cours 3 Flashcards
(4 cards)
Construction de la figure du criminel
Les galeries de portrait à l’époque relevaient que le criminel avait une anomalie corporelle et génétique. Il est un individu défaillant, inadapté à la société, il est présenté comme à un stade primitif du stade d’évolution. Les anthropologues tentent de prouver que cette inadaption ce voit physiquement. Certain criminel choc les contemporains et laisse une marque sur la culture, ils sont captivants comme on peut le voir dans la presse. La chronique des tribunaux (1835-1836) est l’un des premiers journaux à rapporter l’actualité criminelle, à faire un événement de ceci. Le crime sert à nourrir désormais les récits de romain comme avec Alexandre Dumas qui écrit les crimes célèbres. Le crime et criminel sont réel, mais ils sont aussi imaginaires ont nourri les esprits en réinterprétant les évènements. Dans toute construction, il y a une part d’imagination. Il ne faut pas oublier que la littérature à pour but d’accrocher le lecteur. Présentation de crime, son enfance, sa personnalité, on physique. A partir de 1880, il y a une croissance du mouvement de narration des crimes, avec une floraison des écrit journalistique, anthropologique, etc. Dans quelle mesure ces écrit contribue t’il a forgé la perception du criminel, l’imaginaire du crime ? Pourquoi le crime fascine-t-il
Criminel dans la presse
Le journal est la principal de source d’information. Avant la rubrique des faits divers est déprécier, méprisée des journalistes et des lecteurs, bien que cette rubrique soit très éducative. Cette lecture est lue par un lecteur qui cherche des émotions, qui souhaite avoir des sujets de conversations. Le fait divers est traité de manière standard. Le petit journal se spécialise de 1863 à 1944 dans les faits divers, horoscope, feuilleton. À partir de 1884, il y a le dimanche une version illustré coloré de ce journal où le crime est l’illustration est la plus importante. Le journal romance le fait divers, dans le feuilleton on peut mettre une histoire fausse. Dominique Kalifa écrit crime et culture, il montre qu’il est possible t nécessaire d’utiliser le fait divers bien qu’il ne donne pas une vérité, mais une perception. Le fait divers est pas un évènement, mais un type d’écrit où l’on tente de mettre sens à cet évènement. Le fait divers s’organise selon la même recette, le même schéma : 1. La causalité qui doit être aberrante, on ne comprend pas le crime. 2. les fait sont diversifié bagarre, vols, escroquerie, conflits entre voisin, etc., cette multitude d’énumération de crimes en quelques lignes. On met en scène des micro-drames. 3. La répétition, c’est tous les jours qu’on répertorie les crimes, donc parfois il n’a rien ou beaucoup. Ça donne l’impression au lecteur de ne pas être en sécurité, sensation que le monde change et que l’on ne méprise pas. Il y a 3 types dans le fait divers : 1. Le bref, il est informatif le plus commun nom, lieu, date, quoi, etc. c’est très court quelques lignes on ne reste sur notre faim. 2. L’article, plusieurs lignes. 3. La page, le beau crime c’est l’Affaire qui fait la une, la première page, ça constitue un crime qui a déjà été suivit tel qu’aux tribunal. Il y a des journalistes qui se spécialise dans le crime en 1881, dans le fait divers. Celui-ci doit être rapide aller au tribunal et pondre un article, car il doit faire un scoop. Ainsi, il y a un moment où il est sous les projecteurs, il est une petite star lors du tribunal, mai après on n’en parle plus. On met en drame des faits sociaux qu’on construit, on n’exagère. Il faut être prudent, car les fait divers ne sont pas fiable pour mesurer le crime. Pour que l’on puisse parler d’une construction sociale il doit y avoir plusieurs éléments : des normes morales, sociales admises par tous, on doit retrouver l’états/la lois qui se réaffirme on retrouve la répression (on parle, donc très peu des personnes en fuite), les acteurs aussi doivent apparaitre individu groupe institution. Le crime né entre l’écart du recevable et irrecevable, donc c’est une émotion un sentiment d’insécurité. Recette du fait divers : Les figures du criminel qui est le criminel, l’identifié, le définir (un pauvre, un vagabond, un jeune), préciser les lieux du crimes (endroit sombre, faubourg, comment l’ordre à été rétabli le rôle de l’enquête, finalement le récit du crime. Autre journal, le petit niçois. Par ces récits du crime on popularise la science criminelle, les notions du droit. Il ne fait pas oublier, qu’a cette époque il y a un changement une urbanisation et les journaux tentent de comprendre ces changements.
Criminel d’occasion
Kalifa dit
¾ des crimes et des délits qu’ils soient impulsifs, de vengeance ou crapuleux sont de criminel occasionnel. Ils sont mis en scène ou le lecteur peut potentiellement s’identifier, donc il y a un cheminement psychologique pour décourager ce lecteur de le commettre. Ces criminels sont vite oubliés, il n’a pas fait un crime assez grave pour marquer émotionnellement. Première figure du criminel d’occasion est le travailleur début du 19e siècle (par exemple le journalier qui est dans la survit il se cherche un métier à chaque jour, l’ouvrier) on les retrouves dans de nombreux crimes bagarres, vols, etc. Louis Chevalier classe les classes laboureuses comme dangereuse due à la précarité. Ensuite, À la fin du 19e siècle ce n’est plus l’ouvrier, mais on associe le délinquant à un sans travail, au vagabond, au souteneur (proxénète), etc. Finalement, il y a l’étranger dans Nice c’est associé aux italiens, toutefois ce sont selon 4% des criminels qui sont des étrangers. À Marseille, aussi, on associe l’italien et le crime. Dans la presse on suspecte aussi les riches étrangers de faire des crimes de hauts niveaux, ce sont des escrocs, donc la presse est volontairement racisme, xénophobe. Le « rastaquouères » on ne connait pas origines, mais on les considère dangereux. Cols blancs ce sont des criminels de haut niveau (avocats, notaires. Politiciens), ce constitue des crimes commis à l’encontre des classes populaires, détournement d’argent en profitant de la naïveté de la victime pour prendre son argent. Par exemple, en 1903 Julie Salvi est notaire il se retrouve en prison pour une mauvaise gestion de son étude comptable où celui confondait son salaire e l’argent d’étude.
La figure du monstre
ce n’est pas un criminel régulier, il trouble l’ordre social avec ses crimes. Il évoque l’effroi, Larousse dit que c’est un être qui diffère de son espèce. Il ne se contente pas de tuer, il a une brutalité exagérer, bestiaux. L’un des arguments pour expliquer ces monstres; l’atavisme il a des tard génétiques qui le prédispose à devenir un monstre dans son patrimoine génétique. Le crime laisse place a beaucoup de recherche qui montre que le monstre n’est pas fou. L’horloger, Albert Pel est devenu un monstre célèbre après la mort de sa mère où il target des femmes il se marie et empoisonne ses femmes.