Session 2 Flashcards

(29 cards)

1
Q

Cas clinique doit amener au

A

Raisonnement clinique

Doit être réaliste pour conceptualiser les apprentissages.

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2
Q

Raisonnement clinique construit sur :

A

SCRIPTS

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3
Q

origine des erreurs diag les plus fréquentes

A

Dysfonctionnement cognitif

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4
Q

Déf raisonnement clinique :

A

processus de réflexion qu’un professionnel de santé utilise pour analyser une situation, poser un diagnostic et prendre des décisions adaptées au patient.

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5
Q

Raisonnement clinique repose sur :

A

Observation
Interprétation des signes et symptômes
Expérience du praticien

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6
Q

2 qualifications du raisonnement clinique

A

Itératif
Instinctif/intuitif

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7
Q

Evaluer la formation de quelqu’un :

A
  • avant et après
  • transformation + raisonnement
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8
Q

Remobilisation cognitive

A

changer d’activité, activité courte, mettre en activité, concerner et impliquer.

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9
Q

Déf ETHIQUE

A

réflexion sur les valeurs. Les valeurs orientent et motivent les actions, les comportements. Traite des principes régulateurs de l’action et de la conduite morale.

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10
Q

Ethique appliquée

A

Bioéthique

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11
Q

Philosophie morale

A

Métaéthique

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12
Q

Normes viennent de l’éthique

A

Prescriptive

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13
Q

Casuistique = éthique

A

éthique appliquée

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14
Q

Ethique descriptive

A

Métaéthique

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15
Q

Déf déontologie (!)

A

l’éthique appliquée à un milieu professionnel. Concerne les institutions, patients, pros.

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16
Q

Différence Ethique et déontologie :

A

Ethique : Réflexion. Discipline qui traite de l’action et de la conduite morale.

Déontologie : Application de normes définies par un consensus dans un milieu professionnel. Ensemble des règles qui encadrent une profession et les rapports entre ses membres. Discours de ce qui est convenable. Normative

17
Q

Différence Ethique et Morale :

A

Ethique : Réflexion orientée vers un « bien-agir ». s’interroge sur ce qui sou tend une valeur, les arguments, les paradigmes. Cheminement réflexif. S’élabore ou se discute en n’ayant pas pour vocation à aboutir à une seule réponse valable.

Morale : Se réfère à un ensemble de données qui permettent de différencier bien et mal, convenable d’inconvenant. Etablie une frontière entre acceptable et inacceptable. Permet de trancher définitivement.

18
Q

Déf praxéologie :

A

sciences cognitives. Science ou théorie de l’action; connaissance des lois de l’action humaine conduisant à des conclusions opératoires.

19
Q

Déf PRINCIPISME :

A

une approche éthique basée sur quatre principes fondamentaux : l’autonomie (respect des choix individuels), la bienfaisance (faire le bien), la non-malfaisance (ne pas nuire) et la justice (équité). Il est particulièrement utilisé en bioéthique pour guider la prise de décisions morales.

20
Q

détails de l’éthique principielle :

A

o AUTONOMIE : inclure le patient dans le processus de délibération. Co-décision concernant la santé.

o BIENFAISANCE : sollicitude aux personnes en situation de vulnérabilité. La vocation des soignants est de prévenir, soigner et de soulager les souffrances. Contourner le paternalisme médical. Question du bien de la personne.

o NON-MALFAISANCE : primum non nocere. Dignité humaine. Malfaisance si le patient souhaite lui-même souffrir plutôt que de prendre des antalgiques. Obstination déraisonnable.

o JUSTICE : égale considération, pas de privilégiés. Egalité = équitable ?

21
Q

Finalités de l’évaluation dans l’enseignement :

A
  • Dépister
  • Diagnostiquer
  • Certifier
  • Classer
  • Motiver
  • Former
22
Q

Précautions méthodologiques des évaluations :

A
  • Tenir compte du poids des apprentissages (se fixer des priorités en lien avec l’objectif)
  • Recourir à des outils qui réduisent la subjectivité (constance, fiabilité et fidélité)
  • Expliciter et discuter les critères d’évaluation aux apprenants
23
Q

Déf feedback

A

processus de rétroaction qui vise un réajustement des comportements et attitudes et actions pour favoriser l’apprentissage.

24
Q

Biais de correction des évaluations :

A

Biais d’effet d’ordre : on n’évalue pas la première copie comme on corrige la dernière.
Biais de contamination : éval influencée par des éléments extérieurs qui ne devraient pas rentrer en compte.

25
Etapes de procession d'éval d'apprentissage :
1) Clarification > quels apprentissages veut on évaluer ? > progression de l’étudiant, compétences complexes 2) Observation > comment obtenir une preuve de l’apprentissage ? > travail final et collection de traces 3) Interprétation > comment analyser cette preuve d’apprentissage ? > évaluation critériée et interprétation des traces comme preuves.
26
Composantes d'une grille d'évaluation critériée :
 Une dimension et des critères : qualités attendues ou recherchées, manifestations de la preuve d’apprentissage.  Une échelle d’appréciation : échelle descriptive composée de niveaux de performance sur un continuum.  Des descripteurs : description qualitative des niveaux de performance.
27
La perception est une
CONSTRUCTION palpation pas absolue mais fiabilité suffisante dans un certain contexte.
28
Déf cerveau Bayésien
codage prédictif et réseau de saillance pour rendre conscient les perceptions. Les théories basées sur le codage prédictif fournissent un cadre explicatif unifié permettant d’expliquer comment la perception est façonnée, en intégrant les a priori sur le monde qui nous entoure ainsi que les dissonances entre ces a priori et les entrées sensorielles.
29
Déf raideur :
Résistance à la déformation (ok malléabilité).