prat.inf.final Flashcards

(150 cards)

1
Q

-Les différents rôles de l’infirmière. toxico

A

évaluer
Continuum de sévérité: * légère : 2 à 3 critères positifs
* modérée : 4 à 6 critères positifs
* sévère : 6 et +

réduction méfaits
Points importants à mentionner et considérer pour les
personnes à risque ou leur entourage
* Conseils pour les patients:
* Aviser les personnes de ne pas consommer seuls.
* Inciter à fractionner leur dose pour tester la substance
* Avoir tjs une trousse de naloxone sur eux et savoir
comment l’administrer
* Reconnaître les signes d’une overdose : respiration
lente ou absente, lèvres ou doigts bleutés, difficulté à
se réveiller, absence de réponse

intervention réduction medait chez jeunes permet de retarder age et diminuer dépendance au long cours

La profession infirmière…
* Professionnels de première ligne : accès direct à la population
générale et un ensemble de personnes en difficultés avec les
substances, présentes dans toutes les couches de la société
* Un rôle incontournable même si méconnu
* Une des plus aptes à aller à la rencontre d’un patient souffrant
d’une addiction
* Les infirmiers(ères) sont formé-es à l’approche globale des patients et
amené-es à travailler avec tous les acteurs des champs sanitaires et
sociaux
* Bénéficient sur le plan relationnel d’un sens de l’écoute et de l’empathie
favorable au repérage de personnes ayant des problèmes avec les produits
* Une profession aimée : reconnaissance qui doit pousser à développer ce
travail d’accompagnement qui ne peut se construire que dans une relation
de confiance

  • Une société addictogène exige des professionnels qu’ils
    se mobilisent, qu’ils fassent appel à leurs compétences et
    cela dans une posture de proximité et de collaboration
  • Le danger serait que chaque professionnel vienne armé
    de sa spécialité et de ses référentiels et cela sans faire
    l’effort de comprendre comment l’autre travaille
  • Pour construire une réponse cohérente à cette société et
    à ses addictions (dans leur dimension multifactorielle), les
    professionnels doivent se montrer capables d’articuler
    des réponses variées et graduées ; et de les articuler
    sans les mettre en posture contradictoire

étape 1: déterminer niveau risque
*3 voies d’intervention pour l’infirmièr(e) de 1ère ligne
Niveau de risque Type d’intervention
–Faible risque / Essai = Prévention primaire (enseignement) dans une approche de RDM
–Consommation régulière/ abusive = Intervention brève dans une approche de RDM
– Dépendance= Référer : services spécialisés en
addictologie

  • Rôle fondamentale de la profession infirmière dans le
    repérage et l’intervention précoce dans une perspective
    de réduction des méfaits
    role thérapeutique spécialisé
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2
Q

-Les clientèles à risque. toxico

A
  • Personnes en situation d’itinérance
  • Jeunes des centres jeunesse
  • HARSAH /LGBTQI+
  • Personnes ayant des problèmes de santé mentale
  • Personnes âgées (poly-pharmacodépendance)
  • Premières nations
  • Personnes incarcérées ou judiciarisées
  • Travailleu(r)ses du sexe
  • Personnes présentant des douleurs chroniques non
    soulagées
  • Personnes avec des antécédents familiaux de dépendance

à risque de consommation IV
* Jeunes
* 15-24 ans
* marginaux
* centres jeunesse
* Toxicomanes
* HARSAH
* Personnes de pays endémiques (ex.: Afrique, Haïti, etc.)
* Travailleurs(EUSES) du sexe
* Personnes incarcérées
* Autochtones

Comportements à risque à l’adolescence
* Quels sont d’après vous les comportements à risque dès
l’adolescence? essai blessures reliés à consomm, itss, difficultés scolaires

  • Pourquoi importe-t-il de tenir compte des comportements
    à risque sur le plan de la santé? plus de facteurs de risque environn plus risque que jeunes adoptent ce comportement
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3
Q

-Les facteurs de risque. toxico
surdose opioides

A

Surdose opioïdes : à risque : premiers consomm, chorniques et relire liste

Usage d’opioïdes chez les patients suivants :
* âgés de ≥ 65 ans ;
* avec troubles respiratoires (apnée du sommeil, MPOC sévère, emphysème) ;
* avec insuffisance rénale et/ou hépatique sévère ;
* avec trouble psychiatrique actif et aigu (dont la dépression);
* avec troubles cognitifs ;
* avec accès limité à des soins d’urgence (région éloignée, mobilité réduite) ;
* avec polypharmacie ;
* souffrant d’obésité

▪ Patient avec dépendance connue ou suspectée aux opioïdes de prescription ou illicites
(surtout après période d’arrêt ou diminution de consommation);
▪ Patient ayant vu sa consommation d’opioïdes temporairement diminuée ou arrêtée
(incarcération, séjour en centre de désintoxication, hospitalisation);
▪ Patient sous traitement de la dépendance avec méthadone ou buprénorphine/naloxone
(surtout si début ou fin de traitement) ;
▪ Usage d’opioïde injectable ;
▪ Usage d’opioïde de prescription principalement à haute dose*;
▪ Usage concomitant d’autres drogues (à contenu inconnu) ;
▪ Usage concomitant d’opioïde et de substances sédatives (alcool, benzodiazépines,
neuroleptiques) ;
▪ Patient avec antécédents de surdose aux opioïdes ayant nécessités des soins
d’urgence;

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4
Q

-Les différentes approches (les grands principes et applications). toxico

A

continuum de la sévérité: type de prévention
Essai= prévention
utilisation régulière= réduction des méfaits, intervention précoce(on a le plus d’impact)
*abus= pareil. réduction des méfaits, intervention précoce
(on a le plus d’impact)
*dépendance= soins et accompagnement (réduction des méfaits)

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5
Q

-L’entrevue de Anne Drost. toxico

A

Équité : nesoin de plus de soins et services santé besoin de plus de support pour même services de santé

Entrées multiples système de santé
Avoir des spécialistes

Rôle inf
Rencontrer les gens ou ils sont, faire des liens

Advocacy

Approcge réduction mefaits
Accepter la personne supporter leur décision et informer

Demande + grande que capacité

Barrières systémique, épuisement soignants

Pas de compétence particulière, tout s’apprend

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6
Q

-Les outils pour dépister, orienter, traiter, etc. toxico

A

étape 1: déterminer niveau risque
*3 voies d’intervention pour l’infirmièr(e) de 1ère ligne
Niveau de risque Type d’intervention
–Faible risque / Essai = Prévention primaire (enseignement) dans une approche de RDM
–Consommation régulière/ abusive = Intervention brève dans une approche de RDM
– Dépendance= Référer : services spécialisés en
addictologie

Dépistage précoce et interventions
brèves (DPIB)
Principes clés de la DPIB
* Dépistage et prise en charge des consommations à risques
* Développée pour les professionnels de santé de première ligne
(questionnaires simplifiés - Intervention Brève)
* Née dans les années 80 face aux dommages liés à l’alcool
* Sortir du dogme thérapeutique de l’abstinence totale
* Sortir du modèle de l’alcoolodépendence (l’alcoolisme)
* Pour une approche graduelle des risques (continuum de sévérité) et de
réduction des dommages
* Il n’est pas nécessaire d’être dépendant pour présenter un
usage à risque ou nocif de l’alcool
* On ne vise plus (exclusivement) l’abstinence mais à
favoriser une baisse de consommations dont on a pu
montrer l’efficacité sur les problèmes (morbi/mortalité) liés
à l’alcool
* La modération a bien meilleur goût (Educ Alcool)
but: éviter de glisser dans la dépendance

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7
Q

3 grands role de l’infirmière fac aux addictions

A

===>rôle de inf 3 roles prévention, réduction des méfaits et thérapeutique
Éducation

  • Une des seules à décliner l’ensemble des fonctions face aux
    addictions
  • Prévention des usages et surtout des usages abusifs (à risque)
  • l’infirmier(ère) tient une place centrale dans le travail d’information,
    d’éducation, de dépistage pour prévenir les usages et/ou limiter l’escalade
  • Surtout quand les solutions chimiques se substituent à la solution éducative
  • Fonction souvent prise en charge par les infirmiers(ères) en milieu scolaire
    ou professionnel
  • Réduction des méfaits liés à des usages abusifs (à risque)
  • À côté de ses aspects les plus spectaculaires, cette fonction se décline dans
    un travail éducatif pour, par exemple, aider des jeunes à préparer/anticiper
    une soirée
  • Autres ex: fourniture de seringues et autres matériels, éducation à l’injection
    sécuritaire

étape 1: déterminer niveau risque
*3 voies d’intervention pour l’infirmièr(e) de 1ère ligne
Niveau de risque Type d’intervention
–Faible risque / Essai = Prévention primaire (enseignement) dans une approche de RDM
–Consommation régulière/ abusive = Intervention brève dans une approche de RDM
– Dépendance= Référer : services spécialisés en addictologie

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8
Q

Outils de dépistage et d’évaluation toxico
Jeunes et adultes

A
  • Dépistage adultes:
  • CAGE-AID
  • DEBA-A/D
  • Dépistage jeunes:
  • ADOSPA/CRAFFT
  • DEP/ADO

2 réponse + ou + indique usage abusif

deux premiers des deux colonnes les + utiles en 1ere ligne

étape 1: déterminer niveau risque
*3 voies d’intervention pour l’infirmièr(e) de 1ère ligne
Niveau de risque Type d’intervention
–Faible risque / Essai = Prévention primaire (enseignement) dans une approche de RDM
–Consommation régulière/ abusive = Intervention brève dans une approche de RDM
– Dépendance= Référer : services spécialisés en
addictologie

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9
Q

approche réduction des méfaits
semi

A

Rédcution méfaits : valoriser quand diminue consomm. Sqdc

La RDM constitue une approche pratique de la santé
publique qui vise, plutôt que l’élimination de l’usage
des drogues, à réduire ou à minimiser les méfaits
des drogues (légales et illégales) pour la personne,
la famille, la collectivité ou la société

  • Sociaux :
  • ↓ de la criminalité, nuisances voie publique et défense des
    droits de la personne
  • rejet, marginalisation, isolement, exclusion des
    consommateurs
  • Sanitaires:
  • prévention des infections (VIH, hépatite B et C), des surdoses,
    des accidents et des décès
  • Psychologiques :
  • aide et soutien à la personne en difficulté et à son entourage,
    troubles mentaux
  • Économiques:
  • ↓ des coûts reliés aux soins, réinsertion sociale et
    services de placement, perte de productivité, justice pénale
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10
Q

interventions inf 1ere ligne toxico

A

*3 voies d’intervention pour l’infirmièr(e) de 1ère ligne
Niveau de risque Type d’intervention
–Faible risque / Essai = Prévention primaire (enseignement) dans une approche de RDM
–Consommation régulière/ abusive = Intervention brève dans une approche de RDM
– Dépendance= Référer : services spécialisés en addictologie

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11
Q

À quel niveau de prévention
se situe l’approche de
réduction des méfaits ?

A

primaire, secondaire et tertiaire

Prévention
1aire
Prévention
* Prévention de l’abus plutôt que de l’usage

2aire
Prévention
* Ne consiste plus au dépistage des usagers afin
qu’ils corrigent leur comportement. Priorise la
réduction des conséquences graves r/a usages de
drogues (ex : DPIB).

3aire
* La démarche de réadaptation axée sur l’abstinence
a cédé sa place à des variétés de programmes et de
services offerts en fonction des besoins et
caractéristiques de la clientèle. maison réhabilitation, suboxone traitement agoniste aux opioides

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12
Q

pourquoi donner seringues à sophie

A

donner seringues sophie 14 ans car..
diminution risque transmission itss
diminuer risque méfaits à la personne
respecter autonomie et choix
obligation donner seringues
donner meilleur accès aux soins de santé
contribue à faire tomber les préjugés p/r au syst de santé et + confiance, recréer lien
diminuer cout des traitement(moins maladies)
prendre en charger aussi autres prob de santé après établissement lien confiance

  • Donner du matériel d’injection stérile à Sophie sans se limiter à
    le lui remettre et à la laisser partir
  • Tenter d’établir une relation fondée sur la confiance et le respect
    mutuels
  • Offrir du counseling, de l’information et des références appropriées
  • Offrir une éducation sur les pratiques sécuritaires d’injection, afin
    de favoriser et de maintenir la capacité de s’injecter
  • L’inciter à réfléchir, avant de s’injecter pour la première fois,
    l’encourager à adopter une autre méthode que l’injection
  • Si possible et approprié, tenter d’impliquer la famille du jeune
    (ex : sa sœur ainée est dedans et elle l’admire…)
  • Garder le contact avec Sophie !
  • flexibilité…
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13
Q

Trouble mental secondaire au trouble lié à
une substance
* Association directe

A

effet direct: neurotoxicité

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14
Q

Vulnérabilité biologique

A

terrain propice

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15
Q

Association indirecte substances

A

troubles psychosociaux impliqués
prob sociaux, dettes, anxiété, dépression

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16
Q

Facteur commun sous-jacent aux 2
troubles

A
  • Environnement
  • Génétique
  • Développement
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17
Q

PTSD et dépendanc

A
  • Lien concret démontré par la recherche entre événements
    stressants ou traumatiques et les problèmes de
    dépendance.
  • Plus élevé chez les femmes.
  • Automédication
  • Peut entrainer des cercles vicieux
  • Association directe
    stress augmente conso
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18
Q

Trouble de l’humeur et dépendance

A
  • Pas d’association formelle
  • Risque x 2 chez personnes avec dépression majeure
  • Risque x 4 des sx dépressifs avec Cannabis
  • 90% alcoolique ont des sx dépressifs
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19
Q

Trouble bipolaire et dépendance
effet de la consommation

A
  • Diminue la réponse au traitement
  • Diminue fidélité au traitement
  • Diminue le laps de temps entre rechutes
  • Augmente tentative suicide
  • Augmente la fréquence des hospitalisations (X2)
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20
Q

Trouble de l’humeur et dépendance

A
  • L’abus/dépendance entraîne généralement des troubles
    de l’humeur.
  • Un plus grand risque de dépression est associé à la
    consommation de drogues.
  • Plus les troubles de l’humeur sont sévères, plus le risque
    suicidaire est élevé et l’efficacité du traitement diminue.
  • Une consommation même modérée ou épisodique peut
    maintenir un état dépressif ou réduire les effets du
    traitement.
  • Même après qq mois d’abstinence, la personne peut se
    sentir de nouveau déprimée à cause de difficultés
    psychosociales ou physiques.
  • Une difficulté supplémentaire:
  • Le sevrage de la cocaïne peut mimer une dépression (50 % ont
    des idées suicidaires pendant les premiers jours)
  • L’intoxication à la cocaïne peut mimer une phase maniaque
  • L’utilisation chronique de la cocaïne peut mimer un trouble bipolaire
  • L’alcool peut masquer une manie
  • Une consommation même modérée ou épisodique peut maintenir
    un état dépressif
  • Lors d’un arrêt ROH, cocaïne ou opiacés
  • anhédonie persistante possible plusieurs mois après
  • Syndrome dépressif majeur persiste 1 mois post arrêt
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21
Q

Psychose et dépendance

A
  • Risque 2 à 4 x de développer dépendance si trouble
    psychotique.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie sont près de cinq fois
    plus susceptibles d’avoir des problèmes de consommation.
  • Abus de drogues associés à l’apparition de troubles
    psychotiques, résistance aux traitements, augmentation
    du nombre de consultation à l’urgence psychiatrique.
  • Impact du cannabis: augmentation du risque x 6 de
    développer schizophrénie, jeunes ado plus vulnérables,
    certaines personnes plus vulnérables au niveau
    génétique.
  • Impacts des autres substances: stimulants, perturbateurs.
    Aggravent symptômes positifs, négatifs et atteinte
    cognitive.
  • Automédication: pour diminuer symptômes ou effets
    secondaires des médicaments. Controversé!
  • Vulnérabilité biologique: facteurs de risque biologiques de
    la personne ou déclenchée par la substance?
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22
Q

Troubles concomitants: ce qu’il faut tenir
compte.

A
  • Sont variables
  • Peuvent être synergiques exacerbe++
  • Un trouble peut en masquer un autre
  • Comprendre ces interactions demande une évaluation soignée
  • Épidémiologie:– Tabagisme +++– Alcool ++– Drogues illicites +
  • Les drogues peuvent affecter directement les neurotransmetteurs
    responsables de la maladie mentale.
  • Important de déterminer l’âge du début des deux troubles. et contexte quand devenu chornique
  • Vérifier la durée de l’abstinence. et comment se passait sm
  • Autre trouble psychiatrique avant la toxicomanie ou lors d’abstinence?
  • Antécédents psychiatriques familiaux?
  • Les constats et impacts reliés au traitement durs a tx
  • Violence
    • Volet pharmacologique: psycho pharmaco: devient excitable ou irrationnnel après une consommation comportement violent juste a cause subtsnace
    • Volet économico-compulsive: pour aller chercher largent pour consommer pour monailler substance
    • Volet systémique les 2
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23
Q

Hypothèses de comorbidité (résumé)

A
  • En général, la présence d’un trouble (toxico/dépression) peut créer ou augmenter le
    risque de voir apparaitre l’autre trouble.
  • La consommation prolongée ou abusive de psychotropes produit des symptômes
    dépressifs.
  • La consommation prolongée ou abusive de psychotropes provoque des
    changements biopsychosociaux qui favorisent le développement de symptômes
    dépressifs.
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24
Q

Facteur de vulnérabilité

A
  • Trouble identitaire et faible estime de soi.
  • Sentiment d’impuissance ou de surestimation de leurs capacités.
  • Mécanismes de défense immature et mauvaises stratégies
    d’adaptation.
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25
Dépistage et évaluation des TUS
* Histoire de la consommation actuelle et passée: type depuis cmb de temps, mode * Périodes d’abstinence passées: s et sx, hospit avec complic sevrage, surdoses * Évaluer les comportements à risque:matériel conso, rel sex, volant, viol conj, hygiene de vie, prob santé phys * Identifier les comorbidités * Évaluer le contexte social * Examiner le patient: b3 b4 rupture septum nasal, dépistage its * Investigations * Vos impressions * Plan et traitement
26
Comment se construit une personnalité saine
se développe dans jeune enfance * Stabilité du lien affectif * Cadre parental adéquat * Besoin de sécurité comblé * Dosage du développement de l’estime de soi * Équilibre entre les émotions négatives et positives * Exposition à des situations difficiles et capacité à s’adapter * capacité de contenir / se régulariser * 3 thèmes communs à chacun: lien d’attachement, estime de soi, eros/ethos
27
Qu’est-ce qu’un trouble de la personnalité ?
probleme d'Estime de soi, vide intérieur ▪DSM 5 A. Mode durable d’expériences intérieures de soi et des comportements Dévie de la culture et manifesté dans 2 ou plus des domaines suivants 1. Cognitions (façon de percevoir ou d’interpréter soi, les autres ou les événements 2. Affectivité (étendue, variabilité, intensité et l’adéquacité des réponses émotives) 3. Fonctionnement interpersonnel 4. Contrôle de l’impulsivité B. Envahissant, rigide et mal adapté C. Source de souffrance ou de dégradation du fonctionnement D. Stable dans le temps et de longue durée Apparaît à l’enfance, adolescence ou au début de l’âge adulte
28
Liste des événements liés à la détresse selon l’âge
Enfance :- À 5 ans, séparation des parents; - Vers 7 ans, 1ère rencontre avec un psychologue : la patiente a du mal à en préciser le motif mais se décrit comme une enfant turbulente, impulsive, colérique, agressive. enfant et ado -Multiple consultations en psychologie.-Idées suicidaires, désir de mort. -À 12-13 ans, elle se dit de plus en plus révoltée, fait des fugues, débute la consommation de cannabis.-N’arrive pas à terminer son DEP. adulte Même emploi en restauration depuis 7 ans.-Vit seule en appartement mais difficultés à tolérer la solitude.-Importantes difficultés relationnelles. -Consommation plus problématique de cannabis depuis l’âge de 20 ans. -Hospitalisation de 4 mois l’an dernier pour dépression; Dx de TPL alors posé. -Risque élevé de passage à l’acte suicidaire, impulsivité.
29
traitement développement de la personnalité
Distinguer, au mieux de nos capacités, notre réalité interne de la réalité du monde autour de nous. Traits vs État (s)
30
personnalité trouble métaphore
exosquellette cordage parents, enfant, autodiscipline.... quand 1 tombe tout tombe
31
Quels sont les effets d’un tp?
* Apparaissent habituellement à l’adolescence ou début âge adulte. * Plusieurs conséquences sociales: violence conjugale, mauvais traitements envers les enfants, mauvais rendement au travail, suicide, jeu, effets sur les proches.
32
Troubles de la personnalité (suite) * Stigmatisation vs perceptions des autres * Causes:
* Interaction complexe d’événement du début de la vie, facteurs génétiques et environnementaux. * Facteurs psychologiques, familiaux, soutien, école, capacité de croissance personnelle. Traitement difficile à cause du refus d’accepter la présence d’un problème et à cause du pessimisme des professionnels de la santé
33
Principaux troubles de santé mentale en lien avec les problèmes de dépendance aux psychotropes:
* Troubles anxieux * Troubles de l’humeur * Troubles psychotiques * Troubles de la personnalité
34
Personnes vivant avec un trouble de personnalité limite caractéristiques
1. Efforts importants pour éviter les abandons réels ou imaginés ==> CLIVAGE 2. Présente un modèle de relations intenses et instables (idéalisation / dévalorisation) 3. Trouble d’identité. Image de soi et sens des autres instables et marqués 4. Impulsivité dans deux zones qui sont potentiellement dommageables ( jeu, dépenses, sexe, conduite automobile, boulimie) 5. Comportement suicidaire récurrent (gestes, menaces ou automutilation) 6. Instabilité affective (grande variabilité, dysphorie, irritabilité, anxiété 7. Sentiment chronique de vide 8. Crise de colère intense, inappropriée ou difficile à contrôler 9. Idées paranoïdes transitoires ou sévères symptômes de dissociation reliées au stress
35
Personnes vivant avec un trouble de personnalité limite * Mécanismes de défense utilisés
* Clivage: aime/hair. dichotomique blanc ou noir. rejet avant de se faire rejeter. pour éviter sentiment abandon * Identification projective: dépose à qqun d'autre ce qu'on aime pas de soi, transfert. donne sentiment incompétence * Idéation suicidaire
36
Personnes vivant avec un trouble de personnalité limite * Interventions à privilégier
* Clarification de la situation: définir raison consultation, cadre heure arrivée * Recentrer sur le présent * Renforcer la responsabilité du client * Encadrer et limiter * Distinguer les bons mécanismes d’adaptation des mauvais. Augmenter les compétences * Renforcer l’estime de soi * Travailler les comportements * Tenter d’éviter les hospitalisations * Dans l’intervention auprès des personnes souffrant d’un trouble de personnalité limite, ce qui est gagnant: LE CADRE. * L’intervention dois se faire de façon structurante et devrait viser de petits objectifs réalisables Meilleures pratiques et traitement Les 5 C: Contact: créer le lien d’attachement Confort: se sentir confortable dans une relation Comprendre: ‘acting out’ vs mentaliser les solutions Contenir: tenir le cadre (garder le thème de l’entrevue) Construire: réparation, sortir le sentiment de culpabilité. Pas de punition mais du renforcement. Favoriser l’espoir
37
quest ce que le cadre pour tpl
* Cadre clair et constant: 1. Coordination des diverses interventions: ▪ COHÉRENCE (Gunderson) ▪ PRÉVISIBILITÉ (Paris) ▪ LIMITES CLAIRES ET OBJECTIFS PRÉCISÉS (Stone) DIRE CE QUE L’ON FAIT ET FAIRE CE QUE L’ON DIT 2. Être contenu, soutenu, compris
38
Meilleures pratiques et traitement Les 5 C:
Contact: créer le lien d’attachement Confort: se sentir confortable dans une relation Comprendre: ‘acting out’ vs mentaliser les solutions Contenir: tenir le cadre (garder le thème de l’entrevue) Construire: réparation, sortir le sentiment de culpabilité. Pas de punition mais du renforcement. Favoriser l’espoir Psychothérapie * Ressources spécialisées (ex: Faubourg St-Jean) * Médication
39
La consommation de drogues intensifie toujours les symptômes du trouble de la personnalité limite?
non peut augmente mais aussi calmer dépend contexte substance
39
Points communs aux traitements efficaces ? Éléments attitudinaux psychologiques des traitants
1) Croyance profonde que le patient est intéressé à changer, en dépit de tout (rage, impuissance, arrogance, mépris, amour etc.), 2) Conviction que ces patients peuvent s’améliorer 3) Sentiment que ces patients sont sympathiques 4) Conviction qu’on peut aider ces patients 5) Capacité de travailler de concert avec une équipe traitante 6) Soutien émotionnel en cas de besoin
40
L’intervention centrée sur la toxicomanie doit idéalement précéder le traitement du trouble de la personnalité?
non, les 2 en même temps L’approche intégrée * Pour les personnes souffrant de troubles de santé mentale graves, il a été démontré que les traitements offerts dans les réseaux de services distincts de toxicomanie et de santé mentale étaient non seulement inefficaces, mais généraient de piètres résultats. * Dans les meilleures pratiques basées sur les données probantes: dispensation des services en toxicomanie et santé mentale pour une seule équipe. * Traitement séquentiel: traitement qui consiste à traiter l’un des deux diagnostics en premier jusqu’à sa résolution puis d’aborder le second. Les traitements se font donc l’un après l’autre dans des lieux différents et avec deux équipes distinctes. * Traitement parallèle: traitement qui apporte une prise en charge simultanée des deux problèmes par une équipe en santé mentale et une équipe en toxicomanie travaillant indépendamment et séparément, souvent dans des institutions différentes
41
3. Il est essentiel d’établir la chronologie des symptômes afin de bien orienter la personne pour son traitement?
non, des fois pas capable de faire toute histpore. surtout age debut ch trouble important.
42
quest que approche intégrée toxico
* Principe de base: fournir, au sein d’une même équipe, un traitement simultané pour les deux diagnostics. * Importance du dépistage et de l’évaluation rigoureuse des troubles. * Parfois, un arrêt minimal de consommation de substances est nécessaire afin que les symptômes induits se résorbent pour permettre une évaluation plus nette des troubles anxieux et dépressifs. * Importance de l’implication des partenaires et accessibilité à des soins adaptés et rapides. * La pratique outreach * L’approche globale * Le partage de la prise de décision * Un engagement à long terme * Le traitement par étapes * L’étape de l’engagement * L’étape de la persuasion * L’étape du traitement actif * L’étape de la prévention de la rechute * La réduction des méfaits
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Approche intégrée: Prévention des troubles concomitants
▪ Identifier les populations à risque ▪ Intervention préventive ▪ Partenariat pour la mise en place des programme de prévention ▪ Intégration des services ▪ Intégration des systèmes
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Habiletés de base en intervention
* Compétences comportementales: habiletés relationnelles. habiletés pour remplir la fonction, le comment * Compétences techniques: connaissances, habiletés spécifiqiues nécessaires au travail cote pratique. tenue de dossier... apprend a l'école Compétences techniques * Comprendre la consommation de substances * Comprendre les troubles concomitants * Aide à la famille et soutien social * Aiguillage des clients * Animation de groupe * Counseling * Dépistage et évaluation * Développement communautaire * Élaboration, mise en œuvre et évaluation de programmes * Gestion de cas * Intervention en situation de crise * Médicaments * Planification du traitement * Prévention et promotion de la santé * Services d’approche * Soins axés sur les traumatismes * Tenue des dossiers et de la documentation
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Comment aider un proche qui consomme?
* Soyez à l’écoute. * Est-il prêt à vous parler librement de sa consommation ? * Quels produits consomme-t-il ? * Quel type de consommateur est-il ? * Parler de sa consommation, du plaisir qu’il en retire, y a-t-il des conséquences négatives ? * Manifestez-lui de l’intérêt, gardez le contact. * Évitez les jugements. * Contribuez à augmenter son estime de lui-même en lui démontrant qu’il a des qualités et des points forts sans pour autant consommer. * N’ayez pas peur de dire ce que vous ressentez. * Nommez et respectez vos propres limites. * Allez chercher de l’aide si vous en ressentez le besoin prendre soin de soi avant prendre soin des autres
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loeuf ou la poule
probab tm arrive avant
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Connaître les composantes du syndrome métabolique et les facteurs de risque associés
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Connaître les principes de dépistage et de traitement
49
* Connaître les principes reliés au suivi
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* Connaître l’implication de l’infirmière clinicienne en pratique
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questce que le syndrome métabolique
obésité viscérale résistance à l'insuline HTA taux triglycérides élevés faible taux de cholestérol HDL
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retenir lien direct apo b et nb particules ldl (le fait pas partie du bilan lipidique) apo b élevé maruqueur le + fiable significatif risque cardiovasculaire. meme avec aucun autre facteur de risque
apob optionnel ne fait pas partie du bilan lipidique généralement pas a jeun
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hdl élevé veut dire zero risque?
non pas nécessairement
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Cas clinique #1 Mme Tremblay, 42 ans, se présente en clinique pour un bilan de santé. Elle est en bonne santé et ne prend aucun médicament. On retrouve un diabète gestationnel lors de sa dernière grossesse à 36 ans comme seul antécédent. Devrait-elle avoir un dépistée pour la dyslipidémie ?
dans lectures oui prévention primaire ou secondaire
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prévention primaire vs secondaire
primaire: tout le monde. prévenir un premier evenement sans antécédent, sans maladie avérée/dx secondaire: pt à risque. on veut prévenir récidive peut etre secondaire si aucun incident mais avec maladie avérée
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prévention primaire qui dépister (dyslipidémie)
h f +40 ou ménopause***
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prévention primaire éval du risque cardio vasc Framingham risk score (FRS) pour qui et quand
tous les 5 ans ou lorsque les facteurs de risque changent pour les hommes et les femmesâgésde 40à75ans. * Chez les individus âgés entre 30-59 ans sans diabète, la présence d’une histoire de maladie cardiovasculaire prématurée chez un parent de premier degré augmente le risque calculé au FRS par 2.
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recommandation test lipidique**** si triglycérides >1,5
si triglycéride >1,5, le c-ldl sous estime le risque Faire le C-non-hdl ou l'apoB plutot que le cholestérol LDL
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* Interpréter le bilan lipidique de base (CT, HDL, Tg, ± LDL). très important
* Si Tg < 4,5mmol/L, on calcule un C-LDL avec Friedewald. * Si Tg ≥4,5mmol/L, le C-LDL n’est pas rapporté (non calculable). * Si Tg >1,5mmol/L, même si on peut encore obtenir un C-LDL, on sait qu’il peut sous‐estimer le risque. On regarde donc : * Le Cholestérol non‐HDL = CT – HDL, qui mesure le cholestérol “athérogène” total (VLDL, IDL, LDL, Lp(a)), OU * L’ApoB, pour quantifier le nombre total de particules athérogènes. En prévention cardiovasculaire, certaines recommandations misent de plus en plus sur l’ApoB comme cible/seuil thérapeutique (car elle reflète mieux le nombre de particules LDL).
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Lp(a) c quoi ? important pour examen
* Particule de type LDL dans laquelle l’ApoB est liée de façon covalente à une molécule similaire au plasminogène appelée apolipoprotéine(a); * Non influencée par le sexe, l’âge, l’inflammation, le jeûne ou les habitudes de vie; * Largement lié au gène LPA, héréditaire à > 90%; * Valeur généralement stable tout au long d’une vie; * Associé à un risque élevé de maladie coronarienne. * Le risque augmente avec des niveaux de Lp(a) > 30 mg/dL et est dose dépendant.
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recommandation lpa
* Onrecommandede mesurer leniveau de Lp(a) au moins une fois dans une vie lors du bilan initial du dépistage lipidique. * Pour les patients en prévention primaire qui ont une valeur de Lp(a) > 50 mg/dL (≥ 100 mmol/L), on recommande un counseling intensif précoce sur la modification des habitudes de vie.
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prévention primaire interprétation score framingham?
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Le score calcique d’Agatson
Un score calcique de 0 pourrait justifier l’arrêt d’une statine chez les individus à risque faible ou intermédiaire, sauf si tabagisme actif, diabète, hypertension artérielle mal contrôlée, dyslipidémie génétique ou Lp(a) élevé et les patients avec une histoire familiale d’évènement cardiovasculaire prématuré. * Unscorecalcique > 100 est une indication d’un traitement par statine. * Un score calcique entre 1-99 nécessite une prise de décision partagée avec le patient. * Le dépistage des calcifications des artères coronariennes à l’aide de l’imagerie par tomodensitométrie (score calcique) pourrait être envisagé pour : * les adultes asymptomatiques ≥ 40 ans et à risque intermédiaire (FRS 10-20%) pour qui la décision de traiter est incertaine. * Les individus à faible risque ≥ 40 ans avec une histoire familiale de maladie cardiovasculaire athéroclérotique (MCAS) prématurée (homme ≤ 55 ans / femme ≤ 65 ans) en plus de l’identification de causes génétiques connues de MCAS comme un taux de Lp(a) élevé ou d’hypercholestérolémie familiale (HF) Le score calcique ne devrait pas être utilisés pour : * Individus à haut risque * Individus recevant un traitement par statine * Individus asymptomatiques à faible risque
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Approches thérapeutiques syndrome metabolique*****
Modification des habitudes de vie : * Arrêt tabagique; * Diète; * Exercice physique : il est recommandé que les adultes accumulent au moins 150 minutes d’activité physique aérobique d’intensité modérée à élevée par semaine. Traitement pharmacologique * Statines/ Ezetimibe * Réévaluation
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***effets secondaires des statines**/hypolipidémiants et ezetimbe
statines Effets secondaires : * Fréquent : Myalgie (douleurs mi, crampes mollets) * Plus rares : ↑ AST / ALT, myosite, ↑ enzymes musculaires, rhabdomyolyse ezetimbe plus fréquents: fatigue, malaises digestifs plus rares: augmentation des transminases hépatiques et mylagies
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recommandation pour les statines
* Il est recommandé d’utiliser une statine de haute intensité en plus des modifications des habitudes de vie pour tous les patients en prévention secondaire. * Pour les patients qui ne tolèrent pas une statine à haute dose, la dose maximalement tolérée est recommandée.
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**revoir prévention primaire, secondaire et crières
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facteurs de risque effet sec statines savoir un peu mais pas par coeur
abus alcool, age, santé fragile, dose élevée, exercice physique++
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quoi faire effet sec statines
- verifier objectivement sx musculaires ou hépatiques avec CK et ALT sous statine - tenter un court arret suivi d'une réintroduction, diminuer la dose ou changer de statine peut faire quelques arret et réintro des fois peut disparaitre. arret une semaine et + les douleurs musculaires ne sont pas associés a élévstion CK
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interaction facteurs pour obésité*****
médication comme insuline favorise prise de poids * Microbiote intestinale * Dysfonctionnement du tissu adipeux * Facteurs génétiques et épigénétiques * Régulation neurohormonale et rôle du cerveau * Mécanismes métaboliques et endocriniens * Facteurs environnementaux et comportementaux * Mécanismes psychologiques et sociaux * Adaptations physiologiques favorisant la reprise de poids sm et obésité associés autres médications Certaines classes médicamenteuses sont connues pour favoriser la prise de poids, principalement en raison de leurs effets sur le métabolisme, l’appétit, la rétention hydrique ou la dépense énergétique. * Insuline et hypoglycémiants oraux * Antihypertenseurs * Antidépresseurs et antipsychotiques * Anticonvulsivants et stabilisateurs de l’humeur * Antirétroviraux * Corticostéroïdes
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role des hormones sur la faim quelles et comment agissent***
satiété: GLP-1 et leptine faim: ghréline glp1 diminue vidange gastrique, diminue sécrétion acide, augmente satiété et diminue apport calorique
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Dysfonctionnement du tissu adipeux et cercle vicieux
Le tissu adipeux dans l'obésité subit un remaniement structurel et fonctionnel majeur, marqué par une inflammation chronique, une fibrose excessive et une altération des adipokines. * Expansion du tissu adipeux : hypertrophie vs hyperplasie * Inflammation chronique du tissu adipeux * Dysfonction des adipokines * Fibrose et rigidité du tissu adipeux * Altérations métaboliques et conséquences
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Facteurs génétiques et épigénétiques obésité
Déterminent la prédisposition individuelle à la prise de poids et au développement de troubles métaboliques * Lesmutations génétiques prédisposent à l’obésité en influençant l’appétit, le métabolisme et le stockage énergétique. Ces mutations peuvent être classées en formes monogéniques et polygéniques (commune). * L’obésité monogénique(p. ex. : anomalie du MC4R) ou syndromique (p. ex. : Moon Bardet-Bield, Prader-Willi) représente quant à elle moins de 1 % des patients atteints d’obésité. * L’épigénétique module l’expression des gènesen réponse à l’environnement et peut favoriser ou prévenir l’obésité. * L’obésité ne dépend pas seulement des gènes mais aussi de leur interaction avec l’environnement. * Uneapproche intégrée, combinantgénétique, épigénétique et interventions environnementales, est essentielle pour mieux comprendre et traiter l’obésité
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effet sec segmaglutide et recommandations
GLP-1 : Nausées, vomissements, constipation, diarrhée, pancréatite, céphalée Gestion des effets secondaires : * Retourner au dosage antérieur si les effets secondaires sont intolérables. * Utiliser les entres-doses (clics intermédiaires). * Augmenter la dose quand les effets secondaires sont tolérables ou sont disparus. * Respectez sa satiété * Mangez de petits repas, limitez le gras, le sucre * Bien s'hydrater * Anti nauséeux prn si nausées intolérables
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Connaître les facteurs de risque du diabète 2 et quand dépister
>ou= 40 ans antécédents db accouchement nourrisson de poids de naissance élevé antécédents fam (parent 1er degré type 2) population a risque: non caucasien, statut sociaux économique faible facteur risque cardiovasc (tabagisme, dyslipidémie, obésité, HTA) présence lésions aux organes cibles associées a db2 (rétinopathie, microalbuminurie, atteinte neuropathique autres affections et traiteemtns associés au db aucun facteur de risque <40 ans pas dépistage aucun facteur de risque > 40 ans ou risque élevé: dépister q 3ans présence facteurs de risque ou risque très élevé:q 6-12 mois
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Connaître les facteurs de risque cardio-vasculaire
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Comprendre l’HbA1c, ses utilités et ses limites
L’Hb glyquée correspond à l’ensemble des molécules d’hémoglobine modifiées par glycation non enzymatique 2-3 derniers mois glucose sérique L’HbA1c représente normalement 4 à 6 % de l’HbA totale lorsque les glycémies sériques sont « normales » UTILITÉS * Test diagnostic * Peut être mesuré à tout moment * Intéressant pour ceux qui ne surveille pas leurs glycémies * Bon prédicteur des complications microvasculaires******* * Prédicteur des maladies CV plus fiable que la GAJ ou HGPO * Permet de fixer une cible thérapeutique * Permet d’évaluer l’efficacité du traitement pharmacologique et non pharmacologique Limites *N’indique pas le temps passé en hypoglycémie * N’indique pas la variabilité glycémique * Perturbation possible causée par les affections concomitantes (p. ex. insuffisance rénale, anémie,…) moins fiable dans certains contextes
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Connaître les différentes manières d’évaluer le contrôle du diabète
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Connaître les principes de traitement (pas gluco-centrique)
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Connaître les complications du diabète, les facteurs de risque, les méthodes de dépistage et la prise en charge de manière générale
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Qu’est-ce que représente la mesure de l’HbA1c ? A. Une anomalie génétique de l’hémoglobine B. Une moyenne des trois derniers mois du glucose sérique C. Une mesure permettant d’estimer le contrôle glycémique D. Je ne sais pas, mais j’espère l’apprendre rapidement
B. Une moyenne des trois derniers mois du glucose sérique C. Une mesure permettant d’estimer le contrôle glycémique
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Quelle(s) complication(s) du diabète devraient être recherchée(s) chez M. Sucré ? A. Pas besoin de les rechercher, car le diagnostic est trop récent B. Seulement les complications macrovasculaires puisqu’il a fait un infarctus du myocarde C. Toutes les complications micro et macrovasculaires D. L’indication de dépistage dépend de ses autres facteurs de risque
C. Toutes les complications micro et macrovasculaires à cause de plusieurs facteurs de risque
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Vous êtes infirmière sur une unité d’hémato-oncologie. Vous rencontrez Mme abdo, atteinte d’un cancer, qui est hospitalisée dans un contexte de dénutrition. L’équipe médicale débute l’HAIV. Elle n’est pas connue diabétique, mais une surveillance des glycémies est demandée. Vous remarquez la hausse de ses glycémies, nécessitant l’introduction d’une échelle d’insuline Pourquoi les glycémies de Mme Abdo augmentent-elles ?
cortisone décadron, cortico puissant qui fait augmenter la glycémie glycémie monte sous haiv car ne passe pas par le système digestif, car incrétines by passé, pancréas moins stimulé
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Vous êtes infirmier(ière) clinicienne à la clinique du pôle des maladies chroniques (Clinique IPS). Vous recevez une référence pour l’optimisation des facteurs de risque CV et l’ajustement des traitements (HTA , DLP, Diabète de type2) 1) Avecqueloutil allez-vous évaluer le risque CV ? 2) Quelles complications du diabète allez-vous rechercher/questionner et comment allez vous les dépister ? 3) V ou F ? Le traitement du diabète implique seulement d’atteindre une cible glycémique individualisée ?
1) framingham? 2) rétino par optométristque, méphro, prob hépat, cardiovasc, neuropathie, albuminurie, monofulament, vibrations, questionnaire 3)faux
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Actions physiologiques de l’insuline
à retenir: pancréas sécrète dans veine porte, 50% insuline dégradée par foie, ensuite reste circulation * Est une hormone hypoglycémiante * Facilite le transport du glucose vers l’intérieur des cellules (en particulier celles du muscle) o Favorise la production d’ATP (énergie) * Est une hormone anabolisante o Formation et stockage des Tg dans les cellules adipeuses et dans les hépatocytes * Limite la production de corps cétoniques par le foie en période de jeûne ou de stress récepteurs sulfonylurés: k+
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Actions physiologiques du glucagon
effet inverse insuline Le glucagon est libéré à la suite de : o Une baisse de la glycémie o Une augmentation de l’activité du système nerveux sympathique o Une élévation du taux d’acides aminés dans la veine porte o Un état de stress Il agit sur le foie en : o stimulant la glycogénolyse o stimulant la néoglucogénèse o provoquant la libération du glucose par les hépatocytes chez diabète type 2 glycagon sécrété de facon disproportinné augmente prod glucose par foie ajeune et post prandial
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résultats GAJ et AIC
GAJ: 6,1 à 6,9 anomalie >ou=7 diabète AIC% 6,0-6,4 prédiabète >= 6,6 diabète
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dx db2 GAJ, 2h post gluc et hba1c
glycémie a jeun normale 3,9 à 5.5 hba1c 6,5 ou +/ ou gaj >= 7 ou après ingestion 75g ou glyc aléat >= 11,1 2 pour asx 1 pour sx
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cible hba1c pour controle glycémique
-6.0 potentiel de rémission <= 6,5 diminue ridque prob chroniques et bas risque hypo <= 7,0 majorité adultes type 12 preprandial 4-7 post prandial 2h 5-10 ON VEUT 70% DE LA JOURNÉE ET + entre 3,9 et 10 pour capteurs
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Pourquoi est-il important de traiter la variabilité glycémique (VG)?
* La VG est liée à une fréquence accrue d’épisodes d’hypoglycémie1-3. * La VG est associée à un risque accru de rétinopathie4 et de néphropathie diabétiques5. * De nouvelles données laissent présager une relation entre la VG et un risque accru d’hypoglycémie grave et d’événements cardiovasculaires6. * Les patients souffrant d’hypoglycémie grave sont exposés à un risque accru d’événements cardiovasculaires et de décès; il est donc important de limiter les épisodes d’hypoglycémie7. L’objectif est d’atteindre une variabilité glycémique ≤ 36 %
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La surveillance du glucose par capteur (SGC) Pour qui ?
* Injections multiples d’insuline au quotidien * Utilisation d’une pompe à insuline * Hypoglycémies fréquentes * La non-reconnaissance des hypoglycémies * Grande variabilité glycémique * Non atteinte des cibles glycémiques * Traitements sans insuline * Avec ou sans régime d’assurance
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Rôles des insulines
Insuline Basale : souvent la nuit * Maintenir la glycémie stable en période de jeûne * Objectif: Glycémie 12 h post injection ± 2 mmol/L Insuline Prandiale : lors repas * Contrôler la montée de la glycémie au moment de la prise d’aliments glucidiques * Objectifs: o Glycémie 2h PC ↑2-4 mmol/L o Glycémie 4h PC ~ idem à AC o Corriger une hyperglycémie ponctuelle (En 4-5 hres)
93
voir figure /algorithme cours 2 diapo 99 pour metformine...
94
Mode d’action des inhibiteurs du SGLT2
bloque actions transporteurs de glucose effet néphroportecteur Effets secondaires : * Infectionurinaire,vaginite,balanite(3 à 5%) * Acidocétosediabétique(euglycémique) * Hypoglycémie(avecsulfoouinsuline) * Hypotensionartérielle(attentionHTO)
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Développement des complications Bien avant l’annonce du diagnostic db v/f
v important***
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facteurs de risque rétinopahtie db
o Diabète de longue date o Hyperglycémie chronique o HTA o Dyslipidémie o Protéinurie o Tabagisme Peut être asymptomatique même dans les stades avancés
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Néphropathie chronique La néphropathie chronique est définie comme une anomalie de la structure ou de la fonction rénale présente depuis plus de 3mois tests:
diminution dfge albuminurie
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pourquoi refaire plusieurs fois albuminurie? causes potentielles *****important******
1) certaines situation peivent causer albuminurie et passager 2) activité physique intense récente, infection urinaire, maladie fébrile, insuffisance cardiaque congestive décompensée, menstruations, hausse importante et soudaine de la glucémie, hausse importante et soudaine de la TA
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4 piliers prise en charge db2
controle hba1c controle ta ieca/ara sglt2
100
facteurs de risque MASH*****
* Syndrome métabolique: * Obésité (tour taille >102cm homme et >88cm femme) **95% des personnes ayant une chirurgie bariatrique ont une MASLD * Hypercholestérolémie (TG >150mg/dL, HDL <40mg/dL homme ou <50mg/dL chez femme) * Résistance à l’insuline ou signes diabète (glucose aléatoire >11mmol) * Hypertension artérielle (Tas>135 ou TAd >85 mmhg) * Diabète de type 2 (1/3 à 2/3 des personnes ont une NAFLD) masld * Syndrome des ovaires polykystiques vient avec résistance insuline * Hommes >femmes (2H:1F) * Hypothyroïdie favorise prise de poids * Apnée du sommeil * Hypogonadisme MASLD (Maladie hépatique stéatosique associée à un dysfonctionnement métabolique) ou maladie du foie gras: Désigne l’accumulation de gras (triglycérides) au niveau hépatique (>5%) MASH (La stéatohépatite associée à un dysfonctionnement métabolique): Désigne l’inflammation hépatique causée par le foie gras (avec ou sans fibrose)
101
masld: savoir comment dépiste facteurs de risque, comment adresse
. Déterminer la présence de fibrose hépatique: * FIB-4: Utilise AST, ALT et plaquettes: Permet de diagnostiquer une fibrose sévère (F3) ou cirrhose (F4). * FibroScan : appareil qui calculs la rigidité hépatique en kilopascals. ▪ Biopsie hépatique (ex avec fib4), (adresser facteurs de risque. tout le temps les mêmes et reconnaitre que très prévalent)
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définition upd 2 conditions
■Rupture de la peau du pied chez un patient atteint de diabète ■La rupture peut être causée par un trauma, une neuropathie (autonome, motrice, sensorielle), une ischémie et /ou une infection
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3 catégories UPD *****
déterminé surtout avec degré ischémie neuropathique: perte sensibilité, hyperkératose épaisse, lit de plaie rosé, granulation, peau chaude avec poul bondissant, peau sèche et fissurée. aux surfaces portantes du pied: tete metatarse, talon, orteilles... ischémique: douleur, nécrose fréquente, lit de plaie pale avec débris nécrotiques humides, peu de granluation. nécrose soire et sèche, peau froide, absence de pouls, retard cicatrisation. apex oreitls, bord des ongles, entre orteils, bords latérauxu pied neuro-ischémique: hyperkératose minime, peu de granulation. peau froide, absence de pouls, grand risque d'infection au contour des orteils et du pied. majorité pression systolique cheville bras pour savoir si ischémie. pour personne diabétique ce test n'est pas valable, car artère trop solide à cause calcification=>indices très élévés 1,4 et + indice diabète. fait indice orteil bras ou juste orteil car les artères ne se calcifient pas.
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quoi faire si indice cheville bras 1,4 et +
pression systolique cheville bras pour savoir si ischémie. pour personne diabétique ce test n'est pas valable, car artère trop solide à cause calcification=>indices très élévés 1,4 et + indice diabète. fait indice orteil bras ou juste orteil car les artères ne se calcifient pas.
105
cofacteurs upd
- controle du glucose sanguin activité physique tabagisme - trauma - chaussure -neuropathies: sensorielle, autonome (sèch) et motrice (défor) -amputation
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capacité prise en charge upd
-hygiene soins des pieds support, accès... pour curable, de maintien...
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cibles normales glycémie pour db
a1c 7% et moins 4-7 pré 5-10 2hpost
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comment évaluer Neuropathie sensorielle (PDSP)
TEST DU MONOFILAMENT 3 secondes par points, 10 points 1 fois par an pour d2 4 qu'il n'identifie pas, ne ressent plus rien=atteinte DIAPASON NEGATIF=ATTEINTE en 4 points normale 2/4
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quoi maladie de charcot et quoi malperforant
inflammation=>destruction os pied se fracture a cause inflammation déplacement du coussinet graisseux mal perforant plantaire
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phase prodromique/stade 0 vs stade 1/aigue
la forme aigues est une urgence médicale savoir par coeur. quand signes inflammation au pied urgence médicale. savoir tableau par <3, reconnaitre mise en situation clinique prodromique 0 erythème, augmentation temp avec ou sans oedeme local, presence pouls, instabilité du pied, rx pas toujours concluant, irm met en évidence microfractures phase aigue. stade 1 période de destruction active de l'os induite par un traumatisme mineur résultant en une fragmentation de l'os et une dislocation et subluxation de l'Articulation stade 2 guérison fractures stade 3 remodelage, déformations
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signes inflammation au pied chaleur, oedeme...
pied charcot neuropathie motrice urgence medicale phase aigue
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** quoi évaluer++ pour db éval physique**
FAITES ENLEVER LES SOULIERS ET LES BAS À VOS PATIENTS !!! SELON LE NIVEAU DE RISQUE ENSEIGNER AUX PATIENTS À REGARDER LEURS PIEDS REGULIÈREMENT !!! TOUS LES JOURS
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acronyme pour choisir bonne chaussure
■ A rrête le roulement ■ Décharge (pas de pression, pression bien répartie) ■ Intérieur sécurisé ■ D éshumidifie ■ A daptée (activités, déformations) ■ S olide: absorbe les chocs, bon support
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évaluer la plaie revoir bwat, measure, nerds/upper, vs stonees, lower vs biofilm
superficiel NERDS N = Ne guérit pas E = Exsudat qui augmente R = Rouge et friable (lit de la plaie) D = Débris S = Senteur profonde STONEES S = Surface augmente T = Température qui augmente (chaleur) O = Os palpable ou exposé N = Nouvelle plaie E = Érythème E = Exsudat qui augmente S = Senteur 2-3 item ch liste
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classification sévérité infection UPD
grade 1/ non infecté grade2/ légère: 2 éléments infection grade 3/ modérée: érythème +2cm ou infection impliquant structures, pas de réponse inflammatoire systémique grade 4/ importante: temp +39 ou -36. FR>20, Paco2 diminuée...
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évaluation (ostéomyelite-diagnostic)
■ Exploration de la plaie et recherche de contact osseux («prone to bone») irm sinon tb
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■REVOIR PPT OBJECTIFS DE SOINS (SIN-1311/2305)– ENJEUX: ■ Présence MAP + ou - infection et gravité ■ Capacité de prise en charge
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abcdefs traitement cible upd
A aic 7% ou moins b blood pressur 130/80 c cholestérol 2.0 et moins d drugs appropriées e exercice f foot care s smoking and stress à gérer
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principes mise en décharge
on apprend amovible vs anamovible inamovible platre de contact total très bon mettre pendant au moins une semaine inamovible minimum 74 ****mmHg indice orteil ou infection (léger à modéré) pas ischémie et pas plaie talon. à savoir*** la meilleure décharge est celle qui sera portée
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interventions thérapeutiques selon classification de wagner grade 0: pas de lésion ouverte, possible déformation et hyperkératose grade 1: ulcère superficiel sans pénétration dans les tissus profonds grade 2: uclère profond vers les tendons ou vers l'os et articulations sans abcès ni ostéite grade 3: ulcère profond avec abcès, ostéite ou arthrite septique grade 4: gangrene humide ou sèche d'un orteil ou avant pied le plus souvent associé à une infection plantaire grade 5: gangrene extensive du pied associé à des lésions nécrotiques et à une infection des tissus mous
stade 0: orthèses soulier adapté, controle gluc, habitudes de vie stade 1: débridement chir conservateur de hyperkératose, protection avec antimicrobiens+pansement semiocclusif (mousse)+décharge stade 2: débridement chir conservateur de hyperkératose, agent antimicrobiens topique +recherche infection profonde+ TPN +décharge stade 3: débridement chir conservateur de hyperkératose, agent antimicrobiens topique +antibio systémique+ TPN +décharge stade 4: débridement chir conservateur de hyperkératose et tissus dévitalisés, agent antimicrobiens topique +antibio systémique+ TPN +décharge stade 5: débridement chir conservateur de hyperkératose et tissus dévitalisés+/- revascularisation+amputation + protèse+décharge
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Qu'est-ce que l'éthique ?
cherche à connaitre pour mieux agir, s'intéresse au bien et au mal. quoi doit faire pour bien faire. science pratique qui considère agir humain * Bien * Bon * Souhaitable * Désirable * Préférable * Acceptable * Mieux plutôt que le pire La recherche du bien * On a toujours des décisions à prendre * Éthique, c'est de choisir entre une moins bonne option et celle qui nous apparait la meilleure * «Le bon soin est un soin éthique. » * Éthique faire partie de l’essence des professions de la santé * Idée centrale des codes de déontologie * Principe de bienfaisance et de caring Des exemples * Travailler avec des personnes vulnérables * Viser le bien-être des patients * Redonner la dignité par le soin * Défendre les valeurs des patient·es * Contribuer à la santé de la communauté Zones de tensions éthiques 1. la fin de vie (futilité thérapeutique, acharnement thérapeutique, etc.) 2. le contexte lui-même de prestation des soins (manquement, manque de ressources) 3. le respect des droits fondamentaux (pas respecter le consentement, équité, problème d'accès, discrimination * Écarts de richesse se creusent entre les groupes * Science évolue et repousse notre compréhension du monde * Technologies transforment le champ des possibles * Valeurs sociales se transforment * Destruction des écosystèmes * Pandémie, épidémie, etc.
122
* Lorsque des valeurs, des obligations, des responsabilités ou des principes au cœur de la profession sont compromis c'est...
1. Problème éthique privilégie décision pt=.>empeche soin optimal qui permet de guérir la personne définition + large
123
* Un élément important de la pratique est en jeu * Quelque chose se joue, en ce moment, et cette chose résonne profondément avec celles et ceux qui vivent cette situation c'Est...
enjeu éthique arrivée ia milieux de soin. établissements pas encore préparés, tente de faire des lignes directrices mais ne sait pas trop il pourrait y avoir un probleme éthique, mais il ny en a pas encore
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* Problème ou enjeu éthique * Situation où deux alternatives s’opposent * En plus d’être conflictuelles, ces alternatives sont exclusives * Elles nous forcent à prendre une décision et à trancher * Ne rien faire représente une prise de position c'Est...
dilemme éthique peut etre probleme concert ou enjeu
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* Questionnement sur la bonne action à réaliser * Source fréquente de problèmes éthiques * Incertitude cache souvent un dilemme ou de la détresse morale sait que qqch mais pas encore nommé c'Est...
incertitude morale
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Situation moralement floue * Pour qualifier la souffrance des professionnelles * Agir de manière contradictoire avec ses valeurs éthiques. se sent obligé de... * Connaissance de la bonne action * Contraintes empêchent d’agir en ce sens * Besoin d’agir en amont * Conséquences psychologiques c'Est...
détresse morale
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Résolution des situations éthiques Comment y arriver ?
* On a des décisions à prendre et, certaines, à des moments critiques * On cherche le meilleur soin (technique et éthique) * Agir pour que nos actions résonnent avec le sens de notre profession * Agir au cas par cas, dans un environnement social tout sauf idéal * Réfléchir avec les autres Approche délibérative * Son but est de rectifier une activité déréglée. * «(...) elle sert à dénouer les problèmes d'une activité existante, à restaurer de la continuité, à retrouver l'harmonie, à utiliser des impulsions incontrôlées et à réorienter des habitudes. » (p. 156) * «La délibération est une expérimentation pour trouver ce que sont réellement les différentes lignes d'action, une expérimentation des diverses combinaisons de certains éléments sélectionnés parmi les habitudes et les impulsions, afin de voir à quoi ressemblerait l'action résultante si on la mettait en œuvre. » (p. 149)
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théories utilisées en santé? cours 1 Théories utilisées en santé *Santéisme *Déontologisme *Utilitarisme *Éthique de la vertu *Éthique du care
Une théorie à spectre modéré très utile Éthique des principes * Autonomie * Bienfaisance * Non-malfaisance * Justice Des ajouts infirmiers * Caring * Loyauté * Fidélité * Advocacy Théories utilisées en santé *Santéisme: but absolu: santé des populations et communautés meilleure action: qui va donner le + de santé *Déontologisme: devoirs et obligations rationnels et déterminés comme importants à respecter *Utilitarisme: une bonne intervention va maximiser le be pour le plus grand nombre un peu comme santéisme. santé publique *Éthique de la vertu: traits de caractères qui doivent etre valorisés, encouragées. comme caring *Éthique du care: vise à réfléchir lien avec les autres sur principe de la responsabilité qu'on a envers les autres
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lien entre éthique et déontologie
déontologie est une précision de l'éthique. appliquer dans une circonstance donnée le principe général faire le bien et éviter le mal
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expliquer le glissement que lon voit entre codes déontologie de l'AIIC et du CII en comparaison de celui de l'OIIQ(ce qui est de différent)
hisoire à contribué à glissement vers juridique. différents styles
131
que veut dire l'autrice veut dire quand dit code doit esenraciner dans le sens moral de la conscience personnelle
on conserve notre libre arbitre. professionnel engage sa conscience et sa responsabilité. ne peut substituer à sa conscience. l'autonomie de la prefession inf se messure dabprd a la profondeur de l'autonomie morale de chacun de ses memembres
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3 modeles concernant la relation entre une inf et son pt selon l'autrice. lequel supérieur?
1. mere de substitution (paternalisme+engagement inconditionnel) 2. modele technique (suivre les regles de l'Art, neutralité), 3. modèle contractuel(autonomie des deux acteurs) inf n'a pas a endosser neutralité éthique, possibilité de se retirer du soin
133
5. quelle est la pierre angulaire de toute décision éthique
le patient. lui donne droit de regard sur toutes les décisions qui le concernent.
134
+Quelle est la nature du CDII ? a) Juridique b) Éthique c) Scientifique d) A et B e) B et C
d) A et B code déontologie inf
135
+Le CDII s’appuie sur la Loi sur les infirmières et les infirmiers. À quoi sert cette loi ? a) Donne les grands principes philosophiques du CDII b) Donne les grands principes juridiques du CDII c) Répète autrement ce qui est dit dans le CDII d) Détermine le cadre d'exercice de la profession
d) Détermine le cadre d'exercice de la profession définit aussi le champ de compétences
136
+En plus de la Loi sur les infirmières et les infirmiers, le CDII s’appuie sur le Code des professions. Quelle est la mission principale d’une profession ? a) Protéger les intérêts de ses membres b) Protéger la profession c) Protéger le public
c) Protéger le public
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fondements hybrides des lois et des valeurs
code déontologie inf et inf
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+Dans quelle condition une infirmière ou un infirmier peut omettre d’inscrire des informations nécessaires au dossier d’un patient ? a) Pour diminuer les coûts des traitements. b) En accord avec la famille du patient. c) Si une personne en situation d’autorité juge l’action nécessaire. d) En aucune situation
d
139
+Dans quel contexte une infirmière peut abandonner son patient auquel elle fournit des traitements ? a) Sous aucune condition b) Décision laissée à sa discrétion c) Pour une raison grave
c
140
la «qualité des soins» présente un soin de qualité comme étant :
+Éthique (respect du consentement libre et éclairé) +Compétent (sécuritaire et nécessaire)
141
+À qui appartient un dossier médical ?
le support physique apartient a l'établissement mais le contenu au pt modalités accès au dossier respect autonomie et non malfaisance
142
+Dans quelle condition, peut-on utiliser le nom de l’Ordre sur une publicité ? a) Il n’y a pas de limite. b) Pour augmenter la crédibilité de notre publicité. c) Uniquement pour indiquer qu’il/elle est membre de l’Ordre.
c
143
Trois grands devoirs phares éthique inf
+Respect de la personne +Offrir des soins de qualité +Préserver la confiance (du patient et du public) +Valeur qui organise l’édifice : l’intégrité
144
utilité déontologie
déonto vient clarifier impéritaif général de l'éthique en fournissant outils formels qui guident la conduite pour appliquer l'éthique dans une profession
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aspect juridique + important que l'aspect éthique?
non ne peut ni substituer ou diminuer l'éthique. éthique ne se limite pas à juridique. sont reliés mais ne sintéressent pas aux memes choses.différent de la loi. « La dimension légale rattachée au code vient, en quelque sorte, se superposer à sa dimension morale et sa présence ne nie en rien le caractère proprement moral d’un code de déontologie. Et jamais l’éthique ne peut se réduire ni se limiter au domaine juridique. »
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quelle est la préoccupation de la bioéthique
pour répondre aux progres scientifiques et informatiques des sciences de la vie. tournée vers l'action. établir les conditions d'une prise de décision * Cœur des professions de la santé * Contribuer au bien-être * Minimalement ne pas nuire * Calcul risques/bénéfices * Action compétente appropriée « Sa préoccupation peut se formuler ainsi: comment répondre avec sagesse aux défis nouveaux nés de l’extraordinaire entreprise de transformation humaine qu’est la biomédecine ? » « En bioéthique, la réponse globale est tournée vers l’action: établir les conditions d’une prise de décision responsable et respectant l’ensemble des données d’une situation. »
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3 composantes de l'acte moral
acte spécifiquement humain, circonstancié(au cas par cas. acte concret, singulier et particulier. impossible de ne pas tenir compte des circonstances) et viser le bien de la personne ===> *Un acte spécifiquement humain « Les êtres humains cherchent instinctivement, par nature, ce qui est bien pour eux, ce qui leur convient. » *Un acte visant le bien de la personne « Aussi a-t-on déclaré avec raison que le bien est ce à quoi toutes choses tendent. » *Un acte circonstancié « Le point de chute de l’acte est toujours le concret, le singulier et le particulier. Voilà pourquoi en éthique, il est impossible de ne pas tenir compte des circonstances. »
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semi boussole éthique 5 principes si
bienfaisance, justice, respect de l'autonomie de la personne, intégrité professionelle, sollicitude (comme caring)
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Justice formes Bioéthique
* Plusieurs formes : distributive, coercitive, réparatrice * Distributive : chacun reçoit ce qui lui est dû (égalité et équité) * Coercitive : suivre la loi * Réparatrice : réparer les injustices systémiques * Critères d’attribution des ressources limitées