Syndromes mononucléosiques Flashcards

1
Q

Syndromes mononucléosiques

A
  • Il s’agit d’une réaction immunitaire importante et complexe, ganglionnaire et sanguine, comportant principalement une lymphocytose réactionnelle à lymphocytes hyperbasophiles, prenant souvent l’aspect de grands mononucléaires atypiques.
  • La morphologie de ces éléments réactionnels, plus volumineux qu’un lymphocyte normal, a été décrite dans un chapitre précédent.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Syndromes mononucléosiques: C’est quoi?

A
  • Il s’agit d’une réaction immunitaire importante et complexe, ganglionnaire et sanguine, comportant principalement une lymphocytose réactionnelle à lymphocytes hyperbasophiles, prenant souvent l’aspect de grands mononucléaires atypiques.
  • La morphologie de ces éléments réactionnels, plus volumineux qu’un lymphocyte normal, a été décrite dans un chapitre précédent.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Syndromes mononucléosiques: Morphologie

A
  • Il s’agit d’une réaction immunitaire importante et complexe, ganglionnaire et sanguine, comportant principalement une lymphocytose réactionnelle à lymphocytes hyperbasophiles, prenant souvent l’aspect de grands mononucléaires atypiques.
  • La morphologie de ces éléments réactionnels, plus volumineux qu’un lymphocyte normal, a été décrite dans un chapitre précédent.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Syndromes mononucléosiques: Étiologie

A
  • Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
  • D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
  • Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
  • Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
  • La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
  • Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- cause la plus fréquente

A
  • Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
  • D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
  • Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
  • Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
  • La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
  • Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- autres agents infectieux possibles

A
  • Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
  • D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
  • Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
  • Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
  • La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
  • Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- pathos aux apparences semblables

A
  • Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
  • D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
  • Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
  • Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
  • La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
  • Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- questions à poser

A
  • Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
  • D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
  • Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
  • Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
  • La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
  • Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- utilisée pour ce cours

A
  • Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
  • D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
  • Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
  • Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
  • La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
  • Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles

A
  1. Mononucléose infectieuse
  2. Toxoplasmose acquise
  3. Infection à cytomégalovirus
  4. Maladies virales diverses
    - Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
    - Hépatite
    - Varicelle, herpès
    - Rubéole
    - Lymphocytose hyperbasophile
  5. Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
  6. Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
  7. Toxiciité médicamenteuse et vasculites
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- causes infectieuses

A
  1. Mononucléose infectieuse
  2. Toxoplasmose acquise
  3. Infection à cytomégalovirus
  4. Maladies virales diverses
    - Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
    - Hépatite
    - Varicelle, herpès
    - Rubéole
    - Lymphocytose hyperbasophile
  5. Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
  6. Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
  7. Toxiciité médicamenteuse et vasculites
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- maladies virales diverses: nommez les différentes causes

A
  1. Mononucléose infectieuse
  2. Toxoplasmose acquise
  3. Infection à cytomégalovirus
  4. Maladies virales diverses
    - Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
    - Hépatite
    - Varicelle, herpès
    - Rubéole
    - Lymphocytose hyperbasophile
  5. Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
  6. Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
  7. Toxiciité médicamenteuse et vasculites
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- nommez les causes bactériennes

A
  1. Mononucléose infectieuse
  2. Toxoplasmose acquise
  3. Infection à cytomégalovirus
  4. Maladies virales diverses
    - Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
    - Hépatite
    - Varicelle, herpès
    - Rubéole
    - Lymphocytose hyperbasophile
  5. Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
  6. Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
  7. Toxiciité médicamenteuse et vasculites
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- nommez les néoplasies

A
  1. Mononucléose infectieuse
  2. Toxoplasmose acquise
  3. Infection à cytomégalovirus
  4. Maladies virales diverses
    - Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
    - Hépatite
    - Varicelle, herpès
    - Rubéole
    - Lymphocytose hyperbasophile
  5. Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
  6. Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
  7. Toxiciité médicamenteuse et vasculites
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström: particularités

A
  1. Mononucléose infectieuse
  2. Toxoplasmose acquise
  3. Infection à cytomégalovirus
  4. Maladies virales diverses
    - Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
    - Hépatite
    - Varicelle, herpès
    - Rubéole
    - Lymphocytose hyperbasophile
  5. Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
  6. Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
  7. Toxiciité médicamenteuse et vasculites
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- autres

A
  1. Mononucléose infectieuse
  2. Toxoplasmose acquise
  3. Infection à cytomégalovirus
  4. Maladies virales diverses
    - Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
    - Hépatite
    - Varicelle, herpès
    - Rubéole
    - Lymphocytose hyperbasophile
  5. Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
  6. Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
  7. Toxiciité médicamenteuse et vasculites
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Mononucléose infectieuse: EBV - fait partie de quelle famille de virus?

A
  • Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
  • Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
  • À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Mononucléose infectieuse: survient chez qui?

A
  • Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
  • Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
  • À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Mononucléose infectieuse: Fréquence

A
  • Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
  • Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
  • À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Mononucléose infectieuse: Symptômes

A
  • Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
  • Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
  • À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Mononucléose infectieuse: Fréquence des anticorps

A
  • Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
  • Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
  • À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Mononucléose infectieuse: Période d’incubation

A
  • La période d’incubation est d’environ un mois et le degré de contagiosité est peu élevé.
  • L’infection nécessite un contact intime pour sa transmission.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Mononucléose infectieuse: Transmission

A
  • La période d’incubation est d’environ un mois et le degré de contagiosité est peu élevé.
  • L’infection nécessite un contact intime pour sa transmission.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Mononucléose infectieuse: Questions à poser

A

Lorsqu’un syndrome mononucléosique est suspecté, il faudra vérifier les points suivants au questionnaire, afin de discriminer les possibilités diagnostiques:

  • Y a-t-il un animal domestique dans l’environnement ? La présence d’un chat, surtout acquis récemment, peut faire soupçonner une toxoplasmose.
  • Y a-t-il eu changement au niveau des habitudes de vie ? Un(e) nouveau(elle) petit(e) ami(e). Un camp de vacances où la promiscuité est plus grande. Un(e) nouveau (elle) partenaire sexuel(elle) pour l’hépatite B, le VIH, ainsi que la syphilis. Si c’est un enfant, fréquente-t-il (elle) la garderie ?
  • Y a-t-il eu un voyage vers une destination exotique ou non ?
  • Y a-t-il eu introduction d’un nouveau médicament ? Celui-ci pourrait simuler une maladie infectieuse fébrile.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Mononucléose infectieuse: Questions à poser
- animaux

A

Lorsqu’un syndrome mononucléosique est suspecté, il faudra vérifier les points suivants au questionnaire, afin de discriminer les possibilités diagnostiques:

  • Y a-t-il un animal domestique dans l’environnement ? La présence d’un chat, surtout acquis récemment, peut faire soupçonner une toxoplasmose.
  • Y a-t-il eu changement au niveau des habitudes de vie ? Un(e) nouveau(elle) petit(e) ami(e). Un camp de vacances où la promiscuité est plus grande. Un(e) nouveau (elle) partenaire sexuel(elle) pour l’hépatite B, le VIH, ainsi que la syphilis. Si c’est un enfant, fréquente-t-il (elle) la garderie ?
  • Y a-t-il eu un voyage vers une destination exotique ou non ?
  • Y a-t-il eu introduction d’un nouveau médicament ? Celui-ci pourrait simuler une maladie infectieuse fébrile.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Mononucléose infectieuse: Questions à poser
- HDV

A

Lorsqu’un syndrome mononucléosique est suspecté, il faudra vérifier les points suivants au questionnaire, afin de discriminer les possibilités diagnostiques:

  • Y a-t-il un animal domestique dans l’environnement ? La présence d’un chat, surtout acquis récemment, peut faire soupçonner une toxoplasmose.
  • Y a-t-il eu changement au niveau des habitudes de vie ? Un(e) nouveau(elle) petit(e) ami(e). Un camp de vacances où la promiscuité est plus grande. Un(e) nouveau (elle) partenaire sexuel(elle) pour l’hépatite B, le VIH, ainsi que la syphilis. Si c’est un enfant, fréquente-t-il (elle) la garderie ?
  • Y a-t-il eu un voyage vers une destination exotique ou non ?
  • Y a-t-il eu introduction d’un nouveau médicament ? Celui-ci pourrait simuler une maladie infectieuse fébrile.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Mononucléose infectieuse: Questions à poser
- voyage

A

Lorsqu’un syndrome mononucléosique est suspecté, il faudra vérifier les points suivants au questionnaire, afin de discriminer les possibilités diagnostiques:

  • Y a-t-il un animal domestique dans l’environnement ? La présence d’un chat, surtout acquis récemment, peut faire soupçonner une toxoplasmose.
  • Y a-t-il eu changement au niveau des habitudes de vie ? Un(e) nouveau(elle) petit(e) ami(e). Un camp de vacances où la promiscuité est plus grande. Un(e) nouveau (elle) partenaire sexuel(elle) pour l’hépatite B, le VIH, ainsi que la syphilis. Si c’est un enfant, fréquente-t-il (elle) la garderie ?
  • Y a-t-il eu un voyage vers une destination exotique ou non ?
  • Y a-t-il eu introduction d’un nouveau médicament ? Celui-ci pourrait simuler une maladie infectieuse fébrile.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Mononucléose infectieuse: Questions à poser
- médicaments

A

Lorsqu’un syndrome mononucléosique est suspecté, il faudra vérifier les points suivants au questionnaire, afin de discriminer les possibilités diagnostiques:

  • Y a-t-il un animal domestique dans l’environnement ? La présence d’un chat, surtout acquis récemment, peut faire soupçonner une toxoplasmose.
  • Y a-t-il eu changement au niveau des habitudes de vie ? Un(e) nouveau(elle) petit(e) ami(e). Un camp de vacances où la promiscuité est plus grande. Un(e) nouveau (elle) partenaire sexuel(elle) pour l’hépatite B, le VIH, ainsi que la syphilis. Si c’est un enfant, fréquente-t-il (elle) la garderie ?
  • Y a-t-il eu un voyage vers une destination exotique ou non ?
  • Y a-t-il eu introduction d’un nouveau médicament ? Celui-ci pourrait simuler une maladie infectieuse fébrile.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- surtout chez qui?

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- symptômes

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEURES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- triade classique

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEURES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- spécificité de sx

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- éléments de la présentation classique

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- fièvre

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
36
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- sx généraux

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
37
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- douleur abdo

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
38
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- complications neuros

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
39
Q

Mononucléose infectieuse: Manifestations cliniques
- mal de gorge

A
  • Du point de vue clinique, le diagnostic se discute chez l’adolescent ou le jeune adulte, autour de la triade classique FIÈVRE + ADÉNOPATHIES CERVICALES POSTÉRIEU- RES + PHARYNGITE (80% des cas).
  • Chaque symptôme ressenti au cours de la MI est peu spécifique et varié
  • La présentation classique comprend les éléments suivants :
    • La fièvre est sans patron particulier, avec sueurs nocturnes et frissons; elle est souvent précédée de malaises généraux et “grippaux” pendant quelques jours.
    • Un mal de gorge avec difficulté à avaler, à parler et une toux sèche non productive.
    • Apparition d’une fatigue inexpliquée, imposant un accroissement du nombre d’heures de sommeil, et précédant souvent la fièvre.
    • Malaises généraux, myalgies, arthralgies, faiblesse, anorexie.
    • Douleur abdominale à l’étage supérieur de l’abdomen (foie et rate).
    • Rarement des complications neurologiques peuvent survenir (méningite aseptique, encéphalite, polynévrite, etc.)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
40
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- ganglions

A
  • Ganglions: ils seront augmentés de volume, symétriquement et parfois douloureux surtout aux aires cervicales postérieures et axillaires.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- sphère ORL: amygdalite

A
  • Sphère ORL: amygdalite: la mononucléose aiguë peut donner au niveau de la gorge tous les aspects : depuis une dysphagie très importante ne s’accompagnant que d’un ou deux petits points blanchâtres, jusqu’à la présence de larges fausses membranes sur les amygdales s’étendant parfois dans le pharynx et dans le nasopharynx.
  • Les amygdales sont parfois géantes, gênant la déglutition et compromettant la respiration.
  • À l’inverse, l’amygdalite peut manquer.
  • On peut observer des pétéchies du palais mou, mais elles ne sont pas patho- gnomoniques.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- sphère ORL: sx d’amygdalite

A
  • Sphère ORL: amygdalite: la mononucléose aiguë peut donner au niveau de la gorge tous les aspects : depuis une dysphagie très importante ne s’accompagnant que d’un ou deux petits points blanchâtres, jusqu’à la présence de larges fausses membranes sur les amygdales s’étendant parfois dans le pharynx et dans le nasopharynx.
  • Les amygdales sont parfois géantes, gênant la déglutition et compromettant la respiration.
  • À l’inverse, l’amygdalite peut manquer.
  • On peut observer des pétéchies du palais mou, mais elles ne sont pas patho- gnomoniques.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
43
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- sphère ORL: amygdalite toujours présente?

A
  • Sphère ORL: amygdalite: la mononucléose aiguë peut donner au niveau de la gorge tous les aspects : depuis une dysphagie très importante ne s’accompagnant que d’un ou deux petits points blanchâtres, jusqu’à la présence de larges fausses membranes sur les amygdales s’étendant parfois dans le pharynx et dans le nasopharynx.
  • Les amygdales sont parfois géantes, gênant la déglutition et compromettant la respiration.
  • À l’inverse, l’amygdalite peut manquer.
  • On peut observer des pétéchies du palais mou, mais elles ne sont pas patho- gnomoniques.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
44
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- sphère ORL: pétéchies

A
  • Sphère ORL: amygdalite: la mononucléose aiguë peut donner au niveau de la gorge tous les aspects : depuis une dysphagie très importante ne s’accompagnant que d’un ou deux petits points blanchâtres, jusqu’à la présence de larges fausses membranes sur les amygdales s’étendant parfois dans le pharynx et dans le nasopharynx.
  • Les amygdales sont parfois géantes, gênant la déglutition et compromettant la respiration.
  • À l’inverse, l’amygdalite peut manquer.
  • On peut observer des pétéchies du palais mou, mais elles ne sont pas pathognomoniques.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
45
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- sphère ORL: localisation pétéchies

A
  • Sphère ORL: amygdalite: la mononucléose aiguë peut donner au niveau de la gorge tous les aspects : depuis une dysphagie très importante ne s’accompagnant que d’un ou deux petits points blanchâtres, jusqu’à la présence de larges fausses membranes sur les amygdales s’étendant parfois dans le pharynx et dans le nasopharynx.
  • Les amygdales sont parfois géantes, gênant la déglutition et compromettant la respiration.
  • À l’inverse, l’amygdalite peut manquer.
  • On peut observer des pétéchies du palais mou, mais elles ne sont pas pathognomoniques.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
46
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- abdomen

A
  • Abdomen: dans la MI causée par EBV, la splénomégalie est presque toujours présente, mais peut tarder à apparaître: PRUDENCE à la palpation: les ruptures spontanées ne sont pas une légende!
  • La rupture spontanée a aussi été rapportée avec le CMV.
  • Le foie peut aussi être augmenté de volume, et un peu douloureux en raison de la distension de la capsule; à l’occasion on observera également de l’ictère.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
47
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- abdomen: rate

A
  • Abdomen: dans la MI causée par EBV, la splénomégalie est presque toujours présente, mais peut tarder à apparaître: PRUDENCE à la palpation: les ruptures spontanées ne sont pas une légende!
  • La rupture spontanée a aussi été rapportée avec le CMV.
  • Le foie peut aussi être augmenté de volume, et un peu douloureux en raison de la distension de la capsule; à l’occasion on observera également de l’ictère.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
48
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- abdomen: rupture rate

A
  • Abdomen: dans la MI causée par EBV, la splénomégalie est presque toujours présente, mais peut tarder à apparaître: PRUDENCE à la palpation: les ruptures spontanées ne sont pas une légende!
  • La rupture spontanée a aussi été rapportée avec le CMV.
  • Le foie peut aussi être augmenté de volume, et un peu douloureux en raison de la distension de la capsule; à l’occasion on observera également de l’ictère.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
49
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- abdomen: foie

A
  • Abdomen: dans la MI causée par EBV, la splénomégalie est presque toujours présente, mais peut tarder à apparaître: PRUDENCE à la palpation: les ruptures spontanées ne sont pas une légende!
  • La rupture spontanée a aussi été rapportée avec le CMV.
  • Le foie peut aussi être augmenté de volume, et un peu douloureux en raison de la distension de la capsule; à l’occasion on observera également de l’ictère.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
50
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- Éruption cutanée

A
  • Éruption cutanée: on peut observer une éruption cutanée évanescente maculopapulaire dans un faible nombre de MI à EBV.
  • Par ailleurs, si l’on donne de l’ampicilline, le sujet atteint de MI est pratiquement certain de faire une éruption du même type, laquelle passe souvent, À TORT, pour une allergie.
  • Ironiquement, certains parlent de test diagnostique…
  • Le mécanisme d’action de cette réaction n’est pas connu.
51
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- Éruption cutanée: la décrire

A
  • Éruption cutanée: on peut observer une éruption cutanée évanescente maculopapulaire dans un faible nombre de MI à EBV.
  • Par ailleurs, si l’on donne de l’ampicilline, le sujet atteint de MI est pratiquement certain de faire une éruption du même type, laquelle passe souvent, À TORT, pour une allergie.
  • Ironiquement, certains parlent de test diagnostique…
  • Le mécanisme d’action de cette réaction n’est pas connu.
52
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- Éruption cutanée: si ampicilline donnée

A
  • Éruption cutanée: on peut observer une éruption cutanée évanescente maculopapulaire dans un faible nombre de MI à EBV.
  • Par ailleurs, si l’on donne de l’ampicilline, le sujet atteint de MI est pratiquement certain de faire une éruption du même type, laquelle passe souvent, À TORT, pour une allergie.
  • Ironiquement, certains parlent de test diagnostique…
  • Le mécanisme d’action de cette réaction n’est pas connu.
53
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- Éruption cutanée: test dx

A
  • Éruption cutanée: on peut observer une éruption cutanée évanescente maculopapulaire dans un faible nombre de MI à EBV.
  • Par ailleurs, si l’on donne de l’ampicilline, le sujet atteint de MI est pratiquement certain de faire une éruption du même type, laquelle passe souvent, À TORT, pour une allergie.
  • Ironiquement, certains parlent de test diagnostique…
  • Le mécanisme d’action de cette réaction n’est pas connu.
54
Q

Mononucléose infectieuse: Examen physique
- Éruption cutanée: mécanisme d’action

A
  • Éruption cutanée: on peut observer une éruption cutanée évanescente maculopapulaire dans un faible nombre de MI à EBV.
  • Par ailleurs, si l’on donne de l’ampicilline, le sujet atteint de MI est pratiquement certain de faire une éruption du même type, laquelle passe souvent, À TORT, pour une allergie.
  • Ironiquement, certains parlent de test diagnostique…
  • Le mécanisme d’action de cette réaction n’est pas connu.
55
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- nommez les tests

A

Nous parlerons ici des épreuves de base et des épreuves diagnostiques.

  1. Hémogramme
  2. Biologie hépatique
  3. Diagnostic de sérologie par les anticorps
  4. Anticorps spécificiques à l’EBV
56
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- FSC

A
  • L’hémogramme: à la période d’état, on observe:
    • 1) une hyperlymphocytose;
    • 2) de nombreux lymphocytes et mononucléaires atypiques, soit plus de 20% de la formule leucocytaire.
  • En valeur absolue, l’hyperlymphocytose varie de 10,0 à 25,0 X 10^9/L, à son apogée.
  • Ces modifications quantitatives et qualitatives apparaissent précocement mais disparaissent après 2½ à 3 semaines : elles peuvent déjà manquer lors du premier examen, s’il est tardif.
  • Ces anomalies cytologiques ne sont pas spécifiques, puisque l’on peut les rencontrer dans la toxoplasmose et la plupart des infections virales.
  • À signaler qu’au début de la maladie, on peut observer une légère neutropénie et leucopénie, puis une élévation des globules blancs aux dépens des polynucléaires avec une augmentation des formes jeunes (stabs).
57
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- FSC: on observe quoi?

A
  • L’hémogramme: à la période d’état, on observe:
    • 1) une hyperlymphocytose;
    • 2) de nombreux lymphocytes et mononucléaires atypiques, soit plus de 20% de la formule leucocytaire.
  • En valeur absolue, l’hyperlymphocytose varie de 10,0 à 25,0 X 10^9/L, à son apogée.
  • Ces modifications quantitatives et qualitatives apparaissent précocement mais disparaissent après 2½ à 3 semaines : elles peuvent déjà manquer lors du premier examen, s’il est tardif.
  • Ces anomalies cytologiques ne sont pas spécifiques, puisque l’on peut les rencontrer dans la toxoplasmose et la plupart des infections virales.
  • À signaler qu’au début de la maladie, on peut observer une légère neutropénie et leucopénie, puis une élévation des globules blancs aux dépens des polynucléaires avec une augmentation des formes jeunes (stabs).
58
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- FSC: valeur lymphocytose

A
  • L’hémogramme: à la période d’état, on observe:
    • 1) une hyperlymphocytose;
    • 2) de nombreux lymphocytes et mononucléaires atypiques, soit plus de 20% de la formule leucocytaire.
  • En valeur absolue, l’hyperlymphocytose varie de 10,0 à 25,0 X 10^9/L, à son apogée.
  • Ces modifications quantitatives et qualitatives apparaissent précocement mais disparaissent après 2½ à 3 semaines : elles peuvent déjà manquer lors du premier examen, s’il est tardif.
  • Ces anomalies cytologiques ne sont pas spécifiques, puisque l’on peut les rencontrer dans la toxoplasmose et la plupart des infections virales.
  • À signaler qu’au début de la maladie, on peut observer une légère neutropénie et leucopénie, puis une élévation des globules blancs aux dépens des polynucléaires avec une augmentation des formes jeunes (stabs).
59
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- FSC: modifications apparaissent quand? disparaissent quand?

A
  • L’hémogramme: à la période d’état, on observe:
    • 1) une hyperlymphocytose;
    • 2) de nombreux lymphocytes et mononucléaires atypiques, soit plus de 20% de la formule leucocytaire.
  • En valeur absolue, l’hyperlymphocytose varie de 10,0 à 25,0 X 10^9/L, à son apogée.
  • Ces modifications quantitatives et qualitatives apparaissent précocement mais disparaissent après 2½ à 3 semaines : elles peuvent déjà manquer lors du premier examen, s’il est tardif.
  • Ces anomalies cytologiques ne sont pas spécifiques, puisque l’on peut les rencontrer dans la toxoplasmose et la plupart des infections virales.
  • À signaler qu’au début de la maladie, on peut observer une légère neutropénie et leucopénie, puis une élévation des globules blancs aux dépens des polynucléaires avec une augmentation des formes jeunes (stabs).
60
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- FSC: anomalies spécificiques?

A
  • L’hémogramme: à la période d’état, on observe:
    • 1) une hyperlymphocytose;
    • 2) de nombreux lymphocytes et mononucléaires atypiques, soit plus de 20% de la formule leucocytaire.
  • En valeur absolue, l’hyperlymphocytose varie de 10,0 à 25,0 X 10^9/L, à son apogée.
  • Ces modifications quantitatives et qualitatives apparaissent précocement mais disparaissent après 2½ à 3 semaines : elles peuvent déjà manquer lors du premier examen, s’il est tardif.
  • Ces anomalies cytologiques ne sont pas spécifiques, puisque l’on peut les rencontrer dans la toxoplasmose et la plupart des infections virales.
  • À signaler qu’au début de la maladie, on peut observer une légère neutropénie et leucopénie, puis une élévation des globules blancs aux dépens des polynucléaires avec une augmentation des formes jeunes (stabs).
61
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- FSC: ce qu’on peut observer au début?

A
  • L’hémogramme: à la période d’état, on observe:
    • 1) une hyperlymphocytose;
    • 2) de nombreux lymphocytes et mononucléaires atypiques, soit plus de 20% de la formule leucocytaire.
  • En valeur absolue, l’hyperlymphocytose varie de 10,0 à 25,0 X 10^9/L, à son apogée.
  • Ces modifications quantitatives et qualitatives apparaissent précocement mais disparaissent après 2½ à 3 semaines : elles peuvent déjà manquer lors du premier examen, s’il est tardif.
  • Ces anomalies cytologiques ne sont pas spécifiques, puisque l’on peut les rencontrer dans la toxoplasmose et la plupart des infections virales.
  • À signaler qu’au début de la maladie, on peut observer une légère neutropénie et leucopénie, puis une élévation des globules blancs aux dépens des polynucléaires avec une augmentation des formes jeunes (stabs).
62
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- Biologie hépatique

A
  • La biologie hépatique : elle est souvent perturbée avec des signes de cytolyse (transaminases augmentées) et de choléstase légères (la MI s’accompagne presque toujours d’une légère hépatite, le plus souvent asymptomatique).
  • Rarement, il peut y avoir une hyperbilirubinémie suffisante pour causer un ictère cliniquement apparent.
63
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- Biologie hépatique: nommez les anomalies fréquentes

A
  • La biologie hépatique : elle est souvent perturbée avec des signes de cytolyse (transaminases augmentées) et de choléstase légères (la MI s’accompagne presque toujours d’une légère hépatite, le plus souvent asymptomatique).
  • Rarement, il peut y avoir une hyperbilirubinémie suffisante pour causer un ictère cliniquement apparent.
64
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- Biologie hépatique: anomalies plus rares

A
  • La biologie hépatique : elle est souvent perturbée avec des signes de cytolyse (transaminases augmentées) et de choléstase légères (la MI s’accompagne presque toujours d’une légère hépatite, le plus souvent asymptomatique).
  • Rarement, il peut y avoir une hyperbilirubinémie suffisante pour causer un ictère cliniquement apparent.
65
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH)

A
  • Le diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): près de 90% des sujets atteints développeront en trois semaines des AH.
  • Ce pourcentage est toutefois beaucoup moindre chez les jeunes enfants.
  • Les anticorps hétérophiles ne sont pas dirigés contre un antigène du virus EBV et n’agglutinent pas les érythrocytes humains (c’est pour cela qu’on les appelle “hétérophiles”).
  • Il existe plusieurs techniques pour mettre en évidence ces anticorps non spécifiques: le Monospot sur lame, le Mono- test sur lame et, depuis quelques années, des méthodes de type ELISA.
66
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): on en développe après combien de temps?

A
  • Le diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): près de 90% des sujets atteints développeront en trois semaines des AH.
  • Ce pourcentage est toutefois beaucoup moindre chez les jeunes enfants.
  • Les anticorps hétérophiles ne sont pas dirigés contre un antigène du virus EBV et n’agglutinent pas les érythrocytes humains (c’est pour cela qu’on les appelle “hétérophiles”).
  • Il existe plusieurs techniques pour mettre en évidence ces anticorps non spécifiques: le Monospot sur lame, le Mono- test sur lame et, depuis quelques années, des méthodes de type ELISA.
67
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): quelle population développe moins d’anticorps?

A
  • Le diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): près de 90% des sujets atteints développeront en trois semaines des AH.
  • Ce pourcentage est toutefois beaucoup moindre chez les jeunes enfants.
  • Les anticorps hétérophiles ne sont pas dirigés contre un antigène du virus EBV et n’agglutinent pas les érythrocytes humains (c’est pour cela qu’on les appelle “hétérophiles”).
  • Il existe plusieurs techniques pour mettre en évidence ces anticorps non spécifiques: le Monospot sur lame, le Mono- test sur lame et, depuis quelques années, des méthodes de type ELISA.
68
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): les Ac sont dirigés contre quoi?

A
  • Le diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): près de 90% des sujets atteints développeront en trois semaines des AH.
  • Ce pourcentage est toutefois beaucoup moindre chez les jeunes enfants.
  • Les anticorps hétérophiles ne sont pas dirigés contre un antigène du virus EBV et n’agglutinent pas les érythrocytes humains (c’est pour cela qu’on les appelle “hétérophiles”).
  • Il existe plusieurs techniques pour mettre en évidence ces anticorps non spécifiques: le Monospot sur lame, le Mono- test sur lame et, depuis quelques années, des méthodes de type ELISA.
69
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): nommez les différentes techniques utilisées

A
  • Le diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): près de 90% des sujets atteints développeront en trois semaines des AH.
  • Ce pourcentage est toutefois beaucoup moindre chez les jeunes enfants.
  • Les anticorps hétérophiles ne sont pas dirigés contre un antigène du virus EBV et n’agglutinent pas les érythrocytes humains (c’est pour cela qu’on les appelle “hétérophiles”).
  • Il existe plusieurs techniques pour mettre en évidence ces anticorps non spécifiques: le Monospot sur lame, le Mono- test sur lame et, depuis quelques années, des méthodes de type ELISA.
70
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): fréquence du Monotest positif

A
  • Chez les jeunes adultes, on trouvera donc un Monotest positif dans 90% des cas.
  • Cependant, il faut savoir que l’anticorps hétérophile spécifique de la mononucléose infectieuse apparaît entre la sixième et la dixième journée, atteint son titre maximum durant les deuxième et troisième semaines subséquentes, pour décroître progressivement pendant un à trois mois.
  • Donc, si un premier test est négatif, il faudra le répéter durant un mois, pour ne pas rater un résultat positif.
71
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): fréquence du Monotest positif

A
  • Chez les jeunes adultes, on trouvera donc un Monotest positif dans 90% des cas.
  • Cependant, il faut savoir que l’anticorps hétérophile spécifique de la mononucléose infectieuse apparaît entre la sixième et la dixième journée, atteint son titre maximum durant les deuxième et troisième semaines subséquentes, pour décroître progressivement pendant un à trois mois.
  • Donc, si un premier test est négatif, il faudra le répéter durant un mois, pour ne pas rater un résultat positif.
72
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): Monotest devient positif quand?

A
  • Chez les jeunes adultes, on trouvera donc un Monotest positif dans 90% des cas.
  • Cependant, il faut savoir que l’anticorps hétérophile spécifique de la mononucléose infectieuse apparaît entre la sixième et la dixième journée, atteint son titre maximum durant les deuxième et troisième semaines subséquentes, pour décroître progressivement pendant un à trois mois.
  • Donc, si un premier test est négatif, il faudra le répéter durant un mois, pour ne pas rater un résultat positif.
73
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): Monotest positif pendant combien de temps?

A
  • Chez les jeunes adultes, on trouvera donc un Monotest positif dans 90% des cas.
  • Cependant, il faut savoir que l’anticorps hétérophile spécifique de la mononucléose infectieuse apparaît entre la sixième et la dixième journée, atteint son titre maximum durant les deuxième et troisième semaines subséquentes, pour décroître progressivement pendant un à trois mois.
  • Donc, si un premier test est négatif, il faudra le répéter durant un mois, pour ne pas rater un résultat positif.
74
Q

Mononucléose infectieuse: Examens de labo
- diagnostic sérologique par les anticorps (agglutinines) hétérophiles (AH): quoi faire si 1er monotest est négatif?

A
  • Chez les jeunes adultes, on trouvera donc un Monotest positif dans 90% des cas.
  • Cependant, il faut savoir que l’anticorps hétérophile spécifique de la mononucléose infectieuse apparaît entre la sixième et la dixième journée, atteint son titre maximum durant les deuxième et troisième semaines subséquentes, pour décroître progressivement pendant un à trois mois.
  • Donc, si un premier test est négatif, il faudra le répéter durant un mois, pour ne pas rater un résultat positif.
75
Q

Mononucléose infectieuse: Anticorps spécifiques à l’EBV

A
  • Les anticorps spécifiques à l’EBV: ce sont des épreuves coûteuses dont il faut se servir avec parcimonie, dans des situations où il est essentiel d’obtenir un diagnostic étiologique certain (chez les jeunes enfants en particulier).
  • Il existe trois structures antigéniques, les antigènes précoces (Early Antigens, EA), les antigènes nucléaires du virus Epstein-Barr (EB Nuclear Antigens, EBNA), et les antigènes de la capside virale (Viral Capsid Antigen, VCA).
  • On détectera dans le sérum du sujet des anticorps dirigés contre ces protéines virales, selon le stade de la maladie.
  • Il est toujours pertinent de faire aussi une recherche de streptocoque à tous les sujets de moins de 25 ans au moyen d’un prélèvement pharyngé à cause du risque de RAA (rhumatisme articulaire aigu).
76
Q

Mononucléose infectieuse: Anticorps spécifiques à l’EBV
- indications

A
  • Les anticorps spécifiques à l’EBV: ce sont des épreuves coûteuses dont il faut se servir avec parcimonie, dans des situations où il est essentiel d’obtenir un diagnostic étiologique certain (chez les jeunes enfants en particulier).
  • Il existe trois structures antigéniques, les antigènes précoces (Early Antigens, EA), les antigènes nucléaires du virus Epstein-Barr (EB Nuclear Antigens, EBNA), et les antigènes de la capside virale (Viral Capsid Antigen, VCA).
  • On détectera dans le sérum du sujet des anticorps dirigés contre ces protéines virales, selon le stade de la maladie.
  • Il est toujours pertinent de faire aussi une recherche de streptocoque à tous les sujets de moins de 25 ans au moyen d’un prélèvement pharyngé à cause du risque de RAA (rhumatisme articulaire aigu).
77
Q

Mononucléose infectieuse: Anticorps spécifiques à l’EBV
- coûts associés

A
  • Les anticorps spécifiques à l’EBV: ce sont des épreuves coûteuses dont il faut se servir avec parcimonie, dans des situations où il est essentiel d’obtenir un diagnostic étiologique certain (chez les jeunes enfants en particulier).
  • Il existe trois structures antigéniques, les antigènes précoces (Early Antigens, EA), les antigènes nucléaires du virus Epstein-Barr (EB Nuclear Antigens, EBNA), et les antigènes de la capside virale (Viral Capsid Antigen, VCA).
  • On détectera dans le sérum du sujet des anticorps dirigés contre ces protéines virales, selon le stade de la maladie.
  • Il est toujours pertinent de faire aussi une recherche de streptocoque à tous les sujets de moins de 25 ans au moyen d’un prélèvement pharyngé à cause du risque de RAA (rhumatisme articulaire aigu).
78
Q

Mononucléose infectieuse: Anticorps spécifiques à l’EBV
- utilité

A
  • Les anticorps spécifiques à l’EBV: ce sont des épreuves coûteuses dont il faut se servir avec parcimonie, dans des situations où il est essentiel d’obtenir un diagnostic étiologique certain (chez les jeunes enfants en particulier).
  • Il existe trois structures antigéniques, les antigènes précoces (Early Antigens, EA), les antigènes nucléaires du virus Epstein-Barr (EB Nuclear Antigens, EBNA), et les antigènes de la capside virale (Viral Capsid Antigen, VCA).
  • On détectera dans le sérum du sujet des anticorps dirigés contre ces protéines virales, selon le stade de la maladie.
  • Il est toujours pertinent de faire aussi une recherche de streptocoque à tous les sujets de moins de 25 ans au moyen d’un prélèvement pharyngé à cause du risque de RAA (rhumatisme articulaire aigu).
79
Q

Mononucléose infectieuse: Anticorps spécifiques à l’EBV
- structures antigéniques

A
  • Les anticorps spécifiques à l’EBV: ce sont des épreuves coûteuses dont il faut se servir avec parcimonie, dans des situations où il est essentiel d’obtenir un diagnostic étiologique certain (chez les jeunes enfants en particulier).
  • Il existe trois structures antigéniques, les antigènes précoces (Early Antigens, EA), les antigènes nucléaires du virus Epstein-Barr (EB Nuclear Antigens, EBNA), et les antigènes de la capside virale (Viral Capsid Antigen, VCA).
  • On détectera dans le sérum du sujet des anticorps dirigés contre ces protéines virales, selon le stade de la maladie.
  • Il est toujours pertinent de faire aussi une recherche de streptocoque à tous les sujets de moins de 25 ans au moyen d’un prélèvement pharyngé à cause du risque de RAA (rhumatisme articulaire aigu).
80
Q

Mononucléose infectieuse: Anticorps spécifiques à l’EBV
- on détecte quels Ac?

A
  • Les anticorps spécifiques à l’EBV: ce sont des épreuves coûteuses dont il faut se servir avec parcimonie, dans des situations où il est essentiel d’obtenir un diagnostic étiologique certain (chez les jeunes enfants en particulier).
  • Il existe trois structures antigéniques, les antigènes précoces (Early Antigens, EA), les antigènes nucléaires du virus Epstein-Barr (EB Nuclear Antigens, EBNA), et les antigènes de la capside virale (Viral Capsid Antigen, VCA).
  • On détectera dans le sérum du sujet des anticorps dirigés contre ces protéines virales, selon le stade de la maladie.
  • Il est toujours pertinent de faire aussi une recherche de streptocoque à tous les sujets de moins de 25 ans au moyen d’un prélèvement pharyngé à cause du risque de RAA (rhumatisme articulaire aigu).
81
Q

Mononucléose infectieuse: Anticorps spécifiques à l’EBV
- faire quel autre test?

A
  • Les anticorps spécifiques à l’EBV: ce sont des épreuves coûteuses dont il faut se servir avec parcimonie, dans des situations où il est essentiel d’obtenir un diagnostic étiologique certain (chez les jeunes enfants en particulier).
  • Il existe trois structures antigéniques, les antigènes précoces (Early Antigens, EA), les antigènes nucléaires du virus Epstein-Barr (EB Nuclear Antigens, EBNA), et les antigènes de la capside virale (Viral Capsid Antigen, VCA).
  • On détectera dans le sérum du sujet des anticorps dirigés contre ces protéines virales, selon le stade de la maladie.
  • Il est toujours pertinent de faire aussi une recherche de streptocoque à tous les sujets de moins de 25 ans au moyen d’un prélèvement pharyngé à cause du risque de RAA (rhumatisme articulaire aigu).
82
Q

Mononucléose à EBV: ddx

A
  • Il pourrait être très vaste (voir au début), mais nous nous en tiendrons aux choses fréquentes vues en Amérique du nord.
    • CMV
    • Toxoplasmose
    • Hépatite aiguë A ou B
    • Syphilis secondaire
    • La primo-infection VIH donne le même tableau clinique
    • Maladie de Hodgkin
83
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- CMV

A
  • Le cytomégalovirus (CMV) cause une infection similaire à celle de la MI à EBV, assez souvent sans douleur pharyngée ni même d’adénomégalies cervicales; ce sont tous deux des virus du groupe Herpès.
  • Il se singularise par sa capacité de causer des malformations chez le fœtus lorsque l’infection survient pendant la grossesse.
  • Il constitue un problème de taille pour les hôtes immunodéficients, où il est synonyme de hautes morbidité et mortalité.
  • Le Monospot est négatif dans la mononucléose à CMV.
84
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- CMV: différence vs EBV

A
  • Le cytomégalovirus (CMV) cause une infection similaire à celle de la MI à EBV, assez souvent sans douleur pharyngée ni même d’adénomégalies cervicales; ce sont tous deux des virus du groupe Herpès.
  • Il se singularise par sa capacité de causer des malformations chez le fœtus lorsque l’infection survient pendant la grossesse.
  • Il constitue un problème de taille pour les hôtes immunodéficients, où il est synonyme de hautes morbidité et mortalité.
  • Le Monospot est négatif dans la mononucléose à CMV.
85
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- CMV: type de virus - vs EBV

A
  • Le cytomégalovirus (CMV) cause une infection similaire à celle de la MI à EBV, assez souvent sans douleur pharyngée ni même d’adénomégalies cervicales; ce sont tous deux des virus du groupe Herpès.
  • Il se singularise par sa capacité de causer des malformations chez le fœtus lorsque l’infection survient pendant la grossesse.
  • Il constitue un problème de taille pour les hôtes immunodéficients, où il est synonyme de hautes morbidité et mortalité.
  • Le Monospot est négatif dans la mononucléose à CMV.
86
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- CMV: sa particularités

A
  • Le cytomégalovirus (CMV) cause une infection similaire à celle de la MI à EBV, assez souvent sans douleur pharyngée ni même d’adénomégalies cervicales; ce sont tous deux des virus du groupe Herpès.
  • Il se singularise par sa capacité de causer des malformations chez le fœtus lorsque l’infection survient pendant la grossesse.
  • Il constitue un problème de taille pour les hôtes immunodéficients, où il est synonyme de hautes morbidité et mortalité.
  • Le Monospot est négatif dans la mononucléose à CMV.
87
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- CMV: risques pour individus immunodéficients

A
  • Le cytomégalovirus (CMV) cause une infection similaire à celle de la MI à EBV, assez souvent sans douleur pharyngée ni même d’adénomégalies cervicales; ce sont tous deux des virus du groupe Herpès.
  • Il se singularise par sa capacité de causer des malformations chez le fœtus lorsque l’infection survient pendant la grossesse.
  • Il constitue un problème de taille pour les hôtes immunodéficients, où il est synonyme de hautes morbidité et mortalité.
  • Le Monospot est négatif dans la mononucléose à CMV.
88
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- CMV: résultat au Monotest

A
  • Le cytomégalovirus (CMV) cause une infection similaire à celle de la MI à EBV, assez souvent sans douleur pharyngée ni même d’adénomégalies cervicales; ce sont tous deux des virus du groupe Herpès.
  • Il se singularise par sa capacité de causer des malformations chez le fœtus lorsque l’infection survient pendant la grossesse.
  • Il constitue un problème de taille pour les hôtes immunodéficients, où il est synonyme de hautes morbidité et mortalité.
  • Le Monospot est négatif dans la mononucléose à CMV.
89
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- toxoplasmose

A
  • La toxoplasmose est une zoonose, une maladie infectieuse transmise à l’homme par les animaux.
  • Dans ce cas, il s’agit le plus souvent de contact avec un chat (soins de la litière), ou de consommation de viande peu cuite contaminée.
  • La toxoplasmose est aussi impliquée dans l’initiation de malformations chez le fœtus, lorsque l’infection survient durant la grossesse.
  • C’est une parasitose dont l’agent est le Toxoplasma gondii.
90
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- toxoplasmose: type de pathos

A
  • La toxoplasmose est une zoonose, une maladie infectieuse transmise à l’homme par les animaux.
  • Dans ce cas, il s’agit le plus souvent de contact avec un chat (soins de la litière), ou de consommation de viande peu cuite contaminée.
  • La toxoplasmose est aussi impliquée dans l’initiation de malformations chez le fœtus, lorsque l’infection survient durant la grossesse.
  • C’est une parasitose dont l’agent est le Toxoplasma gondii.
91
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- toxoplasmose: transmission

A
  • La toxoplasmose est une zoonose, une maladie infectieuse transmise à l’homme par les animaux.
  • Dans ce cas, il s’agit le plus souvent de contact avec un chat (soins de la litière), ou de consommation de viande peu cuite contaminée.
  • La toxoplasmose est aussi impliquée dans l’initiation de malformations chez le fœtus, lorsque l’infection survient durant la grossesse.
  • C’est une parasitose dont l’agent est le Toxoplasma gondii.
92
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- toxoplasmose: risques associés

A
  • La toxoplasmose est une zoonose, une maladie infectieuse transmise à l’homme par les animaux.
  • Dans ce cas, il s’agit le plus souvent de contact avec un chat (soins de la litière), ou de consommation de viande peu cuite contaminée.
  • La toxoplasmose est aussi impliquée dans l’initiation de malformations chez le fœtus, lorsque l’infection survient durant la grossesse.
  • C’est une parasitose dont l’agent est le Toxoplasma gondii.
93
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- toxoplasmose: agent et type d’infection

A
  • La toxoplasmose est une zoonose, une maladie infectieuse transmise à l’homme par les animaux.
  • Dans ce cas, il s’agit le plus souvent de contact avec un chat (soins de la litière), ou de consommation de viande peu cuite contaminée.
  • La toxoplasmose est aussi impliquée dans l’initiation de malformations chez le fœtus, lorsque l’infection survient durant la grossesse.
  • C’est une parasitose dont l’agent est le Toxoplasma gondii.
94
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- hépatite aiguë A ou B

A
  • L’hépatite aiguë A, ou B peut se manifester comme un syndrome mononucléosique.
  • L’investigation biologique et sérologique révélera des perturbations typiques d’une atteinte hépatocellulaire et de l’infection virale.
95
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- hépatite aiguë A ou B: ce que révèle le bilan sanguin

A
  • L’hépatite aiguë A, ou B peut se manifester comme un syndrome mononucléosique.
  • L’investigation biologique et sérologique révélera des perturbations typiques d’une atteinte hépatocellulaire et de l’infection virale.
96
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- syphilis secondaire

A
  • La syphilis secondaire est un bon “mime” de la MI.
  • (seule FC rip)
97
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- VIH

A
  • La primo-infection VIH donne le même tableau clinique, mais l’éruption cutanée est plus fréquente.
98
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- VIH: particularité de la présentation

A
  • La primo-infection VIH donne le même tableau clinique, mais l’éruption cutanée est plus fréquente.
99
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- Maladie de Hodgkin

A
  • Maladie de Hodgkin: devant une fièvre persistante et des adénomégalies cervicales, le diagnostic différentiel peut être à faire avec un lymphome de Hodgkin.
  • Auquel cas, la ponction-aspiration ou la biopsie ganglionnaire peut révéler une morphologie cellulaire troublante, puisqu’on a observé occasionnellement des cellules assez semblables aux cellules de ReedSternberg (soit celles qui permettent de diagnostiquer un Hodgkin) dans des mononucléoses à EBV.
100
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- Maladiez de Hodgkin: symptômes

A
  • Maladie de Hodgkin: devant une fièvre persistante et des adénomégalies cervicales, le diagnostic différentiel peut être à faire avec un lymphome de Hodgkin.
  • Auquel cas, la ponction-aspiration ou la biopsie ganglionnaire peut révéler une morphologie cellulaire troublante, puisqu’on a observé occasionnellement des cellules assez semblables aux cellules de ReedSternberg (soit celles qui permettent de diagnostiquer un Hodgkin) dans des mononucléoses à EBV.
101
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- Maladiez de Hodgkin: comment faire le dx?

A
  • Maladie de Hodgkin: devant une fièvre persistante et des adénomégalies cervicales, le diagnostic différentiel peut être à faire avec un lymphome de Hodgkin.
  • Auquel cas, la ponction-aspiration ou la biopsie ganglionnaire peut révéler une morphologie cellulaire troublante, puisqu’on a observé occasionnellement des cellules assez semblables aux cellules de ReedSternberg (soit celles qui permettent de diagnostiquer un Hodgkin) dans des mononucléoses à EBV.
102
Q

Mononucléose à EBV: ddx
- Maladie de Hodgkin: résultat à biopsie

A
  • Maladie de Hodgkin: devant une fièvre persistante et des adénomégalies cervicales, le diagnostic différentiel peut être à faire avec un lymphome de Hodgkin.
  • Auquel cas, la ponction-aspiration ou la biopsie ganglionnaire peut révéler une morphologie cellulaire troublante, puisqu’on a observé occasionnellement des cellules assez semblables aux cellules de ReedSternberg (soit celles qui permettent de diagnostiquer un Hodgkin) dans des mononucléoses à EBV.
103
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- nommez les types

A
  1. Hématologiques
  2. Compression des voies respiratoires
  3. Neurologiques
  4. Myocardite ou péricardite
104
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Hémato

A
  • Hématologiques : la rupture spontanée de la rate : à surveiller de près : cinquante-cinq cas de rupture de la rate ont fait l’objet de publications.
  • La survenue de cette complication n’avait aucun rapport avec la sévérité clinique de la maladie.
  • Neuf fois sur dix, la rupture splénique est survenue chez un homme, alors que l’incidence de la maladie est la même dans les deux sexes.
  • Enfin, dans 40% des cas, la rupture serait survenue à l’occasion de la pratique d’un sport violent; et les autres se produisirent sans raison apparente.
  • Les autres complications hématologiques rapportées mais relativement rares sont l’anémie hémolytique à anticorps froids anti-i, la thrombopénie et l’aplasie médullaire.
105
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Hémato: rupture de la rate

A
  • Hématologiques : la rupture spontanée de la rate : à surveiller de près : cinquante-cinq cas de rupture de la rate ont fait l’objet de publications.
  • La survenue de cette complication n’avait aucun rapport avec la sévérité clinique de la maladie.
  • Neuf fois sur dix, la rupture splénique est survenue chez un homme, alors que l’incidence de la maladie est la même dans les deux sexes.
  • Enfin, dans 40% des cas, la rupture serait survenue à l’occasion de la pratique d’un sport violent; et les autres se produisirent sans raison apparente.
  • Les autres complications hématologiques rapportées mais relativement rares sont l’anémie hémolytique à anticorps froids anti-i, la thrombopénie et l’aplasie médullaire.
106
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Hémato: rupture de la rate - lien avec sévérité de la mono

A
  • Hématologiques : la rupture spontanée de la rate : à surveiller de près : cinquante-cinq cas de rupture de la rate ont fait l’objet de publications.
  • La survenue de cette complication n’avait aucun rapport avec la sévérité clinique de la maladie.
  • Neuf fois sur dix, la rupture splénique est survenue chez un homme, alors que l’incidence de la maladie est la même dans les deux sexes.
  • Enfin, dans 40% des cas, la rupture serait survenue à l’occasion de la pratique d’un sport violent; et les autres se produisirent sans raison apparente.
  • Les autres complications hématologiques rapportées mais relativement rares sont l’anémie hémolytique à anticorps froids anti-i, la thrombopénie et l’aplasie médullaire.
107
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Hémato: rupture de rate - H vs F

A
  • Hématologiques : la rupture spontanée de la rate : à surveiller de près : cinquante-cinq cas de rupture de la rate ont fait l’objet de publications.
  • La survenue de cette complication n’avait aucun rapport avec la sévérité clinique de la maladie.
  • Neuf fois sur dix, la rupture splénique est survenue chez un homme, alors que l’incidence de la maladie est la même dans les deux sexes.
  • Enfin, dans 40% des cas, la rupture serait survenue à l’occasion de la pratique d’un sport violent; et les autres se produisirent sans raison apparente.
  • Les autres complications hématologiques rapportées mais relativement rares sont l’anémie hémolytique à anticorps froids anti-i, la thrombopénie et l’aplasie médullaire.
108
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Hémato: rupture rate - FDR

A
  • Hématologiques : la rupture spontanée de la rate : à surveiller de près : cinquante-cinq cas de rupture de la rate ont fait l’objet de publications.
  • La survenue de cette complication n’avait aucun rapport avec la sévérité clinique de la maladie.
  • Neuf fois sur dix, la rupture splénique est survenue chez un homme, alors que l’incidence de la maladie est la même dans les deux sexes.
  • Enfin, dans 40% des cas, la rupture serait survenue à l’occasion de la pratique d’un sport violent; et les autres se produisirent sans raison apparente.
  • Les autres complications hématologiques rapportées mais relativement rares sont l’anémie hémolytique à anticorps froids anti-i, la thrombopénie et l’aplasie médullaire.
109
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Hémato: autres

A
  • Hématologiques : la rupture spontanée de la rate : à surveiller de près : cinquante-cinq cas de rupture de la rate ont fait l’objet de publications.
  • La survenue de cette complication n’avait aucun rapport avec la sévérité clinique de la maladie.
  • Neuf fois sur dix, la rupture splénique est survenue chez un homme, alors que l’incidence de la maladie est la même dans les deux sexes.
  • Enfin, dans 40% des cas, la rupture serait survenue à l’occasion de la pratique d’un sport violent; et les autres se produisirent sans raison apparente.
  • Les autres complications hématologiques rapportées mais relativement rares sont l’anémie hémolytique à anticorps froids anti-i, la thrombopénie et l’aplasie médullaire.
110
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Compression des voies respi: mécanisme

A
  • La compression des voies respiratoires par inflammation pharyngée peut se développer rapidement et mettre la vie en danger.
111
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Compression des voies respi: risques

A
  • La compression des voies respiratoires par inflammation pharyngée peut se développer rapidement et mettre la vie en danger.
112
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- Neuro: nommez-les

A
  • Neurologiques: méningite aseptique, encéphalite, myélite, névrite périphérique ou optique, syndrome de Guillain et Barré.
113
Q

Mononucléose à EBV: Complications
- cardio: nommez-les

A
  • Myocardite ou péricardite.
114
Q

Mononucléose à EBV: Traitement

A
  • Il n’existe pas de traitement spécifique de la mononucléose; on se limite à intervenir au niveau du support, si besoin.
  • En présence de splénomégalie : repos relatif; mettre en garde contre tout risque de traumatisme abdominal ou effort physique subi.
115
Q

Mononucléose à EBV: Traitement
- tx spécifique

A
  • Il n’existe pas de traitement spécifique de la mononucléose; on se limite à intervenir au niveau du support, si besoin.
  • En présence de splénomégalie : repos relatif; mettre en garde contre tout risque de traumatisme abdominal ou effort physique subi.
116
Q

Mononucléose à EBV: Traitement
- support

A
  • Il n’existe pas de traitement spécifique de la mononucléose; on se limite à intervenir au niveau du support, si besoin.
  • En présence de splénomégalie : repos relatif; mettre en garde contre tout risque de traumatisme abdominal ou effort physique subi.
117
Q

Mononucléose à EBV: Traitement
- si splénomégalie

A
  • Il n’existe pas de traitement spécifique de la mononucléose; on se limite à intervenir au niveau du support, si besoin.
  • En présence de splénomégalie : repos relatif; mettre en garde contre tout risque de traumatisme abdominal ou effort physique subi.
118
Q

Mononucléose à EBV: Pronostic

A
  • La mononucléose infectieuse est une affection à bon pronostic dans la plupart des cas.
  • Elle est habituellement de durée limitée (immunisation efficace) et la guérison survient normalement en 4 à 6 semaines.
119
Q

Mononucléose à EBV: Pronostic
- bon?

A
  • La mononucléose infectieuse est une affection à bon pronostic dans la plupart des cas.
  • Elle est habituellement de durée limitée (immunisation efficace) et la guérison survient normalement en 4 à 6 semaines.
120
Q

Mononucléose à EBV: Pronostic
- durée

A
  • La mononucléose infectieuse est une affection à bon pronostic dans la plupart des cas.
  • Elle est habituellement de durée limitée (immunisation efficace) et la guérison survient normalement en 4 à 6 semaines.
121
Q

Quelle substance, présente dans le sérum au cours d’une mononucléose infectieuse, cherche-t-on à identifier par un Monotest?

A

Anticorps (agglutinines érythrocytaires) hétérophiles.

122
Q

À part le virus d’Epstein-Barr, connaissez-vous d’autres agents infectieux capables de causer un syndrome clinique et hématologique qui ressemble beaucoup à la mononucléose ?

A

Les principaux agents infectieux causant un syndrome mononucléosique sont :

  • EBV
  • Cytomégalovirus
  • VIH (virus d’immunodéficience)
  • Hépatites virales
  • Rubéole
123
Q

Nommez des complications hématologiques de la mononucléose infectieuse

A
  • Rupture de la rate
  • Anémie hémolytique à anticorps froids
  • Thrombopénie immune
  • Aplasie médullaire