Gammapathies monoclonales Flashcards
(243 cards)
Gammapathies monoclonales
- Cette section s’adresse spécifiquement à un groupe de maladies lymphoprolifératives issues des lymphocytes B matures engagés dans la transformation plasmocytaire et dont la fonction principale est de secréter des immunoglobulines (ou gammaglobulines).
- Normalement, les immunoglobulines du sérum sont polyclonales puisqu’elles originent simultanément d’une multiplicité de clones ou de familles de plasmocytes secrétant chacune un anticorps d’un type immunochimique particulier, dirigé contre un antigène particulier.
Gammapathies monoclonales: C’est quoi?
- Cette section s’adresse spécifiquement à un groupe de maladies lymphoprolifératives issues des lymphocytes B matures engagés dans la transformation plasmocytaire et dont la fonction principale est de secréter des immunoglobulines (ou gammaglobulines).
- Normalement, les immunoglobulines du sérum sont polyclonales puisqu’elles originent simultanément d’une multiplicité de clones ou de familles de plasmocytes secrétant chacune un anticorps d’un type immunochimique particulier, dirigé contre un antigène particulier.
Gammapathies monoclonales: Quelles pathos?
- Cette section s’adresse spécifiquement à un groupe de maladies lymphoprolifératives issues des lymphocytes B matures engagés dans la transformation plasmocytaire et dont la fonction principale est de secréter des immunoglobulines (ou gammaglobulines).
- Normalement, les immunoglobulines du sérum sont polyclonales puisqu’elles originent simultanément d’une multiplicité de clones ou de familles de plasmocytes secrétant chacune un anticorps d’un type immunochimique particulier, dirigé contre un antigène particulier.
Gammapathies monoclonales: Fonctions principales
- Cette section s’adresse spécifiquement à un groupe de maladies lymphoprolifératives issues des lymphocytes B matures engagés dans la transformation plasmocytaire et dont la fonction principale est de secréter des immunoglobulines (ou gammaglobulines).
- Normalement, les immunoglobulines du sérum sont polyclonales puisqu’elles originent simultanément d’une multiplicité de clones ou de familles de plasmocytes secrétant chacune un anticorps d’un type immunochimique particulier, dirigé contre un antigène particulier.
Gammapathies monoclonales: Décrire les immunoglobulines du sérum
- Cette section s’adresse spécifiquement à un groupe de maladies lymphoprolifératives issues des lymphocytes B matures engagés dans la transformation plasmocytaire et dont la fonction principale est de secréter des immunoglobulines (ou gammaglobulines).
- Normalement, les immunoglobulines du sérum sont polyclonales puisqu’elles originent simultanément d’une multiplicité de clones ou de familles de plasmocytes secrétant chacune un anticorps d’un type immunochimique particulier, dirigé contre un antigène particulier.
Gammapathies monoclonales: Pourquoi on dit que les immunoglobulines sont polyclonales?
- Cette section s’adresse spécifiquement à un groupe de maladies lymphoprolifératives issues des lymphocytes B matures engagés dans la transformation plasmocytaire et dont la fonction principale est de secréter des immunoglobulines (ou gammaglobulines).
- Normalement, les immunoglobulines du sérum sont polyclonales puisqu’elles originent simultanément d’une multiplicité de clones ou de familles de plasmocytes secrétant chacune un anticorps d’un type immunochimique particulier, dirigé contre un antigène particulier.
Gammapathies monoclonales Électrophorèse des protéines
- Chez certains patients, lors d’une électrophorèse des protéines, on peut observer dans le sérum et/ou dans l’urine la présence, en concentration nettement anormale, d’une gamma-globuline prédominante dont toutes les molécules, à l’immunofixation, appartiennent à une même classe (IgG, IgA ou IgM) et possèdent une même chaîne légère.
- La détection d’une telle immunoglobuline (ou paraprotéine) dite monoclonale évoque toujours l’existence sous-jacente d’un clone plasmocytaire ou lymphoplasmocytaire néoplasique, capable d’entraîner tôt ou tard diverses manifestations pathologiques.
Gammapathies monoclonales Électrophorèse des protéines
- on observe quoi dans le sérum?
- Chez certains patients, lors d’une électrophorèse des protéines, on peut observer dans le sérum et/ou dans l’urine la présence, en concentration nettement anormale, d’une gamma-globuline prédominante dont toutes les molécules, à l’immunofixation, appartiennent à une même classe (IgG, IgA ou IgM) et possèdent une même chaîne légère.
- La détection d’une telle immunoglobuline (ou paraprotéine) dite monoclonale évoque toujours l’existence sous-jacente d’un clone plasmocytaire ou lymphoplasmocytaire néoplasique, capable d’entraîner tôt ou tard diverses manifestations pathologiques.
Gammapathies monoclonales À l’immunofixation
- Chez certains patients, lors d’une électrophorèse des protéines, on peut observer dans le sérum et/ou dans l’urine la présence, en concentration nettement anormale, d’une gamma-globuline prédominante dont toutes les molécules, à l’immunofixation, appartiennent à une même classe (IgG, IgA ou IgM) et possèdent une même chaîne légère.
- La détection d’une telle immunoglobuline (ou paraprotéine) dite monoclonale évoque toujours l’existence sous-jacente d’un clone plasmocytaire ou lymphoplasmocytaire néoplasique, capable d’entraîner tôt ou tard diverses manifestations pathologiques.
Gammapathies monoclonales Signification de la détection d’Ig monoclonale
- Chez certains patients, lors d’une électrophorèse des protéines, on peut observer dans le sérum et/ou dans l’urine la présence, en concentration nettement anormale, d’une gamma-globuline prédominante dont toutes les molécules, à l’immunofixation, appartiennent à une même classe (IgG, IgA ou IgM) et possèdent une même chaîne légère.
- La détection d’une telle immunoglobuline (ou paraprotéine) dite monoclonale évoque toujours l’existence sous-jacente d’un clone plasmocytaire ou lymphoplasmocytaire néoplasique, capable d’entraîner tôt ou tard diverses manifestations pathologiques.
Rappel sur les immunoglobulines normales
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Structures des molécules d’immunoglobulines
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Comment sont reliées les chaînes d’immunoglobuline?
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Ce qui caratérise les chaînes immunologiquement
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Types de chaînes légères
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Chaînes légères
- pareilles ou différentes?
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Types de chaînes lourdes
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Chaînes lourdes
- pareilles ou différentes?
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Chaînes lourdes - pour les IgG
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Chaînes lourdes - pour les IgA
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Chaînes lourdes - pour les IgM
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Chaînes lourdes - pour les IgD
- Chaque molécule d’immunoglobuline est composée de deux chaînes légères identiques et deux chaînes lourdes identiques.
- Elles sont reliées entre elles par des ponts disulfures.
- Chaque chaîne porte des motifs antigéniques qui la caractérisent immunologiquement.
- Les chaînes légères peuvent être soit de type kappa, soit de type lambda, mais elles sont identiques dans toutes les classes d’immunoglobulines.
- Au contraire, les chaînes lourdes sont différentes dans chaque classe : gamma pour les IgG, alpha pour les IgA, mu pour les IgM, delta pour les IgD, etc.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Parties terminales
- La partie C-terminale des chaînes légères et lourdes est constante alors que la partie N-terminale est variable à l’intérieur d’un même type immunochimique.
- C’est cette dernière partie de la molécule de l’anticorps qui se combine à l’antigène correspondant.
Rappel sur les immunoglobulines normales: Parties terminales
- décrire la partie C-terminale vs N-terminale
- La partie C-terminale des chaînes légères et lourdes est constante alors que la partie N-terminale est variable à l’intérieur d’un même type immunochimique.
- C’est cette dernière partie de la molécule de l’anticorps qui se combine à l’antigène correspondant.