Bloc 1 Section 2 Flashcards

(54 cards)

1
Q

Quels sont les 4 comportements parentaux à promouvoir?

A

Écoute active

Soutien

Guidance constructive

Discipline

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2
Q

Quelles sont les étapes de l’écoute active?

A

Message → Entendre → Porter attention → Comprendre → Mémoriser → Interpréter → Répondre

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3
Q

Quelle est la première étape pour aider un parent dans son écoute active?

A

Il est important de comprendre pourquoi le parent n’écoute pas. Cela nous permet de cibler le problème et de travailler pour résoudre le problème avec une intervention appropriée.

À quelle étape de l’écoute active se situe le problème?

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4
Q

Explique l’étape de l’écoute active: entendre

A

Utilisation des sens (ouïe, vision, toucher, etc)
-Problèmes possibles à cette étape:
-Parent qui a des problèmes auditifs, visuels, etc.
-Contexte bruyant

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5
Q

Discute de l’étape de l’écoute active: porter attention

A

Problèmes possibles à cette étape:
-Parent avec un déficit d’attention, parent qui est déconcentré sur le moment, parent distrait par le cellulaire

On veut amener le parent à capter les signaux.

La façon d’intervenir va varier selon le problème

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6
Q

Discute de l’étape de l’écoute active: comprendre

A

Comprendre l’information dans son contexte

Faire du sens de l’information.

Problèmes possibles à cette étape:
-Parent avec déficience intellectuelle, manque de connaissance (par exemple, un adolescent qui parle de trucs d’ado), problèmes physiologique (par exemple, un aire cérébrale qui est endommagée), parent qui n’est pas motivé à comprendre

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7
Q

Discute de l’étape de l’écoute active: mémoriser

A

Problèmes possibles à cette étape:
-Problèmes de mémoire chez le parent

Souvent ce n’est pas pour cette étape que les gens viennent consulter. Souvent, ils sont déjà au courant de leur problème de mémoire

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8
Q

Discute de l’étape de l’écoute active: interpréter

A

Le parent fait des liens avec d’autres informations

Problèmes possibles à cette étape:
-Si le parent ne connait pas bien son enfant (manque de connaissance), biais d’attribution, préjugés

C’est souvent à cette étape qu’on intervient

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9
Q

Discute de l’étape de l’écoute active: répondre

A

La réponse doit idéalement être en lien avec le message et être contingente (la réponse est spécifique au message)
-Contingence: peut être remarquée quand la réponse suit rapidement la question ou quand la réponse est clairement liée au message de l’enfant

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10
Q

Quels sont les besoins psychologiques fondamentaux?

A

Autonomie
Compétence
Relation à autrui

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11
Q

Que veut-on dire quand on dit que les parents doivent offrir du soutien?

A

On veut dire qu’ils doivent subvenir aux besoins psychologiques des enfants

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12
Q

Qu’est-ce que le besoin psychologique de l’autonomie?

A

Décision volontaire d’exécuter une action qui est en cohérence avec le soi et dont la cause perçue vient de l’intérieur.

Pouvoir décider soi-même ce qu’on veut faire et comment on veut le faire.

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13
Q

Qu’est-ce que le besoin psychologique de compétence?

A

Sentiment d’efficacité sur l’environnement, incluant un sentiment de prise en charge personnelle de l’effet produit.

On se sent compétent quand on est capable de maîtriser un comportement. Sentiment de prise en charge = la personne se rend compte que c’est grâce à elle qu’elle a réussi. Plus la personne réussi l’action par soi même, plus il y a des chances de se sentir compétent.

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14
Q

Qu’est-ce que le besoin psychologique de relation à autrui?

A

Sentiment d’appartenance et sentiment d’être lié à des personnes importantes pour soi.

La notion de confiance est importante dans ce besoin psychologique. Savoir qu’on peut compter sur quelqu’un rassure la personne.

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15
Q

En quoi consiste le soutien à l’autonomie?

A

Écouter l’enfant

Permettre à l’enfant de faire ses tâches et activités à sa manière.

Nourrir les ressources motivationnelles internes de l’enfant.
-Éviter les récompenses externes, plutôt féliciter l’enfant et l’encourager (va favoriser la motivation intrinsèque).

Utiliser un langage informatif
-On met l’accent sur ce qu’on attend de l’enfant et sur comment il pourrait avoir un meilleur comportement. Plutôt que de mettre l’emphase sur ce qu’il fait de mal. Cela permet à l’enfant de savoir ce qu’il doit faire.

Encourager et valoriser les efforts
-Mieux de féliciter l’effort que la réussite. Si on félicite seulement les succès, l’enfant ne voudra plus continuer face à un échec. Il vaut mieux

Reconnaitre et accepter les expression d’affects négatifs.
-Normaliser l’expérience d’affect négatif et enseigner à l’enfant comment la gérer. Plutôt que chicaner l’enfant car il est fâché.

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16
Q

En quoi consiste la structure dans un cadre de soutien de la part des parents?

A
  1. Communiquer clairement les attentes et les procédures
  2. Fournir des défis optimaux (difficiles mais réalisables)
  3. Fournir des encouragements, des astuces, des conseils pour progresser
  4. Fournir un guidage qui favorise la construction de compétences et qui est riche en informations.
  5. Donner une rétroaction sur la performance en temps opportun et de manière consistante, prédictive et contingente.

Ces stratégies nourrissent et satisfont le besoin de compétence de l’enfant.

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17
Q

En quoi consiste l’implication dans un cadre de soutien de la part des parents?

A
  1. S’intéresser à l’enfant: ce qui l’anime, ce qu’il fait, ce qu’il ressent, etc.
  2. Prendre du temps pour les préoccupations de l’enfant
  3. Montrer de la bienveillance
  4. Exprimer de l’affection, de l’amour et de l’appréciation
  5. Profiter pleinement du temps passé avec l’enfant
  6. Partager des ressources personnelles, telles que le temps, l’attention, l’énergie, l’intérêt et le soutien affectif.

Ces stratégies nourrissent et satisfont le besoin de relation à autrui de l’enfant.

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18
Q

À quoi mènent le soutien à l’autonomie, la structure et l’implication?

A

À l’engagement

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19
Q

Qu’est-ce que l’engagement?

A

Intensité et qualité émotionnelle que les gens montrent lorsqu’ils entreprennent et exercent des activités.

Quand l’enfant se sent engagé, il montre des niveaux plus élevés d’attention, d’effort, de persistance, de participation verbale, et d’émotion positive.

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20
Q

Qu’est-ce que la guidance?

A

Action de guider les comportements de l’enfant en lui donnant de l’information, des conseils et du soutien.

La guidance est une extension de la relation

Le parent doit éviter le contrôle, la critique négative et le blâme.

Le parent doit avoir une bonne connaissance des règles.

Il peut y avoir des différences d’une famille à l’autre.

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21
Q

Quels sont les différents types de règles dans la guidance constructive?

A

Rigidité (résultat négatif)

Critique (résultat négatif)

Règles non négociables (parentage constructif)

Règles négociables (parentage constructif)

Permissivité (résultat négatif)

Abandon (résultat négatif)

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22
Q

Qu’est-ce qu’une règle rigide?

A

Le parent est fermé à la négociation. Sans donné de justification ou de raison, le parent est fermé. Or, ce ne sont pas des règles dont la dérogation mène au danger de l’enfant.

23
Q

Qu’est-ce qu’une règle critique?

A

Le parent laisse l’enfant s’exprimer, mais ne tient pas compte de ses commentaires.

24
Q

Qu’est-ce qu’une règle non-négociable?

A

Les règles de sécurité et pour le bon développement de l’enfant. Ces règles doivent être appliquées rigoureusement.

Par exemple, faire ses devoirs, manger sainement, faire attention avant de traverser, etc.

25
Qu'est-ce qu'une règle négociable?
La règle est accompagnée d’une certaine ouverture. Si la règle n’est pas appliquée exactement comme il faut, l’enfant n’est pas en danger.
26
Qu'est-ce qu'une règle permissive?
Le parent met en place des règles, mais celles-ci sont flexibles. Les règles ne sont pas toujours appliquées.
27
Qu'est-ce qu'un abandon?
L’enfant est laissé complètement à lui-même. Il n'y a pas de règles. L'enfant peut faire à sa tête.
28
Vrai ou faux. La rigidité et l'abandon peuvent être présents sans que ce soit nocif.
Faux, critique et permissivité peuvent à l’occasion être présents sans que ce soit nocif. TOUTEFOIS, l’abandon et la rigidité sont proscrits.
29
Quelles sont les règles à privilégier en guidante constructive?
Viser l'équifinalité Démontrer de l'empathie Expliquer et raisonner -Il faut qu’il y at des arguments clairs derrière les règles. -Il faut le faire selon la capacité de l’enfant à comprendre. Il faut que les mots employés soient des mots que l’enfant peut comprendre. Être constant -Il faut que la règle soit toujours appliquée de la même façon (dans le temps et appliquée pareil pour tous) Utiliser le renforcement -Renforcer avec un langage informatif, souligne l’effort -Il ne faut pas toujours renforcé (il ne faut pas surcomplimenté) -Il faut éviter la punition Favoriser l'autonomie -L’enfant doit le faire seul et s’améliorer par elle-même Favoriser l'individualité -Laisser l’enfant s’exprimer (goûts, passion, etc.)
30
Qu'est-ce que l'équifinalité?
Capacité des processus vivants à atteindre le même état final à partir de différents états de départ. Équifinalité: ce qui est important est le résultat et non la façon. -L’important est que l’enfant respecte la règle, mais il peut choisir la façon dont il s’arrange pour respecter la règle. -Équifinalité permet de soutenir l’autonomie.
31
Qu'est-ce que l'empathie?
Capacité à comprendre les états internes de quelqu'un d'autre.
32
Quelles sont les caractéristiques d'une discipline appropriée?
Être adaptée au développement de l'enfant Mener l'enfant à des choix comportementaux appropriés Encourager l'intériorisation des règles, valeurs et croyances Soutenir l'autorégulation et l'autoefficacité Guider les habiletés sociales, faciliter les interactions sociales et le travail avec autrui Avoir des actions positives, raisonnable et tempérées Être constant tout en étant flexible Fournir une structure au moyen de règles dans le système familial.
33
Explique les différences entre compétence, besoin de compétence, auto-efficacité et sentiment d'autoefficacité.
Compétence → capacité Besoin compétence → sentiment de compétence Auto-efficacité → être capable d’adapter nos compétences selon les circonstances. Utiliser ses compétences et les adapter. Sentiment d’auto-efficacité → sentiment d’être capable de s’adapter ou pas
34
Quels sont les 5 C de la règle disciplinaire?
Claire: les attentes sont claires, il faut que l’enfant sache à quoi s’attendre s’il ne respecte pas la règle. Concrète: il faut que l’enfant sache exactement c’est quoi le comportement attendu. Par exemple, «sois gentille», ça veut dire quoi être gentille? Cohérente: : règle qui ne peut pas être contredite par une autre règle. Il faut aussi que les parents s’entendent sur les mêmes règles. Constante: la règle doit toujours être appliquée. Il faut que la règle soit constante vis-à-vis toutes les personnes concernées. Conséquente: il y a des conséquences si la règle n’est pas respectée. La conséquence est contingente (il y a un lien entre la conséquence et le non respect de la règle)
35
Quelles sont les raisons pour éviter la punition?
Ne mène pas à l'extinction Ne favorise pas la motivation intrinsèque N'aide pas à acquérir un comportement adéquat Peut susciter crainte, colère, hostilité, désir de vengeance Peu mener à l'agression
36
Quelles sont les différences entre la discipline et la punition (but, action, contrôle, habiletés, estime de soi, relation parent-enfant)?
But: la discipline a pour but de faire apprendre un bon comportement alors que la punition a pour but d’arrêter un mauvais comportement. Action: la discipline est proactive, la punition est réactive. -On explique la règle avant qu’il fasse l’action (discipline) -La punition vient une fois que le comportement est fait Contrôle: dans la discipline, le contrôle est pris par l’enfant alors que dans la punition le contrôle est sur l’enfant. -Dans la discipline, l’enfant fait des choix. -Dans la punition, le parent prend contrôle sur l’enfant. Habiletés; plus de chances de développer ses habiletés dans la discipline. Estime de soi: plus de chances de développer son estime de soi avec la discipline Relation parent-enfant: plus de chances d’avoir une meilleur relation parent-enfant avec la discipline.
37
Quelles sont les différentes influences sur le style parental?
Influences de la famille d'origine -Le parent peut s’inspirer de ses parents ou éviter de faire comme ses parents -Le parent se sert de sa famille comme point de repère (note les choses qu’il veut suivre et ne pas suivre). Influences socioculturelles -Certaines cultures ont des pratiques qui ne sont pas appropriées dans d’autres cultures Influences bidirectionnelles -L’enfant influence le style parental de l’enfant. -Le tempérament de l’enfant et les particularités de l’enfant influence la façon dont le parent interagit avec l’enfant. Moment de développement -Le style parental change selon l’âge de l’enfant. -Le style parental change également selon le développement du parent. Par exemple, un parent de 20 ans n’a pas la même énergie qu’un parent de 50 ans. Personnalité, tempérament Structure familiale -Nb parents et enfants, milieu de vie, etc.
38
Quelles sont les 4 caractéristiques du fonctionnement familial sur lesquelles Baumrind se focalise?
La chaleur et l'affection L'encadrement avec des règles claires et appliquées de façon constante Les attentes réalistes par rapport à l'âge et au stade de développement de l'enfant La qualité de la communication parent-enfant
39
Quels sont les deux éléments dans la théorie de Baumrind?
Structure -Contrôle (par le parent) -Les demandes -Les limites -Les règles -La guidance Acceptation -Chaleur/affection -Bienveillance -Communication -Réponse -Ouverture
40
Quels sont les avantages de la structure?
La structure aide l'enfant à se sentir en sécurité La structure aide à l'autorégulation
41
Quels sont les avantages de l'acceptation?
Le bien-être de l'enfant L'estime de soi de l'enfant Aide l'enfant à développer ses habiletés en communication.
42
Que veut dire chaque style parental en terme de structure et acceptation selon Baumrind?
Style autoritaire: pas acceptation, bcp structure Style démocratique: équilibre structure et acceptation Style permissif: bcp acceptation, pas structure
43
Quelles sont les critiques de la théorie de Baumrind?
1. Cette théorie est liée à un contexte historique. -La théorie a été pensée suite à une époque durant laquelle les parents étaient très autoritaires. Cela a été suivi d'une grande critique du style autoritaire. On critique le fait que cette théorie soit partie d’une prémisse selon laquelle le style autoritaire est mauvais. 2. Cette théorie ne tient pas suffisamment compte de la situation dans laquelle se déroule l'interaction parent-enfant. -La théorie est trop encadrante. Il faut tenir compte du contexte, le style démocratique n’est pas toujours le plus approprié.
44
Quelles sont les principales différences entre la théorie de Baumrind et celle de Maccoby et Martin?
Les deux théorie utilisent la structure et l'acceptation comme dimension. Toutefois, dans la théorie de Maccoby et Martine, ces deux dimensions sont indépendantes. -Ce n'est pas parce qu'un parent n'a pas de structure qu'il a beaucoup d'acceptation. Maccoby et Martine mettent également en lumière la notion de changement. -Les parents peuvent changer leur style selon l’enfant (ses besoins, sa personnalité, etc.) et le contexte. Les flèches dans cette théorie illustrent cette notion de changement. Martin et Maccoby proposent 4 styles parentaux plutôt que 3: style autoritaire, style démocratique, style permissif, style désengagé.
45
Qu'est-ce que le style démocratique?
Le parent fixe et applique des règles claires tout en répondant aux besoins de l’enfant. Le parent met l’accent sur l’autonomie de l’enfant, tout en offrant un encadrement et des limites appropriées selon le niveau développemental. La stratégie de raisonnement est utilisée, tout en laissant de l’espace à l’enfant pour qu’il puisse s’exprimer, dans un esprit de collaboration. Les opinions de l’enfant sont considérées et respectées. Les décisions parentales unilatérales sont expliquées.
46
Qu'est-ce que le style autoritaire?
La structure est rigide et le parent est contrôlant. Les règles ne sont pas négociables. Cela peut inclure : la critique, le sarcasme, le harcèlement, le dénigrement, la culpabilisation, la punition. Le parent est le seul qui peut décider; l’opinion de l’enfant n’est pas considérée. Il y a plus de risques d’abus parental.
47
Qu'est-ce que le style permissif?
Le parent évite le contrôle. Le parent permet à l’enfant de gérer ses propres activités. L’autonomie et l’indépendance sont encouragées et, parfois, même si l’enfant n’a pas atteint le stade de développement nécessaire à la maîtrise de la tâche ou de l’activité. Le parent laisse l’enfant faire ses propres expériences, et l’encourage en ce sens, mais en lui offrant peu ou pas de structure. Ce n’est pas le style à privilégier. Toutefois, il est possible que, dans certaines situations, le style permissif peut être nécessaire ou utile.
48
Qu'est-ce que le style désengagé?
Le parent semble complètement indifférent aux comportements de l’enfant et à ses responsabilités parentales. Le parent peut être physiquement ou psychologiquement absent. Les communications sont limitées. Il y a plus de risques de négligence parentale.
49
Quels sont les effets du style démocratique sur l'enfant?
Meilleure estime de soi. Meilleure confiance en soi. Plus d’autonomie. Plus d’initiative. Plus grand respect des règles et des exigences de ses parents. Plus altruiste. Plus de motivation à l’école (vise la réussite scolaire) et meilleures notes.
50
Quels sont les effets du style autoritaire sur l'enfant?
Plus faible estime de soi. Moins bonnes habiletés sociales avec les pairs. Parfois renfermé. Parfois agressif. Parfois difficulté à se maîtriser. Moins bons résultats scolaires.
51
Quel style parental a le plus de conséquences négatives?
Style désengagé
51
Quelles sont les conséquences du style permissif?
Plus souvent agressif (surtout si les parents se montrent permissifs à cet égard). Manque de maturité avec les pairs et à l’école. Moins responsable. Plus dépendant. Moins bons résultats scolaires.
52
Quelles sont les conséquences du style désengagé?
Tentatives pour attirer l’attention de ses parents. Désengagement de la relation avec ses parents si cela ne fonctionne pas. Moins bonnes habiletés sociales avec les pairs. Plus impulsif. Plus antisocial. Moins d’intérêt pour la réussite scolaire.
53
Donne deux exemples de l'effet du contexte culturel sur le style parental.
1. Les parents américains d’origine asiatique affichent davantage un style autoritaire. Toutefois, nous constatons également que les enfants de ces parents ont des scores plus élevés dans presque toutes les mesures de compétences cognitives. 2. Le style parental permissif chez les parents autochtones du Canada est associé à moins de conséquences négatives chez leurs enfants.