Exam 1: partie 2 Flashcards

1
Q

magnétoencéphalographie (ou MEG)

A

Même aimant que IRM mais plus légé, mesure Activité magnétique au niveau du scalpe (hybride entre EEG (scalpe et corticale) et IRM

Avantages: 
moins chère que l’IRM
patient peut rester plus longtemps et maintenir une plus grande validité écologique
Bonne résolution temporelle
Meillure résolution spatiale que EEG
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2
Q

imagerie par résonance magnétique:

nouveautée
2 types:

1: quoi
2: quoi, avantages,ex

A

1.IRM morphologique (anatomique)

Prend des photos en tranches à chaque mm et crée par ordinateur une modélisation 3D du cerveau
Donne pas activité cérébrale, mais permet de voir différence entre les tissus et donc détecter les lésions et donc vérifie intégrité des structures
Permet de voir tissus (espace donnée) et différence de concentration d’hydrogène entre eux en terme de contraste (couleur)
Voit matière grise, matière blanche, boîte cranienne où chaque tissu est homogène
Image: Si matière grise plus d’hydrogène donc blanc sur image, si matière blanche moins d’hydrogène donc gris sur image et si absence de matière (trou du à lésion) le liquide céphalo-rachidien (eau) vient combler le vide donc apparait noir sur l’image.

2.IRM fonctionnelle (IRMf)

beaucoup utiliser en clinique

même machine, mais cerveau est en action

mesure modifications magnétiques au moment où les molécules d’hémoglobine voit son oxygène se faire consommer par le cerveau (cellule) ce qui change le champ magnétique (passe d’une molécule neutre à chargé) selon le postulat que si la cellule consomme de l’oxygène, c’est qu’elle a été activée

Avantage: se fait online et sur l’ensemble du cortex
ex: lorsque je regarde une image, j’active mon cortex occipital, et cortex temporal si j’entend des sons, mais ceci active aussi un ensemble de régions dans le cerveau (réseau)

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3
Q

types de modèles

A

Localisationnisme, Globalisme

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4
Q

Localisationnisme (modèle localisationniste du fonctionnement cérébral)

A
  1. Représentation initiale, poumon = respirer, cerveau = pense
  2. avènement est dû à Carl Wernicke (1848-1905)

En 1874, Wernicke postule un lien de cause à effet entre une lésion du tiers postérieur de la circonvolution temporale gauche et les troubles de la compréhension du langage. (Wernicke décrit le cas d’un patient présentant principalement des troubles de la compréhension du langage et porteur d’une lésion du tiers postérieur de la circonvolution temporale gauche, mais tout de même capable de parler)

ll oppose l’« aphasie sensorielle » (qui deviendra l’aphasie de Wernicke) à l’« aphasie motrice » (ou aphasie de Broca)
(chamboule le monde scientifique en postulant l’existence d’une autre zone du langage, ce qui déclence guerre entre Localisationnisme et globalisme)

2.Découverte de l’asymétrie hémisphérique par ces travaux sur les aphasies à l’aide de la méthode anatomo-clinique
-Les deux hémisphères ne jouent pas des rôles identiques dans la vie mentale:
hémisphère gauche
Les troubles du langage, du geste et du calcul sont associés à une lésion de l’hémisphère gauche
L’hémisphère gauche est qualifié de verbal, linguistique et analytique (appliquer procédure, règles, algorithmes)

hémisphère droit
Les troubles altérant les habiletés visuospatiales, la perception des visages, ou encore les émotions sont associés à une atteinte de l’hémisphère droit
L’hémisphère droit est qualifié de non verbal, visuospatial et holistique (percevoir monde, etc)
hollisme renvoie au globalisme

3.Plusieurs régions cérébrales sont impliquées dans le langage:
–L’aire de Broca (cortex frontal inférieur gauche) pour la production du langage
–L’aire de Wernicke (partie supérieure et postérieure du lobe temporal gauche) pour le traitement des paroles entendues.
– L’aire de Broca et l’aire de Wernicke sont connectées par un important faisceau de fibres nerveuses appelé faisceau arqué

4.Fait naitre travaux de neurologie et neuropsychologie

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5
Q

psychométrie: quoi et exemple, Test psychométrique VS test cognitif

A

mesures psychologiques et quantification et mesure d’opérations mentales sans avoir concepts théoriques apriori qui représente les opérations mentales (on sait pas ce qu’elle mesure) emploi de tests mentaux, aussi appelés tests psychométriques

ex: QI

Test psychométrique VS test cognitif
Psychométrique: mesure pas une fonction mais rend compte d’un état mental (athéorique)
Cognitif: mesure fonction mentale particulière (théorique apriori) outils développés dans le cadre d’une « approche cognitive »

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6
Q

test mental: épreuve standardisée dans..

A

ans sa consigne, son matériel, ses conditions de passation et dans l’interprétation des résultats

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7
Q

test mental doit présenter des qualités

A

de fidélité, c.à.d. de reproductibilité des résultats d’un examinateur à l’autre et d’un moment à l’autre
intra-sujet: plusieurs tests, même personne
inter-sujet: plusieurs évaluateurs, même personne

validité c.à.d. une mesure spécifique de ce qu’il est censé mesurer

de sensibilité c.à.d. la capacité à détecter les individus qui s’écartent significativement de la norme
à quel point je suis capable de discriminer les personnes avec le trouble
ex: détecter TOUS les cas de rougeoles sans en oublier, le RISQUE est de détecter même des personnes sans la rouegeole (faux positifs) car le test peut-être trop sensible
VS

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8
Q

Le pouvoir discriminant d’un test

A

Le pouvoir discriminant d’un test est la résultante de sa sensibilité –capacité à détecter tous les sujets s’écartant de la norme – et de sa spécificité – capacité à ne détecter que ces sujets.

En d’autres termes, la sensibilité sera privilégiée si l’on cherche à repérer tous les individus « anormaux » et la spécificité, si l’on cherche à repérer uniquement les individus « anormaux ».

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9
Q

L’étalonnage

A

fournit des données normatives qui permettent de situer un sujet dans une population de référence.

Ces étalonnages sont généralement réalisés par groupes d’âge, plus rarement en fonction du sexe et du niveau socioculturel

Ces différentes variables permettent de prendre en compte la variabilité de la population de référence et d’améliorer le pouvoir discriminant de l’épreuve

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10
Q

3 types de tests psychométriques

A

-•Les épreuves d’efficience intellectuelle

-Les tests « d’aptitude »
mesure aptitude pas une fonction mentale spécifique
ex: obéir à un ordre dans l’armé

-Les tests de personnalité
(adhère aussi à la loi normale)

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11
Q

Les premières évaluations neuropsychologiques vont utiliser quels tests

A

les tests d’efficience intellectuelle et ceux d’aptitude

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12
Q

tests d’efficience intellectuelle

A

censés « mesurer les effets de l’intelligence »

Echelle de Binet fondé sur l’idée qu’il existe un facteur psychologique commun à toutes ces épreuves. Ce facteur général (ou facteur G) a parfois été assimilé à l’« intelligence ».

Binet crée échelle de QI, originalement l’intelligence est divisié en deux types
QI verbal (crystalisé): nombre de mots connus
QI non verbal (fluide): raisonnements, mesurer à partir de matrices (séquences de chiffres)

Force: capacité à identifier les très bon, très mauvais au test

plus tard:
Echelle d’intelligence de Wechsler pour adulte (WAIS)
Les matrices progressives de Raven

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13
Q

écalage entre la neuropsychologie ET outils psychométriques utilisés dans la pratique quotidienne

A

neuropsychologie d’aujourd’hui, ses modèles, son mode de pensée et les fondements théoriques VS psychométrique

L’inadéquation entre les fondements théoriques des tests psychométriques et les modèles de la neuropsychologie pose des problèmes à la fois d’interprétation et de validité de la mesure.

Dans toute situation d’évaluation, il convient de distinguer la performance à une épreuve (ce qui est réellement mesuré) et les processus cognitifs censés être appréhendés. Un test n’est jamais « pur », il met toujours en jeu une diversité de processus cognitifs, malgré le soin apporté à sa construction.

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14
Q

Épreuve standardisé:

A

TOUT le kit qui permet d’atteindre la fidélité, validité voulu pour un test

inclu: contexte, questionnaires, consignes, etc.

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15
Q

Écart-type et seuil

A

de -2 à 2 inclu 95% de la pop

le 5% est considéré anormal (2.5% de chaque coté de la courbe avec un taux de 0.05% d’erreur si la personne est anormal) (tout les test psychométrie se base là-dessus et ceux neuropsychologique (ex: si anormal à un test de mémoire = amnésie)

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16
Q

Les échelles comportementales

A

Dans certains cas, le fonctionnement cognitif est normal ou subnormal et la pathologie se manifeste surtout par des troubles comportementaux

Les outils standardisés et validés sont indispensables pour une évaluation objective des modifications du comportement et de l’humeur d’un patient

à quel point le personne a symptome comportemental par rapport à la norme

Les échelles d’hétéro-évaluation reposent sur l’observation par les proches des modifications du comportement susceptibles d’être présentées par le patient
-évaluateur pose les questions et remplit le questionnaires

17
Q

L’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) bénéficie aujourd’hui de méthodes dites

A

événementielles qui permettent d’enregistrer l’activité cérébrale pendant le traitement d’un item (de l’ordre d’une seconde)

18
Q

Deux types de méthodes d’imagerie cérébrale fonctionnelle peuvent être distingués,

et méthode qui bénéficie aujourd’hui de méthodes dites événementielles qui permettent d’enregistrer l’activité cérébrale pendant le traitement d’un item (de l’ordre d’une seconde)

A

EEG, MEG (résolution temporelle élevé, spatiale imprécise)

TEP (inverse)

IRMf

19
Q

Valider nouveau test

A

il faut mesurer sa sensibilité et sa spécificité

À l’aide d’un groupe d’individus dont on sait déjà s’ils ont le trouble neuropsychologique (par ex: une amnésie antérograde), on mesure la capacité du test à détecter cette amnésie

on compte ensuite:
-réponses du test positif lorsque amnésie réellement présente (vrai positif, décision correcte, sensibilité)

  • réponses du test positif lorsque l’amnésie est en réalité absente (faux positif, décision erroné, erreur alpha)
  • réponses du test négatif lorsque l’amnésie est réellement absente (vrai négatif, décision correcte, spécificité)
  • réponses du test néfatif lorsque l’amnésie est en réalité présente (faux négatif, décision erronée, erreur beta)

La sensibilité est la probabilité que le test soit positif si l’amnésie est présente
Elle se mesure chez les individus amnésiques seulement
Sensibilité = Vrais positifs / (Vrais positifs + Faux négatifs)

La spécificité est la probabilité que le test soit négatif si l’amnésie n’est pas présente
risque: on peut oublier des cas
Elle se mesure chez les individus non-amnésiques seulement
Spécificité = Vrais négatifs / (Vrais négatifs + Faux positifs)

Bon test: spécificité et sensibilité élevé les deux au maximum

Donc il est bien d’abordé un test en posant la question, est-ce mieux des faux négatifs ou faux positifs?

20
Q

neuropsychologiefonctionnelle: Ce domaine implique

A

Ce domaine implique l’utilisation de technologies sophistiquées et gcontraignantes et la construction de paradigmes cognitifs pertinents.

21
Q

Cette approche permet de surcroît de mieux comprendre les phénomènes de compensation qui se mettent en place lors d’affections cérébrales

A

neuropsychologie fonctionnelle

22
Q

neuropsychologie fonctionnelle: permet de comprendre mieux quoi? nouvelle neuropsychologie pk? Ces méthodes de neuroimagerie sont aussi utilisées chez des patients…

A

Cette approche permet de surcroît de mieux comprendre les phénomènes de compensation qui se mettent en place lors d’affections cérébrales

•Il s’agit en quelque sorte d’une nouvelle neuropsychologie où les « corrélations » ne sont plus uniquement anatomo-cliniques mais intègrent la dimension de l’activité fonctionnelle cérébrale. •

Ces méthodes de neuroimagerie sont aussi utilisées chez des patients gatteints de pathologie neurologique ou psychiatrique, et fournissent dans ce cas des arguments physiopathologiques à la compréhension de ces maladies.

23
Q

L’utilisation de QUOI est également en passe de ggmodifier certaines procédures de diagnostic

A

’imagerie cérébrale fonctionnelle

24
Q

’imagerie cérébrale fonctionnelle en passe de ET ex

A

modifier certaines procédures de diagnostic

Par exemple dans le domaine des maladies neurodégénératives, notamment à leur phase précoce, où elle complète les investigations cliniques

25
Q

test mental def

A

est une épreuve standardisée dans sa consigne, son matériel, ses conditions de passation et dans l’interprétation des résultats

26
Q

globalisme né de quoi

A
  1. est né de la théorie de l’évolution
    Un phénomène pathologique est considéré comme la dissolution d’un comportement normal.
    Et les comportements sont le résultat de mécanismes psychophysiologiques faisant intervenir plusieurs structures anatomiques
27
Q

globalisme: john hughlings jackson

A

2.John Hughlings Jackson (1835-1911)
Pour Jackson, toute fonction accomplie par le système nerveux central n’est pas tributaire d’un groupe limité de cellules formant une sorte de dépôt pour cette fonction
pas de zones préférentielles ou spécifiques aux fonctions

Elle est sous-tendue par une organisation verticale complexe représentée d’abord au niveau inférieur dans le tronc cérébral, puis au niveau moyen dans les secteurs moteurs ou sensoriels du cortex et enfin au niveau supérieur, supposé être celui des régions frontale
cerveau = un tout qui contribue tout au comportement
le compt est fruit du SN
le même symptome peut s’obersver par la coupe du cerveau au SN à plein d’endroits différents
dit que la sensation va de manière ascendante vers le cerveau et la production ou comportement de manière descendante à partir du cerveau

Pour Jackson, la localisation de la lésion responsable du symptôme lors de l’atteinte d’un ysecteur limité du système nerveux central ne saurait en aucun cas être assimilée à la localisation des substrats cérébraux de la fonction
Cette dernière peut se répartir d’une manière sensiblement plus complexe et avoir une toute autre organisation cérébrale

28
Q

globalisme: sigmund freud

A

3.Sigmund Freud (1856-1939)
Les travaux du jeune Freud se situe dans le courant de pensée globaliste. Dans sa monographie consacrée à ggl’aphasie, parue en 1891, il livre à une revue critique des travaux sur les localisations cérébrales, en particulier les thèses localisationnistes (aussi dit associationnistes) de Wernicke

Freud suggère que le substratum neuro-anatomique de la parole et du langage doit être conçu comme « une aire corticale continue de l’hémisphère gauche » La notion de centre telle que le centre de la parole n’a de sens que du point de vue de la pathologie, elle ne reflète en rien le fonctionnement du cerveau normal.
(reconnait certain asymétrie mais pas de zones spécifiques de tel hémisphère dans le langage
zones dans un hémisphère fonctionnent ensembles
Réseaux > lieux particuliers (langage)
)

29
Q

globalisme: henry head

A
Henry Head (1861-1940)
Pour Head, l’aphasie est une perturbation de la formulation et de l’expression symbolique. Elle touche la ycompréhension et l’usage de signes propres au langage mais aussi de signes autres que ceux du langage.

Head refuse la localisation de fonctions supérieures comme le langage ainsi que la notion de centre

ll admet seulement des foyers préférentiels d’intégration et établit un rapport non pas entre des zones du cortex et des aspects du langage mais entre des lésions des aspects du langage, mais entre des lésions circonscrites et des syndromes, associant ainsi à une pratique localisationniste une théorisation globaliste

Sa vision:
1 zone: se représenter les symboles
zones préférentielles d’intégration d’info et le reste traiter par le reste du cerveau

30
Q

globalisme: 3 grands noms

A

henry head, sigmund freud, sigmund freud