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Billinguisme > Cours 3 > Flashcards

Cours 3 Flashcards

1
Q

QUelle est la Définition de langue maternelle

A

• La première langue acquise par l’être humain (passe par les mêmes étapes aux mêmes âges et au même rythme plus ou moins, il y a une hiérarchie dans la production de son qui détermine le moment de la production des sons)

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Q

Qu’est-ce qui peut empêcher l’humain d’apprendre une 1er langue

A

Trouble ou situations particulière (enfant née malentendant dans une famille entendant + enfant sauvage)

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3
Q

Une langue maternelle peut avoir deux formes lesquelles ?

A

Oral ou signé

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4
Q

Est-ce que la langue maternelle demeure la langue dominante chez l’individu ?

A

Ne demeure pas toujours la langue dominante chez l’individu. Va subir l’attrition, certains éléments ou compétences sont perdues.

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5
Q

Nommer les trois questions sur l’acquisition

A

– Quelle est relation entre la faculté de langage et la cognition en Générale ? (vient du temps ou on se demandais comment était séparer les fonctions dans le cerveau, linguiste fait la différence entre langage et communication)
– Quel est le rôle de l’input (ce qu’on reçoit comme info, ce à quoi on est exposé) ?
– Quelle est la nature de la connaissance linguistique ?

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6
Q

QUel est le rôle de l’input dans l’approche théorique et dans l’Approche fonctionnelle ?

A
  • Simple déclencheur dans l’approche théorique, car les capacités linguistique seraient innée même si on ne se fait pas tant stimulé ne change pas grand-chose.
  • Rôle central dans l’approche fonctionnelle, point de vue opposé
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7
Q

Qu’est-ce qu’on pourrait qualifié de connaissance linguistque ? associe la définition à la bonne théorie

Règles/lois abstraites
Règles spécifiques propre au contexte

A

1– Règles/lois abstraites dans l’approche formelle; Syntaxe permet au vocabulaire de produire une infinité d’énoncé.

2– Règles spécifiques propre au contexte fonctionnelle

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8
Q

Comment l’approche fonctionelle décrit la nature de la connaissance linguisitque ?

A

• Règles plus spécifiques, propres à un contexte donné, dans l’approche fonctionnelle.

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9
Q

Comment l’approche formelle décrit la nature de la connaissance linguistique ?

A

• Connaissance de ce qui ne fait pas partie de la grammaire cible (approche formelle)

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10
Q

L’approche formelles portes plus sur quoi ?

A

(plus sur les notions linguistique) et leurs arguments

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11
Q

L’approche formelles est plus l’analyse abstraite de quoi ?

A

de la structure du langage

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12
Q

Approche formelles est donc une théories surtout basé sur quoi ?

A

la linguistique

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13
Q

Les deux modèles de l’approche formelles

A

Innéisme et modèle computationnelle

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14
Q

QUel dans innéisme et modèle computationnelle est le plus dominant ?

A

Innéisme

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15
Q

NOam chomsky appartient à quelle théorie ?

A

Innéisme

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16
Q

Selon la théorie linguistique le langage humain est une faculté comment selon les innéisme

A

faculté spéciale (comparer aux modes de communication des autres espèces), inné

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17
Q

Selon quel modèle els enfants on accès à la GU

A

innéisme

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18
Q

Selon l’innéisme les enfants ont accès à la GU même avant quoi ?

A

Avant d’apprendre à parler

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19
Q

Selon l’innéisme est-ce que les enfnts apprennent leur langue maternelle ?

A

Non, ils la développent

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20
Q

Selon l’innéisme les enfants construisent des règles qui leur permettent quoi ?

A

d’utiliser le langage de façon créative, ensemble de règle et vocab. Permet des productions infinis.

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21
Q

Selon l’innéisme le langage ne se développe pas selon 5 aspects :

A

– Les enfants ne développent pas le langage par instruction
– Ni par analogie
– Ni par imitation
– L’input (le stimulus linguistique) n’est pas important
– Ils ne se construisent pas un « dictionnaire mental », essaient surtout de construire des structures.

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22
Q

Selon l’innéisme l’acquisition du langage est une adaptation génétique propre à quoi ?

A

L’humain

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23
Q

Selon l’innéisme le langage est un développement ou un apprentissage ?

A

dév.

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24
Q

Selon l’innéisme quel est le rôle de l’environnement ?

A

• Rôle de l’environnement surtout un déclencheur du processus de développement

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25
Q

Selon l’innéisme l’enfant passe par plusieurs étapes dans son dévelpppement du langage nommer les 5

A 
–	Développement phonologique
–	Développement du vocabulaire
–	Développement morphologique
–	Développement syntaxique
–	Développement sémantique (pas juste le sens des mots mais aussi le sens des phrases)
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26
Q

Nommer les trois arguments de l’innéisme

A
  • Absence de données négatives
  • Pauvreté du stimulus
  • Autres notions (enfant apprend des choses que l’environnement ne lui permet pas d’observer consciemment)
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27
Q

Expliquer L’argument de l’absence de données négatives

A
  • Absence d’interventions systématiques pour aider l’enfant à choisir les bonnes hypothèses ;
  • Absence de mise en pratique de la part des enfants (McNeil 1965) ;
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28
Q

Expliquer l’argument de la pauvreté du stimulus:

A

• Ce que les enfants entendent n’est pas suffisant pour expliquer ce qu’ils produisent
• Ils produisent des phrases qu’ils n’ont jamais entendues: Ex: « I hate you mommy. »
• Environnement linguistique insuffisant
Les enfants produisent et entendent des phrases qu’ils n’ont jamais produites ou entendues
• Environnement linguistique imparfait
Les énoncés linguistiques ne sont pas tous bien formés, Ce qui soulève la question suivante : comment l’enfant sait-il quels énoncés font partie de la grammaire de sa langue et lesquels n’en font pas partie

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29
Q

Donner des exemples du fait que L’enfant apprend des choses que l’environnement ne lui permet pas d’observer consciemment.

A

Par exemple :
• Le langage n’est pas une suite linéaire de mots (phrase comporte un structure interne et une hiérarchie, certaine phrases sont ambigu)
• Le langage est organisé en unités abstraites plus petites
 Phonèmes
 Mots
 Syntagmes
- LA coréférence fait partie de la connaissance innée pas enseigné à l’école.

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30
Q

Définir la grammaire universelle

A

Système de règles/principes abstraites qui déterminent les formes possibles que peuvent prendre les grammaires et exclue les énoncés qui n’appartiennent pas aux langues naturelles

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31
Q

Selon l’innéisme la créativité est permise par quoi ?

A

La GU

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32
Q

Quels sont les arguments pour la GU (4)

A

• Les enfants font des erreurs spécifiques et systématiques
• Ils généralisent trop (surgénéralisation)
– Ex: « un beau homme »
– Ex: « two sheeps »
• Ils utilisent des constructions syntaxiques qui n’existent pas dans leur langue. Des études rapportent que des enfants apprenants l’anglais produisent des phrases avec une structure allemande, leur prends un certain temps pour atteindre la langue qu’ils veulent apprendre
• Les erreurs ont une certaines récurrence, pas au hasard. Même au niveau son, vont interchangé un son avec lequel ils ont de la difficulté partout ou il s’applique,

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33
Q

Qui est derrière le modèle computationnel

A

Pinker 1984

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34
Q

Modèle computationnel appliqué au langage étudie quoi ?

A

Apprenabilité (à quel point possible d’apprendre une certaine chose)

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35
Q

nommer les 4 composantes du modèle computationnel

A

– Classes de langues (langue font partie de la même famille)
– Un environnement d’apprentissage (imput important)
– Une stratégie d’apprentissage
– Un critère de succès (comparaisons entre les différentes hypothèses et la langue cible)

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36
Q

Nommer la principale caractéristique du modèle computationnel

A

Comprend des mécanismes d’apprentissage

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37
Q

Quel est l’objet d’étude du modèle computationnel

A

État final de la langue (la structure syntaxique), quand l’enfant arrive à la cible, comment il s’y prends (comme l’adulte)

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38
Q

Selon le modèle computationnel l’appliquant applique quoi à partir de ses observation et avec l’aide de quel connaissance

A

• L’apprenant applique certaines correspondances à partir de ses observations à l’aide de ses connaissances intrinsèques
– Agent = SN
– Action = V
– Patient = SN
– Location = SP
Tire des conclusions à partir de ce qui est dit et complexifie ses connaissances.

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39
Q

Quel modèle considère la mémoire comme importante au dév du lng

A

modèle comput

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40
Q

C’est quoi la mémoire associatiove

A

Association entre signification et forme

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41
Q

C’est quoi la mémoire procédurale ?

A

– Mémoire procédurale : Application de règles

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42
Q

L’approches fonctionnelles est d’avatange lié à quel branche

A

La psycho

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43
Q

Selon l’approche fonctionnelle le langage se développe plus à cause de quoi ?

A

de l’éxpérience, aucune prédisposition spécifique au langage

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44
Q

L’approche fonctionnelle Étudie le langage en quoi ?

A

Contexte

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45
Q

Selon l’ approche fonctionnelle, est-ce qu’il y a un prédisposition au langage ?

A

Non, (vraiment pas dans l’inné le langage doit être acquis);

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46
Q

Selon l’approche fonctionnelle le langage emerge de quoi et à quel but ?

A

l’expérience
But : remplir des fonctions cognitives, sociales et communicative
Ex. enfant au début pleure mais donne vraiment pas d’indice au parent donc le fait de parler lui permet vraiment de se faire mieux comprendre.

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47
Q

L’approche fonctionnelle se concnetre sur quoi ?

A

les aspects autres que la syntaxe de premier ordre

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48
Q

Selon l’approche fonctionnelle e langage est complétement intégré à quoi ?

A

aux autres fonctions cognitives (faisant partie) ; Le développement du langage est subordonné à celui de la cognition en général (problème cognitif, le langage serait atteint aussi)

49
Q

Selon L’approche fonctionnelle est-ce que es termes nom, verbe, syntagme, etc. ont aucune réalité psychologique ?

A

non

50
Q

Selon l’approche fonctionnelle est-ce que la GU existe ?

A

Non

51
Q

Selon l’approche fonctionnelle qu’est-ce qui est suffisant à l’apprenant pour construire sa grammaire ?

A

– L’input est suffisant à l’apprenant pour construire sa grammaire : Par conséquent ; input différent = grammaire différente (du moins aux stades précoces, selon plus riche ou moins riche)

52
Q

Selon l’approche fonctionnelle est-ce que l’ interaction sociale est un facteur?

A

OUi

53
Q

v ou f La théorie psychologique propose que le langage est une fonction spéciale et différente

A

f, Les théories psychologiques proposent que le langage est une faculté comme toute autre

54
Q

Selon la théorie psychologique le langage fait partie de quoi ?

A

• Le langage fait partie de la cognition

55
Q

Selon la théorie psychologique est-ce que le langage doit être acquis ?

A

Oui, la langue maternelle doit être acquise

56
Q

Selon la théorie psychologique est-ce que les enfants ont accès à toutes les variantes possibles du langage ?

A

• Les enfants n’ont pas accès à toutes les variantes possibles de langage

57
Q

Selon la théorie psychologique, les enfants n’ont pas accès à toutes les variantes possibles de langage, ils ont besoin de quoi ?

A

• Ils ont besoin du stimulus langagier, le plus riche possible car rien d’autres pour développer le langage.

58
Q

Selon la théorie psychologique les enfnats utilisent quels méthodes et quel info

A
  • Ils utilisent des méthodes d’analogie et d’imitation
  • Ils utilisent même l’information gestuelle pour comprendre le langage (ex: pointage étape importante, pas toujours claires mais est une façon de communiquer et a une importance) pas étudier dans la linguistique
59
Q

C’est quoi l’apprentissage statistique et quel théorie le supporte

A

théorie psychologique, • Apprentissage « statistique », enfant doit entendre un certain mot un certain nombre de fois. Plus enfant entends quelque chose plus il a la chance de l’acquérir.
• Plus les enfants entendent un mot dans un certain contexte plus ils ont de chances de l’apprendre lui et le contexte

60
Q

Selon l’approche psychologique le vocab et les r`gles de gramm sont appris comment ?

A

Apprentissage statistique

61
Q

Les deux sous approche de l’approche fonctionnelle

A

constructionnisme

constructivisme

62
Q

Qui sopporte le constructivisme

A

Piaget

63
Q

nommer 3 facts sur piaget

A
  • Un des psychologues développementaux les plus reconnus de l’histoire (1896-1980;)
  • Vise à expliquer la structure et l’origine de la connaissance
  • Approche : constructivisme
64
Q

Nommer les 4 stades de la théorie de Piaget et leur âge associé

A

Sensorimoteur - 0-2
Pré-opérationnel - 2-7
Opérationnel concret- 7-12
Opérationnel formel - 12 et +

65
Q

DÉcrire le state sensorimoteur de piaget

A

enfants appréhendent le monde via leurs sens ; À la fin de ce stade, l’enfant se fait une représentation abstraite du monde extérieur (e.g. le concept de permanence de l’objet, sait que le parents est encore là ou le jouet c’est que continue d’exister) *semblerait vraiment se développer avant 2 ans ;
Apprentissage via: sens/interactions/expériences, pas encore de symboles mais apprentissage d’abstraction, permanence de l’objet, certaines compétences langagières

66
Q

DÉcrire le stade pré opérationnel

A

Symboles (chiffres, lettres, etc) et langage présents, mémoire et imagination, résolution de problème intuitive, prédominance de
l’égocentrisme

67
Q

Décrire le stade Opérationnel concret

A

Pensée logique, conscience de la présence d’autres points de vue, manipulation de symboles en lien aux objets concrets

68
Q

Décrire le stade opérationnel formel

A

Flexibilité dans la pensée, test d’hypothèses, raisonnement complexe, résolution de problèmes, manipulations de symboles en lien aux concepts abstraits

69
Q

Qui est associé au constructionnisme ?

A

Tomasello

70
Q

Décrire le constructionnisme

A
  • Unités concrètes de formes, sens et usage (contexte, permet de désambiguisier Ex. mur peut pouvoir dire plus qu’une chose si on met un ou une en vant))
  • Comporte une aspect génératif (mais non transformationnel (e.g. le + ballon - ¬»Dét + N -» SN ; mais Le ballon a été lancé par Luc n’est pas dérivé de Luc a lancé le ballon).
71
Q

Nommer les deux bons ccôté des théorie linguistique (formelle)

A
  • Les théories linguistiques sont souvent plus précises au niveau des éléments linguistiques (phonologie, morphologie, etc)
  • Les théories linguistiques tentent d’expliquer les patrons d’erreurs
72
Q

Nommer le bon côté des approches psychologique (fonctionnelles)

A

• Les théories psychologiques tiennent comptent de l’importance de l’environnement et du stimulus

73
Q

Nommer les mauvais côté des théories linguistiques

A

sont souvent plus précises au niveau des éléments linguistiques (phonologie, morphologie, etc)

74
Q

Nommer un aspect neg des théories psychologiques

A

• Les théories psychologiques étudient peu les notions linguistiques comme la phonologie et la syntaxe

75
Q

Aspect neg des deux théories

A

• Elles se cantonnent beaucoup aux mots et parfois à certains morphèmes

76
Q

V/F théories Se contrebalance au niveau de leur point fort

A

V

77
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :

  1. Cognition et expérience linguistique au second plan (afin d’isoler l’objet d’étude)
  2. Cognition et expérience linguistique font partie du modèle (de l’objet d’étude)
A
  1. Formels

2. Fonct

78
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :
1. Emphase sur la syntaxe
(état final)
2. Emphase sur le vocabulaire et les sons (développement)

A
  1. Formels

2. Fonctionnels

79
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :
1. Plutôt axés sur le comment
2. Tente d’expliquer le
pourquoi

A
  1. Fonct

2. Formels

80
Q

QUels models (formels/fonctionnels) fait l’études sur plsuieurs langues ?

A

Les deux

81
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :
1. Unités de base sont des objets formels combinatoires (e.g. image chapeau -» Dét + N = SN
2. Les concepts sont importants ((e.g. le + chapeau =
image chapeu)

A
  1. FOrmels

2. Fonct

82
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :

  1. Tente d’expliquer les limites des grammaires naturelles (e.g. un pronom interrogatif se place en tête ou en fin de phrase, jamais au milieu)
  2. On tente d’expliquer ce qui est, non ce qui n’est pas.
A
  1. FOrmels

2. Fonctionnel

83
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :

  1. Généralisation dans la langue et entre les langues sont une coïncidence (caractère descriptif)
  2. Généralisation dans la langue et entre les langues ne sont pas une coïncidence (caractère explicatif)
A
  1. Fonct

2. FOrm

84
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :
1. Ce qui n’est pas n’existe pas
2. Ce qui n’est pas doit être
expliqué

A
  1. Fonct

2. FOrm

85
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :

  1. Un point central de ces modèles est la productivité et la créativité (règles abstraites génèrent une infinité de formes)
  2. Productivité est graduelle, via l’analyse et le traitement de formes connues, ensuite étendues à des constructions plus complexes
A
  1. Form

2. Fonct

86
Q

Qu’est-ce qu’on peut conclure des différentes théories du langage ?

A

Le langage est complexe et son apprentissage peut être abordé de manières différentes.

87
Q

Associé au modèles (formels ou fonctionnels ) les infos suivantes :

  1. Le langage est un système formel
  2. Le langage est un outil social
A
  1. Form

2. Fonct

88
Q

Étapes de l’apprentissage des mots

A
  • Vocalisations (juste bruit)
  • Babillage (début canonique, peut importe le langage font le même son, évolution permet au son de devenir plus spécifique à certaines langues)
  • Mots et babillage (mot est association entre sens et forme, c’est un symbole, le son doit avoir un sens, babillage n’a pas de symbole il fit juste se pratiquer à faire des sons, ex : woufwouf est un mot dans le langage de l’enfant car il a un symbole)
  • 1ers mots
  • Mots + babillage
  • Combinaison de mots
  • Explosion du vocabulaire (18 mois)
89
Q

Les étapes d’apprentissage des mots se passe selon des âges précis ?

A

Non, plus ou moins précis

90
Q

V/F, les vocalisations des nouveaux-nés pourraient deja contenir des caractéristiques de leur langue maternelle

A

V

91
Q

V/F Le pleur des nouveaux-nés suit la mélodie de l’input linguistique de leur entourage

A

V

92
Q

LEs pleurs des nouveaux nés suiventmélodie de l’input linguistique de leur entourage et présente quel caractéristique ?

A

intonatoires semblables à celle de la langue maternelle (nécéssaire à la survie, doivent comprendre ce dont il a besoin)

93
Q

À quel moment on observe des variation de duré, d’intensité et de hauteur des vocalisation

A

4 mois

94
Q

LE développement de la courbure en angle droit du conduit vocal (cela permettrait a l’humain d’avoir un contrôle particulier selon certain chercheur) ce passe à quel moment ?

A

4 mois

95
Q

à quel moment se passe cette étape d’Acquisition :
Démontrent une capacité à discriminer la langue
Maternelle des autres langues

A

Dès les 1ers

jours

96
Q

à quel moment se passe cette étape d’Acquisition :

Vocalisations (gazouillis, pleurs)

A

4 à 6 mois

97
Q

à quel moment se passe cette étape d’Acquisition :
Babillage (décodage et production des
phonèmes), discrimine tous les sons existants

A

7-10 mois

98
Q

à quel moment se passe cette étape d’Acquisition :

Premiers mots, spécialisation des sons

A

11-13 mois

99
Q

à quel moment se passe cette étape d’Acquisition :

Mots + babillage

A

12-18 mois

100
Q

à quel moment se passe cette étape d’Acquisition :

Combinaison de mots, explosion du vocabulaire

A

18-22 mois

101
Q

à quel moment se passe cette étape d’Acquisition :

Explosion de la syntaxe (phrase, permet de comprendre ce qui est dit jusqu’à un certain point)

A

30 mois

102
Q

Qu’est-ce que la période critique ?

A

Période au-delà̀ de laquelle l’acquisition du langage deviendrait difficile, voire même presque impossible.

103
Q

Les deux preuves pour la période critique

A

– Études sur les « enfants sauvages » (Dehaene- Lambertz et al., 2000; Mayberry et Eichen, 1991)
– Dans les années 80-90, on s’intéresse à l’acquisition du langage par les enfants sourds.

104
Q

5 facteurs pouvant influencer l’âge critique d’acquisition ?

A

Différents facteurs peuvent l’influencer:
– Endogènes (internes): maturation cérébrale, plasticité cérébral
– Exogènes (externes): environnement linguistique, richesse, stimulation tôt.
– La privation a des effets rapides au détriment de la capacité a apprendre une langue
– Il existe une période critique pour l’acquisition de L1 chez les humains
– Le cerveau doit être exposé au langage (oral ou signé) pour se développer normalement

105
Q

POur quel raison on peut pas utiliser les mêmes méthodes de collecte de données chez les enfants et chez les adultes (4)

A 
ne peut pas utiliser les mêmes  méthodes de collecte de données sur des  enfants que sur des adultes
o	Patience différente (rester assis)
o	Compréhension différente 
o	Niveaux différents
o	Éthique
106
Q

Nommer 4 points des études observationnelles

A

o Journaux tenus par les parents (par exemple chaque jour)
o Etudes sur des larges groupes
o Données sur plusieurs enfants recueillies pour une période donnée
o Biais : parent veulent que leur enfants soient vraiment performant, très subjectif, mais avec beaucoup d’enfant donne des résultats intéressant et donne des grilles.

107
Q

Est-ce que les méthodes observationnel sont des études longitudinales

A

oui

  • Données obtenues sur plusieurs enfants observés à différents âges
  • Données obtenues sur plusieurs enfants à un même âge
108
Q

Points négatifs des études observationnels

A

– Petits échantillons de données récoltées

– La production spontanée ne capture pas nécessairement toute la compétence linguistique des enfants

109
Q

DIfférentes méthodes d,Étude sur les bébés

A

– Temps de réaction
– Technique de succion (nouveau stimuli, discrimination de certains son par exemple)
– Orientation de la tête, du regard (préférence attentionnelle, ce qui attire leur attention)
– Questionnaires aux parents
– Neuroimagerie cérébrale (peu parent a l’aise, souvent situation ou il y a des pathologies)

110
Q

Nommer les trois modèles de transmission familiale pour les bill de naissance

A
  1. Un parent une langue
  2. Modèle une langue (minoritaire) à la maison/ une langue
    (majoritaire) à l’extérieur
  3. Modèle des pratiques multilingues « libres »
111
Q

Nommer Avantage (4) du modèle un parent une langue

A

Enfants encouragés à utiliser la langue de chacun des parents

Permet une exposition plus équilibrée (en temps) des deux langues

Parents choisissent la langue dans laquelle
ils sont plus compétents

Permet de transmettre une langue minoritaire qu’un seul parent maîtrise

112
Q

Nommer désavantage (6) du modèle un parent une langue

A
  • Peut mener à l’abandon de la langue
    minoritaire
  • Demande beaucoup d’efforts et de contrôle de l’environnement
  • Frustrations liés aux choix de langue des
    enfants/parents
  • Responsabilité plus grande des mères pour transmettre la langue minoritaire
  • Transmission du discours monolingue
  • Modèle peu réaliste et idéalisé des pratiques multilingues quotidiennes
113
Q

Nommer avantage (4) du Modèle une langue (minoritaire) à la maison/ une langue (majoritaire) à l’extérieur

A
  • Maximise l’exposition à la langue
    minoritaire
  • Maximise les opportunités pour pratiquer et utiliser la langue minoritaire
  • Deux adultes contribuent à la transmission de la langue minoritaire - la responsabilité est partagée plus équitablement
  • Modèle linguistique familial moins complexe
114
Q

Nommer desavantage (4) du Modèle une langue (minoritaire) à la maison/ une langue (majoritaire) à l’extérieur

A
  • Peut mener à l’abandon de la langue familiale (minoritaire) en raison du manque d’opportunités à l’extérieur de la maison et de l’attrait de la langue majoritaire
  • Maintient des pratiques monolingues
  • Transmet l’idéologie et les discours monolingues
  • Un parent peu être plus/moins à l’aise à
    utiliser la langue minoritaire
115
Q

Nommer avantage (4) du Modèle des pratiques multilingues « libres »

A
  • Transmission du discours et de l’idéologie bilingue/plurilingue
  • Pratiques linguistiques familiales plus
    spontanées et authentiques
  • Moins de frustrations chez les parents et chez les enfants
  • Modèles plus cohérents avec les pratiques bilingues / multilingues quotidiennes à l’extérieur de la maison
116
Q

Nommer desavantage (3) du Modèle des pratiques multilingues « libres »

A
  • Peut mener l’enfant à utiliser une seule langue
  • Plus difficile d’exposer l’enfant de
    façon équilibirée aux deux langues
  • Peut demander une adaptation des pratiques linguistiques dans les contextes monolingues (famille, école, voisinage, église…), va faire du code-switching mais pas comprendre pourquoi les autres ne comprennent pas
117
Q

QU’est-ce que la socialisation langagière

A

« La socialisation langagière est le processus par lequel les enfants et autres novices sont socialisés par la langue. Un des objectifs de cette socialisation est d’apprendre à l’enfant comment utiliser la langue pour produire des énoncés qui aient un sens, de façon à la fois efficace et acceptable pour la communauté. Ce processus débute dès la naissance puisque la manière dont on s’adresse ou pas à l’enfant est régie et organisée par la culture dans laquelle on s’insère »
Autre contexte que celui de la maison d’apprendre la langue minoritaire. Socialisation importante au niveau du langage dans le contexte bilingue. Favorise de bien apprendre une deuxième langue (le contexte immersif). Aussi, d’interagir de manière adéquate présent dans une langue ou dans l’autre.

118
Q

Définir langue d’héritage

A

• Définition simple: Langue apprise dans le milieu familiale et qui n’est pas la langue dominante du pays ou de la région.
• Enfant hérite d’une langue qui n’évolue pas comme celle d’origine, transformation de la langue selon son évolution ou sa région. Pas majoritaire pas dominante
Types de situation ou on la retrouve :
• Langues d’héritage issues de l’immigration
• Langues d’héritage indigènes
• Langues d’héritage coloniales

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