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Processus cognitif > cours 8 > Flashcards

cours 8 Flashcards

1
Q

quels sont les propositions sur la composition de la mémoire de travail ?

A
  • syst à capacité limitée
    • entreposage temporaire
    • composantes multiples pour codages différents
    • Manipulation de info dans tâches complexes ¸
    • séparation : capacité vs répétition (élément clé du modèle)
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2
Q

quel est le modèle de la mémoire de travail ?

A

-exécutif central systs esclaves
(1) Tablette visuospatiale
(2) Tampon épisodique
(3) Boucle phonologique
syst de mémoire à long terme

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3
Q

quel est la fonction de exécutif central ?

A

syst à capacité limitée qui relie systs esclaves et MLT ET responsable des plans, division de l’attention et stratégies de sélection.

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4
Q

Quel est la fonction de la tablette visuospatiale ?

A

syst esclave qui enregistre et manipule info visuelle et spatiale.

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5
Q

Quel est la fonction du tampon épisodique ?

A

syst esclave qui encode, intègre et récupère info sous forme consciente.

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6
Q

Quel est la fonction de la boucle phonologique ?

A

syst esclave qui enregistre et manipule info auditive.

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7
Q

Dans la seule expérience en lien avec l’exécutif central, quel était le but et tache en gros?

A

montrer capacité de traitement limitée de exécutif central et dépendance de exécutif central sur la MLT durant tâche de production.

  • génération aléatoire : dans notre tête
  • tirer des lettres de alphabet d’un chapeau (tirage avec remise)
  • produire séquences aléatoires de 100 lettres
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8
Q

Dans la seule expérience en lien avec l’exécutif central, quel est la variable-clé de expérience ?

A

taux de génération requis : 1 lettre par 500/1000/2000/4000 millisecondes.

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9
Q

Dans la seule expérience en lien avec l’exécutif central, rationnel…

A

exécutif central responsable pour sélection de stratégie, mais capacité de traitement limitée.

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10
Q

Dans la seule expérience en lien avec l’exécutif central, hypothèse et prédiction de expérience ?

A
  • plus on augmente demande pour exécutif central = plus on augmente dépendance sur patrons comportementaux communs et patron récupérés de la MLT.
  • taux de génération plus rapide = niveau de hasard plus bas = occurrence plus élevée de … séquences prévisibles et séquences stéréotypées
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11
Q

Qu’est-ce qu’une séquence prévisibles ?

A

(mesure que l’exécutif central est surchargé avec éléments qui sont hasard, qui n’ont pas de sens)

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12
Q

Qu’est-ce qu’une séquence stéréotypées ?

A

(éléments avec un sens qu’on a dans mémoire; quand surcharger, il va aller dans la MALT pour aller chercher info qu’on connait et correcte pour l’expérience).

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13
Q

Dans la seule expérience en lien avec l’exécutif central, quels sont les résultats et interprétation ?

A

–participants génèrent plus de séquences non-aléatoires (prévisibles ou stéréotypiques) lorsque que la pression (due au rythme) est plus élevée. Plus de séquence prévisible que séquence stéréotypiques.
___
-support pour idée que exécutif central dépend plus des comportements communs/ connus lorsque les demandes de traitement sont élevées.
-support pour capacité générale de traitement limitée : exécutif central responsable de gérer capacité et séquences prévisibles.
-support pour connexion entre exécutif central et MLT : séquences stéréotypées.

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14
Q

Quel était les 2 syst d’esclaves initialement et qu’on doit dissocier ?

A

boucle phonologique et tablette visuospatial

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15
Q

dans expérience de Brooks pour dissocier les 2 systs esclaves, on veut mesurer quoi ?

A

le temps de réponse, car la tâche pas difficile

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16
Q

dans expérience de Brooks pour dissocier les 2 systs esclaves, quel est le rationnel de expérience ?

A

correspondance entre type d’entrée et de réponse va surcharger l’un des systs. ET non-correspondance n’aura aucun effet (preuve de sous-syst séparés)
-le traitement de entrée et réponse se font de façon simultanée.

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17
Q

quels sont les 2 types de taches de expérience ?

A
  • tache verbale

- tache visuospatial

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18
Q

quels sont les étapes de la tâche ?

A
  • tache 1 : entrée verbale (une phrase) - on la garde à esprit et on fait une seconde opération qui est soit une réponse verbale ou une réponse visuospatial (taper ou pointer)
  • tache 2: une entrée visuospatiale (regarder des lettres) - garder l’item en tête et faire une seconde opération soit dire la lettre par réponse verbale ou faire une réponse visuospatiale soit taper ou pointer.
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19
Q

Quel est l’hypothèse de la tache 1 pour déterminer la dissociation ?

A
  • si traitement de info verbale/visuospatiale se fait séparément = + d’interférence quand entrée/réponse sollicite même modalité.
  • comme dans attention, plus c’est surchargé, moins on est efficace.
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20
Q

Quel est le résultat de la tache 1 pour déterminer la dissociation ?

A

-impact moyen sur TR : plus marqué lorsque correspondance entre type d’entrée et de réponse.
-support pour syst verbale (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale)
-dire > taper/ pointer en parlant de temps de réponse
___
-Matériel verbal/ réponse visuospatiale (taper ou pointer)
–syst unitaire : utilise même syst = impact sur capacité de traitement de entrée et TR
–sous-syst séparés : utilise sous-syst différents = aucun impact sur capacité de traitement de entrée et TR.

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21
Q

Quel est l’hypothèse de la tache 2 pour déterminer la dissociation ?

A

-si traitement de l’info verbale/visuospatiale se fait séparément : + d’interférence quand entrée/réponse sollicite même modalité.

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22
Q

Quel est le résultat de la tache 2 pour déterminer la dissociation ?

A

-impact moyen sur TRs plus marqué lorsque correspondance entre type d’entrée et de réponse.
-support pour syst verbal (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale)
-dire < taper < pointer
___
-matériel visuospatiale/ réponse verbale (dire)
–syst unitaire : utilise même syst : impact sur capacité de traitement de entrée et TR
–sous-syst diff : aucun impact sur capacité de traitement de entrée et TR.

23
Q

quels sont les résultats comparatifs/ interprétation ?

A
  • si on passe de non-correspondance à correspondance entre type d’entrée et réponse = augmentation TRs.
    - preuve générale d’interférence.
    - modèles à syst unitaire invalides.
    - support pour syst verbal et visuospatial à court terme séparés.
24
Q

Quels sont les éléments qui se situe dans entrepôt phonologie et qu’on va tester plus tard ?

A
  • contient traces de matériel AVL

- contient jusqu’à 2 secondes de matériel

25
Q

Quels sont les éléments qui se situe dans système de répétition articulatoire et qu’on va tester plus tard ?

A
  • maintien traces mnésiques phonologiques

- traduit info visuelle en nommant de façon sous-vocale.

26
Q

Comment fonctionne la boucle au niveau des entrées auditives (phonologique)?

A
  • mémoire sensorielle ->exécutif central ->entrepôt phonologique.
  • capacité de la boucle : 2 sec (quelle qté d’éléments qu’on est capable de dire en 2 sec)
  • trace gardée active par syst de répétition articulatoire.
  • si entrée non rafraichie, disparait (en 15-20 sec)
27
Q

Comment fonctionne la boucle au niveau des entrées visuelle/ visuospatiale ?

A
  • mémoire sensorielle ->exécutif central -> tablette visuospatiale
  • si info de type AVL :
  • transfert au syst de répétition articulatoire pour nommer de façon sous-vocale ou traduire.
  • info transférée à la boucle phonologique : limite de 2 sec/ répétition articulatoire possible.
28
Q

Selon Baddeley et Hitch, il y a 3 phénomènes importants et interreliés qui sont soutien pour la boucle phonologique ?

A
  • effet de similarité phonologique
  • effet de longueur du mot
  • suppression articulatoire
29
Q

Quel est le but, tâche, matériel et hypothèse de expérience en lien avec effet de similarité phonologique ?

A
  • But : déterminer si codage AVL est utilisé/ important en mémoire de travail
  • Tâche : rappel sériel avec présentation auditive ou visuelle
  • matériel : listes de mots similaires au niveau auditif ET listes de mots différents au niveau auditif.
  • hypothèse : il sera plus difficile de rapporter les listes de mots similaires à cause de la confusion auditive.
30
Q

Dans expérience en lien avec effet de similarité phonologique, quels sont les résultats/ interprétation ?

A
  • peu important la modalité de présentation, les listes de mots similaires au niveau auditif sont plus difficiles à rapporter.
  • importance de la propension à nommer/ traduire les mots sous forme AVL.
31
Q

Dans expérience de effet de longueur du mot, quel est le but, la tâche et hypothèse ?

A
  • tâche : rappel sériel : 4-8 mots/1 vs. 5 syllabes ET doit rapporter séquence complète pour essai correct.
  • but : montrer que capacité mémoire de travail n’est pas constant ET varie avec longueur des mots à rapporter.
  • hypothèse :
  • si mémoire de travail limitée en termes de nombre de chunks, aucun effet de longueur du mot sur empan mnésique. (Peu importe si il y a 1 ou 5 syllabes)
  • si mémoire de travail limitée en termes de durée, effet de la longueur du mot sur l’empan mnésique : mots plus longs = moins de mots en mémoire ET mots plus longs prennent plus de temps à répéter.
32
Q

Dans expérience de effet de longueur du mot, quels sont les résultats et la conclusion?

A
  • résultats :
  • effet de longueur du mot pour toutes longueurs de liste = avantage clair pour mots courts.
  • conclusion : limite temporelle (en terme de temps) et non basée sur le nombre d’unités significatives (chunks)
    - durée de ce ruban acoustique ? d’où vient le 2 sec?
33
Q

Suite à expérience de effet de longueur du mot, on veut savoir la durée des traces acoustiques, quel est le but, procédure, matériel dans expérience ?

A
  • But : déterminer durée de la boucle.
  • Procédure : 2 tâches = mesure de taux de lecture (# de mots lus par secondes (selon # de syllables)) ET tâche de rappel sériel (séquences de mots)
  • matériel : 5 mots par liste (mots de 1 à 5 syllabes)
34
Q

dans expérience de la durée des traces acoustiques, quel est le rationnel, l’hypothèse et les résultats/interprétation de expérience ?

A
  • rationnel :
    • répétition articulatoire analogue à la parole (répétition dans notre tête)
    • mots plus courts : lus et répétés plus vite
    • plus de mots courts entrent dans la boucle
  • hypothèse : taux lecture prédit rappel/détermine durée boucle
  • résultats/interprétation :
  • comme exp.1 = # de syllabes par mot lié à perfo de rappel sériel. En rouge, nombre de mot par seconde
    • taux de lecture prédit # de séquences correctes.
    • en moyenne, 2 sec de matériel dispo pour rappel.
    • encore une fois, durée temporelle = facteur-clé
  • plus tu lis vite, plus tu rentres info, donc capable de rapporter plus de mots.
35
Q

Dans expérience de la suppression articulatoire, quel est le but, la tâche et les variables de expérience ?

A
  • but:
    - montrer que syst de repetition articulatoire :
    - maintient les traces mnésiques phonologiques
    - traduit info en mode AVL en nommant de façon sous-vocale
    - est responsable de effet de longueur du mot
    - tâche : rappel sériel (une seule longueur de liste)
    - variables :
    - longueur de mot (court ou long)
    - type de présentation (auditif ou visuel)
    - possibilité de répétition (contrôle ou suppression)
  • condition suppression : participants comptent à voix haute avant, pendant et après présentation de la liste. (donc, on est incapable de répéter les mots dans notre tête en même temps)
36
Q

Quel est la prédiction 1 de expérience de la suppression articulatoire ?

A
  • effet de longueur du mot présent lorsque la répétition de la liste est permise.
  • auditif – contrôle : info transférée dans boucle phonologique/ répétée ET capacité de la boucle dépend de longueur du mot (pour répétition)
  • visuel – contrôle : info à composante AVL transférée de la tablette visuospatiale vers entrepôt phonologique via syst de répétition articulatoire ET une fois transférée, perfo basée sur limites de la boucle.
37
Q

Quels sont les résultats de la prédiction 1 de expérience de la suppression articulatoire ?

A
  • Résultats : auditif- contrôle vs visuel-contrôle :
  • effet de longueur du mot obtenu pour les 2 types de présentation -soutien pour processus de traduction de visuel à phonologique.
  • rapporte plus de mot court que des mots longs. (bleu)
  • en rouge, montre qu’il y a une transition entre les deux.
38
Q

Quel est la prédiction 2 de expérience de la suppression articulatoire ?

A

en auditif – suppression, effet de longueur du mot absent lorsque répétition de la liste non permise.

  • parce que syst de répétition articulatoire ne peut rafraîchir les traces mnésiques de l’entrepôt phonologique.
  • auditif-contrôle : info transférée dans boucle phonologique/ répétée ET capacité pleinement utilisée.
  • auditif- suppression : info transférée, mais non répétée ET perte de la trace. Syst articulatoire non dispo
39
Q

Quels sont les résultats de la prédiction 2 de expérience de la suppression articulatoire ?

A
  • résultats : auditif-contrôle vs. Auditif-supression :
  • suppression cause une baisse de perfo : mais pas absence, donc 2e composante (entrepôt) en jeu.
  • effet de longueur du mot disparait :
  • utilité du syst de répétition articulatoire pour maintien des traces actives.
  • syst de répétition articulatoire responsable de l’effet de longueur du mot.
  • quand pas dispo, perd l’effet du mot, mais si dispo, il y a effet du mot
  • on perd pas à 100% de la perfo.
40
Q

Quel est la prédiction 3 de expérience de la suppression articulatoire ?

A

en visuel – suppression, effet de longueur du mot sera perdu car aucune traduction par le SRA

  • visuel-contrôle : info à composante AVL transférée de la tablette visuospatiale vers entrepôt phonologique via syst de répétition articulatoire. ET une fois transférée, perfo basée sur limites de la boucle.
  • visuel-suppression : syst de répétition articulatoire occupé (dit à voix haute les mots), ne peut pas traduire. ET perfo basée sur info visuelle restante traduite pendant rappel.
41
Q

Quels sont les résultats de la prédiction 3 de expérience de la suppression articulatoire ?

A
  • résultats : visuel-contrôle vs visuel-suppression :
  • suppression élimine effet de longueur du mot car matériel non codé en AVL.
  • valide traduction comme processus plausible pour maintenir traces mnésiques d’info visuelle à composante AVL.
42
Q

Quel est le sommaire des résultats pour la modalité auditive et la modalité visuelle ?

A
  • modalité auditive : effet de longueur du mot seulement si répétition possible : valide processus de maintien à court terme. (ligne bleu) – suppression : peu pas répété
  • modalité visuelle : effet de longueur du mot seulement si traduction et répétition possibles : valide processus de traduction phonologique. (ligne rouge)
43
Q

Quel est le sommaire/conclusions de la boucle phonologique ?

A
  • soutenue par : effet de similarité phonologique (montre qu’on fait du codage auditif)/ effet de longueur du mot (capacité : 2 sec ET lié au taux de lecture)/ suppression articulatoire (voix dans notre tête qui répétition sous-vocale ET traduction du visuel au phonologique)
  • conclusions générales :
    • au cours des années, Baddeley a fourni bcp de preuves empiriques soutenant la boucle.
    • bien qu’il existe d’autres modèles, celui-ci demeure le standard dans ce domaine de recherche.
44
Q

Au niveau de l’expérience de la tablette visuospatiale, quel est le but, la tâche, la mesure et procédure ?

A
  • but : déterminer si composantes visuelles et spatiales sont gérés par des sous-syst différents. (Montrer une double dissociation entre les 2 composantes)
  • tâches : rétention de couleurs ou séquences spatiales (série de position).
  • Mesure : nombre de fausses reconnaissances.
  • procédure : présentation du stimulus original -> tonalité -> écran blanc (rétention + tâche secondaire) -> présentation du stimulus test -> réponse : identique (oui/non?)
  • -tâche secondaire = aucune, mvt actif (spatial=mvt dans espace, pas visuel), visionnement d’images non-reliées (visuel)
  • -tâche primaire = soit visuel ou pas visuel
45
Q

Au niveau de l’expérience de la tablette visuospatiale, quel est le rationnel de celle-ci et hypothèses?

A
  • Rationnel : si sous-syst distincts, on peut montrer effet d’une manipulation expérimentale sur un sous-syst spatial mais pas visuel (et vice-versa).
  • hypothèses :
    • si la tablette visuospatiale contient 2 sous-syst :
      • un pour info spatiale et dynamique
      • un pour info visuelle et statique
    • alors :
  • la condition mouvement actif n’augmentera le nombre de fausses reconnaissances que pour le groupe séquence spatiale (interférence).
  • la condition images non-reliées n’augmentera le nombre de fausses reconnaissances que pour le groupe nuance de couleurs (interférence).
46
Q

Au niveau de l’expérience de la tablette visuospatiale, quels sont les résultats et interprétation ?

A
  • résultats :
    • nombre de fausses reconnaissance :
  • pour tâche spatiale (séquences) = mvt actif > (images non-reliées = contrôle)
  • pour tâche visuelle (couleurs) = images non-reliées > (mvt actif = contrôle)
  • interprétation :
  • possible d’influencer la perfo à une tâche spatiale dynamique sans influencer une tâche visuelle statique (et vice-versa)
    • double dissociation !!!
    • doit donc postuler 2 sous-syst dans la tablette visuospatiale :
      • un qui s’occupe de l’info spatiale et dynamique
      • autre qui s’occupe de l’info visuelle et statique.
47
Q

Que fait la tablette visuospatial en gros ?

A
  • syst esclave responsable pour info visuelle et spatiale

- rationnel : semblable à la boucle phonologique

48
Q

Quels sont les caractéristiques de l’entrepôt visuel ?

A
  • syst passif = oublie par interférence (contenir la dernière image, si on est pas capable de contenir image, elle va disparaitre)
    • entreposage général visuospatial – info statique (forme/couleur) (caracté. physique statique)
    • requiert entrée visuospatiale (si on regarde pas qqchose, on pourrait pas utiliser entrepôt visuel)
    • info consciente ou non. (On peut traiter sans s’en rendre compte)
    • liée à la traduction sous-vocale (par syst de répétition articulatoire)
49
Q

Quels sont les caractéristiques du scribe interne?

A
  • syst actif connecté à l’exécutif central
    • rafraîchit entrepôt visuel
    • mécanisme de répétition spatiale
  • impliqué dans rétention de mvts/ emplacements séquentiels – et c’est pour ça qu’il a de interférence en mvt actif. (Permet de planifier nos mvts)
  • utilisé durant planification et exécution du mvt – extrait info de entrepôt pour permettre mvt ciblé
  • mettre image à jour, (note séquence spatial)
50
Q

Quels sont les problèmes avec le modèle ?

A
  • n’explique pas les tâches qui demandent la création d’images mentales traitées de façon dynamique.
  • on peut demander à des participants de créer des images mentales et les tâches spatiales dynamiques et visuelles statique n’interfèrent pas.
51
Q

Quels sont les caractéristiques du tampon visuel?

A
  • génère/ maintien images pour certaines tâches.
    • pas d’entrée visuelle requise (pas obliger).
    • tjrs consciente.
    • peut recevoir info de la boucle phonologique : plus besoin de codage AVL si image est générer.
  • selon ce modèle, nous aurions donc accès à des images mentales visuelles conscientes pour réaliser tâches en mémoire de travail.
52
Q

Quels sont les différences entre la boucle phonologique et la tablette visuospatiale ?

A

1) boucle phonologique :
-contient matériel
AVL
-maintient traces
AVL actives à
l’aide de
répétition
articulatoire
-utilité principale
(encodage des
entrées,
entreposage
temporaire)
-support empirique
BCP
2) tablette visuospatiale :
-contient matériel
visuospatial
-maintient traces
VS actives en
rafraichissant
(scribe interne)
-utilité principale
(encodage des
entrées,
entreposage
temporaire;
génération
d’images visuelles
dans esprit)
-support empirique
PEU

53
Q

Quels sont les caractéristiques du tampon épisodique ?

A

-syst esclave
-relié à la MLT épisodique
-entreposage temporaire pour trop-plein
-conscience
-maintien info complexe provenant de modalité multiples.
-peut utiliser plusieurs types de codage en même temps
-intègre et manipule info
-garde info active en mémoire pour de plus longues périodes que les autres systs esclaves.
____
-probl de capacité :
-limites de la boucle phonologique :
-rappel de prose : phrase significative demande empan de 16 mots et +
-patients amnésiques peuvent se souvenir d’histoires en mémoire de travail.
-codage sémantique ? où le chunking se produit-il ?
-probl de mise en commun (binding)
-info de plrs modalités (codes) pour représentations complexes.

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