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Billinguisme > Cours 6 > Flashcards

Cours 6 Flashcards

1
Q

3 niveau de bloc de construction du langage

A
  • sons
  • structural
  • lexical
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Q

Nommer les blocs de construction au niveau du sons

A

les traits distinctifs, les phones, les syllabes, etc

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3
Q

Nommer les blocs de construction au niveau de la structure

A

les syntagmes, la façon dont les mots sont groupés pour former des phrases

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Q

Nommer le bloc de construction au niveau du lexique

A

◦ Au niveau lexical = les mots (et les morphèmes)

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5
Q

Le lexique va au delà de quoi ?

A

du sens des mots contient aussi les formes et comment il doit être prononcé et leur caractéristique en terme de sémantique, aspect par rapport au verbe qui ont besoin de complément.

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6
Q

3 éléments du lexique mental

A

◦ Le « vocabulaire » d’un locuteur
◦ Les mots et leurs propriétés diverses (syntaxiques, grammaticales, phonologiques, sémantiques, fréquence, etc) encodés dans le mental
◦ La façon de l’utiliser pour comprendre et produire le langage

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7
Q

V/F Bloc constructeur doivent être représenter d’une manière et doivent avoir des relations entre eux.

A

V

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8
Q

V/F selon le lexique mental le mot possède une forme phonologique seulement

A

F possède une forme phonologique et un sens

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9
Q

Dans le lexique mental les mots sont stockés à quel endroit ?

A

• Les mots sont stockés dans un « dictionnaire » mental (le lexique mental)

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10
Q

L’accès lexical dans le lexique mental fait référence à quoi ?

A

l’accès au mot

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11
Q

Méthodes pour déterminer quelles aires du cerveau s’occupe du lexique mental (3)

A

◦ On demande à des patients de nommer des images
◦ On observe le nombre et le type d’erreurs (batterie de dénomination d’images: 60 images)
◦ Les patients qui ont du mal on peut regarder les airs qui sont endommagés. Fait avec patient bill. Et monolingue.

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12
Q

V/F Les patients souffrant d’aphasie de Wernicke ont une mauvaise performance dans la dénomination d’image.

A

V

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13
Q

Les patients avec lésions à l’aire de Wernicke et au gyrus angulaire ont le plus de problème avec quoi ?

A

avec la dénomination. Par extension avec le sens des mots et l’accès au lexique.

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14
Q

Qu’est-ce qui est le siège du lexique mental ?

A

AIr de wernicke parce que • Les patients avec lésions à l’aire de Wernicke et au gyrus angulaire ont le plus de problème avec la dénomination. Par extension avec le sens des mots et l’accès au lexique.

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15
Q

Est-ce que d’autres régions sont aussi impliqué dans le lexique ?

A

oui

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16
Q

Des lésions au gyri fusiforme ou occipital donne des problèmes à nommer quoi ?

A

problèmes à nommer les choses vivantes (les concepts en lien avec les choses vivantes seraient à cet endroit)

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17
Q

Des Lésions aux lobes temporaux donne des problèmes à nommer quoi ?

A

problèmes à nommer les outils et les objets inanimés (distinction répartition lexique en terme de vivant non vivant, dans le cas de lésion mot demeure)

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18
Q

Des Lésions aux lobes frontaux donne des problèmes à nommer quoi ?

A

problèmes à nommer les verbes, aire motrice dans la partie postérieur, lorsqu’on prduit les verbes elle est activé pour qu’On puisse faire cette action là et souvent on fait ou on s’imagine les acitons pendant qu’on les nomme.

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19
Q

Est-ce que le lexique est restreint

a l’air de wernicke ?

A

NOn

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20
Q

Théories du lexique mental psychologique basé sur le sens des mots

A

1- La théorie sensorielle/fonctionnelle
2- La théorie de la catégorie spécifique
3- La théorie conceptuelle/ structurale

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21
Q

à quoi cela appartient (sensoriel/fonctionnel) :
🞄 Reconnaissance et dénomination des choses vivantes
🞄 Les propriétés des éléments sont encodés

A

Sensoriel

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22
Q

à quoi cela appartient (sensoriel/fonctionnel) :
🞄 Reconnaissance et dénomination des objets non- vivants
🞄 Les propriétés des éléments sont encodés

A

Fonctionnel

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23
Q

à quoi (sensoriel/fonctionnel) cet exemple appartient : « est noir et blanc », « a des ailes », etc (serait les é encodé dans le lexique mental)

A

Sensoriel

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24
Q

à quoi (sensoriel/fonctionnel) cet exemple appartient : « est utilisé pour scier des choses », etc

A

Fonctionnel

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25
Q

Dans la théorie de Prédictions de la théorie sensorielle/ fonctionnelle est-ce qu’il y a une dissociation à l’intérieur d’une catégorie ?

A

Oui, 🞄 Ex: si capable de nommer « cheval » alors capable de nommer « canard »
Devrait pas avoir de problème dans une catégorie et pas dans l’Autre.

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26
Q

DÉficit disproportionnel pour le type d’info dépendant de quoi ?

A

reconnaissance ou la dénomination (fonctionnelle vs sensorielle)

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27
Q

S’il y a un déficit il va être pour quel aspect ?

A

l’aspect fonctionnel (région lié à cet aspect est touché) et pas pour l’Autre (sensoriel).

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28
Q

La théorie des catég spécifique propose quoi ?

A

Propose que le lexique mental est sous divisé, plusieurs catégories bien précise ou les éléments partagent des caractéristiques assez proche.

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29
Q

dans la théorie des caég spécifiques, les catég ont été créées par quoi ?

A

par des pressions évolutives car on a besoin de parler de choses pour la survie, il a donc fallu créer des catég qu’on pouvait bien reconnaitre, soit par la nutrition ou pour se protéger.

Les catégories ont été créées pour des raisons de survie principalement

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30
Q

Nommer les trois prédictions de la catégorie spécifique :

A
  • Chaque catégorie est desservie par des réseaux neuraux distincts
  • Un trouble a un réseau ne sera pas compensé par un autre réseau (si trouble dans réseau diff seront là)
  • Pas d’association entre type d’information encodée (ex: couleur, utilisation) et déficit a une catégorie, pas par rapport `un type d’info bien précis mais par rapport des troubles à un réseau neural qui s’occupe d’une catég.
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31
Q

Les théories postulent des substrats neuraux diff pour quoi ?
Théorie sensorielle/fonctionnelle
Théorie de la catégorie spécifique

A

Différents éléments

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32
Q

Les deux catégorie se base sur le fait que certains patient ont des prblèmes avec quoi ?

A

des problèmes avec certains mots (catég) mais pas d’autres

Ex: problème avec vivants mais pas non-vivants

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33
Q

Est-ce que les catégories de mots avec lesquelles les patients n’ont « pas de problèmes » sont nécéssairement intacte ?

A

NOn

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34
Q

Dans les catégorie problématique est-ce que toutes les infos sont perdu ?

A

Non, Commune vs plus rare par exemple
Ex: des traits comme « a quatre pattes » (info générale est communs) sont conservés alors que « a des rayures » (info spécifique car est plus rare) est perdu

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35
Q

La théorie conceptuelle/structurale prends quoi en compte ?

A

Les choses vivantes ont plus de traits en communs et donc sont moins distincts que les objets non- vivants, bcp animaux on 4 pattes quand on dit à 4 pattes on est pas mal certain de parler un animal

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36
Q

La théorie conceptuelle/structurale dit quoi pour les choses vivantes

A

L’information sur la fonction biologique est fortement corrélée avec les propriétés perceptuelles(on voit que les animaux on 4 pattes) partagées (peut marcher/à des pattes)

37
Q

La théorie conceptuelle/structurale dit quoi pour les les artéfacts/objets non-vivants:

A

L’information sur la fonction est fortement corrélée avec les propriétés perceptuelles distinctives (peut rouler/à des roues) contraire chose vivante, c’est q=ceq ui est distinct qui est corrélé à la fonction sous catégorie précise.

38
Q

V/F dans les vivants, Les propriétés récurrentes (partagées) sont moins sensibles aux dommages cérébraux, moins corrélés selon la théorie conceptuelle/structurale

A

V

39
Q

Si animal a des yeux il va avoir un nez et va être capable de sentir,
donc on va être capable de savoir quoi ?

A

capable de savoir la présence d’une propriété grâce aux autres.

40
Q

Les propriétés distinctives sont importantes pour quoi ?

A

Identification, permet de dire si c’est une chose en particulier

41
Q

Est-ce que les propriétés distinctives sont corrélés pour les choses vivantes ?

A

Non, peu corrélées, le fait qu’il y a des rayures n’implique pas grand-chose d’Autre, peu de corrélation des propriétés avec d’autres choses.

42
Q

Est-ce que les propriétés distinctives sont corrélés pour les choses n-vivantes ?

A

Les propriétés distinctives pour les objets non-vivants sont fortement corrélées si on dit qu’un objet a des dents ont on va s’attendre à une scie.

43
Q

REgarder shchémas diapo 25-26-27

A
44
Q

V/F les Les propriétés distinctives sont fortement corrélé chez les objets.

A

V

45
Q

trois prédictions de la théorie conceptuelle/structurale

A
  • Les traits fortement corrélés à d’autres traits sont plus résistants aux dommages
  • Déficits pour les choses vivantes quand les dommages sont légers
  • Déficits pour les choses vivantes et les objets non- vivants quand les dommages sont sévères
46
Q

V/F pour comprendre, toutes les infos( phono, morpho, forme, etc) doivent se retrouver dans le lexique mentale quelque part dans le cerveau ?

A

V

47
Q

Est-ce que l’info grammaticale est dans le lexique mental ?

A

Oui, Doit se retrouver dans le lexique mental/cerveau car on a besoin de cette info pas slmt quand on en arrive à la phrase mais aussi pour avoir labonne forme de mot.

48
Q

Diapo 33

A
49
Q

Deux choses qui se passe quand on essaie de reconnaître un mot

A
  • Requiert un lien entre le signal acoustique et le mot approprié (forme sens à lequel il réfère)
  • Ce faisant on active des mots inappropriés mais similaires (ultimement on va être capable de choisir ce qui a été entendu. )
50
Q

Quels sont les processus cognitifs impliqués dans la reconnaissance d’un mot

A
  • Activation
  • Competition
  • Selection
51
Q

La competition implique quoi ? 3 choses

A

Qu’est-ce que la compétition implique?

  • Deux (ou plusieurs) formes sont aussi plausibles l’une que l’autre jusqu’à un certain point
  • Elles sont toutes activées
  • Il y a compétition entre elles pour le choix final
  • Cette compétition se traduit par un temps de réaction (TR) plus long dans certaines tâches
52
Q

Expliquer l’expérience qui démontre le temps de réponse et la competition

A

Présente un mot à des partiicpants et après on leur présente un 2e et doivent donner une réponse, on peut leur poser des questions. Si le premier mot est est beaker et que la cible est sêaker va prendre plusde temps à répondre car l’amorce et la cible sont en comptetion. Beaker et jacket pas de competition donc on répond plus vite à la question.

53
Q

Deux différentes approche linguistique

A
  • Symbolique

- Sous-symbolique

54
Q

C’est quoi l’approche symbolique ?

A
  • lexique et // on a une grammaire qui groupe les morphèmes ensemble pour créer des mots. )
  • Système de règles de grammaire et vocabulaire coexistent dans des régions différentes de la mémoire et du cerveau
    interagissent durant la compréhension et la production du langage
    🞄 Règle du passé simple: V + a[passé]
    🞄 Verbe: mange
    🞄 Suffixe: a[passé]
    🞄 Mange+a = il mangea
55
Q

C’est quoi l’Approche sous-symbolique ?

A

Propose que tout est dans le lexique, les formes de base et racine.
Forme serait relié par des réseaux, tout est quand même dans le lexique

56
Q

Les avantages de l’approche symbolique :

A

Avantages:
🞄 Restreint considérablement la quantité d’items lexicaux et de règles en mémoire (pas toutes les variables possibles et les règles qui permettent de les obtenir).
🞄 Est productive: permet des généralisations efficaces et rapides (peut s’appliquer à beaucoup de mot)
🞄 Est élégante: répond aux exigences scientifiques de simplicité. De dire qu’on a les règles gramm. et le vocab.

57
Q

INconvénient de l’approche symbolique

A

🞄 Ne rend pas compte des formes irrégulières
(boire  bu; hold  held…) permet pas de les obtenirs, car sont des formes autres.
🞄 Risque de surgénéralisation
🞄 Présuppose une analyse complète de toutes les formes, sans tenir compte d’autres facteurs qui influencent le traitement (fréquence, longueur deLINGm214o0-tUsniv,erseitétdce…Mon)tréal-

58
Q

Sous-modèle de l’approche sous-symbolique

A

Modèle connexionniste:

59
Q

Dans le modèle connexionniste il y a absence totale de quoi ?

A

Absence totale de règles symboliques

60
Q

Dans le modèle connexionniste l’ensemble des entrées lexicales et de leurs formes dérivées et/ou fléchies se retrouvent dans quoi ?

A

un seul et même système mémoriel (avec certaine connexion entre elle)

61
Q

Dans l’approche sous-symbolique le système procède par quoi ?

A 
Le système procède par  généralisations statistiques et forces  (« poids ») d’association (forme relié par le sens)
Walk – walked
Talk – talked
Drink – Drank
Sink – Sank
62
Q

C’est qui l’Approche symbolique ?

A

(Halle & Chomsky, 1968; Pinker, 1997;1999)

63
Q

C’est qui l’approche sous-symbolique ?

A

Rumelheart & McLelland, 1986

64
Q

Avantages Approche sous-symbolique

Rumelheart & McLelland, 1986

A

Avantages:
🞄 Produit des simulations d’apprentissage convaincantes
🞄 Permet d’expliquer certaines formes irrégulières (mais pas toutes: bring  brought)
🞄 Prend en considération certains aspects reconnus de l’apprentisLINsGa21g40e-Un(ivferrsiétéqdeuMoentnréacl-e, probabilités, statistiques…)

65
Q

Inconvénients de l’approche sous-symbolique

A

🞄 N’explique pas toutes les formes irrégulières
🞄 N’est pas « économique » au niveau de la mémoire (charge car toutes les formes se trouve en mémoire)
🞄 Ne fait que « simuler » des réseaux de neurones et peut ne pas rendre compte du fonctionnement du cerveau
Est totalement arbitrairLeING2140-Université() très simpliste

66
Q

QUi a fait l’approche hybride ?

A

Pinker & Ullman, 2002

67
Q

C’est quoi le principe du modèle hybride en gros ?

A

A une graphique et une grammaire mais aussi les formes irrégulières qu’on doit savoir par cœur.

68
Q

Dans l’approche hybride (Pinker & Ullman, 2002) Les formes irrégulières = des formes comme les autres, stockés comme les autre mots, mais avec un trait grammatical comment ?

A

Les formes irrégulières = des formes comme les autres, stockés comme les autre mots, mais avec un trait grammatical « passé » incorporé à leur entrée lexicale.

69
Q

Dans l’approche hybride les formes régulières sont générées de facon productive par quoi ?

A

Une règle

70
Q

Une forme fléchi d’un verbe stockée dans l’approche hybride va faire quoi ?

A

Une forme fléchie d’un verbe stockée va bloquer l’application de la règle mais partout ailleur la r`gle va s’appliquer
🞄 (brought va empêcher bringed)

71
Q

Avantages de l’approche hybride

A

Avantages:
🞄 Permet une distinction entre formes irrégulières et formes régulières dans un seul et même modèle (tout en les attestants)
🞄 Fait des prédictions empiriques intéressantes

72
Q

Deux modèles qui tentent de décrire la composition du lexique mental et la façon dont l’accès aux mots se fait

A

Le modèle WEAVER ++ (Roelofs, 1992; Levelt et al, 1999)

Le « Independant Network Model » (Caramazza, 1997)

73
Q

QUel genre d’approche est le modèle WEAVER ++

A

Développementale
Tient comte de la façon dont le langage est développé par l’enfant (sans se positionner sur les aspects théoriques qu’on avait vue en lien avec l’approche innéiste, observation de comment l’enfant apprends et les étapes qu’il traverse)
Intègre les différents éléments du langage de cette façon

74
Q

Étapes du modèle Le modèle WEAVER ++

A

préparation conceptuelle (en lien avec le lexique mental ou le mot pas représenté)
ensuite sélection lexicale en lien avec le concept
encodage morphologique et phonologique permet de produire le mot choisi.

75
Q

DIapo 57

A
76
Q

QUels sont les observations du Independant Network Model

A

Observations:
🞄 Certains patients ont des problèmes avec les homonymes (dualité entre verbe et nom pour certains homonymes)
🞄 Ex: un peigne (catégorie lexicale: nom)
il peigne (catégorie lexicale: verbe)
🞄 Certains patients ont des problèmes seulement dans certaines modalités de input (compréhension) ou de output (production)
🞄 Problèmes dans la modalité orale (phonologique) ou écrite (orthographique) mais pas nécessairement les deux

77
Q

QUels sont les postulat du Independant Network Model

A

l’information syntaxique est représentée indépendamment de l’information lexicale-sémantique et de la forme du mot (phonologique)

78
Q

Le model indépendant network model distingue quoi

A

Distingue la forme orale (phonologique) et écrite (orthographique)

79
Q

Le model indépendant network model propose quoi ?

A

Propose que le lexique est organisé en réseaux (« networks ») indépendants
🞄 Réseau lexical-sémantique
🞄 Réseau lexical-syntaxique

80
Q

Le « Independant Network Model », Propose que le lexique est organisé en réseaux (« networks ») indépendants, Ces réseaux sont connectés comment ?

A

les uns aux autres par des nœuds lexicaux de modalités spécifiques

81
Q

Diapo 62-63-64

A
82
Q

Article scientifique

A
83
Q

Est-ce qu’il y a un consensu sur l’organisation du système de genre grammatical dans le lexique mental bilingue ? Selon les études du genre dans le lexique mental bilingue

A

Non

84
Q

Les études du genre disent-elle qu’il y a un problème avec les bilingues dont les deux langues n’ont pas une structure de genre grammatical similaire ?

A

OUI

85
Q

C’est quoi des stimuli inadéquat qui pose problème dans le lexique metnal bilingue ?

A

Cognats (mot avec les mêmes racines dans les deux langues)

86
Q

C’est quoi le gender-segregated view ?

A

Même si le genre est différent entre les langue (pas congruents) il n’y a pas d’influence car pas de partage entre les syst`me du genre des langues

87
Q

C’est quoi le gender-integrated view ?

A

Une différence dans le genre causera un délai car il y a un lien entre les deux systèmes.

88
Q

2 différentes théories sur le genre grammatical bilingue :

A
  • deux systèmes autonome gender segregated view

- Un seul système ou deux syst`mes liés (gender integrated view)

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