Cours 4 lectures Flashcards
(93 cards)
Quelle est la vision de Rogers sur la subjectivité de l’expérience ?
- La réalité que nous observons est en fait un monde d’expériences privées, subjectives
- Nos besoins personnels influencent notre perception (ex: percevoir la déception de son partenaire, influencé par notre besoin de le comprendre)
- Problème: Nous sommes convaincus que les choses existent telles que nous les voyons
La construction de notre monde intérieur expérientiel reflète 2 choses…
- le monde extérieur de la réalité
- le monde intérieur de ses besoins, de ses croyances et de ses buts personnels.
Définis le champ phénoménal
Perception et expérience subjectives du monde (construction subjective)
Vrai ou Faux. Le conflit entre les éléments instinctifs et rationnels de l’esprit est , selon Rogers, une caractéristique immuable de la condition humaine.
Faux
Selon Rogers, les gens sont sujets à une forme particulière de détresse psychologique.
Un sentiment de détachement survient car nous avons besoin de l’approbation des autres, en faisant nôtres leurs désirs et leurs valeurs.
Qu’est ce que fait la personne quand elle vit ces sentiments ?
Lorsque cela se produit, la personne fait un choix raisonné mais elle ne sent pas de lien entre sa décision et ses propres valeurs.
Vrai ou Faux : Médecin de formation, Rogers voyait ses clients comme des patients. Le client était pour lui une personne aux prises avec des problèmes qu’il fallait diagnostiquer et traiter, et le thérapeute était la personne habilitée à diagnostiquer et à traiter.
Fauuux
(il les voyait comme des client responsables, et Rogers était psychologue)
Vrai ou Faux: Rogers admettait que les gens sont capables de comportements destructifs et méchants, et qu’ils s’y livrent fréquemment. Il soutenait à la base que lorsque nous étions libres d’agir.
Fauuux (c’est le contraire il n’admettait pas cela)
nous sommes capables de réaliser notre potentiel et d’accéder à la maturité
Vrai ou Faux: Rogers a présenté un modèle très complexe de la structure de la personnalité en la découpant en parties.
Faux
Son modèle, beaucoup plus simple, met en lumière ce qu’il pressentait comme étant la structure centrale de la personnalité, en l’occurrence le soi.
Rogers ne croyait pas, contrairement à Freud, que le comportement était déterminé par des pulsions primitives. Il croyait plutôt…
Que le processus le plus fondamental de la personnalité était la tendance à aller de l’avant, à se développer.
Vrai ou Faux: Rogers ne croit que le développement se limite aux premières années de l’existence.
Faux
Il croit que: toute leur vie, les gens progressent vers l’actualisation de soi et composent avec une complexité, une autonomie, une socialisation et une maturité croissantes.
Quel est l’aspect déterminant du regard que pose Rogers sur la personne
la motivation humaine
- nature humaine = fondamentalement positive (même chose pour notre motivation la plus fondamentale)
Quels deux aspects de la technique du Q-sort méritent d’être signalés ?
- le test constitue un juste milieu entre les instruments de mesure fixes et les instruments flexibles
- Les mêmes énoncés sont soumis aux participants; à cet égard, la mesure est fixe.
Qu’est ce que le différenciateur sémantique ?
une méthode d’évaluation du concept de soi: questionnaire invite les répondants à évaluer un concept sur diverses échelles de sept points défi nies par des adjectifs bipolaires comme« bon/mauvais», « fort/ faible» ou « actif/passif»
- Technique structurée
Le soi dans al Théorie de Rogers représente…
la Structure centrale de la personnalité
Qui suis-je ?
- l’organisme présente une tendance fondamentale, celle de se réaliser, de se maintenir et de s’épanouir
- Englobe la tendance de toute personne à réduire ses besoins/tensions, mais insiste sur le plaisir et la satisfaction que procurent les activités enrichissantes pour l’organisme
actualisation de soi
Existe-t-il une méthode pour mesurer l’actualisation de soi ?
Oui, mais ce n’est pas Rogers qui l’a conçu.
Quelle sont les 2 méthodes pour mesurer l’actualisation de soi ?
- échelle de 15 énoncés mesure la capacité d’agir de façon autonome, l’acceptation de soi ou l’estime de soi, l’acceptation de sa vie affective et la confiance dans les relations interpersonnelles.
- Ryff: échelle de croissance personnelle= conception à plusieurs facettes d’une bonne santé mentale; cette conception comprenait l’acceptation de soi, de bonnes relations avec autrui, l’autonomie, la maîtrise de son environnement, un sens à sa vie et la croissance personnelle.
Vrai ou faux: l’actualisation de soi ne suffit pas pour expliquer la dynamique du fonctionnement de la personnalité
Vrai
l’actualisation de soi ne suffit pas pour expliquer la dynamique du fonctionnement de la personnalité.
La plupart des comportements qu’adopte l’organisme sont ceux qui sont cohérents par rapport à son concept de soi
Explique la cohérence de soi
Concept rogérien désignant l’absence de conflit dans la perception du soi.
- Les gens organisent leurs valeurs et leurs rôles de façon à préserver la structure du soi.
- Leur comportement est cohérent par rapport à leur concept de soi, même si ledit comportement s’avère peu gratifiant.
Qui suis-je: Concept rogérien désignant l’absence de conflit entre le concept de soi et l’expérience. ( les gens ressentent et la façon dont ils se perçoivent.)
Congruence
En plus du besoin d’actualisation, on retrouve un autre besoin chez tous les êtres humains : lequel ?
besoin de considération positive de la part des autres
Vous jugez vous être conduit froidement et avec antipathie avec quelqu’un alors que vous vous considérez comme une personne gentille qui fait preuve d’empathie envers son prochain, vous éprouverez quel sentiment ?
un sentiment d’incongruence
Que se passe-t-il lorsque la personne qui vit de l’incongruence est poussée à défendre son soi (car incongruence=» menace =» anxiété).
Elle a recourt à des mécanismes de défense.
( la subception, le déni ou la déformation)
Explique le mécanisme de défense: la subception
Mécanisme rogérien par lequel la personne perçoit un stimulus sans en avoir une représentation consciente. Détecter une expérience menaçante avant qu’elle n’atteigne la conscience.