TD QCMs Flashcards

(13 cards)

1
Q

Dans la perspective du penseur social en tant que chercheur de cohérence, quel est le principal objectif des individus dans la construction de leur réalité sociale ?

A. Maintenir une image cohérente de soi et de ses croyances
B. Simplifier les processus cognitifs pour prendre des décisions rapides
C. Rassembler les informations de manière impartiale et logique
D. Réagir rapidement grâce à des processus automatiques

A

A. Maintenir une image cohérente de soi et de ses croyances

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2
Q

Quels éléments sont les plus susceptibles de capter l’attention de l’individu ?

A. Les éléments familiers et fréquents dans l’environnement social
B. Les éléments rares ou inattendus
C. Les éléments qui ne changent pas dans le temps
D. Les éléments qui ne sont pas liés à des objectifs personnels

A

B. Les éléments rares ou inattendus

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3
Q

Quel est l’effet observé lorsque les informations sont associées au soi ?
A. Les informations sont mieux oubliées
B. Les informations sont rappelées plus facilement
C. Les jugements prennent plus de temps
D. Les stimuli liés au soi sont ignorés surtout lorsqu’ils sont menaçants

A

B. Les informations sont rappelées plus facilement

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4
Q

Dans une série d’expérience, Alexolopoulos et collaborateurs (2012) ont voulu tester l’hypothèse selon laquelle les stimuli liés au soi captureraient l’attention. Dans cette expérience, ils montrent que :

A. Les participants sont plus lents à détecter la lettre après un indice valide qu’après un indice invalide
B. L’effet d’indiçage est plus fort lorsque les stimuli sont reliés au soi que lorsqu’ils ne le sont pas
C. Le temps de réaction est plus long lorsqu’on présent des indices valides
D. Les stimuli liés au soi sont ignorés surtout lorsqu’ils sont menaçants

A

B. L’effet d’indiçage est plus fort lorsque les stimuli sont reliés au soi que lorsqu’ils ne le sont pas

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5
Q

Selon Yzerbyt et Klein (2019), quelle caractéristique du soi permet d’identifier ce qui nous relie aux autres et nous différencie d’eux?

A. Agentique
B. Identité
C. Réflexif
D. Social

A

B. Identité

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6
Q

Dans l’étude de Kunda et Sanitioso (1989), quels résultats observés par les auteurs illustrent la malléabilité du soi en fonction des traits présentés comme désirables ?

A. Les participants rappellent uniquement des souvenirs spécifiques liés à leurs comportements extravertis
B. Les participants ne modifient pas leur perception d’eux-mêmes en fonction des caractéristiques du succès
C. Les participants attribuent systématiquement une valence négative aux souvenirs incohérents avec le trait désirable
D. Les participants se perçoivent plus introvertis ou plus extravertis en fonction du trait qui leur est présenté comme désirable

A

D. Les participants se perçoivent plus introvertis ou plus extravertis en fonction du trait qui leur est présenté comme désirable

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7
Q

Que suggère l’hypothèse de facilité de rappel testée par Sanitioso & Niedenthal (2006)?

A. Plus un souvenir est difficile à rappeler, plus il influence la perception de soi
B. Les participants perçoivent leurs traits comme moins malléables après avoir rappelé des souvenirs liés au succès
C. Plus il est facile de rappeler un souvenir, plus on s’attribue le trait correspondant à ce souvenir
D. Les souvenirs spécifiques ont un impact plus fort que les souvenirs généraux sur la perception de soi

A

C. Plus il est facile de rappeler un souvenir, plus on s’attribue le trait correspondant à ce souvenir

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8
Q

Que démontre l’expérience de Tiedens et Linton (2001) sur l’influence des émotions partageant la même valence mais différentes quant à leur évaluation cognitive de certitude?

A. Les émotions associées à une évaluation
cognitive de certitude induisent un traitement de l’information systématique
B. Les émotions associées à une évaluation cognitive de certitude rendent les individus plus sensibles à la qualité des arguments persuasifs
C. Les émotions associées à une évaluation cognitive de certitude active un traitement heuristique de l’information, insensible à la qualité des arguments persuasifs
D. Les émotions associées à une évaluation cognitive de certitude réduisent significativement l’utilisation de stéréotypes dans les jugements des individus

A

C. Les émotions associées à une évaluation cognitive de certitude active un traitement heuristique de l’information, insensible à la qualité des arguments persuasifs

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9
Q

Pourquoi la colère et la joie peuvent-elles entraîner des jugements similaires dans certaines situations, selon Lerner et Keltner (2001)?
A. Parce que ce sont deux émotions à valence positive
B. Parce qu’elles sont associées à une évaluation cognitive de certitude
C. Parce qu’elles impliquent toutes les deux un traitement délibératif de l’information
D. Parce qu’elles sont associées à une faible perception de contrôle

A

B. Parce qu’elles sont associées à une évaluation cognitive de certitude

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10
Q

Selon Schwarz & Clore (1983), quelle est la principale fonction des émotions dans la prise de décision?
A. Elles servent uniquement de distracteurs dans le traitement de l’information
B. Elles fournissent des informations sur la pertinence des options disponibles
C. Elles favorisent toujours un traitement approfondi des informations disponible dans une situation
D. Elles permettent de renforcer la confiance des individus dans les décisions qu’ils prennent

A

B. Elles fournissent des informations sur la pertinence des options disponibles

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11
Q

Quelle est la différence principale entre stéréotypes et préjugés?
A. Les préjugés concernent les croyances, les stéréotypes des réactions affectives
B. Les préjugés sont intentionnels tandis que les stéréotypes sont automatiques
C. Les préjugés sont des réactions affectives, les stéréotypes concernant les croyances
D. Les préjugés sont des processus conscients, les stéréotypes inconscients

A

C. Les préjugés sont des réactions affectives, les stéréotypes concernant les croyances

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12
Q

Quelle conclusion principale peut être tirée des recherches de Devine (1989) sur les stéréotypes?
A. Les personnes à faible niveau de préjugés ignorent totalement les stéréotypes
B. La connaissance des stéréotypes est indépendante du niveau de préjugés
C. Les stéréotypes ne sont accessibles qu’aux personnes ayant un fort niveau de préjugés
D. L’activation des stéréotypes dépend principalement des efforts cognitifs

A

B. La connaissance des stéréotypes est indépendante du niveau de préjugés

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13
Q

Pourquoi la suppression des stéréotypes peut-elle conduire à leur renforcement?
A. Parce qu’elle réduit la charge cognitive nécessaire à leur remplacement
B. Parce qu’elle permet de supprimer complétement l’automaticité du processus
C. Parce qu’elle favorise l’activation prolongée des éléments contre-stéréotypiques
D. Parce qu’elle active automatiquement les éléments associés

A

D. Parce qu’elle active automatiquement les éléments associés

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