Prévention 2 Flashcards

1
Q

Suicide

A

Lutte 2 crainte : vivre ou mourir, pas courage ou lâcheté

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Suicidé

A

Suicide complété (pas réussi)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Suicidant

A

Tentative de suicide (acte intentionnel de grave à mineure, cpt suicidaire), selon degré intentionnalité, expert classe de grave à mineur, autre d’avis que gravité pas indicateur fiable de intentionnalité (controversé), regroupé sans distinguer.
Cpt autodestructeur, tout cpt qui ne précite pas mort ct mais qui augmente la probabilité décès à moyen terme

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Suicidaire

A

idéation suicidaire quand pense à enlever la vie, passe pas toute à l’acte

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Épidémiologie suicide dans le monde

A

4e cause de mortalité 15-29 ans
taux plus élevé chez ainé, sauf au QC
70k suicide en 2019, 1 décès sur 100
12,6 Het 5,4 F /100 000
plus de décès que guerre ou homicide

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Épidémiologie suicide au QC

A

1128 personnes en 2019, 7e rang tous les décès, homme 3 fois plus élevé, augmente avec âge pour max 50 ans et diminue par la suite, garcon 14-19 ans hospitalisation en hausse
Changement dans moyen (pendaison, suffocation, strangulation)
questionnement relatif fiabilité et validité données influencé par procédure lié identification/contexte/critère définition/autopsie, au QC pas sous-décès, modifie pas de manière significative

première cause de décès traumatiques au Québec et la troisième cause de décès parmi la population âgée de 18 à 64 ans, après les cancers et les maladies du cœur

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Suicide par policier interposé (SPI)
définition

A

personne agit délibérément de manière menaçante viavi représentant, intention claire et consciente afin de provoquer réponse mortelle
1/4 de 47, 36% Amérique nord

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Critères SPI

A

intention (avant/pendant)
geste
verbalisation (désir atteint )
possession (a ou semble)
provocation (escalade afin policier utilise arme comme protection)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Catégorie SPI

A

Spontané/impulsive (+ répandu)
Planifié (but attirer policier)
Arriver policier change plan suicide

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Quoi faire contrer SPI

A

optimiser formation policière (enseigner aptitude verbale adapté clientèle SM, entrainement maitrise de soi)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Potentiel suicidaire

A

urgence suicidaire: 2 jour, crise actuelle, présence idéation, fréquence idée, intention passage à l’acte, plan, léthalité/accès moyen

Risque suicidaire : 2 ans,TSM, Abus alcool/drogue, difficulté familial, isolement, antécédent fami, peu mécanisme

Aux États-Unis, l’expression « suicide risk » désigne le potentiel suicidaire, et ne fait pas de distinction entre le risque et l’urgence suicidaire, contrairement au Québec

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Qualité outil évaluation suicide

A

Sensible: identifie correctement vrai positif
Spécifique: identifie correctement vrai négatif
critiqué car bcp faux positif, mais préférable

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Évaluation potentiel suicidaire

A

question direct si penser à se tuer,
planification COQ
Accès arme à feu
tentative antérieur
intentionnalité de mourir

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Facteur protection associé au suicide

A

trait de caractère positif, humour, optimiste, présence modèlre positif, opportunité, solidarité

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Facteurs précipitant suicide

A

échec, traumatisme, humiliation, perte membre famille, décès par suicide

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Facteur contribuant suicide

A

faible capacité adaptation, abus substance, impulsivité, hypersensibilité, instabilité familial, conflit famille, couverture media non-approprié

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Facteur prédisposant suicide

A

Deuil non-résolu, depression, tentative antérieur, SM, banalisation société

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

outil pour gérer crise suicidaire

A

inventaire raison vivre : autoadministré, + preuve efficacité

Contrat non suicide: entente verbale ou écrite, responsabilisé, efficacité pas démontré, souvent utilisé, contient (promesse non passage, durée validité, identification ressource en cas indisponibilité), ne remplace pas éval, faux sentiment sécurité, aucune valeur
Le contrat de non-suicide est contre-indiqué en présence de problèmes liés au jugement et au consentement, d’un état dépressif ou psychotique et d’un tempérament impulsif ; en présence d’un trouble de personnalité borderline ; en présence de tentatives de suicide antérieures ; lorsque la personne est un nouveau patient et en contexte d’urgence hospitalière ; dans une culture autre que nord-américaine

Carte urgence : favorise accès service, plus susceptible faire appel, peu info

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

postvention suicide

A

intervention de crise dans 1 milieu
Soutien au endeuillé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

mesure efficace pour prévenir suicide

A

Réduction accès moyen (réduire accès arme à feu, pont, med)

Campagne de prévention (éducation/sensibilisation, semaine national)

Réseaux sentinelles (formée et soutenue pour reconnaître les personnes suicidaires et les accompagner vers les ressources d’aide, visait homme, maintenant tout travailleur, par place occupé ou habileté aidant)

Formation intervenant (personnel touché de la santé et SM dans son ensemble)

Surveillance/connaissance : rendre disponible donnée précise et rigoureuse place géo, soutenir recherche pour pratique, améliorer connaissance, soulève tjr questionnement)

Aide au citoyen en détresse (ligne accès 1866APPELLE 24/7, intervention en ligne comme clavardage et forum, déveloper service endeuiller, généraliser suivi étroit personne commis, renforcer service crise hebergement)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Multifinalité

A

expérience commune tend vers des trajectoires différentes

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Équifinalité

A

Plusieurs trajectoires mener même résultat développementale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Suicide enfant

A

Prend de l’ampleur, 2 e cause mortalité 10-14 ans, difficulté distinguer accident de l’acte
mythe : certain comprennent mort est finale
certain bcp expérience lié à la mort (proche, média)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Facteurs de risque enfant suicide (3)

A

lié enfant ( sx dépressif, sentiment inutilité (prédit idéation seul), désespoir, agressivité, état émotif intense
lié famille ( conflit, pb SM parent, relation difficile)
Lié pairs ( abus, conflit, intimidation)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Suicide Adolescent

A

Bcp changement augmente vulnérabilité, anxiété, entre 1976-2000 augmentation de 100%, inversé en 2000-2017 de 50% (augmentation prescription antidépresseur, amélioration contrôle moyen de suicide, diminution prévalence certain FR, amélioration des services), décès par suicide plus gars, fille plus hospitalisé pour tentative/idée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Indice cpt suicide adolescent

A

Message verbaux direct et indirect, changement radical attitude, indice émotionnel( désintérêt généralisé, pleur, absence émotion), indice cognitif (perte mémoire, diff prendre décision)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Facteur associé suicide Ado

A

TR SM(humeur, abus, conduite, anxiété)
violence/abus enfance
Intimidation pair
enviro familial dysfonctionnel

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Suicide en grappe

A

Groupe de suicides et/ou de tentatives de suicide rapprochés dans le temps et l’espace, et dont l’occurrence dans une communauté excède les probabilités. Documente depuis très longtemps, désignation phénomène 70
2 types

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Grappe de suicide en masse

A

Série de suicides associés à l’effet des médias de masse et qui s’observent suite à la présentation dans les médias de l’histoire d’un cas de suicide. Les suicides sont rapprochés dans le temps et se concentrent dans la zone géographique couverte par les médias qui ont diffusé l’histoire d’un cas de suicide.
études empiriques exposition média augmente risque suicide, dépend type de média et caractère fictif ou réel (- probant dans film ou récit de fiction) surtout presse écrite

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Grappe localisé de suicide

A

Vague de suicides se manifestant de façon localisée dans le temps, l’espace et/ou au sein d’un groupe de personnes

observé en milieu psychiatrique, armé, carcéraux, école secondaire, communauté
preuve empirique plus nombreuse, pas définition standardisé/consensuel, limite donc de tirer conclusion générale, carac commune

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

Effet Werther

A

Désigne les grappes de suicides de masse, en référence à un épisode historique. suicide arme à feu en Europe suite publication œuvre classique ou pp enlève vie suite peine amour

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

Hypothèse suicide grappe de masse

A

Imitation ( observation cpt modèle, bandura, favorise reproduction, validé empiriquement en partie)

amorçage ( présentation cpt peut activé tendance cpt similaire, jamais vérifier, violence média appuie)

Vulnérabilité ( caract perso peut rendre plus à risque, peu de recherche, peu validé)

10-34 ans moins susceptible d’être affecté par le traitement médiatique d’un suicide réel que le reste de la population général, femme 5x plus susceptible que les hommes

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

Hypothèse grappe localisé

A

Imitation
relation assortie tendent à faire partie du même réseau social et à présenter les mêmes vulnérabilités au suicide.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Distinguer 2 phénomène suicide de grappe

A
  • Proximité temporelle entre les gestes suicidaires
  • Connaissance des gestes suicidaires par les personnes concernées, possible rôle précipitant
  • Présence d’un lien interpersonnel entre les personnes, même communauté, groupe scolaire
  • Similarité de la méthode utilisée
  • Proximité géographique, même quartier ou même école
  • Occurrence qui excède les probabilités, plusieurs suicide en peu de temps dans une petite ville
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

Hypothèse explicative faible taux de décès par suicide au QC des ainés

A

Sort ainé au QC : autonomie, bonne santé, ,ythe abandon, satisfaction envers la vie, 5% institut, vie independante
Survivant: personne avancé gérer bcp pb de vie, celle à risque suicide plus tôt
Autres particularités: faible ratio tentative complété, fort léthalité et fragilité, - enquête sur leur décès, taux officiel inférieur

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
36
Q

Facteur individuel suicide ainé

A

protection: vie spirituelle/religieuse, habileté résolution pb
précipitant: entrée institution (dépend sens donné)
contribuant: consommation abusive, alzeihmer, maladie physique (douleur limite)
prédisposant: depression, SM, tentative antérieur
predisposant/contribuant: deuil, perte, séparation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
37
Q

Facteur lié famille/pairs suicide ainé

A

protection: réseau entraide/soutien
précipitant: veuvage
contribuant: conflit persistant, instabilité rel
prédisposant: isolement social, maltraitance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
38
Q

Facteurs suicide ainé lié communauté

A

contribuant: accès moyen arme à feu, effet secondaire med
prédisposant: agisme, accebilité social suicide ainé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
39
Q

Mesure prévention indiqué suicide ainé

A

auprès ainé suicidaire, vers solution, générer espoir, raison vivre, traiter dépression et soulagement douleur (soin palliatif)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
40
Q

Mesure prévention sélective suicide ainé

A

à risque, aborder question directement, estimer dangerosité, formation médecin et autres professionnels afin augmenter connaissance/compétence

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

Mesure prévention universelle ainé

A

Lutter agisme, renforcement soutien et contre isolement, restriction moyen

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

Punition corporelle

A

englobe tout geste posé dans le but d’entraîner un malaise ou une douleur physique chez un enfant, afin de corriger un comportement
pas retenu physique à des fins de protection
avant système intervenait juste si blessure grave ou mort,
mesure disciplinaire physique élange discipline et punition

43
Q

Punition corporelle au Canada

A

Tout instituteur, père ou mère, ou toute personne qui remplace le père ou la mère, est fondé à employer la force pour corriger un élève ou un enfant, selon le cas, confié à ses soins, pourvu que la force ne dépasse pas la mesure raisonnable dans les circonstances artr 43 code criminelle

44
Q

Notion de limite raisonnable punition corporelle

A

fin d’éducation, pas utiliser en colère,
2à 12 ans afin de comprendre et sinon moyen plus efficace),
capable en tirer leçon,
aucun objet,
pas gifle ou coup à la tête, pas dégradation,
effet transitoire et insignifiant

45
Q

Position à l’égard punition corporelle

A

Faveur restriction: certain niveau de punition corporelle doit être permis par la loi afin de protéger les gardiens des poursuites judiciaires

Faveur abolition: toute punition corporelle fait courir un risque à l’enfant

46
Q

Attitude à l’égard punition corporelle

A

majorité parent 0-5 ans favorable, proportion père diminué significativement

47
Q

Définition maltraitance

A

toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ou affectifs, de sévices sexuels, de négligence ou de traitement négligent, ou d’exploitation commerciale ou autre, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l’enfant, sa survie, son développement ou sa dignité, dans le contexte d’une relation de responsabilité, de confiance ou de pouvoir

48
Q

Violence mineure

A

Les situations de maltraitance de moindre sévérité ont aussi un
potentiel de préjudice pour la santé, le développement et la dignité
des enfants

49
Q

Cooccurrence

A

en principe chaque type maltraitance distinct, en pratique souvent relié

50
Q

Abandon

A

geste grave/douleureux, débute par négligence affective, désengagement, lien établi entre abandon et mauvais traitement psychologique
lorsque les parents d’un enfant sont décédés ou n’en assument pas le soin ou l’éducation et que ces responsabilités ne sont pas assumées par une autre personne (LPJ, art. 38a).
Types :
* Par absence
* Par défaut
* Par délaissement
Indicateurs
* L’enfant ne vit plus avec ses parents et n’a pas de domicile fixe
* L’enfant dit avoir été mis à la porte de la maison

51
Q

Abus sexuel

A

toute activité de nature sexuel entre enfant et adulte ou enfant et enfant responsable/confiance/pouvoir compte tenu de l’âge ou du niveau de développement

si cours risque sérieux aussi

Indicateurs :
* L’enfant a des connaissances non appropriées pour son âge
* L’enfant refuse de passer un examen médical
* L’enfant manifeste un changement brusque de comportement
* Un adulte démontre un intérêt inhabituel envers l’enfant

52
Q

Abus physique

A

l’enfant subit des sévices corporels ou est soumis à des méthodes éducatives déraisonnables de la part de ses parents ou de la part d’une autre personne et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation
Indicateurs :
* L’enfant présente des traces de coups, des lésions et des ecchymoses inexpliquées, visible
* L’enfant a des blessures à répétition
* Les parents donnent des réponses évasives ou contradictoires sur l’origine des blessures
* Les parents tentent de dissimuler les blessures de l’enfant
si cours risque aussi

53
Q

Mauvais traitement psychologique

A

lorsque l’enfant subit, de façon grave ou continue, des comportements de nature à lui causer un préjudice de la part de ses parents ou d’une autre personne et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation (LPJ, art.38d).
Indicateurs :
* L’enfant dit souvent qu’il n’est bon à rien
* L’enfant dit qu’il n’a pas le droit d’avoir des amis
* L’enfant dit qu’il se sent rejeté de la part de ses parents
* L’enfant exprime souvent l’idée de la mort, en mots ou en dessins

54
Q

Négligence

A

les parents d’un enfant ne répondent pas à ses besoins fondamentaux, soit sur le plan physique (vestimentaire, alimentaire, hygiène, vêtement), sur le plan de la santé ( recevoir soin requérir) ou sur le plan éducatif (pas surveillance/encadrement approprié ou pas assumer moyen nécessaire scolarisation)
transitoire/circonstantielle: ponctuelle perturbe ressource/habileté
Chronique : plusieurs générations, manque moyen, DPJ plus longtemps
Indicateurs :
* Nourriture inexistante, insuffisante ou inadéquate
* Malnutrition sévère
* Gardiennage non approprié

55
Q

Facteurs de risques liés à la maltraitance

A
  1. vulnérabilité et risque lié
    Enfant : jeune âge, prématuré, maladie, tempérament/cpt difficile
    Parent: pb consommation, âge/scolarité, cognition, état psycho
  2. Perturbation des relations parent-enfant
    manque sensibilité, négative/peu soutenante, discipline coercitive, peu expression affection, intrusive/contrôlante

3.Perturbation des relations familiales et conjugales
grave conflit conjugaux, exposition violence conjugale, transition familial conflictuelle, nb d’enfant dans la famille et espacement entre

  1. Conditions de vie des familles
    manque de ressource/réseau social/accessibilité service/ cohésion social, service mal adapté besoin
  2. Influence socioculturelle
    Tolérance sociale/sociale violence, attitude envers enfant, dénigrement des role pourvoyeur soin, indifférence/aveuglement volontaire
56
Q

Interrogation sur les facteurs de risque de la maltraitance

A

Proximaux ou distaux?
proximaux meilleur prédicteur de la maltraitance, surtout:
* la qualité de la relation parent- enfant
* la perception parentale négative de l’enfant
* et les problèmes de comportement de l’enfant.
Processus relationnel plus de poids que pauvreté de la famille. Pauvreté associé maltraitance, car apporte effet négatif processus relationnel.

unique ou cumul?
Cumul, C’est moins la nature du risque que le nombre de facteurs de risque différents auxquels une famille est exposée qui importe, surtout le « trio » suivant :
* les problèmes de santé mentale des parents
* la consommation d’alcool ou de drogue des parents
* et les conflits conjugaux intenses. Implique violence conjugale surtout

57
Q

Prévalence et incidence maltraitance

A

cas signalé qu’une part limité réalité, donnée population 5-20 fois supérieur, pb sousdéclaration, peur stigmatisé, éclatement familial, blame
augmentation signalement documenté à plusieurs endroit occident, relativeemnt constant QC
abus physique, négligence et mauvais traitement psycho
négligence chez plus jeune

58
Q

Conséquences maltraitance

A

a maltraitance entraîne des effets démontrés à long terme au plan sociétal et individuel.

Au plan individuel :

Conséquences physiques et psychologiques (maladies cardiaques, dépression, stress post-traumatique);
Conséquences comportementales (alcoolisme, toxicomanie, difficultés d’apprentissage);
Et conséquences interpersonnelles (difficultés sur le plan de l’intimité et de l’attachement).

Au plan social :
Conséquences en termes de coûts sociaux incluant les frais médicaux directs, les pertes de revenus dus aux décès prématurés, les services sociaux, les services de protection, etc.

Affecte toute sphère vie physique et psycho
long terme
relation interpersonelles

59
Q

Stratégie de prévention maltraitance

A

Soutien économique : Favoriser les politiques familiales (hausse prestation aide sociale, et diminution insécurité alimentaire aussi credit impot, aide logement, conciliation)

Normes sociales :Intervenir afin de changer les comportements et les attitudes, soutien aux parents (adoption loi interdisant recours punition corporelle, campagne mediatique de sensibilisation/éducation effet plus faible)

Compétences parentales : Favoriser les interventions efficaces, notamment les visites à domicile (programme entrainement habileté parentale et visite à domicile)

Outiller les intervenants : Former les intervenants à accompagner les parents dans l’exercice de leur rôle

Services de garde : Améliorer les services de garde et de l’éducation préscolaire, tot dans le développement

Pour un effet préventif optimal, on va recommander de les combiner à ces stratégies

60
Q

Efficacité des stratégies préventive en maltraitance

A
  • Les pratiques les plus efficaces impliquent des interventions proactives plutôt que réactives. Important intervenir en amont, avant premier signe de maltraitance, stratégie universelle ou sélective plutôt qu’Indiqué. Approche plus efficace sont centré sur les forces individu et milieu de vie et vise l’augmentation du pouvoir d’agir des parents vulnérables, se préoccupe de renforcer le soutien social autour des familles, aide la famille à remplir ses besoin de base très concret et utilise des approches de mentorat plutôt que de s’orienter sur le parentage et le développement de l’enfant
  • Les campagnes médiatiques démontrent le plus petit effet préventif. Certain estime que les preuves d’efficacité sont contradictoire et insuffisante, alors que d’autre déplore la sous-utilisation des médias, voir leur mauvais utilisation car ces campagnes présentent une certaines efficacité avec d’autres problème de santé publique. Effet préventif optimisé lorsque campagnes font partie d’un programme de prévention plus large, comprenant aussi des services directs aux familles.
  • L’efficacité des programmes de groupe destinés aux enfants à réduire l’incidence de la maltraitance n’est pas documentée. Les programme de groupe destiné aux enfants améliore leur connaissance et leur recours à des cpt d’autoprotection, mais leur propension à prévenir la maltraitance pas documenté, pourrait même recrudescence des cas connus de maltraitance en raison de dévoilement accru. De tel programme aurait avantage à être offert en complémentarité avec d’autres stratégies plus éprouvés en matière de prévention des conduites parentales violentes/négligente.
  • Les programmes de formation au rôle parental peuvent être efficaces pour prévenir la maltraitance. Ou récidive du moins à court terme, programme plu efficace inclus une composante de visite à domicile, intervention individuelle et pas seulement de groupe et combine l’approche comportementale avec d’autres types d’approches.
  • Les programmes de visites à domicile seraient la meilleure stratégie pour prévenir la maltraitance. À conditions de correspondre à des conditions d’intensité et de durée, encore plus efficace lorsqu’offert à tous les membres d’un groupe vulnérable, sans cibler les individus sur la base de FR spécifique
61
Q

Mesure de prévention première nation

A
  • Programmes d’éducation intégrés au parcours scolaire, bonne santé mentale, affective et spirituelle, patrimoine culturelle, signe de cpt suicidaire, danger consommation et autres questions de santé importante
  • Programmes récréatifs et sportifs, formation de réseaux de soutien et de sentiment appartenance
  • Ateliers pour les nouveaux parents, fondé sur modèle de rôle approprié à la culture
  • Groupes de soutien pour les personnes et familles à risque
  • Activités culturelles pour la collectivité en générale, transmission
  • Rassemblement communautaires
  • Formation sur le promotion de la santé et les facteurs de risque du suicide, intervenant et bénévole
  • Coopération entre les intervenants, favoriser communication exprimer inquiétude et intérêt par assembler ou rassemblement
62
Q

Recommandations PN

A
  • Interventions précoces : famille et collectivité qui vise à appuyer développement des enfants peuvent diminuer incidence TSM qui peuvent augmenter risque de suicide et plus difficile à contrer chez ado et adulte. Cela agi seulement sur la partie individuelle des risque.
  • Stratégies d’intervention établies en fonction du contexte local pour chaque communauté, suicide dépendant contexte social
  • Responsabilité de toute la collectivité, réfléchi et développé par groupe locaux, intégré norme et valeur dans lequel implante, présence soutien et collaboration étroit
  • Traiter les dimensions biologiques, psychologiques, socioculturelles et spirituelles de la santé et du bien-être
63
Q

Identité culturelle comme facteur de protection PN

A

Continuité culturelle, Hypothèse qu’une collectivité entretenant un sens profonde de sa propre continuité historique et de son identité dispose de ressources pour aider ces jeunes à risque, taux suicide et facteur de continuité culturelle fortement corrélé,

6 variable :
Fréquentation école administré par communauté,
Présence service police et incendie sous contrôle communauté,
Installation permettant participation activité culturelle,
Présence service de santé control,
Antécédent de revendication des terre et
Certains degré autonomie gouvernementale.

64
Q

Facteur de risque suicide PN

A

Les facteurs de risque personnels ne sont pas suffisants pour expliquer le taux de suicide.
L’histoire culturelle et les caractéristiques sociologiques actuelles doivent être considérées. Fréquentation pensionnat origine trauma causé par séparation forcé et abus en position autorité
Comme pop, risque augmente fonction nb et intensité présence, confronter plus grand nb de facteur de risque, plus grave
Membre très proche, situation social similaire, même diff vient amplifier impact suicide dans collectivité et donc contribuer au taux de suicide par grappe localisé.

65
Q

Acculturation comme FR suicide PN

A
  • Marginalisation et acculturation (acquiert ou accepte pas valeur autochtone)
  • Dépréciation des valeurs culturelles autochtones
  • Absence d’identification aux valeurs culturelles dominantes
  • Difficultés à définir son identité culturelle (double contrainte)
  • Augmentation du stress et du risque de poser un geste suicidaire

Marginalisation culturelle et les pb concomitant relatif à la formation de l’identité, peuvent rendre jeunes vulnérable au suicide, même en absence de dépression clinique. Le processus de stress créer par marginalisation et l’acculturation ne porte pas seulement atteinte aux différences individuelles dans l’adaptation, mais elles sont aussi agents grandement déterminé par forces sociales et politique hors du contrôle de la personne.

66
Q

Pensées suicidaire et tentative suicide PN

A
  • Prévalence de pensées suicidaires plus élevée chez les Premières Nations Premières Nations : 25%(métis et inuit) Reste de la population : 12 %
  • Prévalence de pensées suicidaires plus élevée chez les femmes (comme reste pop) présence facteur risque entretenir pensée suicide, tr humeur ou anxiété, antécédant consommation, bonne estime moins tendance
  • Ratio de tentatives de suicide Femme : Homme

Premières Nations = 1 : 1 Reste de la population = 2 : 1
o Utilisation femme moyen plus léthaux PN contribue à expliquer ce ratio

67
Q

Portrait actuel suicide PN diffère 2 points du reste population

A

Âge : 17 ans alors que 43 ans reste pop
Prévalence : 5x plus élevé

68
Q

Suicide PN

A

PN en constance croissance (surtout homme).Témoigne à la fois à un effet de période (augmentation est le résultats de facteurs qui touchent l’ensemble de cette population à un moment donné), mais aussi effet cohorte ( variation de cet prévalence s’explique en partie par des facteurs qui affectent des cohorte de naissance entière, associé évènement historique survenu avant effet prévalence observé)

taux suicide variable communauté

69
Q

Principe de Jordan

A

principe de priorité à l’enfant dont l’objectif est de faire en sorte que les enfants des Premières Nations ne soient confrontés à aucun déni, délai ou interruption de services habituellement offerts aux autres enfants en raison de conflits entre paliers gouvernementaux. Responsabilité facture soin de santé entre gouvernement, défis propre accès service, en cas conflit le ministère de première ligne/gouvernement devrait dispensé service

70
Q

Organisation services de santé PN

A
  • Communauté liées par une convention ( gouv finance communauté lié CLSC
  • Communautés non liées par une convention (service majoritairement financé par gouv fédéral)
  • Personnes vivant hors des communautés (pareille)
    structure pas uniforme
71
Q

Conception de la santé et SM PN

A

Insister sur relation avec les autres plutôt que sur individu comme les autres.

Bonne santé lorsqu’entretient relations harmonieuses sur les plan morales et spirituelles avec les autres membres de sa famille, collectivité ainsi qu’avec ancêtre et réseau élargie des relations qui forment le monde et qui peuvent garantir le bien-être des relations futures. Le mieux-être mentale notion plus significative que celle de santé mentale, consiste équilibre aspect mental, physique, spirituelle et émotionnelle.

Le continuum du mieux-être mental modèle complexe enraciné dans la culture et qui comprend plusieurs couche ainsi que des éléments essentiels au soutien du mieux-être mental des première nations. Il peut exister plusieurs représentation selon communautés, pas statique appeler à évoluer dans le temps.

72
Q

Déterminants sociaux PN

A

1)Santé individuelle
2) Santé de la communauté
3) Santé sociale et culturelle (répercussion colonialisation, autodétermination, langue, pratique culturelle terre traditionnelle)
4) Santé de l’environnement

73
Q

conflit culturel

A

Lorsque les normes et les règles fondamentales d’une autre culture entrent en contradiction avec les normes et les règles fondamentales de sa propre culture, mutilation génital

74
Q

Choc culturel

A

Lorsque l’on observe ou que l’on est confronté à des pratiques, des comportements ou un mode de vie qui ne nous est pas familier, ominprésence précepte religieux, pauvreté, itinérance

75
Q

Cécité culturelle

A

Tentative d’agir de manière impartiale sous prétexte que les différences n’existent pas.

76
Q

Ethnocentrisme

A

Sentiment que nos valeurs, croyances et habitudes de vie sont supérieures à celles des autres

77
Q

Imposition culturelle

A

Faire accepter d’autorité les valeurs et les habitudes de sa propre culture sans tenir compte de la culture des autres. pensionnat

78
Q

Compétence culturelle

A

Agir adéquatement auprès de personnes d’origines diverses

79
Q

sécurité culturelle

A

Reconnaître les déséquilibres de pouvoir vécus au plan historique entre personnes d’origines différentes et adopter des pratiques sécurisantes visant à combler ces déséquilibres

80
Q

Sensibilité culturelle

A

Être conscient des valeurs et des perceptions caractéristiques de notre propre culture et de la manière dont elles façonnent notre approche des personnes appartenant à d’autres cultures.

81
Q

Sensibilisation culturelle

A

Prendre conscience des ressemblances et des contrastes entre les groupes culturels

82
Q

Vulnérabilité au QC dévloppement

A

1/4 au moins 1 domaine, 50% 1, 23% 2
physique et bien-être, social, maturité affective, développement cognitif et langagier ou les habiletés de communications et les connaissances générales

83
Q

Caractéristique enfant vulnérable

A

garçon
jeune
langue maternelle pas français
né extérieur canada
défavorisé ( quartier, école, secteur)

84
Q

Développement en 5 chiffres

A
  • 700 par secondes : nouvelles connexion neuronale, selon interaction gêne enfant et enviro, fondation apprentissage, cerveau se développe tout au long vie, mais rythme plus rapide première année, agir dans fenêtre opportunité développementale, expérience vécu dedans forme connexion plus difficile à modifier, stimulation approprié afin établir base cerveau, encore possible après mais plus difficile atteindre plein potentiel
  • 18 mois : âge pivot, disparité vocabulaire commence apparaitre, parait au moment entré école
  • 90 à 100% : probabilité présenter retard à 3 ans selon FR, intervention spécialisé nécessaire, plus adversité plus de risque. FR comme pauvreté, pb SM parent et la maltraitance ont des effets cumulatifs. La probabilité que des enfants qui subissent de la maltraitance et qui sont exposés à des FR additionnels présentent des retards de développement au plan cognitif, langagier ou émotionnel est de 90-100%.
  • Probabilité de 3 :1, ratio maladie cardiaque selon nb expérience adverse, l’augmentation du risque de santé à l’âge adulte ( diabète, hypertension, maladie cardiaque, certain cancer). 7-8 expériences adversité ont 3 :1
  • 4 à 9$ : retour sur chaque dollar investi dan programme de prévention, bénéficie meilleure revenue plus tard et diminution sociaux en terme de criminalité
85
Q
A
86
Q

Renforcer FP développement enfant

A

éthiquement responsable de garantir enviro
Enfant/femme enceinte( santé intrautérine, santé physique enfant, habileté)

Famille (enviro, attitude et pratique parentale)

Communauté (mobilisation, cohésion social, programme/activité/personne disponible, service éducatif)

Société ( environnement sain, soutien emploi, service sociaux/santé)

87
Q

Sensibilité comme moteur de développement

A

Comportements sensibles = prévisibles, appropriés et chaleureux
Indices de sensibilité
* Contact visuel fréquent et non-fuyant
* Répondre aux besoins
* Avoir une voix agréable et calme, rassurant
* Parler un langage simple
* Contact physique chaleureux et sécurisant
Favorise son adaptation scolaire, sa performance académique, régulation de ses états émotionnels, manière entré en relation, et – pb cpt /pb SM.

Qu’en est-il des enfants « placés » ?
Contexte de maltraitance, résultat recherche récente, les caractéristique typique de la vie familial sont d’important facteurs qui contribuent au bon développement des enfants, même ceux résident en milieux substitut. La qualité et la consistance des interactions entre tout petit et leur figure parentale sont les éléments les plus importants peut-importe s’il vit ou non en milieu familial.

88
Q

Caractéristiques communes 3 programmes

A

1.Interventions ciblées sur des caractéristiques précises des enfants à risque sur le plan social
2.Personnel qualifié, formation et supervision continu assuré
3.Rencontres avec les parents, en groupe et individuellement
4.Évaluation rigoureuse, connaitre effet, ajuster
5. Effets à long terme, au-delà enfance

89
Q

High-scope perry preschool

A

3-4 ans, apprentissage participatif, activité prise de décision/résolution pb, prof va à la maison pour impliquer dans curses
effet : salaire, diplome secondaire, QI, - arrestation

90
Q

Carolina abecedarian project

A

Scolarité : - Années d’études - Diplomation (4x chance étude postsecondaire)

Économique : - Emploi (temps plein)- Revenu suffisant (- assistance sociale)

Social : - Première grossesse (reporté) - Criminalité : pas d’effet observé

Vise à prévenir les lacunes de développement pour les enfants à haut risque effectuant auprès d’eux des interventions éducatives systématiques dès la naissance jusqu’à l’entrée maternelle. Implique différente forme de stimulation précoce autour de jeux orientés sur le développement du langage, fonction exécutives, la mémoire et l’attention. Efficace plusieurs plans

91
Q

Nurse family partnership

A

0-2 ans
Il s’adresse aux :
* Mères primipares, i.e. qui attendent leur premier enfant
* Vivant sous le seuil de faible revenu
* Monoparentales
* Adolescentes

Effet sur :
* Santé prénatale (- consommation cigarette,+ utilisation des services, + soutien social et amélioration de l’alimentation),
* Santé à la naissance (- infection, - prématurité et faible poids à la naissance, - retard intellectuel),
* Sensibilité des soins (- punition, + interaction et – abus /négligence 0-15 ans),
* Projets de vie (- arrestation et condamnation, - pb consommation, - fugue,- partenaire sexuel)
Vise à améliorer la santé et à diminuer les abus/négligence par le biais de visite à domicile de la part infirmière

92
Q

SIPPE

A
  • Favorisent le développement moteur et affectif/ cognitif et langagier des enfants
  • Favorisent la croissance des bébés
  • Améliorent les issues de grossesse
    Parent âgé de 19 ans et – et à faible revenu, vise à – la transmission intergénérationnelle des pb de santé et sociaux dont abus et négligence envers enfants. Vise à maximiser le potentiel de santé des mère/père/bébé à naitre et des enfants de 0-5 ans étant en situation qui les rend vulnérables. Inclure la naissance et le développement de l’enfant dans un projet de vie porteur de réussite pour les parents tout en renforçant le pouvoir d’agir des familles et des communautés dans toute les sphères de la vie. Pour se faire, SIPPE implique des visites à domiciles régulière dès la naissance de l’enfant et pouvant se poursuivre jusqu’à son entrée à l’école.
93
Q

Pertinence de la prévention chez adolescent

A
  • Outre l’enfance, l’adolescence est une période d’apparition des symptômes et des comportements menant au développement d’un trouble de santé mentale à l’âge adulte. (dépendance alcool ou TPA diagnostique plus de 50%)
  • Plusieurs causes de la mortalité à l’adolescence sont associées à des problèmes de comportement.
  • Il y a suffisamment de preuves pour affirmer que des interventions préventives sont efficaces à améliorer la santé des adolescents.
94
Q

Vieillissement de la population, tendance mondiale

A

Ne cesse d’augmenter depuis le début du millénaire, d’ici 2050, plus de 50 pays du monde seront en état de super vieillissement( au moins 30% pop âgé de 60 ans et plus)

95
Q

Vieillissement tendance canadienne et québécoise

A

Atteindra état de supervieillissement d’ici 2035, caractérise par une diminution du nombre de jeune qui résulte d’un faible taux de natalité, d’une augmentation du nb de personne qui atteigne âge avancé découlant du fait que plus en plus de gens adopte un mode de vie sain, augmentation spectaculaire du nb de personne de 85 ans et plus et un explosion du nb de centenaire ainsi qu’une augmentation de l’écart entre le nb relatif d’homme et de femme, celle représentant la vaste majorité des personnes les plus âgées.
Depuis 1971, les personne âgée de 65 ans et plus dans la population québécoise a plus que doublé et leur nb a été multiplié par plus de 3. D’ici 2065, leur proportion devrait passé de 18 à 28%.

96
Q

Âgisme

A

« L’âgisme est un processus par lequel des personnes sont stéréotypées et discriminées en raison de leur âge et qui s’apparente à celui du racisme et du sexisme. »

  • L’âgisme peut affecter… influencer perception vers elle-même
    o La satisfaction face au vieillissement
    o L’implication sociale
    o La qualité des soins
    o Le fonctionnement cognitif
97
Q

Manifestation âgisme

A
  • Attitudes ou préjugés envers les personnes aînées ou le processus du vieillissement. Par exemple…
    o Les personnes aînées sont dépendantes, vulnérables, coûteuses, faibles, intransigeantes, inutiles, incapables, malades, sourdes, radoteuses…
    o Les personnes aînées sont sages, fiables, loyales, riches, généreuses, toujours disponibles, aiment les enfants et sont de bons grands-parents…
  • Pratiques institutionnelles et politiques qui perpétuent les stéréotypes sur la base de l’âge. Par exemple…
    o Le rejet des plaintes qui sont considérées comme des conséquences inévitables du vieillissement. 8/10
    o Les programmes et politiques qui ne tiennent pas compte des besoins des personnes aînées. 9/10

Pratiques discriminatoires visant l’exclusion des personnes aînées les plus couramment vécues…
* Être ignorer ou traiter comme invisibles (41%)
* Supposer qu’elles n’ont rien à apporter (38%)
* Se faire traiter comme incompétentes (27%)
* Supposer qu’elles ont des difficultés d’audition (19%)
* Supposer qu’elles ont des pertes de mémoire (16%)
* Infantiliser (12%)

98
Q

Vieillissement réussi

A

Pas pcq espérance de vie a augmenter qu’on vit plus longtemps en santé, 80 changement perception vieillissement (usuelle) renvoie pas systématiquement à un déclin.

Trois dimensions (interagie entre elles)
1. Probabilité réduite de développer des maladies
2. Bon niveau de fonctionnement cognitif et physique
3. Engagement et participation sociale

Limite : permet pas inclure les personnes qui ont limitation mais qui vivent tout de même un vieillissement satisfaisant. Pour pallier cette lacune, auteurs ont proposé une définition du vieillissement optimale qui inclus développement psychologique et individuelle malgré la réduction des capacités. Vieillissement réussi implique bon fonctionnement dans les sphère biologique, psychologique et social.

Vieillissement réussi – Appuis empiriques

Étude qualitative sur la perception du
vieillissement réussi
Résultats :
* Rester en santé physique et cognitive
* Rester actifs et engagés
* Poser un regard positif sur sa vie (malgré limitation)

Méta-analyse des composantes associées au vieillissement réussi
Résultats :
* Éviter les maladies et l’invalidité
* Bonnes fonctions cognitive, physique et mentale
* Engagement actif dans la vie (poursuite occupation, exercice régulier)
* Bonne adaptation psychologique plus tard dans la vie (satisfaction à l’égard de la vie, perception soutien social)
Perception de la personne au regard du processus de vieillissement est aussi voir plus important que l’absence de maladie pour assurer un vieillissement réussi.

À retenir dans une perspective de prévention  Ces résultats suggèrent que les attitudes à l’égard du processus de vieillissement sont aussi importantes, voire plus importantes que l’état de santé pour assurer un vieillissement réussi.(action visant l’agisme et les perception du vieillissement peuvent contribuer à un expérience positive).

99
Q

Cible de prévention et de promotion vieillissement

A

Santé psychologique ( participation sociale)

Santé physique ( 3 groupes ainées, vieillissement physique et cognitif normal et pathologique)

Prévention chute (pk, syndrome postchute, fr)

100
Q

Continuum service

A

Intervention en développement des communautés :Vise à modifier les structures, l’environnement et les attitudes/cpt qui à trait à la sécurité des personnes ainées.
Intervention multifactorielle non personnalisé : cibles le facteurs de risques répandus dans la population ainé. Renvoie à des programmes d’exercise axé sur équilibre/mobilité et sont multifactorielle, car vise à la fois les risque présent cpt et milieu
Intervention médicale préventive : renvoie aux interactions entre un professionnels de la santé et une personne ainée. Qui présente FR ou historique de chute.
Intervention multifactorielle personnalisé : personne ainé en perte autonomie qui présente une histoire de chute et un risque élevé de tomber à nouveau enraison de leur état de santé. Intervention ciblé de type clinique, elles agissent sur plusieurs FR simultanément et nécessite la participation de plus d’un profesionnel chevauche à la fois la prévention et le traitement.
Intervention adaptation/ réadap : traitement qui s’adresse pa hospitalisé et hébergé ou suivi en réadapt.

101
Q

Type de maltraitance ainé

A
  • Maltraitance psychologique ++
  • Maltraitance physique
  • Maltraitance sexuelle
  • Maltraitance matérielle et Financière +++
  • Maltraitance organisationnelle
  • Âgisme
  • Violation des droits +
102
Q

Conséquence maltraitance ainé

A
  • Séquelles physiques
  • Idées suicidaires et comportements destructeurs
  • Perte des épargnes prévues pour assurer son bien-être
  • Augmentation de la maladie et de la mortalité́
  • Développement d’anxiété́, de confusion, de dépression
  • Repli sur soi
  • Sentiment d’insécurité́
  • Augmentation de la fréquentation des urgences
103
Q

Pk ainé déclare moins maltraitance

A
  • Crainte des répercussions
  • Sentiment de culpabilité / honte
  • Dépendance à l’égard de la personne maltraitante
  • Perte d’autonomie fonctionnelle ou cognitive rend démarche difficile
  • Méconnaissance des ressources
  • Protection de l’honneur de la famille
104
Q
A