Cours 4 Flashcards

1
Q

Quel sont les question a se poser dans le cadre du mandat d’évaluation ?

A

1.1 Dans quel cadre légal s’insère le mandat d’évaluation?

1.2 Qui requiert/demande l’expertise?

1.3 Dans quel contexte spécifique?

1.4 Quel est le besoin du demandeur? Que veut-il savoir?

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2
Q

1.1 Dans quel cadre légal s’insère le mandat d’évaluation?

A

Cadre légal : La protection de la jeunesse, la LSJPA et la LSCQ (loi sur les services correctionnels du Québec).

Difficile d’y déroger et c’est cela qui permet de demander des évaluations spécifiques pour la Cour (rapport présentenciel, rapport prédécisionnel et évaluation spécialisée).

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3
Q

1.2 Qui requiert/demande l’expertise?

A

Qui demande l’expertise : Procureurs, juges et parfois le client lui-même pour les évaluations spécialisées. Important de savoir qui.

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4
Q

1.3 Dans quel contexte spécifique?

A

Contexte spécifique : Audition sur sentence, sur la peine (éclairer le juge).

En protection de la jeunesse le contexte pourrait être par exemple de protéger la personne, lever une supervision, etc.

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5
Q

1.4 Quel est le besoin du demandeur? Que veut-il savoir?

A

Besoins du demandeur : Le juge pourrait vouloir connaître le risque que l’individu représente pour la population, ses besoins, recommandations.

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6
Q

Dans quelle mesure je peux répondre à un madat ? Selon les; Dispositions générales de Code de déontologie de l’OPCQ

A
  1. Avant d’accepter un mandat et durant son exécution, le criminologue tient compte des limites de sa compétence et des moyens dont il dispose
  2. Le criminologue appelé à faire une expertise criminologique devant un tribunal, **informe de son mandat les personnes impliquées dans cette expertise. **Son rapport et sa déposition devant le tribunal se limitent aux éléments relatifs à la cause.
  3. Le criminologue sauvegarde en tout temps son indépendance professionnelle et évite toute situation où il serait en conflit d’intérêts.
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7
Q

Quels sont les différentes méthodes de collecte de données?

A

1.Entrevue
2.Sources des tiers
3. Dans le contexte plus spécifiquement ou un enfant est impliqué
4.Visites à domicile

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8
Q

Auprès de qui une entrevue peut elle est réaliser ?

A

➢ Personne évaluée
➢ Parents (dans le cas où la personne évaluée est un enfant)
➢ Victime* (peut avoir un contact avec pour mieux s’éclairer parfois)

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9
Q

Quels sont les dispositions de la LSJPA sur l’entrevue en contexte d’expertise ?

A

■ 40(2)a) stipule que le rapport prédécisionnel doit inclure le « résultat d’une entrevue avec l’adolescent et, autant que possible, celui d’une entrevue avec ses père et mère et, s’il y a lieu et autant que possible, celui d’une entrevue avec des membres de sa famille étendue ».

■ 40(2)b) énonce aussi que le rapport prédécisionnel doit inclure, « s’il y a lieu et autant que possible, le **résultat d’une entrevue avec la victime **». Pour connaitre la nature et l’étendue des torts causés.
- consulter la déclaration que la personne victime a faite aux policiers, lorsque disponible.

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10
Q

Nommez et expliquer les 2 éléments a ne pas négliger en évaluation d’expertise

A

✓ Consentement libre et éclairé à l’évaluation

Le consentement libre et éclairé de toutes les parties âgées de 14 ans et plus doit être
idéalement obtenu par écrit

– L’autorisation de rencontrer les enfants de moins de 14 ans doit être obtenue par écrit auprès des deux parents

*La personne doit savoir quel est l’objectif/contexte de la rencontre. Je vais évaluer le risque, vos forces, vos difficultés qui va être présenté au juge etc… Tous ce que vous direz pourrait se retrouver dans le rapport (aviser la personne sur la confidentialité)… Plus vous êtes transparent, plus juste sera l’évaluation et après on demande si on peut continuer l’évaluation….

✓ Secret professionnel

OPCQ 3.06.01 Le criminologue doit respecter le secret de tout renseignement de nature confidentielle obtenu dans l’exercice de sa profession.

Le criminologue ne peut être relevé du secret professionnel qu’avec l’autorisation de son client ou lorsque la loi l’ordonne (en vue de prévenir un acte de violence).

Le criminologue doit s’assurer que son client soit pleinement informé des utilisations éventuelles des renseignements confidentiels qu’il a obtenus.

**Donc, la personne évaluée doit connaitre les limites du secret professionnel dans ledit contexte

OPCQ 3.02.09 Le criminologue ne recourt à aucun procédé dans le but de contraindre une personne à faire des aveux contre sa volonté.

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11
Q

Que ce passe t’il suite à un refus de consentement libre et éclairé en entrevue ?

A

OPCQ 3.01.05. Le criminologue ne formule une évaluation de la situation de son client et n’intervient à son égard que s’il possède les données suffisantes pour porter un jugement éclairé sur la situation et pour agir avec un minimum d’efficacité dans l’intérêt du client.

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12
Q

Pouvez vous donnez un exemple d’un cas de déontologie ?

A

Ex. Dans le cas d’un rapport présentenciel, si le client refusait de se soumettre à l’évaluation, l’agent de probation pourrait aller chercher les dossiers de la personne au fédéral pour compléter l’évaluation. Toutefois, il devra indiquer comme limite de l’évaluation qu’il n’a pas réussi à rencontrer le client.

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13
Q

Veuillez définir les sources tiers de la collecte de donnés qu’un criminologue peut faire

A
  1. Proches significatifs (Est-ce que la personne à une proche significatif qu’il aimerait que j’aille rencontrer pour appuyer les faits. Différentes lunettes et perspectives. Besoin du consentement de la personne pour procéder à ceci encore une fois).
  2. Autres professionnels
  3. Ressources dispensataires de services

Et pourquoi ? Besoin d’avoir le plus de diversité de sources d’informations recueillies.

  • Attention aux motivations du tiers (Ex. si on appelle la conjointe du Monsieur, peut-être qu’elle veut qu’il aille une petite peine, donc modifie son discours. L’inverse est vrai aussi).
  • Consentement libre et éclairé (On ne peut pas appeler ses personnes si on n’a pas le consentement de l’individu accusé, mais aussi le consentement de la personne que l’on appelle).
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14
Q

Nommez des documents et des rapports pertinent que l’ont peut consulter dans la collecte de données (source tiers)

A
  • Rapports de police, déclaration des victimes et des témoins, classification des images, actes d’accusation
  • Évaluations psychologiques / psychiatriques / sexologiques
  • Rapports prédécisionnels (RPD) ou présentiels (RPS)
  • Rapports d’évaluation-orientation et rapports de révision (DPJ)
  • Décisions de la Commission des libérations conditionnelles du Canada (CLCC) ou Commission québécoise des libérations conditionnelles (CQLC)
  • Rapport de séjour en centre résidentiel communautaire (CRC) ou centre correctionnel communautaire (CCC)
  • Rapport de participation à un programme spécifique (carcéral, toxicomanie, délinquance sexuelle, santé mentale…)
  • Évaluations du risque et des besoins
  • Plumitif criminel (c’est publique, comporte sur les antécédents de la personne)
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15
Q

Quels sont les particularités des services correctionnels du Canada sur la consultation des documents ?

A

(Le consentement ne suffit pas toujours, parfois c’est encadré par des lois).

A) **La Loi sur l’accès à l’information **confère à tous les citoyens canadiens, résidents permanents, particuliers ou sociétés au Canada, le droit d’accéder aux documents, quel qu’en soit le format, qui relèvent d’une institution fédérale. Ce droit est assujetti à certaines exceptions précises et limitées.

B) La Loi sur la protection des renseignements personnels protège la confidentialité des renseignements personnels détenus par les institutions fédérales sur tous les citoyens canadiens et résidents permanents. Elle confère à ces personnes, y compris celles qui se trouvent au Canada sans être citoyens ni résidents permanents, le droit d’accéder aux renseignements personnels qui les concernent. Elle régit également la collecte, la conservation, l’utilisation, la protection et la divulgation des renseignements personnels.

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16
Q

Expliquer la collecte de donnée: dans le contexte plus spécifiquement où un enfant est impliqué

A

o L’observation
o L’entrevue verbale
o Le jeu
o Les tests formels

17
Q

Quels sont les règles de base de la collecte de donnée pour un criminologue ?

A

ü Interagit avec la personne évaluée de manière à inciter l’engagement, diminuer les résistances et susciter la motivation interne tout au long du processus d’évaluation.

ü Explore les faits, mais également les perceptions de l’évalué. (dans la compréhension)

ü Recueille toutes les informations jugées possiblement pertinentes, considérées avec un esprit critique, et ce, en vue de tenir compte de tous les angles.

ü Respecte les valeurs et les convictions de l’évalué.

ü Fait les efforts raisonnables pour employer une communication adaptée à l’évaluée.

18
Q

En ce qui concerne les règles de base de collecte de donnée= OPCQ 3.01.04. Le criminologue fait tout en son pouvoir pour établir et maintenir une relation de confiance entre lui-même et son client.

À cette fin, notamment, le criminologue :

A

a) S’abstient d’exercer sa profession d’une manière impersonnelle.

b) Respecte, dans toutes ses interventions, les valeurs et les convictions de son client.

19
Q

Expliquer L’évaluation du risque

A

Ø Un processus de recueil et d’analyse des données

Ø Qui permet d’estimer la probabilité qu’une personne commette de nouveaux actes délinquants dans le futur

*Il existe différentes méthodes d’évaluation du risque.

20
Q

Quel sont les 3 différentes méthodes d’évaluation du risque.

A

1) Les approches de jugement clinique non structuré impliquent une évaluation du risque

2) Les approches actuarielles

3) Les approches de jugement professionnel structure

21
Q

Expliquer: 1) Les approches de jugement clinique non structuré impliquent une évaluation du risque

A

1.Avantage:

  • Effectuée de façon non structurée, soit sans méthode formelle, ni instrument
  1. Inconvénient:
  • Basée simplement sur l’expérience personnelle / professionnelle de l’expert
  • Pour lesquelles les facteurs de risque pour juger du risque sont non précisés d’avance et laissés à la discrétion de l’évaluateur, donc difficilement reproductibles
  • Ces approches sont considérées problématiques, tant au niveau de leur fidélité que de leur validité prédictive, même en dépit de la compétence de l’expert (pile ou face).

*moins appuyé empiriquement

Exemple d’outil: Pinatel

22
Q

Quels sont les 2 critères de dangerosité (Pinatel) ( Les approches de jugement clinique non structuré impliquent une évaluation du risque )

A

**1. Capacité criminelle : **Noyau central de la personnalité criminelle, qui se compose de:

  • Agressivité : réagir à une situation avec violence verbale, psychologique ou physique, pouvant s’exercer envers d’autres personnes, contre des objets ou contre soi.
  • Égocentrisme : ramener tout à soi-même.
  • Labilité : humeur capricieuse, instable et influençable, sans crainte du châtiment.
  • Indifférence affective : Dépourvu de sentiments moraux et incapable de considération, de compassion envers autrui ».

= Plus la personne est dangereuse

**2. Capacité d’adaptation : **Plus de latitude et souplesse ici.

« L’ensemble des caractéristiques de la personnalité qui peuvent être développées de manière positive et les conditions favorables du milieu de vie qui l’amèneront à fonctionner conformément aux normes sociales ».

Par exemple: Malgré une capacité d’adaptation élevé et une capacité criminelle élevée, la personne sera classée dangereuse puisqu’elle peut facilement manipuler, etc. C’est ce que permet de constater cette approche non-structurée.

23
Q

Expliquer les approches actuariels

A
  1. Avantages:
    - Utilisation d’un nombre ciblé de critères (validés statistiquement), organisés selon une série de règles de cotation bien définies afin de générer un algorithme de prédiction.
  • On parle donc d’un pourcentage établi de risque de récidive, pour une durée déterminée, en fonction du taux de récidive de différents groupes de délinquants.
  • = l’évaluation actuarielle du risque de récidive d’un sujet consiste donc à déterminer auquel de ces groupes le sujet tend à appartenir. Le résultat de l’évaluation est le pourcentage de risque du groupe dont le sujet se rapproche le plus.
  • Supériorité de sa validité prédictive sur le jugement clinique non structuré
  1. Inconvénients:
    Les outils actuariels sont très rigides et se base sur une statistique de groupe, et non individuelle propre à la personne évaluée. Il est comparé au groupe qu’il représente.
24
Q

Selon les approches actuariels, quel est la différence entre la nature statique et dynamique ?

A

Statique : Ne change pas dans le temps. Ce sont des critères factuels. L’âge, antécédents judiciaires, etc. C’est historique, toujours présent. L’enjeu, il nous renseigne sur les probabilités de récidive, mais pas sur le changement qu’il a pu avoir à l’aide de thérapie, etc.

  • Enjeu : ne nous renseigne pas sur le changement qu’il a peut y avoir. Par exemple, si j’ai évalué une personne il y à 10 ans, et aujourd’hui j’utilise la même évaluation mais il n’a pas commis d’autres crimes…

Dynamique : Facteurs qui évoluent dans le temps et sur lesquels on peut intervenir pour les moduler et les diminuer.

25
Q

Nommez t’expliquer des outils actuariel

A
  1. VRAG (Violence Risk Appraisal Guide): D’abord conçu pour prévoir la récidive violente, sexuelle ou non sexuelle, chez les délinquants placés dans un établissement psychiatrique à sécurité maximale, le VRAG a suscité un vif d’intérêt en tant que prédicteur actuariel de la violence.

*Attention : peut être utilisé par des criminologues, mais après consultation du psychiatre / psychologue (PCL-R).

  1. Statique 99-R: Délinquance sexuelle, population caucasienne masculine adulte
  2. Stable-2007: Délinquance sexuelle, population caucasienne masculine adulte

4.Youth Level of Services / Case Management (YLS / CMI): Délinquance générale population masculine 12-18 ans

5.J-Soap II: Délinquance sexuelle, population masculine 12-18 ans

26
Q

Expliquer Les approches de jugement professionnel structure

A

Particularité: Associent la flexibilité d’une approche clinique à la force des données issues de la recherche

Avantage: Se centrent sur l’individu, avec ses caractéristiques propres, dans un environnement particulier et prennent en compte le fait que les connaissances des facteurs de risque ont évolué au fil du temps et obligent à une certaine souplesse conceptuelle

n Impliquent l’évaluation de différents facteurs, présentés à la manière d’un aide-mémoire, où une cotation à chacun des facteurs de l’ordre de « présent, partiellement présent, absent » est requise

n L’appréciation n’est pas mathématique: score total obtenu doit être jugé qualitativement et quantitativement selon la réalité de chaque individu

n Conçues dans l’optique d’évaluer le risque, mais aussi d’en **comprendre les manifestations i.e. **le risque doit être mesuré en fonction des circonstances susceptibles d’entrainer le passage à l’acte, et ce que pourrait être l’évolution du risque

n Nombreuses et destinées à une variété de tâches et de populations; le type de comportement délictueux à prévenir, de même que les caractéristiques des répondants détermineront en partie l’instrument choisi

n Exemples: HCR-20, ERASOR (dél.sex.jeunes), SARA (viol.conj.), SAPROF* (Structured Assessment of Protective Factors for violence risk)

27
Q

v Le principe de l’évaluation du risque comprend deux éléments :

A

1) L’importance de la prédiction fiable du comportement criminel et, en l’occurrence, la nécessité d’utiliser des instruments d’évaluation du risque basés sur des faits démontrés.

2) La nécessité de bien assortir le niveau de services au niveau de risque du délinquant. (Quels-sont les besoins problématiques, ce sur quoi on veut travailler).

Ø Tant les approches actuarielles dynamiques que les approches du jugement clinique structuré proposent des facteurs de risque précis et documentés par la littérature scientifique pour orienter l’évaluateur, mais diffèrent dans leur cotation.

28
Q

Il faut tenir compte de quoi lors du choix de de la méthode et de l’outil ?

A
  1. Du mandat de l’expertise (but / objectif / besoin)
  2. De la nature du risque que l’on veut évaluer (récidive générale, récidive sexuelle générale, récidive sexuelle sur un personne précise, récidive violente, récidive en violence conjugale…)
  3. De la population visée* (femme, homme, jeunes…)
  4. Du portrait clinique et judiciaire de la personne

Ø L’utilisation d’outils est complémentaire à une bonne évaluation : il est du devoir de l’expert de développer son analyse au-delà de l’évaluation du risque (contenu abordé dans les prochains cours)

Ø Il importe d’être formés et qualifiés pour pouvoir faire l’usage de tels outils, puis de respecter les règles de cotation quant aux outils actuariels

29
Q

Expliquer l’outil pinatel

A
  1. Ce qu’elle mesure: dangerosité
  2. Critères de la dangerosité: capacité criminelle +capacité d’adaptation

3.Famille: approche de jugement clinique non structuré

30
Q

Expliquer l’outil VRAG

A

1.Ce qu’elle mesure: risque de récidive violente, sexuelle ou non sexuelle

2.Famille: approche actuariel

3.Méthode actuarielle de nature statique

31
Q

Expliquer l’outil Statique 99-R

A
  1. Ce qu’elle mesure: risque de récidive délinquance sexuelle
  2. Famille: approche actuariel
  3. Méthode actuarielle de nature statique

*Le statique 99-R et le Stable -2007 peuvent être utiliser ensemble pour évaluer les facteur statique et dynamique de la délinquance sexuelle

32
Q

Expliquer l’outil Stable-2007

A
  1. Ce qu’elle mesure: risque de récidive délinquance sexuelle

2.Famille: approche actuariel

  1. Méthode actuarielle de nature Dynamique

*Le statique 99-R et le Stable -2007 peuvent être utiliser ensemble pour évaluer les facteur statique et dynamique de la délinquance sexuelle

33
Q

Expliquer l’outil YLS/CMI

A
  1. Ce qu’elle mesure: risque de récidive délinquance générale, population masculine, 12-18 ans
  2. Famille: approche actuariel
  3. Méthode actuarielle de nature dynamique et statique
34
Q

Expliquer l’outil J-Soap II

A
  1. Ce qu’elle mesure: risque de récidive délinquance sexuelle, population masculine, 12-18 ans
  2. Famille: approche actuariel
  3. Méthode actuarielle de nature statique et dynamique
35
Q

Expliquer le HCR-20

A
  1. Ce qu’elle mesure: évaluation du risque de récidive générale, en lien avec les manifestation
  2. Famille: approche de jugement professionnel structuré
36
Q

Expliquer le ERASOR

A
  1. Ce qu’elle mesure:évaluation du risque en lien avec les manifestation * récidive en délinquance sexuelle de population masculine 12-18 ans
  2. Famille: approche jugement professionnel structuré
37
Q

Expliquer SARA

A
  1. Ce qu’elle mesure: évaluation du risque en lien avec les manifestation * récidive en violence conjugale
  2. Famille: approche jugement professionnel structuré
38
Q

Quel sont les composantes de la capacité criminelle ?

A

Agressivité
Égocentrisme
Labilité
Indifférence affective