CM6 Flashcards

1
Q

Qu’appelle-t-on un message vivide (« vivant ») ?
Trois caractéristiques essentielles…

http://www.youtube.com/watch?v=Jd25RmvOwx0

A
  1. Il induit une réaction émotionnelle (peur, tristesse, colère, joie…)
  2. Il présente des éléments concrets (photo, nom, prénom, fonction…)
  3. Protagonistes proches de la cible (infos communes à la cible) - sentiment de vulnérabilité -
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2
Q

Lis encore

A

« Un message persuasif utilisant la peur traite, le plus souvent, de protection face à une menace réelle. L’objectif est d’informer et amener les individus à adhérer aux recommandations contenues dans le message afin de faire face à cette menace. La peur est une émotion évaluée négativement, accompagnée d’un fort niveau d’éveil (Witte, 1992a). Elle est éveillée lorsqu’une menace sérieuse, personnellement pertinente est perçue. La peur s’exprime par des indices soit physiologiques (i.e., l’éveil : état de tension désagréable, augmentation du rythme cardiaque, tremblements, tension musculaire, cf. Levenson, Ekman et Friesen, 1990), soit verbaux (les évocations libres) soit non verbaux (expressions faciales). Dans la littérature, la peur est traditionnellement opérationalisée par l’éveil physiologique, l’anxiété (i.e., évocations libres des sentiments d’anxiété), ou encore par l’évaluation d’adjectifs ayant trait à l’humeur (e.g., « nerveux », « effrayé », « apeuré », « inquiet »). » Girandola (2000). p. 334

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3
Q

Très nombreux domaines d’application (exemple)

A
  • Accidentologie (routière, travail, etc. ; Lewis et al., 2007)
  • Tabagie (Gallopel-Morvan et al., 2011)
  • SIDA
  • Addiction (dont alcool)
  • Etc.
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4
Q

Peu d’efficacité du message (fortement) vivide Janis et Feschbach (1953) - une des études princeps.

A

Impact de l’appel à la peur (message oral) sur hygiène bucco-dentaire.
Sujets soumis à des images « horribles » des conséquences néfastes d’une mauvaise hygiène bucco-dentaire dans des proportions variables.
VD. Changement de comportement
Résultat
Efficacité du message (changement) avec l’appel à la peur faible.

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5
Q

Peu d’efficacité du message (fortement) vivide Janis et Terwilliger (1962)

A

Étude effectuée sur une population de fumeurs « invétérés » (Arrêt du tabac).
Résultat
APPEL à la peur FORT suscite… - une forte émotion et
- très peu d’efficacité du message.

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6
Q

Peu d’efficacité du message (fortement) vivide, Boyle (1984)

A

Résultats similaires dans le domaine de la prévention routière (prudence au volant).
Relation négative entre Peur et Persuasion

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7
Q

Peu d’efficacité du message (fortement) vivide, Janis (1962/67)

A

Message vivide = Effet Boomerang ;
Les cibles cherchent à éviter la peur, rejette la source, le message, dénient les conséquences désastreuses du comportement ciblé.
Efficacité du message vivide : ni trop ni pas assez de peur !
Existence d’un seuil optimal d’activation de la peur (= arousal) (Janis, 1967 ; McGuire, 1968)
Cf., Fear drive model (théorie de la courbe inversée ou modèle curvilinéaire)

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8
Q

Janis (1962/67). Inspiration néo-behavioriste

A

Fear drive model (théorie de la courbe inversée ou modèle curvilinéaire)
Il existe un niveau maximal de peur nécessaire à l’activation du contrôle du danger.
Trop ou pas suffisamment de peur : non efficace (Courbe en U inversé)
Critiques
Modèle centré sur les réactions émotionnelles. Pas, peu de prise en compte des processus cognitifs

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9
Q

Messages vivides agissent sur ceux.celles qui n’adoptent pas encore le comportement
Exemple : images paquets tabac

A
  • découragent l’initiation d’un comportement à risque, par
    exemple pour dissuader des non-fumeurs de commencer à fumer (Roberto et al., 2018) ;
  • diminuent l’attrait de la cigarette chez les non-fumeurs (Hammond, 2011).
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10
Q

Attention Vidéo choquantes : prévention routière

A

http://www.youtube.com/watch?v=m_tXGdp-4oI&list=PL3A4C596C9825FDA9

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11
Q

Bonne d’efficacité du message (fortement) vivide
Gonzales, Aronson et Costanzo (1988)

A

Pour convaincre les gens d’isoler leur grenier, un message vivide entraîne 61% de réussite contre 15% de réussite avec un message non vivide.

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12
Q

Bonne d’efficacité du message (fortement) vivide
Nisbett et Ross (1980).

A

Un cas « vivant » vaut mieux que 1000 statistiques !
La vividité d’un message fonctionne car elle attire l’attention et rend ce dernier plus facile à mémoriser
MAIS …!

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13
Q

Efficacité du message fortement vivide Leventhal (1970)

A

(Dabbs & Leventhal, 1966 ; Leventhal, Singer & Jones, 1965) Message contre le tétanos.
Résultat
Message fort (= plus grande efficacité)
- attitudes plus favorables au changement (que message faible) - efficacité également jusqu’à la vaccination
Relation positive entre Peur et Persuasion

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14
Q

Échapper à l’Émotion de Peur 2 Stratégies:

A

■ De défense
■ D’Action

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15
Q

Modèle parallèle de Leventhal (1970; 1982)

A
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16
Q

Dans quelles conditions, l’une ou de l’autre de ces deux voies est déclenchée ?

A

Le modèle ne propose pas de réponse (voir plus loin).

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17
Q

FORTE controverse
Relation entre Niveau de Peur et Persuasion

A
  • En fait présentation trompeuse car les résultats montrent davantage de relation négative entre peur et persuasion)
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18
Q

Relation entre Niveau de Peur et Persuasion dans le contexte spécifique du tabac

A
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19
Q

Explications des contradictions selon Rogers (1983)

A

Manipulation de la Menace : variations entre études (cf., Kapferer, 1979)
Supports : télévision, brochures papier … La cible visée (adultes, jeunes …)
Comportements incriminés dont le niveau de danger peut être variable (caries, cancer, …)
La VD. La mesure.
* Janis (mesure : comportement)
* Leventhal (mesure : attitude)
* Controverse sur l’outil et son efficacité : (Rogers, 1975, 1983 ; Witte, 1994 ; Witte & Allen, 2000)

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20
Q

Que faut-il pour qu’un message faisant appel à la peur soit efficace ?

A

Que ce ne soit pas seulement un message vivide
La perception de la menace joue un rôle important sur la motivation à initier un comportement risqué, tandis que l’évaluation des solutions disponibles est un moteur pour aider à cesser un comportement risqué ou adopter un comportement préventif (Bran & Girandola, 2021)

Prévention tabac
http://www.youtube.com/watch?v=viPJBlGH3CY&feature=related

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21
Q

Que faut-il pour qu’un message faisant appel à la peur soit efficace ?
Rogers (1975 puis 1983). Théorie de la motivation à la protection ou protection motivation theory (PMT).
Efficacité du message d’appel à la peur repose sur …(2)

A
  1. Deux critères de pertinence de la menace
  2. Recommandations (deux caractéristiques)
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22
Q

Que faut-il pour qu’un message faisant appel à la peur soit efficace ?
Que ce ne soit pas seulement un message vivide ?

A

L’appel à la peur doit confronter la cible à une MENACE. Cette menace doit être PERTINENTE.

23
Q
  1. Critères de pertinence d’une menace (2)
A

✓ Sévérité (gravité) renvoie à l’évaluation de l’importance des potentielles conséquences de la menace.
✓ Sentiment de vulnérabilité ou susceptibilité renvoie à l’évaluation de la probabilité que ces conséquences puissent survenir.

24
Q

Que faut-il pour qu’un message faisant appel à la peur soit efficace ?
Que ce ne soit pas seulement un message vivide ?

A

(2) Des RECOMMANDATIONS
Une fois que la menace est pertinente, il faut proposer des SOLUTIONS pour l’action…

25
Q

Des recommandations _______ et ________

A

Efficaces – ces recommandations doivent permettre d’éviter la menace.
Réalisables (auto-efficacité de la cible). La cible doit savoir, comprendre comment s’y prendre et y arriver.

26
Q

Exemple de RECOMMANDATIONS

A

Indications précises sur le comportement à adopter :
Ex. Pour votre santé, l’alcool c’est maximum 2 verres par jour et pas tous les
jours)
Rapport Coût/Bénéfices, coût de la prévention inférieur à celui de la menace
Ex. C’est jaune, c’est moche, ça ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie
Augmenter le sentiment d’auto-efficacité en favorisant la perception d’une norme sociale
Ex. Exposer à des modèles qui incarnent le comportement à adopter (footballeur connu, etc.).

27
Q

Pour résumer
Un message faisant appel à la peur doit donc susciter 4 remarques clés

A

✓ En parlant des conséquences, les cibles doivent se dire : « c’est grave »…
« ça peut m’arriver »…
✓ En parlant des recommandations, les cibles doivent se dire :
« ça… ça marche »…
« ça, je peux le faire »…

http://www.youtube.com/watch?v=Z41vXnZpx2Y&feature=autoplay&list=ULSPe3_QNs9Lk&index=3&playnext=3

28
Q

Critiques du modèle de Rogers

A

Plus cognitif qu’émotionnel ; donne peu de place à la peur.
Il illustre le contrôle du danger (du modèle de Leventhal) mais pas le contrôle de la peur.
Peu de précision sur la résistance à la persuasion

29
Q

Nouveaux modèles

A

§ Witte (1992, 1998). Modèle Etendu des Réponses Parallèles ou EPPM (Extended Parallel Process Model)
§ Modèles duaux
§ Modèle par étapes du traitement (Stroebe, 2000)
§ Modèle par étapes révisé

30
Q

Modèle Etendu des Réponses Parallèles (EPPM) c’est quoi

A

Deux évaluations cognitives (l’une des critères de la menace et l’autre des caractéristiques des recommandations)
Emotion

31
Q

Modèle Etendu des Réponses Parallèles (EPPM) nomme les 3

A
  1. Evaluation cognitive de la menace
  2. Evaluation cognitive de l’efficacité des recommandations et de l’auto- efficacité (la capacité de la cible)
  3. L’efficacité perçue dépend du type de contrôle (danger vs. peur) dans lequel la cible va s’engager
32
Q
  1. Evaluation cognitive de la menace
A

pertinence de ce risque pour soi et sa gravité.
Si la vulnérabilité et la gravité sont jugées faibles alors la cible du message ne poursuit pas davantage le traitement. Si elles sont élevées, la peur suscitée peut motiver à agir.

33
Q
  1. L’efficacité perçue dépend du type de contrôle (danger vs. peur) dans lequel la cible va s’engager.
A

Comment une voie est empruntée plutôt que l’autre ?
Efficacité > Menace perçue = processus de contrôle du danger = acceptation du message
Menace perçue > Efficacité = processus de contrôle de la peur = rejet du message Rejet du message
§ soit par un évitement défensif (distorsion ou ignorance de l’information sur la menace,
exposition et attention sélective),
§ soit par réactance (avoir l’impression d’être manipulé par la source et s’affirmer encore plus
en opposition au message),
§ soit par déni (e.g., « ça arrive aux autres! »).

34
Q

Lis sur Modèle Etendu des Réponses Parallèles (EPPM) Witte (1992, 1998)

A
35
Q

Witte (1994)
Adolescent.es. Prévention VIH. Usage du préservatif

A

VI. Intensité de la menace (faible vs. modérée vs. forte) VI. Efficacité recommandation (faible vs. forte)
VD. Attitudes (favorables)
VD. Intention Comportementale

36
Q

Efficacité des recommandations
Eppright et al. (2002)

A

Hommes. Messages cancer des testicules
3, Intensité peur (faible vs. modérée vs. forte) 2, méthode de détection (avec vs. sans)
Résultats
Efficacité la plus grande quand menace forte et quand il y a recommandation
Efficacité =
- intention de faire un dépistage - moins de réponses défensives

37
Q

Messages vivides agissent sur ceux.celles qui n’adoptent pas encore le comportement
Etude Kessels et Ruiter (2012)

A

Fumeurs vs. non-fumeurs
images paquets tabac + info permettant de se protéger Eye-tracking
Résultats
Non-fumeurs : plus de temps sur les images Fumeurs : plus de temps sur les recommandations

38
Q

Que faut-il pour qu’un message faisant appel à la peur soit efficace ?

A
39
Q

Critique de ce modèle

A

Combinaison des deux dimensions cognitives et émotionnelles mais… Pas de prise en compte des processus liés au traitement de l’info.
Pour cela voir Modèles duaux
Tendance générale en matière de traitement de la peur : Peur faible : traitement heuristique
Peur forte : traitement systématique. Toutefois, ce traitement ne garantit pas l’acceptation du message et l’adoption des recommandations (voir traitement biaisé défensif ; Ruiter et al. 2014).

40
Q

Modèle par étapes du traitement des communication éveillant la peur
The Stage Modèle of processing of Fear-Arousing Communications
Stroebe (2000)
Modèle qui combine les modèles précédents :

A

§ Modèles duaux
§ Rogers (1983) et
§ Witte (1992)
Double objectif
1. Identifier le type de traitement menant à l’acceptation ou au rejet des recommandations
2. identifier les conditions de son apparition

41
Q

Modèle par étapes du traitement des communication éveillant la peur
Deux étapes

A
  1. Traitement de la menace (intensité évaluée de la sévérité et de la vulnérabilité)
  2. Traitement des recommandations
    (1) Le traitement de la menace (i.e., sévérité et vulnérabilité) influence (2) le traitement des recommandations qui a son tour influence l’acceptation des recommandations.
    L’acceptation des recommandations dépend de l’évaluation de la sévérité et de la vulnérabilité.
42
Q

Modèle par étapes du traitement des communication éveillant la peur
Quatre situations

A
43
Q

Modèle par étapes du traitement des communication éveillant la peur Etude DeHoog, Stroebe et de Wit (2008)

A

Message : conséquences de l’hypoglycémie (i.e., maux de tête, fatigue, dépression, etc.) + recommandations (i.e., stage formation régime adapté)
2, Sévérité X 2, Vulnérabilité X 2, Qualité des arguments
Résultats
Forte sévérité :
- pensées défensives envers la menace
- pensées favorables à l’égard des recommandations
- fortes intentions comportementales (participation au stage)
i.e., traitement défensif ne signifie pas inefficacité du message

44
Q

Critiques du modèle par étapes du traitement des communication éveillant la peur
Blondé et Girandola (2016)

A

§ Nombre d’études faible ;
§ Manque de prise en compte de la peur ; A propos de la peur :
- Peur évaluée en tant que ressenti conscient (pas inconscient)
- et problème lié à la mesure de la peur (échelle d’accord : effrayé, tendu, nerveux… ; pas ou peu de mesures en termes physiologiques, cognitifs, moteurs, d’action (évitement/approche) ;
§ Pas de prise en compte d’autres émotions (e.g., culpabilité) ;
§ Manque de prise en compte de l’efficacité des recommandations ;
§ Manque d’explication concernant le passage du traitement biaisé négatif au traitement biaisé positif.

45
Q

Modèle par étapes du traitement révisé

A
46
Q

Blondé et Girandola (2016)
Bran et Girandola

A

https://fr.in-mind.org/fr/article/rediger-un-message-de-prevention-principes-pour-ameliorer- lefficacite-et-reduire-les-effets

47
Q

Quelques questions à se poser pour communiquer sur un risque?

A
  • Caractéristiques de la population (connaissances, perceptions, stade de changement, rapport à la source du message) ?
  • Impact du type de source?
  • Mode de communication (information, appel à la peur, contrainte, stigmatisation) ?
  • Si informations, lesquelles ? Quelles sont les moyens et ressources disponibles pour aider le changement ?
  • Efficacité de la campagne / aux théories ? (ex : une campagne de prévention routière à la télé est-elle théoriquement efficace ?)
  • Une combinaison « positif / négatif » pour une fin positive.
    https://www.youtube.com/watch?v=XItPcFbnizM
48
Q

Modèles de psychologie de la santé (4)

A

II.1. Modèles cognitifs de la santé
Health Beliefs Model (Rosenstock, 1974; Becker) - HBM - Protection Motivation Theory (Rogers, 1983) - PMT -
II.2. Modèles sociocognitifs de la santé
Théories de l’Action Raisonnée (Ajzen et Fishbein) - TAR - ou TCP (Ajzen, 1985) -
II.3. Modèles de changement de comportements
Transtheoritical model of change (Prochaska & Di Clemente, 1984) - TMC - Precaution Adoption Process (Weinstein, 1988) - PAP -
Health Action Process Approach (Swarzer, 1992)
II.4. Modèles intégratifs et multifactoriels

49
Q

Modèles sociocognitifs de la santé
Théories de l’Action Raisonnée (Ajzen & Fishbein) - TAR - ou TCP (Ajzen, 1985)

A

Démonstration : Relation attitude – comportement augmentée avec avec des attitudes et des comportements concrets, proches.
Méta-analyse (Kraus, 1995)
88 articles ; r = .38
A condition que les variables attitudales respectent : stabilité, certitude, accessibilité, consistance affectivo-cognitive, expérience directe

50
Q

Pour conclure. Solution pour l’action

A
  1. Eviter la menace de l’identité. Difficile de ne pas atteindre l’identité. Toutefois, il est possible de ne pas dénigrer une cible, de la respecter, de lui accorder une grande considération (pas d’apitoiement).
    Éviter la catégorisation (fumeur / non-fumeur) et la stigmatisation. Attention à la source du message en fonction de la cible.
    Donc Connaître les caractéristiques de (des) cible(s)
  2. Jouer sur les caractéristiques de la source en fonction des objectifs, type d’objet de communication, et des caractéristiques de la cible.
  3. Le contenu du message (l’information chiffrée peut avoir des effets contraires à ceux souhaités; si l’information chiffrée va dans le sens de la valeur de ce que pense la personne alors les effets sont plutôt positifs, dans le cas inverse, ils sont plutôt négatifs.
    Etre vigilant quant aux cadrages du message
  4. Veiller aux buts de traitements de l’information (implication, sentiment de vulnérabilité, etc)
51
Q

Modèle rationnel de l’individu=

A

Modèle qui fait reposer le changement du comportement sur le changement d’attitude et dont l’indicateur est le plus souvent l’intention comportementale ou le comportement auto-reporté (au mieux) plus que le comportement lui- même.

52
Q

Du comportement vers le changement d’attitude (pt question exam)

A
53
Q
A