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Psychologie: Semestre 1 > Psychologie cognitive: Intelligence (New Version) > Flashcards

Psychologie cognitive: Intelligence (New Version) Flashcards

(101 cards)

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1
Q

Intelligence

A

Capacité globale à comprendre l’environnement et à s’y adapter.

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2
Q

Théories implicites (ou naïves)

A

On interroge des personnes non-expertes (dans la rue).
Objectif : Voir les représentations sociales de l’intelligence.
Résultat : Idées communes mais variabilité culturelle importante.

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3
Q

Exemples de variabilités culturelles

A

-Taïwanais : intelligence liée à la religion, à la compréhension de soi et des autres.
-Occidentaux : centrée sur la résolution de problème, capacité d’apprentissage et compétences intellectuelles.

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4
Q

Étude de Snyderman & Rothman (1987)

A

675 psychologues interrogés.
Traits de l’intelligence selon eux : Raisonnement abstrait, résolution de problèmes, acquisition de connaissances, mémoire, adaptation, vitesse mentale, langage, mathématiques, culture générale, créativité.

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5
Q

Quelles sont les limites à la mesure de l’intelligence (Bernaud, 2009)?

A

-Multiplicité des formes d’intelligence
-Influence du contexte social et individuel
-Problème méthodologique en psychologie

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6
Q

Multiplicité des formes d’intelligence

A

Il n’existe pas qu’un seul type d’intelligence.
Certaines formes n’ont pas encore été explorées.

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7
Q

Influence du contexte social et individuel

A

L’intelligence s’exprime différemment selon les contextes.
Une personne brillante dans un environnement donné peut ne pas l’être dans un autre.

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8
Q

Problème méthodologique en psychologie

A

En psychologie, on n’observe pas directement l’objet de mesure (comme l’intelligence).
On infère à partir des comportements observables.

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9
Q

Raisonnement abstrait

A

Capacité à réfléchir de manière logique sur des concepts non concrets.

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10
Q

Origines scientifiques de la mesure de l’intelligence

A

Naissance de la psychologie différentielle → étudier les différences individuelles.

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11
Q

Origines sociales de la mesure de l’intelligence

A

École obligatoire → repérage des enfants en difficulté → besoin d’outils de détection.

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12
Q

Charles Darwin

A

Idée que certaines caractéristiques sont avantageuses pour la survie → intérêt pour les différences individuelles.

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13
Q

Anthropométrie

A

Mesures physiques, physiologiques, mentales.

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14
Q

Francis Galton

A

Cherche à mesurer le génie (inné).
Tests basés sur les capacités sensorielles, motrices, forme du crâne, etc.
Échec scientifique mais fondement idéologique à l’eugénisme.

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15
Q

James Cattell

A

Introduit le terme “test mental”.
Mesures psycho-physiologiques (vitesse, réaction, jugement de durée…).
Échec également, se reconvertit.

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16
Q

Alfred Binet

A

Se concentre sur des fonctions intellectuelles complexes : mémoire, attention, imagination, compréhension…

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17
Q

Échelle Binet-Simon (1905)

A

Détecter les enfants en difficulté scolaire.
Inspirée par des enfants en asile et des élèves ordinaires.
Chaque item est associé à un âge mental.
Premiers items : reconnaissance, imitation, compréhension de consignes simples. Plus tard : questions abstraites, sociales.

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18
Q

Limite de l’âge mental

A

Même retard = impact différent selon l’âge réel.
Solution de Stern: QI. Mais cette formule reste problématique avec l’âge.

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19
Q

Quelle est la formule du QI de William Stern?

A

QI = (âge mental / âge chronologique) × 100

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20
Q

Lewis Terman (1916)

A

Transpose l’échelle Binet aux États-Unis → Stanford-Binet Scale.

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21
Q

David Wechsler

A

Critique le QI de Stern.

Propose une nouvelle méthode : Même test pour tous, résultats comparés à une norme d’âge.
Introduction du QI standardisé basé sur une courbe de Gauss (moyenne = 100 ; écart-type = 15).

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22
Q

Quels sont les trois tests Wechsler?

A

-WAIS-IV : adultes (16–89 ans)
-WISC-IV : enfants (6–16 ans)
-WPPSI-III : jeunes enfants (2 ans 6 mois – 7 ans 3 mois)

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23
Q

Quelles sont les épreuves des tests de Wechsler?

A

-Verbales : culture générale, définitions, concepts.
-Visuo-spatiales : reproduction de figures.
-Logico-mathématiques : manipulation de chiffres.

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24
Q

Utilisation actuelle du QI

A

Pas de QI sans souffrance psychique.
L’évaluation est éthique uniquement en cas de mal-être ou d’inconfort ressenti par la personne elle-même (pas par l’entourage).
Le QI est une étiquette à manier avec précaution.

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25
Approche globale
Intelligence = capacité générale d’adaptation, quelle que soit la tâche.
26
Approche factorielle
Intelligence = ensemble d’aptitudes spécifiques (verbales, numériques, spatiales…). Performances variables selon les types de tâches → pas de corrélation parfaite.
27
Analyse factorielle (méthode statistique)
Réduire un grand nombre de variables à un petit nombre de facteurs. Cette méthode a été utilisée par de nombreux chercheurs, mais elle a mené à des résultats différents selon les modèles.
28
Corrélation
Lien entre deux variables (de -1 à +1) Si deux tests sont corrélés, ils mesurent en partie la même chose (facteur commun)
29
Spearman-Modèle bi-factoriel
Étudie les résultats scolaires et des tâches perceptives. Toutes les matières corrèlent positivement entre elles (ex : Latin et Français = 0,83). (G + S)
30
Facteur G (Général)
Énergie mentale commune à toutes les tâches.
31
Facteurs S (Spécifiques)
Énergie mentale spécifique à chaque type de tâches.
32
Thurstone-modèle multifactoriel
Étude sur 240 étudiants (1938). Analyse factorielle poussée → sélection d’épreuves non corrélées. Résultat : 8 facteurs indépendants (Primary Mental Abilities) Pas de facteur G, pas de QI global, chaque facteur est évalué séparément.
33
Quels sont les huit facteurs indépendants de Thurstone?
-Compréhension verbale -Fluidité verbale -Aptitudes numériques -Aptitudes spatiales -Raisonnement -Mémoire -Rapidité perceptive -Motricité
34
Pourquoi des résultats différents ? (Spearman & Thurstone)
-Problème épistémologique : Spearman cherche un facteur G. ; Thurstone rejette l’idée même d’un facteur G. -Méthode d’analyse : Spearman : analyse factorielle simple ; Thurstone : analyse factorielle multiple -Population étudiée : Spearman : enfants ; Thurstone : adolescents
35
Modèles hiérarchiques
On calcule des corrélations entre facteurs (de second, puis de troisième ordre). Ces analyses révèlent un facteur G supérieur, au sommet d’une hiérarchie. Facteur G→ Verbal/Spatial/Numérique → Sous-facteurs spécifiques
36
Modèle combiné
Les facteurs spécifiques existent, mais sont organisés sous un facteur général.
37
Modèle hiérarchique de Burt et Vernon (1952)
Modèle basé sur l’extraction du facteur G, selon la tradition de l’école anglaise. Facteurs spécifiques → Facteurs intermédiaires → Facteur G
38
Quels sont les facteurs mineurs du modèle de Burt et Vernon?
-Verbal -Numérique -Scolaire -Spatial -Mécanique -Pratique
39
Comment sont regroupés les facteurs mineurs?
-Facteur verbal/éducatif (verbal + numérique + scolaire) -Facteur spatial/moteur (spatial + mécanique + pratique) Ces deux grands facteurs conduisent à un facteur G global.
40
Modèle de Cattell et Horn (1966)
Rejet du facteur G unique, mais reconnaissance de facteurs généraux multiples (2ème ordre). Ce modèle explique bien les évolutions différenciées de l’intelligence avec l’âge.
41
Quels sont les cinq facteurs principaux du modèle de Cattell et Horn?
-Intelligence fluide (Gf) -Intelligence cristallisée (Gc) -Intelligence visuo-spatiale -Intelligence de vitesse -Mémoire à court terme (parfois incluse dans certaines variantes)
42
Intelligence fluide (Gf)
Raisonnement, résolution de problèmes nouveaux → diminue avec l’âge
43
Intelligence cristallisée (Gc)
Connaissances acquises, langage, culture → augmente avec l’âge
44
WAIS-IV (Wechsler)
Basé sur un modèle factoriel hiérarchique, intégré à la tradition de Spearman et Burt. Dominance actuelle des modèles factoriels hiérarchiques dans les tests standardisés.
45
Quels sont les quatre indices principaux mesurés par la WAIS-IV?
-Compréhension verbale -Raisonnement perceptif -Mémoire de travail -Vitesse de traitement Ces indices contribuent à un QI total, représentant le facteur G.
46
Intelligences multiples de Gardner (1983, 1996)
Théorie non factorielle et non empirique, fondée sur des observations cliniques (Patients cérébrolésés ; Enfants handicapés ; Surdoués ;Talents particuliers)
47
Quelles sont les 7 intelligences de base (Gardner)?
-Musicale -Kinesthésique -Logico-mathématique -Verbale (langagière) -Spatiale -Interpersonnelle -Intrapersonnelle (optionnelles) -Naturaliste -Existentielle
48
Quels sont les avantages des intelligences multiples de Gardner?
-Valorise la diversité cognitive -Inclut l’environnement et le contexte -Rejette le déterminisme du QI
49
Quelles sont les limites des intelligences multiples de Gardner?
Pas de fondement empirique, pas de validation par test On peut lui reprocher de confondre compétences et intelligences. Modèle inspirant mais non scientifique selon les standards académiques.
50
Est-on intelligent ou le devient-on ?
Débat ancien : rôle de la génétique vs environnement Enjeu idéologique et socio-politique Consensus scientifique : interaction entre hérédité et milieu
51
Facteurs génétiques (Études)
-Études sur jumeaux monozygotes vs dizygotes -Études d’adoption -Études de cas de génétique du retard mental (ex : Trisomie 21, syndrome de l’X fragile)
52
Quels sont les résultats des études (facteurs génétiques)?
Plus le lien génétique est fort, plus la ressemblance de QI est élevée Être élevés dans le même environnement n’augmente que légèrement la ressemblance Héritabilité estimée à environ 48 % (Plomin, 1999)
53
Quelles sont les limites des études (facteurs génétiques)?
Études non manipulables pour des raisons éthiques Chaque individu, même jumeau, a des expériences de vie uniques
54
Facteurs du milieu
La présence d’un médiateur culturel auprès d’enfants défavorisés favorise le développement intellectuel Remédiations éducatives peuvent compenser les privations (pauvreté) Corrélations fortes entre milieu socio-culturel et QI
55
Effet Flynn (années 70-80)
Augmentation régulière des scores de QI sur plusieurs décennies Jusqu’à +6 points par décennie sur les tests de raisonnement abstrait
56
Comment expliquer l'Effet Flynn?
-Nutrition améliorée (moins de carences) -Éducation obligatoire (meilleure maîtrise des symboles) -Évolution du monde moderne (surcharge cognitive, technologies, diversité des stimulations)
57
Définition de l'intelligence (Binet & Henri)
Correspond à des facultés psychiques supérieures.
58
Définition de l'intelligence (Jean Piaget)
« L’intelligence ce n’est pas ce que l’on sait, mais ce que l’on fait quand on ne sait pas » → souligne l’adaptation.
59
Définition de l'intelligence (David Wechsler)
« Capacité globale et complexe d’un individu à agir dans un but, penser rationnellement et avoir des rapports utiles avec son milieu » → met l’accent sur rationalité et adaptation.
60
Âge mental (AM)
Niveau auquel un enfant réussit les exercices typiques d’une tranche d’âge. Exemple : un enfant de 4 ans réussissant des épreuves de 6 ans → AM = 6 ans
61
Courbe de Gauss (courbe normale)
Représente la distribution statistique du QI en forme de cloche. → Moyenne = 100, Écart-type = 15 → Plus on s’éloigne du centre, plus les individus sont rares.
62
Sous test "Information" (QI verbal)
Répondre à des questions de culture générale
63
Sous test "Mémoire immédiate de chiffres" (QI verbal)
Répéter des suites de chiffres (endroit/envers)
64
Sous test "Vocabulaire" (QI verbal)
Définir des mots
65
Sous test "Arithmétique" (QI verbal)
Résoudre mentalement des problèmes
66
Sous test "Compréhension" (QI verbal)
Répondre à des questions de vie quotidienne
67
Sous test "Similitudes" (QI verbal)
Trouver ce que deux mots ont en commun
68
Sous test "Complément d’image" (QI de performance)
Trouver un élément manquant dans une image
69
Sous test "Arrangement d’images" (QI de performance)
Reconstituer une histoire avec des images
70
Sous test "Cubes" (QI de performance)
Reproduire des figures avec des cubes rouges/blancs
71
Sous test "Assemblage d’objets" (QI de performance)
Reconstituer un puzzle
72
Sous test "Code" (QI de performance)
Reproduire des symboles sous contrainte de temps
73
Étude de Bouchard et al., 1990 (revue Science)
Étude sur des jumeaux monozygotes élevés séparément Objectif : comparer leur QI malgré des environnements différents Résultats : Corrélation de 0,60 à 0,70 L’intelligence a une base génétique importante, mais pas exclusive
74
Étude 2 de McClearn et al., 1997 (Suède)
Participants : 130 paires de jumeaux de plus de 80 ans Comparaison entre : Monozygotes (vrais jumeaux) → 100 % ADN partagé ; Dizygotes (faux jumeaux) → 50 % ADN partagé Différences selon les capacités cognitives : QI verbal → davantage influencé par la génétique ; QI performance → davantage influencé par l’environnement Participation égale de la génétique et de l’environnement (~50/50) En général : 62 % de similitude chez les jumeaux
75
Rang centile
Position d’un individu dans une population divisée en 100 parts égales
76
Corrélation
Indice statistique mesurant la similarité entre deux séries de données (de 0 à 1)
77
Monozygote
Jumeaux issus d’un même ovule fécondé (même ADN)
78
Dizygote
Jumeaux issus de deux ovules différents (ADN différent, comme frère et sœur)
79
Étude de Grégoire, 1993 (données de 1989)
Échantillon : 1000 adultes (16 à 79 ans), population française représentative 10 groupes d’âge, avec stratification selon : âge, genre, catégorie socioprofessionnelle et catégorie de commune Test utilisé : WAIS-R (révisé) QI verbal ; QI performance ; QI total -QI verbal ajusté : reste stable, voire augmente légèrement entre 35 et 70 ans. -QI performance ajusté : décline lentement à partir de 35 ans, puis s'effondre après 70 ans (moyenne = 74 pour les 75-79 ans). Avec l’âge, certaines fonctions intellectuelles déclinent, surtout celles mesurées par le QI performance (rapidité, manipulation d’informations visuo-spatiales, flexibilité mentale). Le QI verbal (vocabulaire, culture, compréhension) est plus stable, car ancré dans les connaissances acquises (mémoire sémantique, cristallisée).
80
Conception unitaire (Spearman, 1904)
Théorie du facteur g (g = général) L’intelligence = capacité cognitive globale, commune à toutes les tâches mentales Idée : il existe une énergie mentale générale située dans le cerveau (hypothèse biologique)
81
Conception pluraliste (Howard Gardner, 1983, 1996, 1998)
Théorie des intelligences multiples (inspirée des neurosciences, de l’éducation, et de cas cliniques) Selon lui, l’intelligence n’est pas unique, mais se décline en plusieurs formes autonomes
82
Quels sont les 8 critères qu'une "intelligence" doit remplir? (Gardner)
-Autonomie neurologique -Existence de prodiges ou de profils atypiques (ex : Christopher, Smith & Tsimpli, 1995 : QI = 75 mais parle 15 langues) -Fonction cérébrale localisable (aires spécifiques) -Appui en psychologie expérimentale & psychométrie -Encodage symbolique -Développement distinct dans l’histoire et chez l’enfant -Utilité évolutive -Capacité à résoudre des problèmes/créer des produits
83
Intelligence Linguistique
Utilisation du langage (oral/écrit)
84
Intelligence Logico-mathématique
Raisonnement logique, calcul, résolution de problèmes
85
Intelligence Musicale
Perception, composition et reproduction des sons
86
Intelligence Spatiale
Visualisation en 3D, orientation
87
Intelligence Corporelle/kinesthésique
Contrôle du corps, coordination
88
Intelligence Intrapersonnelle
Conscience de soi, introspection
89
Intelligence Interpersonnelle
Compréhension des autres, empathie
90
Intelligence Naturaliste
Classification, observation de la nature
91
Expérience de Kaufman et al., 1988
Étude menée sur 4 groupes d’âge : 16-19 / 20-34 / 35-54 / 55-74 ans Variables analysées : âge, genre, origine, lieu de résidence (rural/urbain), région, profession, niveau d’éducation Le lieu de vie influence les scores de QI :les sujets vivant en milieu urbain tendent à obtenir des scores plus élevés.
92
Cognition froide
Raisonnement, mémoire, fonctions exécutives
93
Cognition chaude
Émotions, personnalité, affectivité
94
OCEAN
-Ouverture -Conscience -Extraversion -Agréabilité -Névrosisme
95
Ouverture
Créativité, curiosité, imagination, appréciation de l’art
96
Conscience
Organisation, fiabilité, autodiscipline
97
Extraversion
Sociabilité, énergie, émotions positives
98
Agréabilité
Altruisme, coopération, empathie
99
Névrosisme
Anxiété, instabilité émotionnelle, vulnérabilité
100
Intelligence émotionnelle
Capacité à percevoir, comprendre et réguler les émotions en soi et chez les autres, et à s’en servir pour guider la pensée et les actions.
101
Quelles sont les quatre composantes principales de l'intelligence émotionnelle?
-Percevoir et exprimer les émotions (en soi et chez autrui) -Utiliser les émotions pour faciliter la pensée -Comprendre les émotions (leurs causes, évolutions) -Réguler les émotions pour favoriser le bien-être et l’adaptation

Psychologie: Semestre 1 (48 decks)

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