Exam 2: 3, âgé Flashcards

1
Q

Pendant des décennies, les travaux portant sur la cognition chez les sujets âgés ont insisté sur

A

le déclin des capacités cognitives, et surtout mnésiques, trouvant un écho dans les plaintes spontanées des sujets âgés et dans les craintes suscitées par la médiatisation de la maladie d’Alzheimer.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Le vieillissement cognitif est caractérisé par

A

des changements dans les capacités cognitives liées aux modifications neurophysiologiques qui s’opèrent avec l’avancée en âge

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

variabilité

Les études récentes montrent que le vieillissement est caractérisé par une double variabilité : enum

Cette variabilité se manifeste dans le domaine de la mémoire :

A

Les études récentes montrent que le vieillissement est caractérisé par une double variabilité :

Une variabilité entre les individus
Une variabilité selon les diverses fonctions cognitives étudiées

Cette variabilité se manifeste dans le domaine de la mémoire :
La mémoire épisodique est la plus sensible aux effets délétères du vieillissement, la mémoire de travail l’est à un degré moindre
La mémoire procédurale, la mémoire sémantique et la mémoire perceptive sont relativement préservées.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Modifications cognitives avec le temps selon graphique

A

voir graphique

Graphique :

  • Dès l’âge de 20 ans diminution de l’activité cognitive dans mémoire de travail, mémoire épisodique, vitesse traitement de l’info
  • Capacités sémantiques = meilleures à 80 ans qu’à 20 ans
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Composantes cognitives: enum

A

La mémoire épisodique , La mémoire de travail, La mémoire sémantique, La mémoire perceptive ou le système des représentations perceptives (SRP), La mémoire procédurale, Le langage, Fonctions exécutives et attention

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

La mémoire épisodique:

niveaux de traitement

A

La conception des niveaux de traitement (Craik & Lockhart,1972) propose que la persistance de la trace mnésique est fonction de la profondeur de traitement:
Les niveaux de traitement profond sont associés à des traces mnésiques plus élaborées et plus résistantes dans le temps.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

La mémoire épisodique: Encodage:

effet sur 3 étapes

test de reconnaissance avec distracteurs sémantiques

hypothèses (2)

A

Au niveau de l’âge : encodage et récupération peuvent être altérés mais l’âge n’a pas d’effet sur le stockage

Les tests de reconnaissance avec distracteurs sémantiques entraînent plus de fausses reconnaissances chez les sujets âgés que chez les jeunes
distracteurs sémantique = tigre lorsque je dois reconnaitre un léopard

Hypothèse d’un encodage insuffisamment précis et distinctif
Les sujets âgés éprouvent des difficultés à encoder ces informations contextuelles et ne peuvent pas s’en servir comme indices de récupération
Ils ont des difficultés à restituer non seulement les informations cibles mais encore plus le contexte dans lequel elles étaient présentées
encodage générale, pas de caracts spécifiques ou superficielles
donc jeunes plus d’info non pertinentes VS vieux

Hypothèse d’un déficit d’encodage du contexte
Les sujets jeunes encodent les items cibles et les informations associées à ces items (la voix de l’examinateur, la couleur de l’encre, ou le graphisme selon le mode de présentation, orale ou écrite), de façon automatique. Ils pourront s’appuyer sur ces éléments qui forment le contexte pour récupérer les items cibles.
se focalise sur item, mais pas contexe, pcq cotexte moins pertinents pour la personne

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

La mémoire épisodique: Stockage:

possible?

comment l’évaluer?

effet selon délai

A

Le stockage, ou maintien des informations en mémoire, est possible grâce à la consolidation de l’information encodée.
Les capacités de stockage peuvent être évaluées en calculant un taux d’oubli entre deux sessions de récupération d’informations.

Les études portant sur le stockage ne montrent généralement pas de différence de taux d’oubli en fonction de l’âge lorsque le délai est court.

A partir d’un délai d’environ 24 heures, les informations encodées en mémoire sont oubliées plus rapidement chez les sujets âgés que chez les sujets jeunes
délais 24h parceque diminution qualité sommeil des vieux (sont pas capable sommeil profond ou paradoxal)

De nombreuses études ont montré l’importance du sommeil dans la consolidation des informations épisodiques et plus particulièrement le sommeil lent profond.

Le sommeil paradoxal intervient également dans la consolidation mais plutôt sur les aspects spatiaux du souvenir et des détails contextuels.

Or, le vieillissement s’accompagne de modifications importantes du sommeil, notamment une réduction du sommeil lent profond, ce qui pourrait contribuer à diminuer l’efficacité des processus de consolidation chez les sujets âgés.
Par exemple, plus la nuit est occupée par du sommeil lent profond, plus les performances de rappel le lendemain sont élevées (Malle et al., 2015)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

La mémoire épisodique: Récupération:

selon modes de rappel

hypothèse

reconnaissance: 2 types de processus

comment différencier 2 processus

A

En situation de récupération, les diminutions de performances chez les sujets âgés par rapport aux jeunes varient selon les modes de rappel (Plus le support environnemental est faible, c’est-à -dire qu’il y peu d’aide externe, moins bonne sera la performance):
Le rappel libre entraîne le plus de difficultés chez les sujets âgés

Le rappel indicé entraîne un peu moins de difficultés
Pour la reconnaissance, leurs performances sont souvent équivalentes à celles des jeunes.

Hypothèse d’un déclin des mécanismes de récupération
La reconnaissance serait supporté par 2 types de processus de nature différentes
Des processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité (reste plus?)
L’information est récupérée mais pas son contexte spatio-temporel. Le sujet « sait » que l’item faisait partie de la liste d’étude mais ne se souvient pas des détails du contexte d’encodage

Des processus contrôlés (altéré)
L’information et son contexte d’encodage sont récupérées. Le sujet a le sentiment de « se souvenir » et pas seulement de « savoir »

Cette distinction entre les deux types de récupération peut se faire à l’aide du paradigme Remember/Know, initialement proposé par Tulving, qui permet d’étudier la conscience associée à la récupération de l’information.

Les réponses « je me souviens » relèvent de la mémoire épisodique (reconstruction consciente de l’événement)

Les réponses « je sais » relèvent plutôt de la mémoire sémantique (sentiment de familiarité)

Dans le vieillissement normal, les réponses « je me souviens » diminuent avec l’âge, contrairement aux réponses « je sais », qui sont soit stables, soit en augmentation avec l’âge, permettant ainsi de compenser la diminution des premières

Les effets de l’âge affectent ainsi les processus de récupération contrôlée, mais pas les processus de récupération automatiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

La mémoire épisodique: La mémoire de travail

A

La mesure de l’empan est l’une des tâches les plus couramment utilisées pour évaluer la mémoire de travail (par exemple, l’empan de chiffre).

L’empan endroit (chiffre dans l’ordre) des adultes âgés est comparable à celui des jeunes

Préservation de la boucle phonologique et du calepin visuospatial avec l’âge

L’empan envers ou l’empan alphabétique sont sensibles aux effets de l’âge:

Diminution des capacités de l’administrateur central (qui fait fonctions exécutives, ex dire a l’envers) avec l’âge (les difficultés se situeraient au niveau de la manipulation d’informations et non pas du stockage)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

La mémoire sémantique:

résistance?

bonnes perfo a quels tests

taches amorcage sémantique

fluence verbale

  • resistance?
  • fluence def
  • resultats
  • cause
  • perfo égale aux jeunes quand?
A

La mémoire sémantique résiste particulièrement bien aux effets de l’âge:

L’intégrité des représentations sémantiques est avérée par des très bonnes performances aux tests de vocabulaire donner un mot, demander une def), de connaissances générales, de similitudes sémantiques, de définition de proverbes.

A des tâches d’amorçage sémantique (avoir vu un indice sémantique avec le vrai contenu) telles que les tâches de décision lexicale où certains items sont des mots précédés d’autres mots reliés sémantiquement, l’activation de la représentation sémantique du mot suivant étant plus courte s’il est relié sémantiquement au mot précédent, les sujets âgés présentaient des effets d’amorçage
équivalents à ceux des sujets jeunes.

Néanmoins la fluence verbale diminue avec l’âge, mais cela n’est pas systématique et la réduction de la production est expliquée par un fonctionnement exécutif moins efficace

fluence = demander le plus de mots possible selon une catégorie (animaux)
résultats: moins de mots
cause: fonctions exécutives altérés: strat de changement de sous-catégories (jungle -> ferme) altéré (oublient de changer de catégorie)
mais perfo égale si demande animaux d’une seule sous-catégorie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

La mémoire perceptive ou le système des représentations perceptives (SRP):

def

effet sur agé, tache

A

permet de discriminer des choses dans l’environnement

Pas d’effet de l’âge sur les effets d’amorçage perceptif
Les sujets âgés sont aussi rapides que les jeunes pour identifier des dessins dégradés lorsqu’ils ont vu les dessins dans leur intégralité auparavant

dégradation de dessin: plus rapide si amorcage par dessin deja vu

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

La mémoire procédurale

A

Pas d’effet de l’âge sur la mémoire procédurale

Néanmoins, les sujets âgés présentent un ralentissement de la dynamique de l’apprentissage, parvenant plus tard que les jeunes à la « phase procédurale » qui signe l’automatisation de la procédure et constitue la dernière étape de l’apprentissage.

Les effets de l’âge se manifestent donc lors de l’apprentissage des procédures, et ce d’autant plus qu’elles impliquent d’autres processus cognitifs (mémoire de travail, fonctions exécutives, …), une phase qu’il faut bien distinguer de la mémoire procédurale, qui elle, résiste aux effets de l’âge.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Le langage

A

Il n’existe pas d’altération majeure du langage liée au vieillissement et si un déclin modeste est observé, il affecte essentiellement les capacités de production alors que les capacités de compréhension restent préservées.

Dans le domaine de la production, le manque du mot, l’incapacité à produire le bon mot au bon moment, « l’avoir sur le bout de la langue » sont des expériences dont la survenue s’accroît avec l’âge.
Il affecte surtout les mots de basse fréquence et plus particulièrement les noms propres.
Ce phénomène serait la conséquence d’un défaut d’activation de la représentation phonologique d’un mot correctement sélectionné

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Fonctions exécutives et attention

es perturbations liées à l’âge ont été classiquement attribuées au… mais, plus récemment, c’est…

A

Le déclin des fonctions exécutives est une caractéristique du vieillissement normal.
La flexibilité, la mise à jour et l’inhibition ((sesibilité aux interférences)) sont sensibles aux effets de l’âge.

Les perturbations liées à l’âge ont été classiquement attribuées au ralentissement cognitif ou aux déficits attentionnels mais, plus récemment, c’est un déclin du contrôle exécutif qui a été avancé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Deux approches cherchent à expliquer les modifications cognitives au cours du vieillissement normal:

les 2 approches (de maniere generale)

A

Selon l’ approche globale, un petit nombre de facteurs généraux expliquent l’ensemble des effets du vieillissement.

Selon l’ approche neuropsychologique, les effets du vieillissement sont dus à la détérioration de certains processus spécifiques au sein de la fonction concernée et/ou des structures anatomiques qui les sous-tendent

Il existe indéniablement des liens entre les deux approches, par exemple entre l’hypothèse globale qui privilégie le déficit des capacités d’inhibition ou de la mémoire de travail et l’hypothèse neuropsychologique « frontale ».

Au total, les deux approches sont complémentaires, aucune des deux ne permettant à elle seule, de rendre compte de l’ensemble des phénomènes observés au cours du vieillissement

17
Q

Selon l’approche globale:

quoi

commun a toutes les variantes

3 hypotheses

A

un facteur général expliquerait l’ensemble des effets du vieillissement, qu’il s’agisse de la mémoire ou des autres fonctions cognitives.

Il existe plusieurs variantes de ce modèle, toutes basées sur l’idée que le vieillissement normal s’accompagne d’une diminution des ressources disponibles pour le traitement de l’information, avec des différences quant aux mécanismes sous-jacents à cette diminution

L’hypothèse d’une diminution de la vitesse de traitement de l’information (Salthouse, 2009)

Deux mécanismes distincts seraient responsables de la relation entre la vitesse et la cognition:

D’une part, les opérations cognitives sont exécutées trop lentement pour être achevées en un temps limité, et moins de traitement cognitif équivaut généralement à un moins bon niveau de performance.

D’autre part, le ralentissement réduit la quantité d’informations disponibles simultanément, nécessaires à un traitement cognitif de plus haut niveau. Les produits d’une première étape de traitement risquent alors d’être perdus au moment où les traitements ultérieurs sont accomplis

(vu qu’il y a plus de temps, doit garder plus de ressources longtemps en MCT et donc peuvent traiter moins d’fino sup)

L’ hypothèse d’une diminution des capacités de la mémoire de travail avec l’âge
Certaines études montrent ainsi que des mesures de mémoire de travail sont de bons prédicteurs des performances dans des tâches de rappel de phrases ou de textes, mais ce résultat a été controversé

L’hypothèse d’une diminution des capacités d’inhibition des informations non pertinentes

La conséquence serait une surcharge de la mémoire de travail à l’origine de difficultés cognitives chez les personnes âgées : celles-ci auraient tendance à traiter toutes les informations plutôt que de sélectionner les plus appropriées

(a cause de sensibilité aux interférences: traite plus d’info non pertinente)

18
Q

Selon l’approche neuropsychologique

quoi

idée centrale

A

La spécificité de cette approche est de permettre de comprendre comment le vieillissement normal peut s’accompagner de l’atteinte sélective de certains systèmes (ou de certains processus au sein des systèmes).

L’idée centrale est que l’atteinte sélective de certaines structures cérébrales est responsable du déclin de performances.

L’analyse du fonctionnement de la mémoire épisodique chez des sujets âgés a plutôt orienté les recherches vers une comparaison avec les patients avec un syndrome frontal.
Ces patients n’ont pas de véritable syndrome amnésique, ils éprouvent des difficultés de même nature que celles notées chez les sujets âgés normaux, même s’il existe des différences quantitatives:
Difficultés dans l’organisation du matériel•Stratégies spontanées d’encodage et de récupération insuffisamment efficaces
Difficultés d’inhibition et sensibilité aux interférences
Problèmes de jugement temporel
Amnésie de la source et risque accru de faux souvenirs

L’analyse du fonctionnement de la mémoire épisodique chez des sujets âgés a plutôt orienté les recherches vers une comparaison avec les patients avec un syndrome frontal.
Un argument supplémentaire à l’appui de cette hypothèse est que les différences entre les performances de groupes de sujets jeunes et de sujets âgés s’expliquent au moins en partie par les différences de performances aux tests de fonctions exécutives.

19
Q

Variabilité interindividuelle et réserve cognitive

quoi

caractéristiques

A

ité interindividuelle et réserve cognitive
L’existence d’une importante variabilité interindividuelle des performances, à âge égal, a souvent été signalée dans la littérature et cette variabilité augmente avec l’âge.
Plus précisément, différentes études suggèrent qu’elle augmente dans certains domaines cognitifs, dont la mémoire, et davantage chez les sujets de bas niveau culturel.
Certains sujets âgés bénéficieraient d’un vieillissement « normal » voire « réussi » tandis que d’autres seraient plus sensibles au déclin cognitif.

Plusieurs caractéristiques semblent déterminantes dans l’apparition de ces différences interindividuelles, parmi lesquelles le niveau d’éducation.

L’influence de cette variable sur les systèmes mnésiques n’est pas homogène, la mémoire épisodique, la mémoire de travail et la mémoire sémantique y étant plus sensibles que les effets d’amorçage et la mémoire procédurale.
De plus, le niveau d’éducation des sujets peut moduler l’influence de l’âge sur la mémoire.

•Plus le niveau d’éducation est bas, plus les effets délétères de l’âge sur l’apprentissage d’une liste de mots et sur la capacité d’inhiber les mauvaises réponses sera important.

Plusieurs auteurs ont montré que des sujets en bonne santé, avec un haut niveau d’éducation, actifs sur le plan intellectuel et bien intégrés socialement avaient plus de chances d’échapper à la détérioration intellectuelle et au déclin de la mémoire

20
Q

La notion de « vieillissement réussi »

A

La notion de « vieillissement réussi » (successfulaging) est volontiers employée pour qualifier ce qui se passe chez les personnes âgées dont le fonctionnement cognitif est remarquablement préservé.

Ce terme s’oppose au vieillissement habituel ou normal, et au vieillissement pathologique

Les études des facteurs prédictifs d’un vieillissement réussi ont souligné l’importance:
du niveau d’éducation•
de la bonne santé•
d’une nutrition de bonne qualité•
de l’exercice physique et intellectuel•
du maintien des liens sociaux
21
Q

La réserve cognitive (Stern, 2009)

A

Le vieillissement cognitif n’est pas un processus homogène d’une personne à l’autre et certains individus semblent résister remarquablement aux effets de l’âge.

La réserve cognitive a été proposée pour expliquer l’écart observé chez certains individus entre le degré de leur atteinte cérébrale et son expression sur le plan cognitif
Elle serait modulée par des facteurs environnementaux tels que le niveau d’éducation, la pratique d’activités cognitivement stimulantes, la pratique régulière d’activités physiques au cours de la vie.

Les résultats de l’étude SHARE (Survey on Health, Ageingand Retirement in Europe) ont montré que le fait de rester en activité, ainsi que la pratique d’une activité non professionnelle ou d’activités physiques sont favorables à la constitution de la réserve cognitive (Adam et al., 2013 ; Amieva, 2018)

22
Q

comment tester endodage

A

demander tout de suite le mot qui a été montré et ce avec un indice

23
Q

comment tester stockage

A

test de reconnaissance du mot: harang etait la? si oui: stockage préservé

24
Q

critique approche globale et la réponse de l’approche np

A

pk certaines capacités préservées: ex: mem procédurale

certaines structs cérérables plus sensibles, comme les lobes frontaux