Formules prescriptives Flashcards
(82 cards)
Pourquoi faut-il utiliser un gain prescriptif ?
- Pour avoir un point de départ
(Par la suite, on peut changer ce qui est nécessaire selon les commentaires du
patient) - Basée sur la recherche (méthode factuelle)
- Pour sélectionner un appareil approprié et le comparer aux matricesPour établir un point de départ basé sur la recherche et pour comparer les appareils aux matrices de performance.
on utilise les commentaire du patient pour les gains
Vair ou faux: la formule prescriptive fait partie de la prescription des appareils
Vrai
Quelles sont les trois étapes de la méthode hybride de prescription de gain ?
- Le gain prescrit et vérification ( on va calculer avce la formule prescriptive)
- L’expérience rapportée par le patient (méthode subjective) ( selon l’exepérien avec l’appareil que la personne a reçu)
- L’amplification idéale pour le patient
Les types de gain prescriptifs
1- Basé sur la perception de la sonie (MCL, niveau d’inconfort, échelle de sonie) :
* Desired Sensation Level (DSL) : DSL [i/o] et DSL m[i/o]
* Shapiro, CID, LGOB, IHAFF, ScalAdapt (ancienne formule)
2-Basé sur les seuils auditifs :
* National Acoustics Laboratory of Australia (NAL): NAL-NL2, NAL-R, NAL-RP,
NAL-NL1 ( basé dur la formule prescriptive sur les seuils auditifs)
* Berger, POGO, FIG6, CAM(REST/EQ/2)
Quelle est la différence entre l’amplification linéaire et non-linéaire ?
L’amplification linéaire applique un gain fixe à toutes les intensités (anciennee méthode d’ajustement), tandis que l’amplification non-linéaire ajuste le gain selon l’intensité du son d’entrée.
Donne un exemple de formule utilisant une amplification linéaire.
POGO et POGO II ; NAL-R et NAL-RP ; DSL
La méthode non linéaire
1-Le gain (en fonction de la fréquence) différent pour plusieurs entrées * La parole douce (50-55 dB SPL)
* La parole conversationnelle (60-65 dB SPL)
* La parole forte (75-80 dB SPL)
* OSPL90, le « maximum output » pour les sons de l’environnement (90 dB SPL)
2-Le gain linéaire jusqu’à 65 à 70 dB SPL, mais la compression pour les
sons plus forts et l’expansion des sons doux (facultatif)
Donne un exemple de formule utilisant une amplification non-linéaire.
LGOB, IHADD/Contour, ScalAdapt, FIG6, DSL [i/o] ou DSLm[i/o], NAL-NL1 ou NAL-NL2
Quelles sont les deux grandes catégories de formules prescriptives ?
- Celles basées sur la perception de la sonie (ex. DSL)
- Celles basées sur les seuils auditifs (ex. NAL-NL2)
Quelle est la différence principale entre NAL et DSL ?
NAL optimise l’intelligibilité de la parole tout en minimisant l’inconfort, tandis que DSL vise un niveau sonore confortable pour toutes les fréquences.
Quelles formules prescriptives sont basées sur la sonie ?
DSL [i/o], DSLm[i/o], IHAFF, ScalAdapt
Quelles formules prescriptives sont basées sur les seuils auditifs ?
NAL-NL2, NAL-NL1, POGO, Berger, FIG6
Quels sont les quatre éléments qui distinguent les formules de gain prescriptif ?
- Données du patient (seuils auditifs ou sonie)
- Type d’amplification (linéaire ou non-linéaire)
- Objectif du traitement
- Expérience du patient selon la littérature
… D’autres formules de gain se trouvent dans le livre de Dillon!
des différence entre homme et femme ainsiq que la langue cause des différences
Le gain d’insertion linéaire pour les pertes plates
avec juste l’appareil auditif, 10 de plus dans 250 puis dans les haute fréquence c’est +20 , pour amener les patient avec une perte à 40 dB à 20 dB
Le gain d’insertion linéaire pour les pertes descendantes
si la perte est plus sévère, plus de gain, NAL va donner environ 30 de Gain, DSL va donner plus de 60 dB
DSL donne l’amplification pour arriver dans les limite de la norrmal
NAL donne de l’amplification pour arriver au niveau de cconfort
Le gain d’insertion non linéaire pour les pertes plates
Quels niveaux d’entrée sont généralement utilisés dans une formule prescriptive non-linéaire ?
- Parole douce (50-55 dB SPL)
- Parole conversationnelle (60-65 dB SPL)
- Parole forte (75-80 dB SPL)
- OSPL90 (90 dB SPL) pour éviter les sons trop forts
Pourquoi utilise-t-on un OSPL90 dans la prescription du gain ?
Pour fixer une limite maximale de sortie afin d’éviter l’inconfort des sons forts.
Quels sont les problèmes potentiels d’une prescription de gain ?
- Le patient peut percevoir un son trop fort ou trop faible
- Une mauvaise adaptation à l’amplification
- Un inconfort dû à une mauvaise compression dynamique
Que faire si le patient trouve l’amplification trop forte ?
Diminuer progressivement le gain pour permettre une meilleure acclimatation.
Que faire si le patient trouve que les sons faibles ne sont pas assez amplifiés ?
Augmenter le gain pour les sons faibles ou ajuster les paramètres de compression.
Quels éléments doivent être inclus dans une prescription de gain ?
- Nom du patient et date de prescription
- Oreille(s) appareillée(s)
- Type et modèle de l’appareil
- Formule prescriptive utilisée
- Audiogramme et résultats associés
- Options supplémentaires (T-coil, Bluetooth, etc.)
Pourquoi est-il important d’utiliser la vérification objective après la prescription du gain ?
Pour s’assurer que l’amplification respecte les cibles prescriptives et qu’elle est adaptée aux besoins du patient.
Quel est l’objectif principal des formules NAL-NL ?
Maximiser l’intelligibilité de la parole tout en assurant un confort auditif.