1) La parole, un moyen de comprendre l’autre et d’extérioriser les ressentis

Question 1

C1

Answer 1

, H.2 ose formuler ce qui le ronge : « Tu m’as dit : “C’est bien… ça…” » – un aveu difficile, mais salutaire. Ce moment, bien que tendu, marque le début d’une mise à nu, où la douleur cesse d’être silencieuse et devient partageable. L’aveu, même maladroit, est la première étape d’un dialogue sincère.

Question 2

C2

Answer 2

Dans cette optique, parler permet aussi de dissiper les malentendus. Dans La Dispute de Marivaux, les couples se heurtent à des incompréhensions réciproques, souvent dues à des interprétations hâtives. Mais en verbalisant leurs pensées, même confusément, ils amorcent un travail de déconstruction, qui rend possible la compréhension mutuelle. Il ne s’agit pas toujours de bien dire, mais de chercher ensemble à démêler ce qui a été mal perçu

Question 3

C3

Answer 3

Enfin, la parole n’a d’impact que si elle rencontre une écoute véritable. repetion du mot “Écoute” Lorsqu’un ami choisit de se taire pour entendre sans interrompre, sans juger, il offre à l’autre un espace d’expression sécurisant. C’est cette forme d’écoute empathique, souvent absente dans la dispute entre H.1 et H.2, qui pourrait désamorcer bien des conflits : le silence qui accueille la parole, et non celui qui l’étouffe.