TCC Flashcards
(25 cards)
- DÉCRIRE L’ÉPIDÉMIOLOGIE DU TCC
- Groupes d’âge prévalents : 0-4 ans, 15-19 ans et 75 ans et +.
- Affecte hommes (64%)> femmes
- Affecte 10 millions de personnes dans le monde chaque année
Parmi celles-ci, les visites sont soit causées par chutes (45%), accidents de véhicules (43%) et la violence (6%)
- REVOIR LA PATHOPHYSIOLOGIE DU TCC, SOIT NOMMER LES DOMMAGES SECONDAIRES
principalement causées par un manque d’oxygène
Augmentation de la pression intracrânienne (causée par œdème/hématome intracrânien) :
- Hydrocéphalie aigue peut survenir quand le sang s’accumule dans le système ventriculaire
- Augmentation de pression intracrânienne peut changer la PCO2 ce qui endommage les tissus nerveux
- Peut causer une hernie du cerveau
Hypoxie ou ischémie cérébrale (provient d’une compression/rupture des vaisseaux sanguins) :
- Provient soit d’un manque d’irrigation sanguine au cerveau ou manque d’oxygène dans le sang, dû à une obstruction des voies respiratoires ou à une blessure à la poitrine.
Hémorragie intracérébrale :
- Entraîne l’hypoxie des tissus nourrit par les vaisseaux en hémorragie et entraine une augmentation de la pression et une déformation des tissus cérébraux.=- La mort cellulaire survient dans les minutes après la lésion
Déséquilibre électrolytique ou acido-basique :
- La mort cellulaire 2° peut survenir des jours, semaines ou mois après l’évènement et est due à :
o Œdème de la cellule et éclatement de la membrane (nécrose).
o Destruction dans la cellule via des changements dans l’ADN (apoptose).
- Peut survenir dans jours, semaine, mois suivants.
Infections :
- Plaies ouvertes ou monitoring invasif prolongé
Convulsion provenant de la pression ou de la cicatrisation :
- Les attaques surviennent surtout :
o Immédiatement après la lésion.
o Entre 6 mois et 2 ans post-lésion.
- REVOIR LA PATHOPHYSIOLOGIE DU TCC, SOIT NOMMER LES DOMMAGES PRIMAIRES
- Force externe frappant la tête ou la tête se frappant assez fort pour causer un mouvement du cerveau, avec ou sans fracture du crâne.
o Peut causer coup (site de l’impact) et contrecoup (éloigné du site d’impact). - Accélération et décélération importantes de la tête, même sans percuter un objet.
Contusions (hématome/saignements au cerveau) ou lacérations :
- Les coups aux lobes occipitaux (en arrière) sont plus sujets à entraîner des contusions que les lobes frontaux ou latéraux
- Une contusion ou une lacération peut causer une atteinte des nerfs crâniens, principalement :
o Optique (II)
o Vestibulo-cochléaire (VIII)
o Oculomoteur (III)
o Abducens (VI)
o Facial (VII)
2-3-5-6-8
Hématome/hémorragie épidurale : LE PLUS GRAVE, RARE MAIS PEUT ÊTRE FATALE
déchirement de vaisseaux des méninges
fx du crâne= d’intervalles de lucidité
Hématome sous-dural :
- Le sang s’accumule dans l’espace sous-dural.
- Symptômes en aigu comme faiblesse ou léthargie sont à prendre au sérieux = possiblement mortels.
- Symptômes chroniques causés par un saignement lent peuvent se manifester après plusieurs semaines seulement.
Lésions axonales diffuses/lésions par cisaillement :
- Parmi les blessures les plus communes des TCC.
o Entraine :
Pertes de mémoire
Difficultés de concentration
Diminution de la capacité d’attention (-long)
Maux de tête
Désordres de sommeil
Convulsions
- NOMMER ET DÉCRIRE LES CARACTÉRISTIQUES CLINIQUES DU TCC
DÉSORDRES COGNITIFS/DE LA CONSCIENCE
coma, l’état végétatif ou l’état minimal de conscience, Confusion post-traumatique ou assombrissement de la conscience
CHANGEMENTS DU SYSTÈME NERVEUX AUTONOME
-la régulation cardiovasculaire passe d’activité parasympathique à SYMPATHIQUE au repos
Changements/irrégularités du rythme cardiaque et de la fréquence respiratoire
Syndrome du côlon irritable
Hausse de température
Changement de la pression sanguine
Production excessive de sueur, salive, larme et de sébum
Pupilles dilatées
Vomissements
Anxiété, crises de panique, PTSD
CHANGEMENT MOTEUR, SENSORIEL ET PERCEPTUEL
Troubles moteurs : paralysie (hémi-plégie), trouble de la coordinaition, tonus anormal, étourdissement, Réflexes anormaux
Troubles sensoriels et perceptuels: Hypersensibilité au son et à la lumière. Changement dans champs visuels
CHANGEMENT COGNITIF, PERSONNALITÉ, ET COMPORTEMENT
o Problèmes de mémoire
o Difficultés à la résolution de problèmes
o Difficultés à gérer le stress et les bouleversements émotionnels
o Incapacité à contrôler la colère.
- Diminution de l’attention
- Difficulté à maintenir une attention soutenue
- Irritabilité
- Apathie
- Agressivité
DÉCRIRE L’AMNÉSIE
- Altération de la mémoire
- Amnésie post-traumatique : lapse de temps entre l’accident et le moment où les fonctions liées à la mémoire se sont restaurées.
Il en existe deux types :
o Rétrograde : incapacité à se souvenir d’événements survenus avant l’accident
o Antérograde : Incapable de former nouveaux souvenirs depuis l’accident.
o Mémoire déclarative : mémoire avec laquelle le patient peut se souvenir de faits et d’événements. L’apprentissage explicite (apprentissage verbal conscient) se fait par ce type de mémoire.
o Mémoire procédurale : est liée à l’apprentissage implicite (apprentissage de type non-cognitif) =avec l’entraînement les patients peuvent changer comportements moteurs, perceptuels et cognitifs même sans mémoire déclarative, c’est-à-dire sans souvenirs conscients.
- NOMMER LES AUTRES COMPLICATIONS
- Dépression
o Se produit souvent après une blessure au cerveau et apparait comme étant le trouble mental le plus fréquent post-TCC. - Blessures iatrogéniques (causées par cathéters, tubes nasaux ou trachéotomies)
- Infections
- Contractures
- Plaies
- Thrombophlébites
- Problèmes pulmonaires
DÉCRIRE LE TRAITEMENT EN AIGU
phase préhospitalière :
o Oxygénation
o Pression sanguine
o Fonction cognitive (avec l’échelle de Glasgow)
centre de trauma : pour monitorer et minimiser les blessures secondaires
o CT scan
o Évaluation neurochirurgicale
o Suivi de la pression intracrânienne
Contrôle des voies respiratoires et ventilation =pour optimiser l’oxygénation
Suivi et gestion de la pression intracrânienne
- Craniectomie décompressive : une large portion du crane est retirée pour permettre au cerveau d’être enflé =diminue la pression intracrânienne.
- Drain ventriculaire externe : un cathéter est inséré dans la corne antérieure d’un des ventricules latéraux pour drainer le liquide cérébrospinal
- Craniotomie avec évacuation de sang : pour patient qui a un hématome épidural ou sous-dural.
NOMMER LA FONCTION DES DIFFÉRENTS MÉDICAMENTS
- Médication qui diminue la pression intracrânienne :
- Médication qui contrôle la pression sanguine et la pression de perfusion cérébrale :
- Médication qui diminue le saignement intra-crânial.
- Médication pour contrôler les convulsions :
- Médication pour prévenir les infections :
- Médication qui diminue la pression intracrânienne :
o Agents osmotiques.
o Mannitol
o Propofol (sédatif)
o Corticostéroïdes - Médication qui contrôle la pression sanguine et la pression de perfusion cérébrale :
o Phénylephrine
o Norépinéphrine - Médication qui diminue le saignement intra-crânial.
o Médication hémostatique :
o Médication anti-fibrinolytique - Médication pour contrôler les convulsions :
o Anticonvulsivant (ex. : phénytoïne, valproate sodium, levetiracetam, carbamazepine) - Médication pour prévenir les infections :
o Antibiotiques
- SAVOIR INTERPRÉTER L’ÉCHELLE GRAVITÉ DE GLASGOW ET FAIRE LE LIEN AVEC LES MESURES DE RÉSULTATS FONCTIONNELS
- Score entre 3 et 15 (score plus bas = niveau de fonction plus bas).
o 13 à 15 : blessure cérébrale légère
o 9 à 12 : blessure cérébrale modérée
o 8 ou moins : blessure cérébrale importante (coma) - On utilise cette échelle à plusieurs reprises pour voir l’évolution
/4 ouverture des yeux
/5 réponse verbale
/6 réponse motrice
- CONNAITRE LES PRINCIPAUX INDICATEURS DE PRONOSTIC D’UN TCC
- Âge
- Sévérité clinique : p/r au glasglow
- Anormalités au CT-scan :
o Le prédicteur négatif le plus important = présence d’hémorragie subarachnoïdienne et oblitération des citernes basales - atteinte 2°
- Facteurs génétiques
- Valeurs laboratoires :
o Grande concentration de glucose = moins bon pronostic - Durée du coma et amnésie posttraumatique (APT) :(moins de 4 semaine = bon)
o Portrait pré-accidentel
- DÉFINIR LE CONTRÔLE MOTEUR
Le contrôle moteur se définie comme « la transmission systématique de l’impulsion nerveuse du cortex moteur aux unités motrices, résultant en contractions coordonnées des muscles ».
Lorsqu’un plan est exécuté plusieurs fois, le pattern devient plus automatique
- DÉFINIR L’APPRENTISSAGE MOTEUR
DÉCRIRE LES DIFFÉRENTS STAGES DE L’APPRENTISSAGE MOTEUR
DÉCRIRE LES DIFFÉRENTS STAGES DE L’APPRENTISSAGE MOTEUR
A. COGNITIF= comprendre la tâche
o Ceci nécessite : haut niveau de concentration et traitement cognitif.
B. ASSOCIATIF =La variabilité de la performance diminue, l’apprenant continue d’explorer des solutions pour mieux régler ses problèmes de mouvement
C. AUTONOME
- La pratique avec +++ de répétitions à travers le temps mène à la performance automatique de la tâche motrice.
Pratique de masse : repos < temps de pratique.
Pratique distribuée : repos ≥ temps de pratique. DÉBUT
o Rétroaction interne :
Informations sensorielles que le patient reçoit qui peuvent être utilisées pour améliorer la performance d’une tâche dans le futur.
o Rétroaction extrinsèque/augmentée :
Feedback donné par le thérapeute
- Connaissance de la performance (CP) : est donné en même temps que la tâche est performée (peut aussi être appelé feedback concurrent).
Permet au patient d’effectuer la tâche avec succès. - Connaissance du résultat (CR) : est donné à la fin de la tâche
Le niveau de challenge devrait toujours être approprié
- NOMMER LES COMPOSANTES DE L’ÉVALUATION EN PHYSIO D’UNE PERSONNE AYANT EU UN TCC
échelles pour mesurer le niveau de conscience
spectre d’altération du niveau de cognition inclus : altération de l’attention, frustration, diminution de spontanéité, facilement distrait
signes vitaux dans différentes positions : pression sanguine, pouls, fréquence respiratoire
o Diminution de la production de force= facteur qui contribue le plus à la diminution de mobilité
o Lésion des motoneurones supérieurs= faiblesse
- ALTÉRATION DE LA LONGUEUR DU MUSCLE ET DU ROM
o La flexibilité - TONUS MUSCULAIRE ET REFLEXES ANORMAUX= Spasticité = tentative du SNC de compenser pour l’incapacité du patient à augmenter sa force
test de coordination : doigt-nez et talon-tibia
FONCTION SENSORIELLE
primaire (vision, ouïe, olfaction, douleur, toucher, température, position, kinesthésie, proprioception)
et corticale (intégrée).
- ALTÉRATION DE LA VISION ET DE LA PERCEPTION VISUELLE= vision embrouillée ou double, problème de poursuite visuelle causant une vision avec images qui « sautent
Poursuite visuelle d’un objet sans bouger la tête
Dilatation/constriction pupille (focus et accommodation)
Champ visuel
Vision binoculaire
Réflexe vestibulo-oculaire
SYSTÈME VESTIBULAIRE.
CARDIOVASCULAIRE= 6MWT
- ÉVALUATION DES LIMITATIONS D’ACTIVITÉS
o Mobilité fonctionnelle de base
o Équilibre assis
o Équilibre debout
o Capacité à la marche et double-tâche durant la marche
o Fonction des extrémités supérieures - ÉVALUATION DES RESTRICTIONS DE PARTICIPATION
- NOMMER LES COMPOSANTES DES SPHÈRES D’INTERVENTION EN PHYSIO D’UNE PERSONNE AYANT EU UN TCC
- Tout au long de la réadaptation : PRÉVENIR LES COMPLICATIONS SECONDAIRES (plaies, pneumonie, contractures, atrophie, ossification hétérotrope, TVP)
o Prévention grâce à : hygiène bronchopulmonaire, horaire de positionnement, ROM quotidien, matelas qui diminuent la pression, étirement
- À l’urgence/soins intensifs : FAIRE MOBILISATIONS PRÉCOCES + AMÉLIORER L’ÉTAT D’ÉVEIL.
- À l’unité de trauma ou de neuro-trauma : AUGMENTER LA MOBILITÉ + AMÉLIORER LES INTERACTIONS AVEC L’ENVIRONNEMENT.
- Lors de la réadaptation aiguë/subaiguë, les priorités sont de :
o MAXIMISER LA SÉCURITÉ ET L’INDÉPENDANCE DANS LES ACTIVITÉS FONCTIONNELLES
o FAIRE LES AVQ
o AVOIR INTERACTIONS APPROPRIÉES AVEC LES AUTRES ET L’ENVIRONNEMENT
GESTION DE LA SPASTICITÉ ET DES CONTRACTURES : étirements prolongés, positionnement prolongé avec orthèses ou plâtres en série, cryothérapie/thermothérapie, MEC
AUGMENTER LE NIVEAU DE CONSCIENCE + PROMOUVOIR CYCLES VEILLE-SOMMEIL NORMAUX :
o Pour améliorer l’éveil : positionnement vertical et stimulation sensorielle.
- STIMULATION SENSORIMOTRICE : programme rigoureux dans lequel la famille du patient présente des stimuli visuel, olfactif, tactile, auditif et gustatif au patient 1 à 2h par jour pour 7 à 12 jours.
- Focus de physiothérapie : RÉCUPÉRATION MOTRICE + AUGMENTER SÉCURITÉ ET INDÉPENDANCE DANS LA MOBILITÉ FONCTIONNELLE.
- Le thérapeute doit bien connaitre les activités, passe-temps, rôles de vie et atteintes du patient pour ÉLABORER DES INTERVENTIONS PHYSIOTHÉRAPIQUES INDIVIDUALISÉES qui implique l’apprentissage implicite
- INTERVENTIONS POUR AMÉLIORER L’ENDURANCE =favorise neuroplasticité, fonctionnement physique, cognition, sommeil et humeur.
L’activité physique devrait être faite au bon moment dans la réadaptation =pas en aiguë
Diminution de la douleur grâce à des modalités analgésiques.
Enseignement des principes de gestion de la douleur.
Traitements des pathologies vestibulaires.
- COMPARER LES CARACTÉRISTIQUES DU TCC LÉGER À CELLES DU TCC MODÉRÉ/SÉVÈRE AU NIVEAU DES HABILETÉS MOTRICES ET COGNITIVES
TCC léger : commotion cérébrale
→ Pas de saignements au cerveau, ce dernier est sonné, mais pas endommagé de manière significative (c’est comme si le cerveau se déconnectait pendant quelques secondes)
→ S&S : fatigue, maux de tête, irritabilité, émotivité, difficultés de concentration, étourdissements, vomissements, léthargie et perte de mémoire.
→ Bonne guérison, sans séquelles
Glasgow : 13 à 15.
pas atteinte motrices
TCC modéré :
→ Impact sur la tête cause saignements dans le cerveau : visibles au scan
→ Coma léger pendant quelques heures
→ Confusion peut perdurer quelques jours
Glasgow : 9 à 12
- Atteintes physiques secondaires (vertiges, ↓ équilibre, ↓ coordination, ↓ endurance à l’effort) surtout dans premiers mois, ne sont pas des obstacles à l’autonomie socio-résidentielle
TCC sévère :
→ Coma plus profond et de + longue durée
→ Saignements au cerveau + graves, peuvent nécessiter chirurgie
Glasgow : ≤ 8.
- Atteintes physiques (hémiparésie, perte de contrôle de l’équilibre postural et mouvements volontaires, vertiges, anosmie, blessures orthopédiques, etc.) fréquentes = obstacle dans la vie de tout les jours
Complications possibles TCC si pas guéri ou +++TCC
1) Syndrome du deuxième impact= alors que la récupération n’est pas complète à la suite d’un 1er impact
2) Encéphalopathie chronique traumatique= accumulation des TCC= accumulation de protéine tau
* S&S: Démence / Perte de mémoire / Agressivité / Dépression / Changement de personnalité
- 2ème traumatisme de moindre sévérité peut
créer les mêmes dommages ou pire
Hémorragie épidurale
Saignement entre lecrâne et la dure-mère
* Rare(1à3%deslésionscrâniennes)
* Fatale en quelques minutes si atteinte artérielle
* Impactdehautevélocité,(ballesurlatempe)
- Période de lucidité post blessure mais qui se détériore rapidement ( 5 à 20 min)
- Céphalées
- Nausées
- Vomissements (↓pression intracrânienne)
- Somnolence progressive
- Perte de conscience
- Atteinte artère →hypoxie →nécrose
Hémorragie sous-durale
- Saignement entre dure- mère et membrane arachnoïde (3X plus commune)
- Lacération de veines
Mécanisme → rotation
Arrive dans les premiers 24 hrs
- Stade aigü:
– Peu avoir une perte de conscience entre 30 et 60 minutes - Stade subaigüe:
– Même qu’hémorragie épidurale (maux de tête, nausée, perte de conscience
– Trouble de vision (diplopie)
– Convulsions graduelles
– Tension artérielle anormale
– Pulsation cardiaque anormale
Hémorragie intra-cérébrale
- Dansles hémisphères cérébraux
- Dégradationrapide des fonctions neurologiques
- S&Scomme hémorragie sous- durale
=
* Stade aigü:
– Peu avoir une perte de conscience entre 30 et 60 minutes
* Stade subaigüe:
– Même qu’hémorragie épidurale (maux de tête, nausée, perte de conscience
– Trouble de vision (diplopie)
– Convulsions graduelles
– Tension artérielle anormale
– Pulsation cardiaque anormale
Symptômes somatiques ou émotifs
* Signes (Perte de conscience, amnésie…)
* Changement de personalité (irritabilité…)
* Déficits cognitifs (temps de réaction plus lent)
* Troubles de sommeil (insomnie)
Signes et symptômes - TCC léger
- Convulsions
- Perte de conscience
- Amnésie rétrograde ou antérograde
- Céphalées
- Pressions dans le crâne
- Douleur au cou
- Nausées/vomissements
- Étourdissements
- Problèmes d’équilibre/ de coordination
- Vision embrouillée
- Sensation d’être au ralenti
- Silement dans les oreilles
- Sensibilité au bruit et/ou à la lumière
- Confusion/désorientation
- Diminution concentration, attention et/ou jugement
- Fatigue excessive
- Irritabilité/changement de personnalité
- Labilité émotionnelle
- Sensation d’être dans le brouillard
- Problème de mémoire
- Tristesse
- Nervosité
- Sensation de «ne pas être dans son assiette»
Évaluation d’une commotion sur le terrain
- 1) Éval primaire: éliminer blessure colonne ou autre blessure prioritaire
- 2)Transport vers personnel médical
- 3) Éval selon SCAT6
- 4) Ne pas laisser l’athlète seul. Surveiller signes de détérioration pour premiers 24- 48 hrs
- 5) Pas de retour au jeu les premiers 24 hrs
Hx subjective (mécanisme)
– Regarder difformité, palpation rapide
– Demander athlète de bouger segments de distal à proximal (mvt actif)
– Si vous soupçonnez ligament alors faites tests spécifiques
– Transport ou l’athlète se déplace lui-même sur les lignes
– Faire éval complète sur les lignes
- ABCU
Airway = enlève mouth piece
Breathing= est ce que respire
Circulation=Pouls carotidien si non = massage cardiaque
Unconscious= dlr pour réveiller et si se réveille lui dire de ne pas bouger
Éval de la vision
– Champs visuel
– Pupilles (PERRLA)
* Égales et Rondes
* Grosseur: petites et dilatés
* Réaction à la Lumière
* Accommodation
=– Stabiliser la tête en tout temps
Éval de l’orientation
– 3 sphères: espace, temps, personne
faire SCAT5
* Éval équilibre
– «Pronator drift»
– Marche
* Éval coordination
– Dysmétrie (doigt-nez)
* Éval nerfs crâniens
Drapeaux rouges du SCAT 6!!!!!!
* Dlr cervicale et dlr à la palpation de la colonne
Vision double
* Convulsion
Perte de conscience
Faiblesse ou engourdissement dans plus d’un bras ou d’une jambe
Détérioration de l’état de conscience
Vomissements
Mal de tête sévère ou qui augmente
Agitation, combativité ou de augmentation de ces symptômes
Échelle de Glascow < 15
Déformation visible du crâne
- Donner conseils
- Ne pas donner de médicaments (Aspirine, AINS)
- Éduquer famille
- Consultation médicale
Canadian Rule for Cervical Spine Trauma
Trauma (i.e., mechanism of injury)
Age greater than or equal to 65 years
Paresthesia in extremities
If range of motion cannot be assessed, imaging required
Rotation cannot actively rotate neck at least 45°
pour savoir si on image!
temps résorbation habituel TTCL
80-90% des TCC légers se résorbent dans les 4 premières semaines
Traitements des TCC légers
Repos 24-48h, puis reprise des activités cognitives sans reproduction Sx et encourager reprise d’activité physique sans risque de contact à la tête (marche, vélo)
- Diminuer temps d’écran x 48 hres
- Encourager exs aérobiques (sans augmenter S&S de plus de 2/10 et si augmentation, que ça dure moins de 60 min)
- Après 10 jrs, si étourdissement, dlr cervicale ou maux de tête, référer en readapt cervico- vestibulaire
**RETOUR À L’ÉCOLE AVANT LE SPORT **
Chaque étape = 24 h
Si aggravation Sx :
Revenir à l’étape précédente
AVQ sans symptomes
devoir maison
retour partiel école
retour temps plein école
ex’s aérobique
2A- Léger (55% de
FCmax)
2B- Modéré (jusqu’à 70% de FC max)
Exs spécifiques au sport mais individuel
entrainement groupe sans contact
avec contact
retour compétition