Syndromes mononucléosiques Flashcards
(123 cards)
Syndromes mononucléosiques
- Il s’agit d’une réaction immunitaire importante et complexe, ganglionnaire et sanguine, comportant principalement une lymphocytose réactionnelle à lymphocytes hyperbasophiles, prenant souvent l’aspect de grands mononucléaires atypiques.
- La morphologie de ces éléments réactionnels, plus volumineux qu’un lymphocyte normal, a été décrite dans un chapitre précédent.
Syndromes mononucléosiques: C’est quoi?
- Il s’agit d’une réaction immunitaire importante et complexe, ganglionnaire et sanguine, comportant principalement une lymphocytose réactionnelle à lymphocytes hyperbasophiles, prenant souvent l’aspect de grands mononucléaires atypiques.
- La morphologie de ces éléments réactionnels, plus volumineux qu’un lymphocyte normal, a été décrite dans un chapitre précédent.
Syndromes mononucléosiques: Morphologie
- Il s’agit d’une réaction immunitaire importante et complexe, ganglionnaire et sanguine, comportant principalement une lymphocytose réactionnelle à lymphocytes hyperbasophiles, prenant souvent l’aspect de grands mononucléaires atypiques.
- La morphologie de ces éléments réactionnels, plus volumineux qu’un lymphocyte normal, a été décrite dans un chapitre précédent.
Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
- D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
- Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
- Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
- La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
- Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- cause la plus fréquente
- Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
- D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
- Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
- Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
- La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
- Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- autres agents infectieux possibles
- Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
- D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
- Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
- Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
- La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
- Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- pathos aux apparences semblables
- Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
- D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
- Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
- Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
- La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
- Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- questions à poser
- Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
- D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
- Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
- Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
- La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
- Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
Syndromes mononucléosiques: Étiologie
- utilisée pour ce cours
- Le syndrome mononucléosique est une entité clinique associée à plusieurs causes possibles, mais qui est due le plus souvent au virus d’Epstein-Barr (EBV).
- D’autres agents infectieux peuvent provoquer une maladie identique, comme le Cytomégalovirus (CMV), le Toxoplasma gondii (un parasite), le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH), l’hépatite, la Leptospirose (Leptospira sp., une bactérie), la rubéole, des parasitoses exotiques (Leishmanioses, trypanosomiase, onchocercose), et enfin la syphilis.
- Ajoutons que certaines tumeurs (lymphomes), certains médicaments, et des vasculites (Lupus, PAN) peuvent parfois adopter un mode de présentation clinique très voisin.
- Le recueil des données chez un sujet qui se présente pour un problème de polyadénopathies, devra tenir compte de cette liste, quel que soit son âge, son sexe, ou son origine ethnique.
- La maladie choisie en exemple pour ce cours est la mononucléose infectieuse à EBV parce qu’elle est la plus répandue, parce que son étiologie est relativement facile à prouver, et parce qu’on véhicule souvent à son sujet des concepts plus ou moins “charriés”.
- Effectuons dès maintenant une parenthèse au sujet de la “fatigue chronique”.
Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- Mononucléose infectieuse
- Toxoplasmose acquise
- Infection à cytomégalovirus
- Maladies virales diverses
- Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
- Hépatite
- Varicelle, herpès
- Rubéole
- Lymphocytose hyperbasophile - Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
- Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
- Toxiciité médicamenteuse et vasculites
Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- causes infectieuses
- Mononucléose infectieuse
- Toxoplasmose acquise
- Infection à cytomégalovirus
-
Maladies virales diverses
- Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
- Hépatite
- Varicelle, herpès
- Rubéole
- Lymphocytose hyperbasophile - Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
- Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
- Toxiciité médicamenteuse et vasculites
Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- maladies virales diverses: nommez les différentes causes
- Mononucléose infectieuse
- Toxoplasmose acquise
- Infection à cytomégalovirus
-
Maladies virales diverses
- Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
- Hépatite
- Varicelle, herpès
- Rubéole
- Lymphocytose hyperbasophile - Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
- Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
- Toxiciité médicamenteuse et vasculites
Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- nommez les causes bactériennes
- Mononucléose infectieuse
- Toxoplasmose acquise
- Infection à cytomégalovirus
- Maladies virales diverses
- Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
- Hépatite
- Varicelle, herpès
- Rubéole
- Lymphocytose hyperbasophile - Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
- Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
- Toxiciité médicamenteuse et vasculites
Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- nommez les néoplasies
- Mononucléose infectieuse
- Toxoplasmose acquise
- Infection à cytomégalovirus
- Maladies virales diverses
- Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
- Hépatite
- Varicelle, herpès
- Rubéole
- Lymphocytose hyperbasophile - Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
- Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
- Toxiciité médicamenteuse et vasculites
Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström: particularités
- Mononucléose infectieuse
- Toxoplasmose acquise
- Infection à cytomégalovirus
- Maladies virales diverses
- Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
- Hépatite
- Varicelle, herpès
- Rubéole
- Lymphocytose hyperbasophile - Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
- Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
- Toxiciité médicamenteuse et vasculites
Syndromes mononucléosiques: Nommez les causes possibles
- autres
- Mononucléose infectieuse
- Toxoplasmose acquise
- Infection à cytomégalovirus
- Maladies virales diverses
- Virus d’immunodéficience humaine (VIH)
- Hépatite
- Varicelle, herpès
- Rubéole
- Lymphocytose hyperbasophile - Infections bactériennes (rarement en cause): brucellose, syphilis secondaire, endocardite subaiguë, leptospirose.
- Penser que la leucémie lymphoïde chronique et la maladie de Waldenström peuvent comporter des lymphocytes hyperbasophiles (sans grands mononucléaires).
- Toxiciité médicamenteuse et vasculites
Mononucléose infectieuse: EBV - fait partie de quelle famille de virus?
- Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
- Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
- À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
Mononucléose infectieuse: survient chez qui?
- Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
- Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
- À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
Mononucléose infectieuse: Fréquence
- Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
- Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
- À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
Mononucléose infectieuse: Symptômes
- Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
- Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
- À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
Mononucléose infectieuse: Fréquence des anticorps
- Le virus EBV, un virus du groupe herpes, est répandu sur toute la planète d’une manière égale, et les infections cliniquement manifestes surviennent surtout chez les jeunes d’âge adolescent.
- Les infections qui arrivent dans la petite enfance sont le plus souvent asymptomatiques, et passent inaperçues.
- À vingt ans, près de 90% des gens possèdent des anticorps contre le virus EBV, le plus souvent sans notion antérieure d’un syndrome mononucléosique.
Mononucléose infectieuse: Période d’incubation
- La période d’incubation est d’environ un mois et le degré de contagiosité est peu élevé.
- L’infection nécessite un contact intime pour sa transmission.
Mononucléose infectieuse: Transmission
- La période d’incubation est d’environ un mois et le degré de contagiosité est peu élevé.
- L’infection nécessite un contact intime pour sa transmission.
Mononucléose infectieuse: Questions à poser
Lorsqu’un syndrome mononucléosique est suspecté, il faudra vérifier les points suivants au questionnaire, afin de discriminer les possibilités diagnostiques:
- Y a-t-il un animal domestique dans l’environnement ? La présence d’un chat, surtout acquis récemment, peut faire soupçonner une toxoplasmose.
- Y a-t-il eu changement au niveau des habitudes de vie ? Un(e) nouveau(elle) petit(e) ami(e). Un camp de vacances où la promiscuité est plus grande. Un(e) nouveau (elle) partenaire sexuel(elle) pour l’hépatite B, le VIH, ainsi que la syphilis. Si c’est un enfant, fréquente-t-il (elle) la garderie ?
- Y a-t-il eu un voyage vers une destination exotique ou non ?
- Y a-t-il eu introduction d’un nouveau médicament ? Celui-ci pourrait simuler une maladie infectieuse fébrile.