation des droits désigne toute atteinte aux droits et libertés, individuels et sociaux Seul un juge peut déclarer une personne inapte et nommer un représentant légal. La personne inapte conserve tout de même des droits, qu’elle peut exercer dans la mesure de ses capacités. Exemple de droits pour une personne déclarée inapte: refus catégorique Cacher med dans compote, yougourt, empêcher vote, empeche soutien financier ou utiliser argent 6, MALTRAITANCE ORGANISATIONNELLE Ex refus de se lever car moment de sa pause ou defait horaire, tolérer que soins hygiene ne soit pas donner. Incapacité a nourrir tous par manque matériel désigne toute situation préjudiciable créée ou tolérée par les pratiques ou les procédures d’organisations (privées, publiques ou communautaires) responsables d'offrir différents soins ou services aux personnes aînées 7. AGISME L’âgisme désigne la discrimination en raison de l'âge, par des attitudes hostiles ou négatives, des gestes préjudiciables ou de l'exclusion sociale nous sommes tous influencés, à divers degrés, par les stéréotypes négatifs et les discours qui sont véhiculés au sujet des personnes aînées. Ces « prêt-à penser » fournissent des raccourcis erronés à propos de diverses réalités sociales qui peuvent mener à des comportements maltraitants.
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Intervenir en matière de maltraitance envers les aînés.
DROIT À L’AUTODÉTERMINATION Il faut: * Prendre position contre la maltraitance et la dénoncer * Assurer plus de protection à la personne aînée en appliquant des mesures d’urgence au besoin * Respecter les choix, le rythme, les valeurs et la culture de la personne aînée * Croire au potentiel de changement de la personne aînée en l’encourageant à ne pas maintenir le statu quo SIX ÉTAPES POUR L’INTERVENTION INITIALE Au niveau de l’intervention quelles sont vos étapes ? 1. Accueillir la personne et créer un lien de confiance 2. Effectuer une première exploration/évaluation 3. Recueillir toute l’information nécessaire 4. Estimer la dangerosité et planifier les interventions possibles 5. Favoriser la situation de reconnaissance de la maltraitance 6. Élaborer un PI, PII, PSTI PISTES D’INTERVENTION Maltraitance intentionnelle : responsabilisation enseignement mesures qui visent à réduire la maltraitance encadrement application de mesures légales enseignement accompagnement sensibilisation mesures de soutien pour l’aidant négligent responsabilisation Maltraitance non intentionnelle : enseigner, donner du répit, soutenir Maltraitance intentionnelle : encadrer et corriger les comportements RÔLE INFIRMIER : CLIENT EN SITUATION DE MALTRAITANCE 1.Évaluation et surveillance cliniques 2.Intervention 3.Coordination des soins selon les habilitations légales et les compétences 4.Continuité des soins : Documentation au dossier clinique 5.Continuité des soins : PTI 6.Continuité des soins : Communication des informations
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expliquer concept maladies chorniques
La maladie chronique est un problème de santé irréversible, évolutif, qui ne peut généralement pas être guéri définitivement, mais pour lequel il est possible de contrôler la progression ou les symptômes. Facteurs héréditaires + facteurs de risque = maladies chroniques
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expliquer concept comorbidité
Des synonymes: multimorbidité ou polypathologie ¡ Comorbidité: présence simultanée de deux conditions chroniques ou plus, sans qu’aucune ne prédomine sur les autres. ¡ La multimorbidité représente l’un des défis les plus importants de santé publique dans les pays industrialisés (INSPQ, 2019). ¡ Le vieillissement de la population, combiné au progrès du traitement des maladies chroniques, contribue à l’augmentation de la multimorbidité (INSPQ, 2019). ¡ La comorbidité est liée à la perte d’autonomie ainsi qu’à l’apparition d’un syndrome de fragilité.
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expliquer concept perte autonomie
est la difficulté qu’éprouve une personne à effectuer seule ses activités de la vie quotidienne (AVQ) et ses activités de la vie domestique (AVD) à cause d’incapacités physiques ou cognitives. Toutes les maladies, qu’elles soient aiguës ou chroniques, peuvent être à l’origine d’une perte d’autonomie ou de son aggravation. ¡ Maladies aiguës: perte d’autonomie brutale qui s’installe en quelques jours. (perte autonomie peut disparaitre) ¡ Maladies chroniques: perte d’autonomie graduelle, irréversible. Souvent avd en 1er ensuite avq
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expliquer concept fragilité
Syndrome de fragilité: vulnérabilité organique résultant du déclin des réserves physiologiques. Ce déclin provoque une perte de la capacité de résistance de la personne aux stresseurs internes et externes. ex causes: vieillissement, inactivité, maladie => manifest: perte apétit, faiblesse, épuisement...=> conséquences: chutes, perte autonomie...
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Nommer les différentes dimensions du modèle de prévention et de gestion des maladies chroniques 4
4 niveaux interventions ensemble de la population (promotion santé et prévention maladies) clientèle à faible risque de complication (gestion et controle maladie) clientèle à haut risque de complications (coordination interdisciplinaire des services) clientèle à haut risque de complications et aux besoins complexes (gestion de cas intensive) N’existe pas de guide de pratique pour comorbidités. Utiliser chaque guide de pratiquer et les ADAPTER
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Expliquer le suivi infirmier en situation de multimorbidité 6 roles
Les + importants alliances avec ainées et enseignement **prioriser soins 1. Alliance avec l’aîné ¡ Instauration d’une alliance avec l’aîné ¡ Détermination des objectifs en partenariat avec l’aîné: pour engager et faire participer ¡ Motivation de l’aîné pour que celui-ci se sente responsable de sa santé 2. Enseignement (stratégies d’enseignement, adhésion aux traitements) ¡ Maladie, manifestations cliniques et conséquences: selon besoin info ¡ Prévention des exacerbations ¡ Débute par la promotion de la santé en général (ex: vaccinati on) ¡ Stratégies pour composer avec les manifestations de la maladie ¡ Autosoinsrequis: médicaments et soins (enseignement relié) 3. Autosurveillance et surveillance clinique infirmière (examen clinique en situation de suivi – insuffisance cardiaque) ¡ Autosurveillance propre à l’état de la personne ( détecter rapidement tout signe de complications ) ¡ Examen clinique infirmier Il est primordial d’individualiser les paramètres de suivi et aller au-delà de la simple mesure des signes vitaux. Insuffisance cardiaque droite -Apparition d’oedèmesaux Mis -Gain de poids -Élévation de la pression veineuse jugulaire Insuffisance cardiaque gauche -Signes précurseurs de la surcharge pulmonaire (toux sèche, orthopnée/ajout d’oreiller pour dormir, dyspnée paroxystique nocturne, présence d’un B3, apparition de crépitants Surveillance clinique permet de prévenir exacerbation maladies 4. Traitements infirmiers ¡ Soins à long terme ¡ Soins temporaires pour maladie aiguë L’infirmière devra peut-être administrer elle-même un traitement (ex: médication, soins de plaie). Or, elle peut aussi avoir à évaluer la situation et déterminer quelle personne est la mieux placée pour prodiguer le soin. 5. Mobilisation et soutien du réseau social (importance de l’implication des proches-aidants) ¡ Enseignement ¡ Prévention de l’isolement ¡ Surveillance de l’épuisement proches aidants **signes épuisement et fatigueproches **besoin info soins 6. Résultats de soins ¡ Résultats de l’examen clinique et nombre d’exacerbations, si pertinent ¡ La stabilité des signes et des symptômes de l’aîné reflète partiellement la qualité des soins prodigués. ¡ Autonomie fonctionnelle ¡ Perception d’une vie satisfaisante ¡ État du réseau social
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2 roles + importants suivi infirmiers multimorbidité aine
Les + importants alliances avec ainées et enseignement
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Distinguer les différents troubles liés à l'anxiété (qui se retrouvent dans les 5 familles) selon le DSM-5 dans de courtes vignettes cliniques (savoir-faire)
Troubles anxieux Trouble chronique se résoud rarement seul Causes:  Facteurs génétiques  Facteurs environnementaux  Intolérance à l’incertitude: rôle central  Facteurs biochimiques Anxiété de séparation Mutisme sélectif Phobie spécifique Anxiété sociale (phobie sociale). Thérapie de groupe permet exposition Trouble panique. Crainte persistante de subir une autre attaque de panique Attaque de panique Agoraphobie Anxiété généralisé (TAG). Inquiétude excessive, intolérance à incertitude… Trouble obsessionnels-compulsifs et apparentés  Obsessions :  Pensées, pulsions ou images récurrentes et persistantes ressenties comme intrusives et importunes et qui entraînent une anxiété ou une détresse importante  La personne fait des efforts pour les ignorer ou les réprimer ou pour les neutraliser par d’autres pensées ou actions, (i.e. en faisant une compulsion)  Compulsions :  Comportements ou actes mentaux répétitifs qu’une personne se sent poussée à accomplir en réponse à une obsession ou selon certaines règles inflexibles  Destinées à apaiser l’anxiété ou la détresse momentanément ou à empêcher un évènementre douté Peut être évolutif dans le temps Formes cliniques Les laveurs Les vérificateurs Les ruminateurs. Pas de rituels Autres types symétrie, procrastinateur Ex : Obsession d’une dysmorphie corporelle Thésaurisation pathologique (syllogomanie) vs syndrome diogene Trichotillomanie Dermatillomanie Troubles liés à des traumatismes ou à des facteurs de stress  Trouble réactionnel de l’attachement . souvent dpj. Diffiuclté attaché personnes significatives  Désinhibition du contact social. Souvent dpj. Excessivement famillier  Trouble stress post-traumatique. Critère A, B, C, D, E, F, G. +1 mois dure  Trouble stress aigu durée moins ou égal à 1 mois arrive  Troubles de l’adaptation dure 6 mois et + après résolution facteurs stress et conséqu Troubles dissociatifs  Trouble dissociatif de l’identité. Personnalités multiples  Amnésie dissociative  Dépersonnalisation/déréalisation Troubles à symptomatologie somatique & apparentés Trouble à symptomatologie somatique(trouble somatoforme). Pense que malade même si santé  Crainte excessive d’avoir une maladie (hypocondrie). Peur développer maladie grave  Trouble de symptôme neurologique fonctionnel (trouble de conversion). Altération motrices et sensorielle, mais inexpliqués  Trouble factice auto-induit et imposé à autrui. Inflige blessures, maladies
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Distinguer les différents troubles liés à l'anxiété (qui se retrouvent dans les 5 familles) selon le DSM-5 dans de courtes vignettes cliniques (savoir-faire) troubles anxieux
Trouble chronique se résoud rarement seul Causes:  Facteurs génétiques  Facteurs environnementaux  Intolérance à l’incertitude: rôle central  Facteurs biochimiques Anxiété de séparation Mutisme sélectif Phobie spécifique Anxiété sociale (phobie sociale). Thérapie de groupe permet exposition Trouble panique. Crainte persistante de subir une autre attaque de panique Attaque de panique Agoraphobie Anxiété généralisé (TAG). Inquiétude excessive, intolérance à incertitude…
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Distinguer les différents troubles liés à l'anxiété (qui se retrouvent dans les 5 familles) selon le DSM-5 dans de courtes vignettes cliniques (savoir-faire) troubles obsessionels compulsifs obsessions vs compulsions exemples?
 Obsessions :  Pensées, pulsions ou images récurrentes et persistantes ressenties comme intrusives et importunes et qui entraînent une anxiété ou une détresse importante  La personne fait des efforts pour les ignorer ou les réprimer ou pour les neutraliser par d’autres pensées ou actions, (i.e. en faisant une compulsion)  Compulsions :  Comportements ou actes mentaux répétitifs qu’une personne se sent poussée à accomplir en réponse à une obsession ou selon certaines règles inflexibles  Destinées à apaiser l’anxiété ou la détresse momentanément ou à empêcher un évènementre douté Peut être évolutif dans le temps Formes cliniques Les laveurs Les vérificateurs Les ruminateurs. Pas de rituels Autres types symétrie, procrastinateur Ex : Obsession d’une dysmorphie corporelle Thésaurisation pathologique (syllogomanie) vs syndrome diogene Trichotillomanie Dermatillomanie
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Distinguer les différents troubles liés à l'anxiété (qui se retrouvent dans les 5 familles) selon le DSM-5 dans de courtes vignettes cliniques (savoir-faire) trouble liées à des traumatismes ou à des facteurs de stress
 Trouble réactionnel de l’attachement . souvent dpj. Diffiuclté attaché personnes significatives  Désinhibition du contact social. Souvent dpj. Excessivement famillier  Trouble stress post-traumatique. Critère A, B, C, D, E, F, G. +1 mois dure  Trouble stress aigu durée moins ou égal à 1 mois arrive  Troubles de l’adaptation dure 6 mois et + après résolution facteurs stress et conséqu
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Distinguer les différents troubles liés à l'anxiété (qui se retrouvent dans les 5 familles) selon le DSM-5 dans de courtes vignettes cliniques (savoir-faire) trouble dissociatifs
 Trouble dissociatif de l’identité. Personnalités multiples  Amnésie dissociative  Dépersonnalisation/déréalisation
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Distinguer les différents troubles liés à l'anxiété (qui se retrouvent dans les 5 familles) selon le DSM-5 dans de courtes vignettes cliniques (savoir-faire) troubles à sympthomatologie somatique et apparentés
Trouble à symptomatologie somatique(trouble somatoforme). Pense que malade même si santé  Crainte excessive d’avoir une maladie (hypocondrie). Peur développer maladie grave  Trouble de symptôme neurologique fonctionnel (trouble de conversion). Altération motrices et sensorielle, mais inexpliqués  Trouble factice auto-induit et imposé à autrui. Inflige blessures, maladies
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Savoir intervenir avec une personne aux prises avec un trouble lié à l'anxiété (savoir-faire)
tcc briser cercle vicieux des pensées catastrophiques évaluer l'anxiété Documenter les habitudes de vie de la personne  Enseigner à la personne en quoi consiste sa maladie  Enseigner des moyens de maîtriser l’anxiété:  Techniques de relaxation et de respiration  Lui faire prendre conscience des liens entreses symptômes physiques et son anxiété Favoriser l’adaptation de la personne à un nouveau milieu  Donner des explications claires et brèves  Créer un climat de compréhension empathique  Procurer un environnement calme et sécuritaire  Diminuerles stimuli visuels et auditifs  Prévoir une période de temps, tous les jours, pour permettre à la personne d’exprimer ses inquiétudes, ses sentiments Identifier avec la personne les rapports entre l’anxiété et certains facteurs déclencheurs  Aider la personne à reconnaître son anxiété  Identifier avec la personne les mécanismes de défense utilisés habituellement  Explorer avec la personne les moyens de gérer son anxiété  Renforcer les mécanismes sains d’adaptation  L’orienter vers des groupes de soutien
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Prioriser les besoins, formuler les objectifs et déterminer les interventions infirmières d'une personne atteinte d'un trouble lié à l'anxiété, en s’appuyant sur des savoirs théoriques et scientifiques (savoir-faire) .
Approches psychothérapeutiques 59  Thérapie comportementale:  Désensibilisation → exposition progressive à des situations anxiogènes  Efficace dans les troubles anxieux  Plus efficaces que les techniques cognitives seules  Thérapie cognitivo-comportementale:  Grande efficacité  Vise la modification des pensées et des comportements problématiques  La résolution de problèmes et la psychoéducation sont utilisés
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Appliquer des interventions infirmières auprès d'une personne atteinte d'un trouble d'anxiété généralisée (savoir-faire)
Traitement pharmaco dans pic anxiété : benzodiazépines Antidépresseurs : ISRS et ISRNS TCC :  Psychoéducation  Restructuration cognitive  Recherche de solutions dans l’« ici et maintenant »  Exposition in vivo(reprise graduelle d’activités)  Entraînement physique  Relaxation musculaire  Stratégies pour dormir Cercle vicieux  Évaluer l’anxiété:  Échelle d’anxiété d’Hamilton (1959)  Inventaired’anxiété de Beck (1988)  Questionnairesur leTAG (GAD-7) (2006)  ÉchelledeYale-Brownsur leTOC (1989)  Documenterles habitudes deviede la personne  Enseignerà la personneenquoi consistesa maladie  Enseignerdes moyensde maîtriser l’anxiété:  Techniquesde relaxation et de respiration  Lui faire prendreconsciencedes liens entreses symptômes physiques etsonanxiété  Favoriser l’adaptation de la personne à un nouveau milieu  Donnerdesexplications claires et brèves  Créerunclimatdecompréhensionempathique  Procurerun environnementcalmeetsécuritaire  Diminuerlesstimuli visuels etauditifs  Prévoirunepériodedetemps, tous les jours, pour permettre à la personne d’exprimerses inquiétudes, ses sentiments  Identifier avec la personne les rapports entre l’anxiété et certains facteurs déclencheurs  Aiderla personneà reconnaîtreson anxiété  Identifier avec la personne les mécanismesde défense utilisés habituellement  Exploreravecla personne les moyensdegérerson anxiété  Renforcerles mécanismes sains d’adaptation  L’orienter vers des groupes de soutien  Expliquerà la personnequedes connaissances relatives à son problèmede santé età son traitement l’aideront à mieux les accepteret à mieuxs’yadapter  Rassurer la personne sursa capacitéà faire l’apprentissage proposé  Faire desrenforcementspositifs lorsque la personne manifeste un meilleur contrôledeson anxiété et démontre sa capacitéà suivre l’enseignement  Enseigner le processus de résolution de problèmes  Offrir uncadrederéférence  Favoriser le maintiende l’environnement thérapeutique  Administrer la médication prescrite, observer et en surveiller les effets indésirables  Renseignerla personneetsa famille sur la maladie, le traitement et la réadaptation  Participeractivementen équipe multidisciplinaireà élaborer un plan d’interventionsglobal qui portera sur le fonctionnement bio-psycho-social de la personn
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Distinguer les manifestations de santé attendues et non attendues de la personne atteinte d'un trouble lié à l'anxiété incluant une personne âgée atteinte d'un trouble d'anxiété généralisée (savoir-faire).
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Déterminer, prioriser et documenter les constats d’évaluation pour assurer le suivi clinique d'une personne atteinte d'un trouble d'anxiété généralisée (savoir-faire).
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Distinguer comment les interventions de l'approche cognitivo-comportementale auprès d'une personne atteinte d'un trouble obsessionnel-compulsif s'appliquent (savoir-faire)
 Si on diminue le rituel, l’anxiété ressentie se maintient un certain temps et finit par diminuer  Si on répète ++++ le même exercice d’exposition, l’anxiété ressentie est de − en − intense  Si l’on répète ++++ le même exercice d’exposition, l’anxiété ressentie dure de − en − longtemps  Le processus thérapeutique appliqué en thérapie se généralise à des situations non travaillées directement  Obsession et rituel = phénomènes normaux  Croyance en l’obsession et en l’efficacité du rituel  But: repérer les croyances et les discuter  Exemples d’obsessions :  Saleté : « On peut tuer/se tuer en touchant quelque chose de sale »  Erreur : « Descatastrophes naturelles vont se produire»  Malheur: « On peut tuer ou causer un dommage grave avec des pensées ; la pensée équivaut à la réalité »  Agressivité : « Je n’ai pas le droit d’avoir des pensées agressives envers les gens que j’aime ; les pensées équivalent à des actes »  Thérapiecomportementale:  Désensibilisation → expositionprogressiveà des situations anxiogènes  Efficace dans les troublesanxieux  Plusefficaces que les techniques cognitives seules (ex juste renforcement positif)  Thérapiecognitivo-comportementale:  Grandeefficacité  Vise la modificationdes penséesetde s comportementsproblématiques  Larésolution de problèmeset la psychoéducation sont utilisés
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Syllogomanie versus syndrome de Diogène
accumule généralement bcp vs 50 paires de chaussures aussi négligement soi et ne sort plus de chez soi
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Mme Coutu est admise sur l’unité de chirurgie depuis les deux dernières semaines. Après quelques complications post-opératoire, elle devait obtenir son congé dans les prochains jours. Vous allez la voir ce matin lors de votre tournée de soins et elle vous informe avoir des difficultés avec son élimination urinaire. Quels éléments feront partis de votre évaluation de l’élimination urinaire de Mme Coutu? 5
1. Évaluation cognitive et fonctionnelle 2. Histoire de santé 3. Facteurs de risque 4. Examen physique 5. Recherche de signes et symptômes de l’élimination vésicale
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Lors de votre évaluation, vous recueillez les informations suivantes: * Orientée x 2 sphères, alerte * Autonomie fonctionnelle: mobilité réduite, problématique au niveau de l’équilibre entraînant de multiples chutes, difficulté à se relever des toilettes, marchette avec roulettes et ski pour déplacement * Diminution de l’hydratation (environ 1000 ml/jour), adore le thé * Constipation * Perte d’urine lorsqu’elle tousse et qu’elle se lève * Port d’une culotte d’incontinence * Urine 10 fois par jour et 3 fois la nuit De quelle type d'incontinence urinaire Mme Coutu souffre-t-elle? A. Incontinence fonctionnelle B. Incontinence par regorgement (rétention) C. Incontinence de stress (à l'effort) D. Incontinence d'urgence
Incontinence de stress (à l'effort) C
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Quelles interventions pourriez-vous mettre en place pour diminuer la fréquence élevée de mictions?
Exemples d'intervention (liste non-exhaustive): Horaire mictionnel Retirer culotte d’incontinence Éliminer boisson irritante (thé) Exercices pelviens ou de Kegel Entraînement vésical
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Chez l'aîné, l'apparition d'une maladie se manifeste souvent par au moins un des trois signes majeurs atypiques. Nommez ces trois signes atypiques.
1- Changement dans l'état mental 2- Changement de l'autonomie 3- Changement dans les comportements
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Les aînés sont un groupe hétérogène, c'est-à-dire que l'âge chronologique d'un aîné peut différé de son âge "physiologique". v/f
v
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Cochez l'énoncé qui est faux. A. Le cadre de l'AAPA ne vise pas seulement les professionnels de la santé, mais également les gestionnaires. B. Le cadre de l'AAPA propose une approche globale de la personne âgée, plutôt qu'une vision par "organe". C. Le cadre de l'AAPA a été développé pour les CHSLD, les CLSC et les résidences privées pour personnes âgées. D. Le cadre de l'AAPA encourage une approche interprofessionnelle. E. L'algorithme des soins cliniques proposé dans le cadre de référence de l'AAPA organise les soins et les interventions autour de cinq étapes, soit le repérage et le dépistage, l’évaluation et la surveillance, les interventions préventives et thérapeutiques, l’analyse des résultats et la planification du départ.
C. Le cadre de l'AAPA a été développé pour les CHSLD, les CLSC et les résidences privées pour personnes âgées.
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Vous travaillez comme infirmière à l'urgence d'un centre hospitalier. Vous acceuillez M. Bellemare, 92 ans, au triage suite à une chute à domicile. Vous décidez de faire un dépistage afin d'identifier si M. Bellemare est à risque de perte d'autonomie. Quel outil utiliserez-vous? A. L'identification systématique des aînés à risque (ISAR) B. Le Programme de recherche sur l'intégration des services de maintien de l'autonomie (PRISMA-7) C. Le Système de Mesure de l'Autonomie Fonctionnelle (SMAF)
A. L'identification systématique des aînés à risque (ISAR)
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revoir** différence 3 outils dépistage autonomie A. L'identification systématique des aînés à risque (ISAR) B. Le Programme de recherche sur l'intégration des services de maintien de l'autonomie (PRISMA-7) C. Le Système de Mesure de l'Autonomie Fonctionnelle (SMAF)
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Associez les types de déshydratation à la bonne définition. 1. Diminution du volume hydrique corporel total due à une perte d'eau pathologique, à une diminution des apports hydriques ou à la combinaison de ces facteurs. 2. Perte égale d'eau et de sodium 3. Perte de sodium supérieure à la perte hydrique
Déshydratation hypertonique Déshydratation isotonique Déshydratation hypotonique
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Cochez, parmi les énoncés suivants, les éléments faisant partis des causes réversibles de l'incontinence urinaire aiguë. A. Diurétiques B. Faiblesse du plancher pelvien C. Accident vasculaire cérébral D. Constipation E. Maladie de Parkinson F. Diabète
abd
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Vous remarquez que votre patient vous demande souvent de répétez lorsque vous parlez et manque de réaction au bruit environnant. Vous soupçonnez un problème d'audition. Nommez deux éléments faisant partie de votre évaluation.
* Examen clinique de l’oreille * Questionnement de l’audition dans les derniers mois * Test de dépistage : test du chuchotement
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Cochez l'énoncé qui est faux. A. Le syndrome d'immobilisation est une dégénérescence physiologique due à une inactivité musculosquelettique. B. Le syndrome d'immobilisation augmente le risque de chute. C. Le syndrome d'immobilisation est une conséquence du vieillissement normal. D. Le syndrome d’immobilisation constitue un des plus grands problèmes menant à la perte d’autonomie chez la clientèle vieillissante. E. Le syndrome d'immobilisation augmente le risque d'hypotension orthostatique.
C. Le syndrome d'immobilisation est une conséquence du vieillissement normal.
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M. Jolicoeur, 78 ans, se plaint de son sommeil et dit souffrir d'insomnie. Vous faites l'anamnène (OPQRSTU). M. Jolicoeur rapporte avoir de la difficulté à s’endormir (temps estimé à 40 minutes) et se réveiller fréquemment durant la nuit. Il se dit fatigué durant le jour, ce qui impacte ses activités de loisirs. M. Jolicoeur ne fait pas de sieste. Vous désirez compléter votre examen clinique. Quel outil allez-vous utiliser auprès de M. Jolicoeur? A. Journal de sommeil B. Index de sévérité de l'insomnie C. Grille d’observation des troubles du sommeil
A. Journal de sommeil Aucune information dans la vignette clinique n'indique que M. Jolicoeur a un trouble neurocognitif majeur. Le journal de sommeil est donc l'outil à utiliser.
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revoir** 3 outils exmane sommeil A. Journal de sommeil B. Index de sévérité de l'insomnie C. Grille d’observation des troubles du sommeil
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Vous complétez le journal de sommeil avec M. Jolicoeur. Les résultats démontrent qu'il dort en moyenne 6h par nuit, avec une efficacité de sommeil à 75%. Considérant l'ensemble de votre évaluation, est-ce que M. Jolicoeur souffre d'insomnie primaire?
oui
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revoir insomnie primaire vs autres types insomnie
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Nommez des interventions que vous pourriez mettre en place auprès de M. Jolicoeur concernant sa problématique de sommeil.
Exemples d'intervention (liste non-exhaustive): Saine alimentation L'aider à mettre en place une routine de sommeil Lui proposer de se lever et se coucher à la même heure Lui proposer de faire une activité relaxante avant de se coucher Lui rappeler de se coucher seulement lorsqu'il est fatigué Éviter l'activité physique en soirée (mais bénéfique le jour, donc l'encourager à ne pas cesser ses loisirs et activités)
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vf Les maladies chroniques sont le résultat de facteurs héréditaires et de facteurs de risque. Les termes suivants sont des synonymes: Comorbidité, multimorbidité, polypathologie. Le traitement des maladies chroniques visent la guérison des maladies. Le phénomène de fragilité fonctionne en boucle, puisque ses conséquences accentuent elles-mêmes la situation de fragilité de la personne âgée.
v v f v
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Nommez les six facteurs clés d'une gestion efficace des maladies chroniques.
Alliance avec l’aîné Enseignement Autosurveillance et surveillance clinique infirmière Traitements infirmiers Mobilisation et soutien du réseau social Résultats de soins
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questce que anxiété et but
Sentiment diffus et subjectif, vague et imprécis, de malaise, de tension, d’appréhension, et parfois même de terreur ou de crainte d’une catastrophe imminente sans objet identifiable Fonction: Avertir la personne d’un conflit ou d’un danger, que la menace soit réelle ou non
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stress ciné
CINÉ:  Perte du sens du Contrôle  Imprévisibilité  Nouveauté  Menace à l’Égo  CINÉ → réponse de stress & sécrétion d’hormones du stress (réponse naturelle de notre corps)  Hormones du stress (cortisol, adrénaline) → peut entraîner des problèmes de sant
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stress vs peur
Stress:  Perturbations biologiques et psychologiques provoquées par une agression quelconque sur l’organisme  Réponse physiologique de la personne àun stimulus qui nécessite une adaptation  Peur:  Réaction émotionnelle qui se rapporte à une menace définie, le plus souvent connue
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échelle dépistage TAG GAD-7
Auto-questionnaire  Le score total s’obtient en additionnant le score obtenuà chaque item.  Un score total supérieur strictement à 7 doit faire suspecter un trouble anxieux généralisé.  La GAD-7  échelle diagnostique du trouble anxieux généralisé ni une échelle de sévérité du trouble.  Si le score est > à 7, il est donc conseillé de faire confirmer le diagnostic par une évaluation clinique psychiatrique.
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effet isrs et isrns sur tag
 Recommandés dans le traitement de 1 e ligne du TAG  Action anxiolytique + lente que benzos → observance !!  Effets sur le TAG:   du fonctionnement social et émotif   significative du cortisol   des symptômes anxieux  Efficace en présence d’une dépression caractérisée comorbide  Effets indésirables:  Fatigue ou somnolence  Problèmes de sommeil  Symptômes urinaires
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tcc et tag
Psychoéducation  Restructuration cognitive  Recherche de solutions dans l’« ici et maintenant »  Exposition in vivo (reprise graduelle d’activités)  Entraînement physique  Relaxation musculaire  Stratégies pour dormir
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Reconnaître les facteurs de risques des troubles liés à l'anxiété pas direct eval a examen
 Être une femme (2 pour 1 )  Être peu scolarisé (12 ans et -)  Vivre seul (célibataire, séparé, divorcé)  Souffrir de maladies physiques chroniques  Avoir des incapacités physiques
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savoir signe ainées?
autonomie intégrité peau nutrition élimination état cognitif et comportement sommeil