cours 8 Flashcards

(34 cards)

1
Q

Les (1) réfèrent aux capacités relationnelles en termes de savoir-être.

A

1: schèmes relationnels

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2
Q

le psychoéducateur a recourt à quoi pour favoriser des relations interpersonnelles de qualité et l’établissement et le maintien de relations significatives

A

ses outils intrinsèques

Relation entre intervenant et sujet est importante, bcp alliance thérapeutique va amener engagement de la part du sujet dans le processus.

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3
Q

Gendreau (2001) a dit ceci, à propos du savoir-être :
« L’expression (1) a, pour moi, remplacé petit à petit, la notion (2) chez les personnes en interaction éducative. »

A

1: schèmes relationnels
2: d’attitude

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4
Q

selon Gendreau, qu’est-ce que le savoir être

A

Dans l’intervention psychoéducative, le savoir-être de
l’éducateur consiste plus précisément à accomplir de façon
appropriée les opérations propres à son exercice professionnel

savoir-être c’est pas des actions que le professionnel dois poser, mais faire ce qui est demande en tant que psychoéducateur et influence sur comment il va appliqué

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5
Q

savoir être: L’intervention psychoéducative inclut 6 schèmes relationnels

A

Considération:

Confiance;

Congruence;

Sécurité;

Empathie;

Disponibilité.

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6
Q

est-ce que tous les shèmes relationnels se développent au même rythme

A

Tous les shèmes relationnels ne vont pas se développer au même rythme. Peut être un enjeux pourrais avoir suffisemment empathie et considération, mais pt sentiment de sécurité est pas assez développé, n’irait pas même si autres shèmes me pousserait à y aller

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7
Q

la qualité de nos relations va reposer sur quoi

A

Ensemble de tous ces shèmes permet être dans relation psychoéducative, qualité de la relation repose bcp sur la qualité de nos shèmes relationnels

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8
Q

confiance:

A

la confiance se manifeste chez l’éducateur par une certitude d’être, une sorte de phare intérieur qui lui procure un sentiment d’assurance, de compétence et d’espérance ferme dans le vécu significatif. Être confiant en nous, en notre capacité d’intervenir, repose sur différent facteurs. Notre confiance ne sera pas la mm selon les différents niveau d’intervention.

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9
Q

Le schème de la confiance repose sur : 4

A

les moyens du milieu

les ressources intérieurs et les moyens propres au professionnel

le sujet

la relation

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10
Q

les moyens du milieu: confiance

A

ressources du milieu humaines et matérielle, est-ce qu’il a autre personne avec moi…

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11
Q

les ressources intérieurs et les moyens propres au professionnel: confiance

A

à quel point on pense on a les capacités/compétences pour intervenir dans cette situation

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12
Q

le sujet

A

caractéristiques du sujet, va influencer sur comment on voit le sujet. est-ce qu’il a le potentiel de se développer, apprendre, évoluer…

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13
Q

la relation

A

relation que j’établi avec cette personne. relation de confiance, significative… va me donner plus confiance dans mon intervention

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14
Q

considération

A

l’estime que l’on porte à quelqu’un, ou plus précisément, l’attribution d’une valeur d’être à un individu

La considération doit adhérer à la conception qu’une personne est un tout

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15
Q

comment doit se concrétisre le regard que l’on porte à l’autre: considération

A

Le regard que l’on porte à l’autre doit se concrétiser à travers nos gestes , notre attitude et nos paroles.

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16
Q

quel effort suppose la considération

A

La considération suppose un effort d’objectivité pour vaincre les apparences et ainsi découvrir la valeur unique d’un individu. La considération est le respect inconditionnel pour l’autre

17
Q

pourquoi il est primordiale que l’intervenant développe de la considération pour lui mm

A

Il est primordial que l’intervenant développe de la considération pour lui-même en tant qu’intervenant. Si croit pas qu’on est intervenant respectable risque de tinter notre façon d’intervenir

18
Q

quand on est dans la considération on essaye d’être dans l’absence de quoi

A

Essaye d’être dans l’absence de jugement, le reconnaître sans le juger. Ex: pas tjr revenir sur les limites de cette personne. veut qu’intervenant croit assez en les capacités du sujet pour qu’il puisse évoluer, atteindre les objectifs.

Respecter peu importe les comportements du sujets  contexte que se peut que comme intervenant on a pas envie de respecter le sujet. considération ne doit pas être retirer si la personne ne se comporte pas bien, veut pas dire accepte le comportement du sujet.

19
Q

Les obstacles à la considération : 4

A

Le manque de considération pour soi: va pas favoriser relation d’aide, intervention

Les interventions de courte durée: certains milieu d’interventions qu’on va pas être longtemps avec sujets. Alors quand il y a bcp de roulement peut rendre plus difficile

Défense;

Le manque d’informations ou informations teintée d’un jugement

20
Q

Les obstacles à la considération : défense

A

caractérisque du sujet qui peuvent nous amener à repousser la personne. ex: odeur corporelle, apparence, façon d’être du sujet, façon d’être avec le monde

21
Q

Les obstacles à la considération : manque d’information

A

fait de ne pas savoir certaines choses peut nous amener à interpréter comportement de manière inadéquate

22
Q

Selon Gendreau (2001), l’empathie est la capacité du psychoéducateur de

A

se mettre à la place de l’autre, sans confondre ses propres émotions et pensées avec les siennes. Comprendre pk l’autre se sent comme ça, pense comme ça sans être submergé par le vécu de la personne. capable observer et juger le moment que serait bénéfique dans l’intervention de le faire.

23
Q

l’empathie résulte en: 2

A

une compréhension de l’état d’esprit d’une autre personne, de
son comportement;

une communication de cette compréhension par l’entremise de
ses interventions, au moment jugé opportun.

24
Q

Les obstacles à l’empathie : 3

A

La résonnance

le jugement

la sympathie

25
Les obstacles à l’empathie : La résonnance
fait en sorte que fait refléter qqch que nous même on a vécu. Peut être un frein parce que même si on a vécu qqch de similaire veut pas dire que la personne l’a vécu de la même façon
26
Les obstacles à l’empathie : le jugement
contexte qu’on a pas de connaissance pour permettre de juger un jugement, pas de preuve. Dans la relation d’aide peut être un obstacle important. Si émet jugement sans avoir de preuves peut avoir chance de pas avoir raison.
27
Les obstacles à l’empathie : la sympathie
risque de ne plus être capable de bien intervenir.
28
Selon Gendreau (2001), la sécurité se définit comme
un ensemble d’attitudes qui permet au psychoéducateur de faire face à diverses situations sans se sentir paralysé par la peur
29
la sécurité aide à composer avec quelle type de situations et pourquoi
Réfère à la capacité de composer avec des situations anxiogènes. Le psychoéducateur sait ce qu’il doit faire et comment il doit le faire; il arrive donc à adopter les comportements appropriés pour rassurer le sujet
30
métaphore faite pour comprendre sécurité
Nous comme intervenant doit être le contenant de ce que le sujet va vivre. Si vrm insécure on va pas être contenant solide et sujet ne va pas se laisser aller. Situation que peuvent destabiliser certains intervenants et d’autres non (vulnérabilité)  important de les considérer
31
Selon Gendreau (2001), la disponibilité est la
capacité à dépasser son bien-être immédiat
32
Selon Gendreau (2001), la disponibilité est la capacité à dépasser son bien-être immédiat pour : 3
accepter d’être utilisé de façon à répondre d’abord aux besoins de l’autre, même si ceux-ci diffèrent ici et maintenant de ses propres attentes personnelles. Se mettre à la disposition de l’autre (être utilisé) prioriser les besoins du sujet mm si nous même on a nos propres besoins Cerner les besoins et mettre en place des conditions; Être en mesure d’anticiper la possibilité d’une certaine satisfaction face à soi. Être capable de se montrer receptif à des manifestations de satisfactions
33
Selon Gendreau (2001), la congruence consiste en
une honnêteté, un souci d’être vrai et authentique
34
À travers ce schème, le psychoéducateur fait preuve d’une acceptation de ce que provoque l’interaction et s’efforce d’une certaine consistance entre: congruence (5)
Son expérience personnelle; faire croire au sujet qu’on a vécu tel et tel chose et pas vrai peut avoir impact dans relation Ce qui est vécu dans l’intervention;intervenant qui va expliquer qqch, mais le fait pas parce que besoin dans la relation, mais pour se sentir bon Qui il est comme individu, comme intervenant; Ce qu’il laisse transparaître; Ce qu’il témoigne ou communique au sujet