Cours 4 : la mémoire à cours terme Flashcards

1
Q

qu’est-ce que la mémoire à court terme ?

A

C’est un endroit pour déposer un côté des informations

Ensemble de processus qui permettent de maintenir l’information active nécessaire à l’exécution des activités cognitives courantes (ex., lecture, prise de décision, résolution de problèmes, etc.)

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2
Q

qu’est-ce la mémoire de travail ?

A
  • Lorsque la MCT est utilisée pour stocker des informations nécessaires à l’accomplissement d’une tâche particulière. (tiré de Reed)
  • Implique une manipulation de l’information
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3
Q

le modèle d’Atkinson

A

Cette théorie souligne les liens entre le registre sensorielle, la mémoire à court terme et la mémoire à long terme. Elle a permit de trouver que le registre sensorielle préserve l’information pendant quelques centaines de millisecondes.

une seconde composante quelle élabore dessus est que la MCT est limitée dans sa capacité et sa durée, l’information est perdu après 20-30 secondes si elle n’est pas répété, tandis que la mémoire à long terme à une capacité illimité.

La MCT et la MLT travail ensemble . La MCT peut combiner de l’information de l’environnement et de la MLT quand il essaie d’apprendre de nouvelles informations

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4
Q

La courbe de position sérielle

à compléter

A
  • Tâche: Rappel libre (sans tenir compte de
    l’ordre de présentation)
  • Ces résultats suggèrent 2 systèmes de mémoire:
  • Effet de récence:
    Associé au maintien des derniers items
    de la liste en MCT.
  • Effet de primauté:
    Accès des premiers items en MLT.
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5
Q

Le taux d’oubli en MCT

A

l’information dans la mémoire à court terme est rapidement perdu et pour quelle ne le soit pas il faut faire de la répétition

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6
Q

Le taux d’oubli : Peterson et Peterson (1959); Brown (1958)

AKA la tâche de brown et Peterson

A

On détermine la vitesse de l’oubli qui croit rapidement

  • Brève présentation de stimuli ex., 3 consonnes (1 sec) oralement qu’il faut apprendre
  • Intervalle variable (variable – 3, 6, 9, 12, ou 15 sec après
    l’énonciation des lettres) pendant laquelle une tâche de distraction est effectuée : compter à rebours a tous les 3 secondes à partir des nombres présenté après les trois consones , par exemple présentait les lettres CHJ et après 506 (pour éliminer repetition), plus le délai est long le plus ont de chance à oublier `
  • il comptait jusqu’à ce qu’ils voient un signal lumineux qui les indiquait de faire le rappel des trois lettres
  • Rappel

les résultats : taux d’oubli croit rapidement sans répétition, ce qui veut dire qu’on doit répéter l’information si on veut quelle nous reste disponible

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7
Q

quelle est la cause d’oubli en MCT

A

théorie de l’interférence :
proposition selon laquelle l’oubli se produit parce qu’un autre matériel interfère avec l’information en mémoire

théorie de la dégradation : proposition selon laquelle l’information est spontanément perdue au cours du temps, y compris lorsqu’il n’y a pas d’interférences avec un autre matériel

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8
Q

la dégradation vs l’interférence de Waugh et Norman (1965)

A

on se demande si la raison pour notre perte d’information est à cause de la dégradation où l’interférence

  • présente une ne liste verbale de 16 chiffres à leur sujets :
    5196351428627394
  • Le dernier chiffre = un repère(4)
  • La série comprenait aussi un chiffre identique au repère (4) qui apparaissait aussi plus tôt dans l
    a liste exactement une fois
  • Tâche: rapporter le chiffre qui suivait la 1ère apparition du repère: l’item-test ( = 2 )
  • connaissance du repère uniquement à la fin de la série * Différentes conditions:
  • Nombre d’items entre l’item-test et la fin de la série (mesurer effet d’interférence)
  • La fréquence (le rythme) de présentation (1 ou 4 chiffres par sec.) (mesurer effet de degradation)
    26/70

les hypothèses :
* Si le rappel chute à mesure que le nombre d’items interférant augmente: l’effet de l’interférence

  • Si le rappel chute à mesure que le temps de rétention augmente (= rythme de présentation plus lente = plus de temps passé): l’effet de la dégradation
  • la performance devrait être meilleure avec une fréquence de présentation plus élevée

les résultats :
* le rythme de présentation a eu très peu d’effet sur la probabilité de rappel
* le nombre d’items interférant a eu un grand effet sur le rappel

DONC: on peut conclure que l’interfère est une cause majeure de l’oubli , c’est une relativement bonne nouvelle, car si c’était la dégradation on ne pourrais rien faire

Note: Il y a une dégradation dans la MCT mais ce n’est pas la cause majeure de l’oubli

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9
Q

Les types d’interférences en MCT

A
  • Inhibition rétroactive
  • Inhibition proactive
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10
Q

L’interférence rétroactive

A

oubli du à des interférences causées par des données perçues après l’apprentissage et un événement

ex: le nombre de chiffre qui suivait le chiffre repères influençait la qualité du rappel

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11
Q

l’interférence proactive

A

oubli du à des interférences causées par des données perçues avant l’apprentissage

Keppel et Underwood (1962)
* Tâche de Brown-Peterson
* bon rappel pour les premiers essais
* la détérioration s’observe après les premiers essais
* l’interférence de l’info des premiers essais sur le rappel des essais suivants

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12
Q

L’affranchissement de l’inhibition proactive de Wickens, Born & Allen (1963)

A

réduction de l’interférence proactive par une suppression de la similarité entre les informations actuel et précédente

Ø Utilisation d’items similaires de Brown-Peterson:

  • Hypothèse:
    Ø On observe une diminution de
    l’interférence si les derniers items se distinguent des premiers

Wickens, Born & Allen (1963):
* 3 premiers essais: trois stimuli (mots ou chiffres) pendant un intervalle de 20 secondes on demandais de ce rappeler ces 3 chiffres ou mots et en mêmes temps ils devaient faire une autre tâche pour éviter la répétition

*4e essai:
*Groupe contrôle: stimulus de la même catégorie , qui révèle une haute interférence
Groupe expérimental: catégorie opposée. Il a commencé avec la même catégorie et au dernier essaie il avait un item d’une catégorie opposée

résultats :
l’affranchissement de l’inhibition proactive; diminution de l’interférence si les derniers items se distinguent des premiers.

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13
Q

Gunter, Clifford & Berry (1980):

A

mêmes principes que l’affranchissement de l’inhibition proactive de Wickens, Born & Allen (1963), mais pour des évènements plus complexes

Stimuli plus complexes:
* Items des nouvelles sportives
* Items des nouvelles politiques
et même procédure que Wickens, Born & Allen

Résultats similaires:
Tout changement d’ordre sémantique provoque l’affranchissement de l’inhibition proactive.
Wickens, Dalezman & Eggmeier (1976)

Application:
Organiser le matériel pour essayer
de réduire l’interférence

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14
Q

L’empan de mémoire

A

L’EMPAN DE MÉMOIRE:
La plus longue séquence d’items dont nous pouvons nous rappeler dans l’ordre

une autre limitation de la MCT est quelle ne peut que contenir 7 items , qui est montrer par tâche de “empan de chiffre” ou “empan de mémoire”. Dans cette tâche les sujets doivent se rappeler dans le bon ordre une séquence d’items

  • Selon Miller (1956), la capacité de la MCT est de 5 à 9 items ou ‘chunks’ (+/- 7). Il a fait une tâche qui avait but que le sujet identifie le bon label à chacun des 7 stimulis, avant que la tâche deviennent trop difficile
  • Le ‘chunk’ est un groupe d’éléments simples ayant une signification (MLT)
  • Par ex., il est aussi facile de retenir « BMW » ou « POMME » qu’1 lettre ou 1 chiffre
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15
Q

le regroupement

A

-le recodage de l’information selon les paquets d’informations stockées en tant qu’unité dans la MLT.
* Le but: créer des regroupements pour nous aider à augmenter le nombre d’items dans la MCT

ITW – AIB – MLI vs.
FBI – CIA – IBM

dans la première ligne il faut que la personne se rappelle de 9 lettres séparément, mais dans la deuxième ligne il fait juste quelle se rappel de trois mots , car elle est plus significative
* On peut retenir 7+/-2items

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16
Q

De Groot, 1966: regroupement en paquet familier

A

Des maîtres d’échecs vs des joueurs amateurs
Le focus d’intérêt:
est-ce que la performance des maitres d’échecs va être meilleure que celle des amateurs ?
Pour le groupe expérimental:
* On montre la configuration de jeux déjà joués, pendant 5 sec.
* On retire les pièces; et après
* Les sujets doivent essayer de reproduire la configuration Groupe contrôle:
* Les sujets doivent deviner les positions des pièces sans avoir vu une configuration.

résultats :
le plus qu’on a de connaissances le plus que c’est avantageux. 90% des maitres vont réussir lors de leur premier essaie et 40% des amateurs vont réussir de leur premier essaie. La mémoire des experts diffère de celle des novices (meilleure), dans la mémorisation des informations en regroupements dans leur domaine d’expertise (paquets familiers)

17
Q

regroupement chez les enfants (Schneider et al.,1993)

A

effet de l’expertise chez les enfants

  • Participants:
    Adultes et enfants (10-13 ans) Novices et experts
  • Résultats:
  • Tâche de mémoire non liée aux échecs
  • Adultes > enfants (effet d’âge)
  • Tâche de mémoire liée aux échecs - Enfants experts > adultes novices
    (effet de l’expertise)
18
Q

les codes de mémoire

A

ils sont un autres facteurs qui va venir distinguer la MCT et la MLT

La vue initiale:
* MCT – les codes acoustiques (verbalisation)
* MLT – les codes sémantiques (signification)
ØVue suggérée par le matériel utilisé dans les premières études sur la MCT.
Mais :
* Affranchissement de l’inhibition proactive
* Utilisation des codes visuels en MCT Donc :
La vue contemporaine:
* Moins drastique, mais souligne tout de même la grande importance des codes acoustiques dans la MCT:
* La répétition verbale
* La lecture

19
Q

les codes acoustiques et répétition

A

les codes acoustiques sont basés sur la verbalisation. il n’est plus considéré comme le seul code influençable pour la MCT mais il est étudier, car la répétition verbale est importante pour retenir l’information dans la MCT

La taille de l’empan de mémoire est influencée par 2 vitesses distinctes de traitement de l’information verbale:
1. La vitesse de la répétition
2. La vitesse de récupération

Étude avec enfants d’âge primaire préscolaire

  • Mesures:
  • Empan: Rappel de séquences de chiffres, combien on peut s’en rappeler
  • Vitesse de répétition: répéter les chiffres le plus rapidement possible, pour mesurer la vitesse
  • Vitesse de récupération: durée de pause entre les chiffres rapportés pendant un rappel

Cowan et al., 1998 résultats
1)
Haute vitesse de répétition

                   \+ Haute vitesse de récupération

                    = meilleure empan 

2)
Pas de correlation entre les 2 vitesses
meilleur empan

20
Q

les. confusions des codes acoustiques

A
  • Erreurs phonétiquement proches de la réponse correcte.
  • Les lettres avec les phonèmes pareils ou identiques (par ex.,
    bé/pé; em/en, etc)
  • plus facilement confondues (Conrad, 1964)
  • Bien que les confusions acoustiques se produisent parfois, il est généralement avantageux de se servir de la répétition verbale pour maintenir l’info en MCT.
21
Q

les codes acoustiques et lecture,
Levy (1978): la subvocalisation

A

Subvocalisation: prononcer mentalement les mots
Tâche:
* Lire OU écouter un texte
* Compter pendant la tâche (pour supprimer la subvocalisation)
* Se rappeler avec détails les phrases
* Test: reconnaissance de phrase de type OUI/NON

Conditions de test post-texte:
* Altération lexicale: substitution d’un mot pour un autre mot dont la signification est similaire; la signification de la phrase est préservée
* Altération sémantique: changement de l’ordre des mots d’une phrase qui modifie sa signification
* Aucun changement (phrases-test identiques)

Résultats quand texte lu:
* Performance moins bonne quand les sujets comptaient (suppression de la subvocalisation)
* Performances semblables (autant mauvaises)
que ce soit pour les altérations lexicales que sémantiques
Mais
* Pas d’effet de la suppression de la subvocalisation sur la performance si le texte est écouté

La suppression de la subvocalisation semble interférer avec
la lecture, mais pas avec la compréhension linguistique auditive (tel qu’écouter)
La traduction de matériel visuel en un code acoustique (par la subvocalisation) aide à préserver les détails du texte – le mot à mot

22
Q

les codes acoustiques et lecture,
Levy (1978): 2e expérience

A

Même tâche que Exp. 1

Conditions de test différentes:
* Paraphrase: une phrase qui exprime les mêmes idées qu’une autre mais avec des mots différents
* Paraphrases positives: le sens conservé
* Paraphrases négatives: le sens altéré

Résultats:
* Pas d’effet de la tâche de comptage (suppression de la subvocalisation n’entraîne pas de baisse de performance)
* Les sjs sont capables de se souvenir des idées générales sans l’aide de la subvocalisation

Bien que le codage acoustique ne semble pas nécessaire à la compréhension des idées générales, elle facilite la rétention des détails

23
Q

La reconnaissance d’items dans la MCT

A

On s’intéresse maintenant à la recherche d’un item en MCT plutôt qu’au rappel d’une série d’items, on s’intéresse à comment on fait la recherche dans la mémoire

24
Q

une recherche ciblé

A

prend fin dès qu’une correspondance est trouvée entre l’item-test et un item de la série en mémoire

25
Q

une recherche exhaustive

A

prend fin quand l’item- test a été comparé avec tous les items de la série en mémoire

26
Q

Sternberg (1966):1ère étude:

A
  • Séquence variable de chiffres (ensemble en MCT)
  • Chiffre-test
  • Sujet doit indiquer si le chiffre était dans la séquence
    Résultats:
  • TR augmente en fonction du nombre d’items dans la séquence (relation linéaire)
  • TR similaires pour les réponses positives et négatives * TR similaires quelle que soit la position du chiffre-test
    dans la séquence
    Conclusions:
    ØUne recherche exhaustive
27
Q

Le modèle de la mémoire de travail de Baddeley (1992)

A
  1. Boucle phonologique:
    * But: Maintien et manipulation des informations basées
    sur le langage (code verbal, acoustique)
    a) Registre phonologique (conserve les informations verbales)
    b) Mécanisme de répétition (maintient ces informations en activité dans le registre)
    a et b: 2 composantes distinctes *TEP(Awhl et al., 1996). 2. Calepin visuo-spatial:
    * Maintien et manipulation des informations visuelles 3. Centre exécutif :
    * Sélection des stratégies et intégration des informations

Tâche principale: tâche visuelle/spatiale:
* Reproduction de configurations de jeu d’échecs
Tâche secondaire (faire obstacle à l’une ou l’autre des
composantes du modèle):
1 Taper sur une série de touches
Ø occupe le calepin visuo-spatial
2 Produire une séquence aléatoire de lettres
Ø occupe le centre exécutif : Processus décisionnel
3 Compter
Ø occupe la boucle phonologique

Tâche principale: tâche visuelle/spatiale
Tâche secondaire (supression des composantes):
1 calepin visuo-spatial 2 centre exécutif
3 boucle phonologique

Résultats:
et : Affaiblissement de la capacité à reproduire la configuration de jeu
: Pas d’effet sur la capacité à reproduire la configuration du jeu - boucle phonologique distincte du calepin visuo-spatial
- le codage verbal ne joue pas un rôle essentiel dans cette tâche
- le calepin visuo-spatial et le centre exécutif sont nécessaires à la bonne mémorisation des pièces d’échecs

28
Q

Révision du Modèle de la mémoire de travail de Baddeley et nouveaux modèle de la mémoire de travail

A

i l’information visuelle se trouve dans le calepin visuo-spatial et que l’information verbale se retrouve dans la boucle phonologique, comment les codes visuels et phonologiques peuvent être rassemblés?

Nouvelle composante: la mémoire tampon épisodique
- Système de stockage capable d’intégrer les codes de
mémoire de différentes modalités pour former un code multimodal,
Ex. former mentalement une carte (visuo-spatiale)
avec des informations verbales
* Première version du modèle : le centre exécutif
* Relation MCT avec MLT
* Centre exécutif

29
Q

Glanzer et Cunitz (1966)

A

Tâche:
* Rappel libre
* Calculs mentaux entre la présentation et le rappel libre (0, 10 et 30 s)
Hypothèses:
* Le calcul va empêcher
l’autorépétition après la présentation de la liste; ØL’effet de primauté devrait
être intact (MLT)
ØL’effet de récence devrait disparaître (MCT)

  • Délais avant le rappel de
    0, 10 et 30 s.
  • Tâche de calcul avant le rappel
  • Avec le délai de 30 s.; l’effet de récence disparaît
  • Effet de primauté toujours présent

L’absence de l’autorépétition après la fin de la liste n’a pas affecté l’effet de primauté (premiers mots de la liste), car les items sont déjà dans la MLT
Et
L’absence de l’autorépétition affecte l’effet de récence, car les items dans la MCT ne sont pas stockés très longtemps (derniers items de la liste), s’ils ne sont pas gardés actifs par l’autorépétition.
Et
quand l’autorépétition est impossible à cause de calcul mental, ces derniers items quittent la MCT (après un délai de 30 secondes) = perte de l’effet de récence.

30
Q

les cas cliniques

A

Patient H.M.:
* Excision bilatérale d’une partie des lobes temporaux , perte d’une partie du lobe temporale rt après on fait le test systématique
* Incapacité à apprendre du nouveau matériel verbal ou non verbal
- Mais MCT normale:
* Empan normal (MCT)
* effet de récence intact dans les tâches derappel libre (MCT), donc elle est correcte pour la MCT
- Effet de primauté diminué (problème d’encodage en MLT), problème avec la MLT
CONCLUSIONS:
ØDissociation MCT / MLT: systèmes indépendants
Ø Déficit de transfert de l’information entre la MCT et la MLT= difficulté d’apparendre de nouvelles choses

K.F.:
* Le cas inverse de H.M.:
* Lésion de la région pariétale
* Empan verbal (MCT) réduit mais apprentissage verbal normal (MLT), peut apprendre de l’information juste pas dans mémoire à court terme
ØPour K.F., l’information ne doit pas nécessairement passer par la MCT pour accèder la MLT (effet de primauté conservé)
Conclusion: H.M. vs K.F:
K.F. ne peut pas être expliqué par le modèle d’Atkinson et Shiffrin (1968)
autre modèle proposé: Mtravail de Baddeley & Hitch, 1974; Hitch & Baddeley, 1976).

31
Q
A