Cours 2: Mémoire Sensorielle Et Reconnaissance Des Formes Flashcards
(34 cards)
la théorie des gabarits
les formes ne sont absolument pas décrite, les formes sont des entités holistiques ou non analysé que compare avec d’autres formes.
- un modèle mémorisé est sur imposé sur une forme donnée pour vérifier jusqu’à quelle point ces formes se ressemblent
- les formes doivent être de la même position, orientation et taille, on ne pourrais pas les comparer sinon
limites de la théories des gabarits
- autorise aucune description alternative d’une forme
- ne révèle pas de quelle manière deux formes différent
l’expérimentation de Phillips (1974)
présentation de deux formes une après l’autre
1: forme 1 pendant 1 secondes
2: à différent intervalle d’autres forme sont présenter et le patient doit dire si les formes sont identiques ou similaires
les résultats: les intervalles court et avec formes identiques sont bien reconnues avec fort %
- pour les formes déplacés , les résultats oscille autour de 60% peut importe l’intervalle
- l’utilisation du registre sensorielle permet plus de précision pour un intervalle inférieur à 300ms
-temps de réaction rapide pour les formes identiques et court intervalle
la théorie des traits
les stimuli sont définis comme une combinaison de caractéristiques élémentaires
- décrire une forme au moyen d’une liste de ses parties, ex comment on décrit une personne physiquement
Étape 1 dans la reconnaissance: détecter et combiner des éléments essentiels d’un objet, les caractéristiques qui sont particulières aux formes, qui les distinguent.
Étape 2: L’identification de l’objet se fait par la comparaison de ces caractéristiques avec celles enregistrées en mémoire
la théorie de Gibson (1969)
L’apprentissage perceptuel se fait au moyen d’une liste des traits qui distinguent les formes entre elles
les critères d’un trait de Gibson
- Les traits doivent être réellement discriminatoires, présents dans certains éléments de la série et pas dans d’autres, de façon à offrir un contraste
- L’identité des traits doit rester inchangée malgré les modifications de luminosité, de taille et de perspective
- Les traits doivent produire une forme unique pour chaque lettre
- Le nombre de traits proposés doit être raisonnablement petit
Gibson, Shapiro et Yonas (1968)
- Présenter à des sujets des paires de lettres
- Participant doit indiquer le plus rapidement possible si les lettres sont pareilles ou différentes
résultats: Le TR augmente lorsque les lettres de la paire
partagent beaucoup de caractéristiques élémentaires
- par exemple , le G et W sont considérés comme deux lettres assez distinctes
L’expérience de Egeland (1975)
Enfants d’âge préscolaire
* entrainement de paires de lettres similaires
le trait distinctif de la lettre est mis en e rouge, par exemple le R quand il est côté du P, au file de la session le trait du R est graduellement de moins en moins rouge et prend ça forme original
dentifier les 3 lettres parmi 6 lettres qui correspondent à la cible
* Test 1: immédiatement après l’entraînement * Test 2: une semaine plus tard
RÉSULTATS: Groupe 1 > Groupe 2
* Les enfants ont été aidé dans leur apprentissage de porter attention à un trait distinctif
L’expérience de Neisser (1964)
Tâche: recherche visuelle d’une cible parmi des distracteurs (liste de lettres)
* Trouver le « Z » parmi des lettres semblables au Z (liste 1), ou différentes du Z (liste 2)
* Résultats:
Cible trouvée beaucoup plus rapidement dans la liste 2 que 1, car traits plus distinctifs
- on a manipuler les listes la 1 est plus difficile
les limites de la théorie de traits
- On peut reconnaître des formes dont les traits sont manquants
- Le tout est plus que la somme des parties (Gestalt)
¤ la forme holistique, le tout, constitue une forme globale qui possède ses caractéristiques propres et qui ne peut pas être identifiée simplement par l’examen de ses parties.
La perception d’un objet nécessite qu’on puisse décrire la façon dont les traits sont groupés. - Les mêmes composantes pour des objets différents
les théories structurelles
Reposent sur les théories des traits (nécessité de définir les traits)
MAIS: Les théories structurelles insistent sur le regroupement et les relations entre les traits
* L’interprétation d’une forme dépend de l’idée qu’on a de la façon dont les parties (les lignes) se regroupent. Façon dont les traits sont assemblés
- poussent plus loins les théories de traits en spécifiant comment les traits sont reliés
étapes de traitements pour décrire les théories structurelles
nalyse des contours de l’objet (base perception visuelle)
2. Segmentation et identification des catégories de composantes élémentaires selon leur organisation (principes de la gestalt).
3. Comparaison avec les organisations de composantes mémorisées
4. Reconnaissance: objet est reconnu comme un tout composé des caractéristiques.
les principes d’organisations de la Gestalt
a forme ou l’objet est un tout complexe
* Elle est plus qu’un ensemble de
caractéristiques élémentaires
* Le processus de reconnaissance de formes organise l’information (groupement perceptif) selon certains principes
les 4 principes de l’organisation de la Gestalt
1- principe de similarité (regarder horizontalement)
2- principe de proximité (regrouper des éléments ensembles)
3- principe de fermeture
4- Principe de continuité
le modèle des composantes de Biederman
Seuls 35 géons sont nécessaires pour décrire les objets du monde Biederman (1985)
* Géons: figures simples tridimensionnelles qui se combinent avec d’autres pour réaliser des formes tridimensionnelles
* Ce sont les arrangements, relations, entre les composantes qui définissent des objets différents.
L’expérience avec les images dégradés de Biederman, 1985
Sujets doivent nommer les images dégradées
* Dans les 2 types d’images: 65% du contour des dessins sont
L’expérimentation avec les images dégradées (Biederman, 1985)
enlevés
* Type 1: Retrait du milieu des segments du contour (l’info sur les relations
entre les traits est conservée).
* Type 2: Retrait des parties autour des sommets du contour (l’info sur les relations
est manquante = pas de segmentation).
Les contours au milieu on été surprimé: Identification dans 70% des cas
les contours supprimé aux angles: Identification dans 50% de cas
* Hypothèse: les objets qui sont plus difficiles à segmenter seront aussi plus difficile à identifier
le rôle du contexte dans la reconnaissance des mots
- La reconnaissance de mots - L’effet de supériorité du mot
- Le modèle d’activation interactive
- L’effet de supériorité de l’objet
L’effet de supériorité du mots
Une lettre est traitée plus efficacement si elle est présentée dans un mot
Tâche d’identification de Cattell (1885)
Présentation très brève (10 msec)de lettres
Rapporter toutes les lettres possibles
2 conditions:
* dans la condition lettres (ex., SPBO – ERNT - AQWO):
* dans la condition mots (ex., RAME - LOUP - CASE):
Résultats:
Condition lettre: 4-5 lettres rappelés
Condition mots: 3-4 mots rappelés (donc plus de lettres)
Le mot facilite la reconnaissance des lettres
L’expérience de Reicher (1969)
présente 3 mots
Trois conditions:
1) Condition Mot
2) Condition Lettre isolée 3) Condition Non-mot
la tâche consiste toujours à identifier une seule en choisissant parmi 2 alternatives
étape 2: une masque = la présentation du stimulus est suivie par un cache visuel comprenant deux réponses alternatives , par exemple une série de stimuli était le mot WORK, la lettre K et le non-mots OWRK
étape 3: les deux alternatives sont les lettres K et D , les observateurs indiquaient la lettre qui selon eux occupait cette place un D ou K
les résultats : Les participants ont fait moins d’erreurs et ont été plus précis dans la condition mot que dans les conditions non-mot et lettre
* Effet de supériorité du mot;
– exemple d’un traitement top-down
le modèle d’activation interactive
McLelland et Rumelhart, 1981
Hypothèse:
1. la perception visuelle implique le traitement parallèle.
Le traitement visuel est spatialement parallèle, par ex., les 4 lettres d’un mot sont traitées simultanément
2. la reconnaissance a lieu en même temps dans les 3 niveaux d’abstraction ( trait, lettre et mot)
3) les trois niveaux détermine ce qu’on perçoit.
les deux types de connexions
connexion excitatrice: fournissent indices positifs
connexions inhibitrices : indices négatifs sur l’identité d’une lettre ou d’un mot
4) traitement top-down entre les niveaux mots et lettres
parfois on peut déduire de mots donc on peut trouver la lettre manquante
les traits détecter augmentent leniveau d’activation des lettres les possédant et diminue le niveau d’activation des lettre qui ne le possède pas
l’effet de supériorité de l’objet
Le contexte favorise également la reconnaissance de formes incluses dans un objet.
* La perception d’objet n’est pas seulement le résultat de l’analyse de caractéristiques simples comme des lignes.
* L’organisation des éléments qui composent les objets influence la reconnaissance.
l’effet de supériorité de l’objet Weisstein et Harris, 1974
le contexte peut aider la reconnaissance de certains traits
Résultats dans leur étude: plus facile de reconnaitre la ligne diagonale dans le stimulus B que dans le stimulus C
Ø Pourquoi? Car B est un objet bien formé
mémoire sensoriele
Première étape du traitement de l’info
* Conserve l’information sensorielle non-analysée
(brute)
* Stockage très bref et transitoire
* Permet d’avoir un délai de traitement de l’info pour y porter attention; si on y porte pas attention, le matériel disparaît et n’est pas reconnu
Concerne tous les sens: 5 types de stimuli qu’il produit
* la vue
* l’ouïe
* l’odorat
* le toucher * le goût