Cours 8, 9 & 10 - Développement socio-affectif Flashcards

(83 cards)

1
Q

Qu’est-ce que le tempérament?

A

Rothbart décrit le tempérament comme une « matrice fondamentale » à partir de laquelle se développe la personnalité d’un individu.
- Ensemble de prédispositions innées à des réactions émotionnelles et comportementales. (les bébés viennent pas comme une page blanche, ils ont un tempérament, ils réagissent différents.
- Base fondamentale sur laquelle se développera la personnalité future.
- Stabilité à long terme du tempérament. (malgré certains petits changements, mais souvent ce n’est pas ds tous les cas, c’est surtout, stable)
- Il n’existe pas de consensus sur les dimensions fondamentales.

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2
Q

Quelles sont les dimensions du tempérament selon Thomas et Chess?

A
  1. Enfants faciles (40%) : abordent positivement la nouveauté et s’adaptent au changement, sont généralement de bonne humeur, et ont des cycles de sommeil et d’alimentation prévisibles.
  2. Enfants difficiles (10%) : sont résistants aux changements, sont irritables et de moins bonne humeur, et ont des cycles de sommeil et d’alimentation irréguliers.
  3. Enfants lents à réagir (15%) : affichent peu de réactions intenses, semblent indifférents aux gens inconnus mettent plus de temps à s’adapter à des situations nouvelles.
    Il y a juste le 2/3 qui sont classé. Le 1/3 ne peuvent pas être classé, certains sont mix, représentent pas tous les cas mais c’est la première qui viennent les classer. Critique : Mais, ce ne sont pas les bébés qui juge si le bébé est difficile, c’est la parent, mais ça ne veut pas dire qu’il est difficile.
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3
Q

Quelles sont les dimensions du tempérament selon Rothbart et les principaux chercheurs du domaine?

A
  1. Degré d’activité (tendance à bouger plutôt qu’être passif et immobile)
  2. Affectivité positive (aller spontanément vers la nouveauté)
  3. Inhibition (réaction de peur ou de recul face à la nouveauté)
  4. Affectivité négative (réaction à la frustration par la colère, l’agitation, la force et l’irritabilité)
  5. Capacité d’attention et de persistance dans l’effort (concentration à la tâche, focalisation de l’attention
    C’est quoi la réaction au stimuli et comment ils s’autorégule?
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4
Q

Y’a-til des différence de tempérament selon le sexe?

A

Associé aux rôles sociaux. Étude bébé où avis change selon le sexe.
pas de variance entre les filles et les garçons mais à voir.

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5
Q

Qu’est-ce que la personnalité?

A

Aussi nommée le caractère.
Registre plus vaste d’attributs que le tempérament : l’ensemble des modes de réactions qui caractérisent et distinguent une personne tout au long de sa vie.
Manière habituelle et distinctive de se sentir, de penser et de se comporter. (tempérament est surtout le comportement, personnalité va plus loin. On amène pensée et émotions)
Quelques modèles théoriques centraux, dont celui du « Big Five ».

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6
Q

Expliquer le modèle du Big Five

A

Ouverture à
l’expérience (O) : Personnes créatives qui aiment la nouveauté.
Apprécient la beauté et les arts et remettent en question les valeurs traditionnelles. Aspect créatif de la nouveauté
Conscienciosité (C): Personnes disciplinées, ordonnées, organisées, compétentes et ambitieuses.
Extraversion (E): Personnes sociables et chaleureuses, qui recherchent les sensations, l’action et les émotions positives.
Amabilité (A): Personnes franches, sensibles aux autres, confiantes,altruistes et conciliantes.
Névrosisme (N): Personnes sensibles à la critique et caractérisées par de l’instabilité émotionnelle (anxiété, colère, impulsivité, timidité, dépression).

Validés ds plus de 30 cultures. On retrouve les mêmes dimensions, même si c’est parfois à différents niveaux.

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7
Q

Quelle est la distinction entre le tempérament et la personnalité?

A

Un va plus être la façon de réagir,
Le tempérament = génotype, tu nait avec. Innée
Personnalité = phénotype, elle est modulé par l’interaction du génotype avec l’environnement. Façonnée par l’innée et l’environnement.

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8
Q

Qu’est-ce que l’identité?

A

La manière dont on se perçoit, notre adhérence à un groupe, nos valeurs, aspect d’intentionnalité, évolue, moins stable, physique (comment les gens se réfère à toi), culture, aspect de l’unicité (trait et tempérament on se ressemble,

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9
Q

Qu’est-ce que la quête de l’identité?

A

Découverte de qui nous sommes et de ce que nous voulons faire dans la vie, trouver des buts et des valeurs qui nous sont propres et explorer différentes avenues pour répondre à toutes ces questions.
Renvoie à la conception qu’une personne a d’elle-même, de ses identifications et de ses différents rôles sociaux.
Le développement de la théorie de soi, ou du concept de soi, est possible grâce au développement cognitif. (C’est en construction dès le début de la vie)
Bien que le concept de soi est en ébauche dès la petite enfance, l’adolescence est une période durant laquelle la quête de l’identité occupe une place très importante.

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10
Q

Expliquer la théorie du développement d’Érikson

A

Erikson (1902-1994)
Émergence et développement de la personnalité = au cœur du développement humain.
Grande influence de l’environnement. Moins influence des pulsions sexuelles
Théorie du développement psychosocial :
- Comprend huit stades de développement du « moi ».
- Ces stades se poursuivent au-delà de l’adolescence. (jusqu’au décès)
- Le développement résulte de l’interaction entre les pulsions internes de la personne et les exigences de la société dans laquelle il vit.
L’Idée principale est la crise

Chaque stade correspond à une tâche développementale à accomplir : cela provoque une crise dans la personnalité. Attente de l’environnement en fonction de l’âge se qui cause le changement de crise. Négatif : Ne correspond pas à éviter à tout prix. Il faut un équilibre entre positif et négatif en adoptant des comportements dans les deux sphères. La réponse de l’environnement qui dictent comment l’enfant va se sortir ou résoudre la crise. Chaque étape de notre vie a une tâche développementale (crise)
Nous devons résoudre chacune des huit crises pour atteindre un équilibre entre deux pôles
Dépend de l’interaction individu-environnement social

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11
Q

Qu’est-ce qu’une crise?

A

Une période marquée à la fois par une grande vulnérabilité ainsi qu’un grand potentiel.
La personne manifeste des comportements tant du pôle positif que négatif : manière de trouver l’équilibre.
La manière de la résoudre a une incidence sur le développement de la personnalité :
- Crise résolue = acquisition d’une force adaptative (l’ensemble de ces forces permet l’atteinte d’une personnalité saine et équilibrée.
- Crise non résolue = traits de personnalité excessifs (liés à l’excès ou la cristallisation des manifestations d’un des deux pôles).
Les forces acquises des crises précédentes aident aux futures : construction des bases sur lesquelles reposent les stades suivants.
Il est possible de résoudre à l’âge adulte une crise non résolue à l’enfance, par exemple.
Crise de l’identité à l’adolescence = étape la plus importante du développement.

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12
Q

expliquer Première crise : confiance versus méfiance

A

Âge : Naissance à 12-18 mois
Comment la personne de soin répond au bébé. Il faut que l’enfant développe de la méfiance pour ne pas avoir une confiance naive et aveugle envers tout. Elle est nécéssaire mais ne peux pas être exagéré.
L’enfant ne doit pas toujours porter une confiance aveugle et naïve à son environnement → Méfiance nécessaire, mais ne doit pas être exagérée.
Dépendance totale aux autres pour satisfaire ses besoins : qualité de l’interaction avec la mère déterminant →
- Si besoins comblés : l’enfant acquière une confiance envers sa mère et, plus largement, envers l’environnement.
- Si besoins non comblés : l’enfant apprend à se méfier; environnement peu fiable.

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13
Q

Expliquer Deuxième crise : autonomie versus honte et doute

A

Âge : 12-18 mois à 3 ans
Ils veulent faire tout seul, et sont surpris de ne pas réussir. Ils peuvent être dans la honte et douter de lui-même selon la réponse à l’environnement. Ils faut qu’ils reconnaissent qu’ils ont des limites.
Reconnaissance des limites et doutes raisonnables sur ses capacités pour éviter de se mettre en danger.
Exploration du monde extérieur sans trop craindre et de manière autonome.
L’enfant éprouve beaucoup de plaisir à faire les choses par lui-même et montrer aux adultes qu’il est capable.

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14
Q

Expliquer Troisième crise : initiative versus culpabilité

A

Âge : 3 à 6 ans
Tentative de prendre des prises d’initiative. Il va remettre en question sa façon de prendre des initiatives. Réaction de culpabilité provient surtout de la réactions des adultes.
Sentiment de culpabilité lié aux actes ou aux motivations.
- Lié à son désir d’approbation par les adultes.
Veut prendre des initiatives : élaborer des plans et les réaliser.

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15
Q

Expliquer Quatrième crise : travail versus infériorité

A

Âge : 6 à 11 ans (ou jusqu’à la puberté)
Pas la période mouvementaux, certains période de stabilité. On travail nos habiletés (école, compter, lire, période d’apprentissage) Rentre la comparaison, comment on se situe face aux autres (ex. notes et moyenne), l’enfant se positionne plus concrètement par rapport aux autres. On réalise qu’on a des limites, mais faut pas développer un sentiment d’infériorité envers les autres. Trop travail = workaholique,
Conscience de ses limites tout en ne développant pas un sentiment d’infériorité.
Apprentissage des habiletés favorisées par la culture à laquelle il appartient.

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16
Q

Expliquer Cinquième crise : identité versus confusion des rôles

A

Âge : puberté à jeune adulte
Crise d’identité
Selon Erikson, l’identité se développe lorsque 3 problèmes majeurs sont résolus :
1. Choix d’une activité professionnelle : « Qui veux-je devenir plus tard? » « Qu’est-ce que je veux accomplir? »
2. Adoption de valeurs qui leur sont propres : « Quelles sont mes valeurs fondamentales? » Je peux décider de mes valeurs. Ex. La religion
3. Développement d’une identité sexuelle satisfaisante : « Quelles sont mes attirances et mes besoins? »
Confusion des rôles retarde la résolution de la crise identitaire
Cherche à acquérir un sens cohérent du soi et du rôle qu’il jouera au sein de la société
(professionnel, sexuels, parentaux, religieux, autres).

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17
Q

Expliquer les stades suite à la puberté?

A

Crise 6 : Intimité / isolement (jeune adulte)
Lorsque la crise est résolue, la personne est capable de s’engager affectivement avec une autre personne.
Crise 7 : Générativité / Stagnation (adulte d’âge moyen)
Lorsque la crise est résolue, la personne guide les générations plus jeunes, leur transmet ses connaissances et les fait profiter de son expérience.
Crise 8 : Intégrité / Désespoir (adulte d’âge avancé)
Lorsque la crise est résolue, la personne accepte la vie qu’elle a menée ainsi que sa mort prochaine.

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18
Q

Qu’est-ce que la théorie de Marcia?

A

James E. Marcia (1937- ), psychologue
États identitaires : configurations identitaires caractérisées par la présence ou l’absence d’une crise et par la capacité ou l’incapacité de contracter des engagements.
- Crise / Exploration : expérimentations, questionnements et prises de décisions conscientes par l’ado.
- Engagement : faire des choix parmi les possibilités; s’investir dans une activité professionnelle (métier) ou un système de croyances..

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19
Q

Quelles sont les états identitaires de Marcia

A

Forclose : Pas d’exploration + Engagement; Explore pas de possibilité ne vit pas de crise (médecin)
Diffuse : Pas d’exploration + Pas d’engagement; Ne s’engage pas, ne considérer pas les possibilités
Moratoire : Exploration + engagement; réfléchi aux différentes possibilités, en voie de s’engager
Réalisation/Achevée : Engagement + Exploration; période de questionnement suivie d’un engagement

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20
Q

Qu’est-ce que l’identité culturelle?

A

Aussi appelée identité ethnique
Sentiment d’appartenance à un groupe culturel particulier.
Appartenance à une culture non majoritaire = complexification du développement identitaire:
- Lié à des choix : adhésion à la culture d’origine ou majoritaire
- Combinaison de valeurs parfois conflictuelles

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21
Q

4 possibilité d’une personne de culture minoritaire face à majoritaire

A
  1. Intégration → choisir à la fois sa culture d’origine et la culture majoritaire. Schéma qui agit comme facteur de protection : identification élevé dans majoritaire et origine
  2. Assimilation → choisir majoritairement la culture majoritaire. (renie origine) : identification origine faible et élevé majoritaire
  3. Séparation → choisir majoritairement la culture d’origine. (lié a difficulté d’adaptation quand on renie culture majoritaire ou minoritaire) : identification origine élevé et majoritaire faible
  4. Marginalisation → ne choisir aucune des deux cultures. (pas un choix de marginalisation, car tentative d’intégration pas succesful dont peut avoir discrimination et rejet): identification majoritaire et origine faible
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22
Q

quels sont les facteurs d’influence d’une acculturation?

A
  • Côtoyer des personnes d’autres groupes ethniques peut susciter chez les jeunes un intérêt pour leur propre identité ethnique. (curiosité, svt à l’adolescence)
  • Percevoir de la discrimination à l’égard de leur groupe ethnique peut nuire à la formation positive de l’identité et être associé à des problèmes de comportement, de la dépression.
  • Pratiques de socialisation culturelle des parents (enseignement du patrimoine culturel et ethnique, des coutumes et traditions) favorisent la fierté culturelle. (comment le parent est va influencer l’identité culturelle du parent)
  • Que l’expérience d’acculturation soit liée à une situation volontaire ou imposé
  • Caractéristiques personnelles (âge, genre, éducation, réactivité/proactivité, capacités
    d’adaptation); Distance culturelle
  • Relations de support avec des membres des deux cultures est le facteur le plus prédictif d’une adaptation réussie
  • Dépendra également des politiques d’immigration, des idéologies et attitudes de la culture d’accueil. L’acculturation est donc un processus influencé par de multiples facteurs populationnels (sociétaux, sociaux) et individuels qui sont en interaction.
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23
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’attachement

A

Théorie développée par Bowlby
Perspective éthologique appliquée à l’étude des relations parent-enfant.
Définition: Lien affectif et durable que l’enfant développe avec ses donneurs de soins principaux durant sa première année de vie.
But: Assurer que la proximité physique entre le donneur de

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24
Q

Quelles sont les fonctions de théorie de l’attachement

A
  • Base de sécurité lorsque l’enfant fait face à un danger
  • Base pour l’exploration
  • Développement des modèles internes opérants de soi (la valeur que je m’accorde, si j’ai un parent qui réagit à mes demandes, donc je vaux la peine, vision de soi plus positive), d’autrui (est ce que le monde qui m’entoure est dangereux ou non, je peux avoir confiance ou non) et de relations (comment je montre mes besoins, partenaire amoureux, gérer conflits)
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25
décrire l'évolution de la théorie de l'Attachement
Travaux de Harlow sur les signes rhésus (1958 – 1979) Avant, Le plus important est de répondre au besoins d’alimentation. Mais les singe passe plus de temps sur les mères en coton. Effet d’apaisement avec la personne d’attachement qui va mener au besoin réconfort Les travaux de Konrad Lorenz sur la notion d’empreinte et de période critique Tendance innée à suivre un objet (cri/mouvement), qui est généralement la mère, mais qui peut aussi être une autre personne, ou un animal. Si rien ne se déplace pendant la période critique, l’occasion sera perdue. Permet de voir les période critique. Que la première année de vie est critique. Pk car une période de vie dans les oies qui vont le suivre.
26
pdv de Bowlby sur théorie de l'attachement
La tendance à s’attacher à la mère, qui apparait dès les premiers mois, est une prédisposition innée du bébé qui a pour fonction de maintenir la proximité du parent, surtout dans des situations de danger perçu ou réel. L’enfant a un besoin de relation aussi important que le besoin de nourriture. L’absence de relation ou la présence d’une relation inadaptée compromet son développement.
27
L’enfant peut-il développer de multiples relations d’attachement?
Oui mais Bowldy ne dit pas ça. Ils en développent avec toutes les relations significatives, et pas les mêmes qualités en fonction des différentes personnes, plus ou moins profondes
28
Quelles sont les phases du développement de l'attachement?
1. Préattachement (0 à 3 mois) 2. Attachement en formation (3 à 6 mois) 3. Attachement bien établi (6 à 24 mois) 4. Partenariat à but corrigé ou relation réciproque (24 mois et +)
29
Phase de pré-attachement?
Signaux innés pour attirer l’attention des autres, apaisé par les autres, mais réponses sociales
30
Phase de Attachement en formation
Reconnaissance des personnes familières (odeur et vision), apaisé plus rapidement par la figure d’attachement, lui fait plus de sourire
31
Phase bien établi
Préférence marquée pour la figure d’attachement, méfiance envers les étrangers, proteste lors de séparations avec la figure d’attachement (cpts d’attachement actifs)
32
Phase Partenariat à but corrigé ou relation réciproque
Diminution de l’anxiété de séparation (permanence de l’objet), augmentation de l’autonomie, développement d’une relation de partenariat à but corrigé (négociation)
33
Qu'est-ce que la situation étrangère d'Ainsworth
Méthode qui permet d’évaluer les différences individuelles entre les enfants sur le plan de la sécurité d’attachement. (pour établir c’est slmt ave situation étrangère) Procédure expérimentale : - Utilisée auprès des enfants de 12 à 18 mois; - Permettant l’observation des comportements de l’enfant lors d’épisodes de séparations et de réunions parent-enfant; (focus sur quand le parent revient, environnement non familier) - Qui capitalise sur l’anxiété de séparation.
34
Étape de la situation étrangère
1. Introduction Introduction de la dyade mère-enfant dans la pièce de situation étrange 2. Premier épisode 3 minutes Le parent est avec l’enfant et répond à son comportement sans prendre l’initiative (voir comment l’enfant réagit) 3. Entrée de l’étrangère 3 minutes 1ère minute: l’étrangère garde le silence 2ème minute: l’étrangère entreprend une courte conversation avec le parent (déduire que la personne est de confiance par l’enfant) 3ème minute: l’étrangère joue avec l’enfant 4. Première séparation (la parent quitte la pièce, l’enfant reste seul avec l’étrangère) 3 minutes L’étrangère doit jouer avec l’enfant pendant l’absence du parent et graduellement reprendre son siège. Si l’enfant est en détresse, elle doit tenter de le calmer. (comment l’enfant réagit avec l’inconnu) 5. Première réunion parent-enfant Le parent retourne dans la pièce (la codification porte sur la manière dont l’enfant accueille le parent à son retour et l’utilise pour l’aider à diminuer l’inconfort créé par la séparation). L’étrangère quitte la pièce. (comment l’enfant réagit, si va voir enfant combien de temps) 6. Deuxième séparation : l’enfant reste seul 3 minutes Les deux séparations sont écourtées si l’enfant manifeste trop d’inconfort. 7. L’étrangère revient dans la pièce 3 minutes La première responsabilité de l’étrangère est de consoler l’enfant s’il est en détresse. Dans le cas contraire, elle doit s’asseoir et être discrète 8. Deuxième réunion Le parent retourne dans la pièce avec mêmes consignes qu’en #5.
35
Quels sont les types d'attachements selon Ainsworth et Main
Attachement sécurisant Attachement évitant Attachement résistant-ambivalent Attachement désorganisé
36
Expliquer l'Attachement sécurisant
L’enfant interagit facilement avec son parent et son exploration est efficace et structurée. Il est en détresse lors des séparations, mais est réconforté au retour de son parent de sorte qu’il peut revenir à l’exploration et le jeu. - 50% à 70% de la population non-clinique - Parent sensible aux besoins et signaux affectifs de l’enfant, constant dans la qualité de ses réponses. - Stratégie d’attachement primaire: recherche réconfort auprès du parent en situation de détresse et reprise de l’exploration lorsque rassuré.
37
Qu'est-ce que l'Attachement évitant?
Pendant la situation étrangère, l’enfant porte son attention principalement sur l’exploration, les jouets ou l’étrangère. Il n’engage que rarement des interactions avec son parent et paraît peu préoccupé par le départ de celui-ci dans les épisodes de séparation. Au moment des réunions, il évitera le parent de façon évidente. - 15% à 20% de la population non clinique - Parent insensible: distant et rejetant. (mère en post-partum) - Stratégie d’attachement secondaire: minimise l’activation de son système d’attachement (le laisse aux prises avec de l’anxiété et de l’insécurité vis-à-vis de sa figure d’attachement).
38
Qu'est-ce que l'Attachement résistant-ambivalent
L’enfant manifeste une préoccupation constante à l’égard du parent. Les comportements d’exploration sont peu organisés et l’enfant peut montrer une certaine crainte face à l’étrangère. Ces enfants seront en détresse au moment du départ du parent et difficilement consolables dans les épisodes de réunion. Ils ne retournent pas au jeu de manière efficace. (N’explore pas le milieu) - 5% à 10% de la population non clinique - Parent insensible: inconstant, soins imprévisibles (parfois sensibles, parfois rejetant ou intrusifs). - Stratégie d’attachement secondaire: maximise l’activation de son système d’attachement.
39
Qu'est-ce que l'Attachement désorganisé?
Durant la situation étrangère, mais surtout dans les épisodes de réunion, l’enfant manifeste des comportement inusités: de la crainte envers le parent, de la colère extrême, une ambivalence extrême ou des comportements qualifiés de désorganisés. Bcp de liens brisés avec figure, perte de confiance - 5% à 10% de la population non clinique - Jusqu’à 85% de la population clinique - Parent insensible et épeurant Source de protection = source de peur! Il n’y a pas de diagnostique d’attachement. Il y en a juste 2 : 1. Personne indifférencié ou 2. Évitement
40
Quelles sont les contributions théorique d’Ainsworth et Bowlby
Des différences importantes sont observées entre les enfants sur le plan de la qualité de leurs relations d’attachement. Liées notamment à des variations sur le plan de la sensibilité du parent aux besoins et signaux de l’enfant. Le parent sensible: - Est capable de reconnaitre et détecter les besoins de son enfant. - Y répond dans un délai raisonnable et de façon appropriée. La qualité des relations serait relativement stable* dans le temps.
41
Est-il nécessaire que le parent soit sensible 100 % du temps ?
Non, car on peut pas être l’immédiat. Ça ne rend pas service car dans la vrai vie ce n’est pas le cas. Il faut un équilibre. Ratio problématique quand le parent est pas sensible au moins 50% du temps.
42
Autres facteurs à l’origine des différences individuelles (Sensibilité parentale)
Les caractéristiques de l’enfant - Tempérament, problèmes de santé physique, etc. Les caractéristiques maternelles - Santé mentale, traits de personnalité, etc. Les antécédents relationnels de la mère Les facteurs contextuels - Relation conjugale, fréquentation d’un CPE , stabilité du milieu, réseau social de soutien, etc. (si pas environnement convenable, ça peu être difficile, roulement du personnel et stabilité du personnel) Si temps passé en garderie est trop grand plus que celui de création du lien d’attachement Les facteurs culturels (patron d’attachement varie selon les cultures)
43
Comment est l'attachement à l'adolescence?
Ressemble à la relation expérimentée à la fin de l’enfance. L’adolescent «sécure» recherche l’autonomie, tout en maintenant l’importance accordée à sa relation d’attachement. Différences importantes enfance vs adolescence : - Exploration (ex. prendre le transport en commun seul) - Réciprocité (plus présente qu’à l’enfance, désir d’aider le parent) - Nature (par représentation mental du parent on peut se réconforter) Donc, l’attachement à l’adolescence ne peut être orienté par un besoin vital de protection assuré par la proximité physique du parent
44
Quels sont les styles parentaux?
- Style autocratique (authoritarian ) - Style démocratique (authoritative ) - Style désengagé - Style permissif
45
Les 2 dimensions des styles parentaux
1. Sensibilité - Sensibilité du parent aux besoins de son enfant. - Qualité des liens. 2. Contrôle - Mise sur pied des règles par le parent. - Respect des conventions sociales.
46
Expliquer style autocratique/autoritaire
Combinaison : contrôle actif / faible sensibilité (indifférent ou non chaleureux) N’accepte pas de négociations, rigide. Affirme ses règles et exigences, l’enfant doit s’y conformer sinon c’est la punition.* Aucune ambiguïté. (positif)
47
Style démocratique
Combinaison : contrôle actif / haute sensibilité. Standards élevés pour l’enfant/l’adolescent. (encadre, exigeant comme autoritaire mais fait preuve de beaucoup de chaleur, écoute, discussion et échangé) Flexibilité et soutien émotionnel. Limites claires, échanges verbaux encouragés. Climat familial Positif
48
Style désengagé
Combinaison : faible contrôle / faible sensibilité. « Style négligent ». Parent débordé par ses propres problèmes et enfant/adolescent laissé à lui-même. Enfant doit agir comme un adulte à très bas âge, climat familiale instable, pas de cadre Responsabilisation démesurée exigée de l’enfant/l’adolescent. Contexte flou et instable.
49
Style permissif
Combinaison : faible contrôle / haute sensibilité. « Style indulgent » Non punitif, non exigeant, aucune restriction (autodiscipline). Exploration et expression de soi sont importants. Valorise l’individualité de l’enfant, met l’identité de l’enfant en avant, on veut qu’il se développe sans limites, enfant peut ne pas aller au bout de ses capacités
50
effet de style autocratique
Ne favorise pas la responsabilisation de l'enfant/l'adolescent en ne favorisant que l'obéissance et la conformité. Enfants plus insatisfaits, renfermés et méfiants. Faible estime de soi Moins bonnes compétences sociales Moins bons résultats scolaires Retrait social et/ou comportements agressifs (selon l'enfant Moins d’initiative, moins capable de parler de ses émotions, ne favorise pas sa réflexion
51
Effet style permissif
Compétences sociales et potentiel de l'enfant/l'adolescent non développés. (fonctionne en de ça de leur plein potentiel, pk donner son 100% quand on en a pas besoin) Comportements impulsifs ou immatures, faible autorégulation (comportements agressifs possibles). (dans le cadre on les tolère, si comportements agressif sont permis à la maison risque de le répéter) Réussite éducative moindre (p. ex., manque de persévérance) Assument moins de responsabilités Moins indépendants
52
Effet style désengagé
Responsabilisation démesurée exigée de l'enfant/l'adolescent Patrons d'attachement insécurisants Problèmes de santé et retards de croissance Retards de développement Troubles du comportement Délinquance Toxicomanie
53
Effet style démocratique
Meilleure estime de soi Plus empathiques, altruistes et sensibles QI plus élevé Meilleurs résultats scolaires Moins susceptibles à la délinquance et la criminalité
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Avantage style démocratique
Principaux Avantage : * Équilibre sain entre le contrôle et l'autonomie. * Échanges qui permettent aux enfants/adolescents d'exprimer leur point de vue. * Chaleur et engagement manifestes. * Développement des habiletés d'autocontrôle et acquisition de compétences sociales(capable de mieux se gérer, intériorise le cadre) * Favorable, même si employé par un seul parent. * Offre une indépendance graduelle. * Protège face aux différents stress et à l'influence de pairs déviants. (effet protecteur) * Favorise un fort lien d'attachement. * Atmosphère familiale permettant le développement de l’individualité et l'expression des opinions.
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Est-ce que les parents adopte un style pur
- Dépend des circonstances, des enjeux. - Père et mère adoptent parfois un style différent. (avoir un de style démocratique a effet protecteur) Caractéristiques mêmes des parents et de la relation de couple. Attitudes et croyances des parents sur le développement de l’enfant. (si on ne s’éduque pas, on ne modiifie pas et on y va avec ce que on croit/ce que on a vécu) L’enfant/l’ado influence le style adopté par son parent. (moduler selon l’ado) - Influence bidirectionnelle et non à sens unique. Influence de la génétique comportementale à prendre en compte. Influence de la culture et du statut socioéconomique.
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Expliquer la relation parent-enfant
La relation parent-enfant n’est pas à sens unique: (parent est en position hiérarchique) - Interaction entre le tempérament de l’enfant et le style parental. (difficile d’établir une relation positive selon le tempérament) La présence du parent assure l’encadrement nécessaire au désir d’autonomie croissant de l’enfant. - Pouvoir devient plus égalitaire : le contrôle des comportements passe graduellement des parents à l’enfant. (l’enfant jeune adute aura le contrôle de ses propres action) --> Corégulation Le parent demeure relativement idéalisé par l’enfant
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Corégulation
étape transitionnelle dans le contrôle du cpt de l’enfant durant laquelle les parents le supervisent de façon (au début c’est le parent qui régule ses émotions. Ex. les sorties/couvre-feu) moins intense qu’auparavant, en lui laissant plus de possibilités d’utiliser l’autorégulation.
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Relation parent-adolescent
Présence de désaccords ou conflits mineurs. - Source de stress et NON d’un bris de relation. (il y a des changements et pas automatiquement un 360°, si bris c’est que au départ dans l’enfant, il y avait déjà qqch) Partage de valeurs. - Religion, travail, éducation. Distinction au niveau des goûts personnels. - Vêtements, musique, activités.
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Conflits parent-adolescent
Sources principales de conflits : - Partage des tâches et responsabilités, vêtements, activités, heures de rentrée… Question mineur pour ado mais majeur pour parent; pour ado on tombe dans ce sont mes choix, pour le parent c’est car cela peut avoir des implications (ex. vêtement chez les filles, heure de rentrée) Ado réalise que il peut argumenter Questions mineures pour les adolescents, mais aux enjeux majeurs pour les parents. Pourquoi ça cause conflit ? - Divergence d’opinions : choix personnels (ado) VS conventions sociales et enjeux moraux (parent). - Développement des habiletés cognitives
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Expliquer cycle conflit parent - ado
1. affecte parent plus que l'ado 2. ne sont pas indicateur problème majeur/durable 3. peuvent être liés attentes ado 4. sont liés différence perspectives 5. souvent non résolus 6. synonyme processus de transformation 7. augmente entrée ado Pour le parent : Beaucoup d’inquiétude, parent peur de bris de relation, enfant regarde ado et pense transformation radicale de leur vie, mais ce n’est pas la réalité; conflit non résolu (le parent doit accepter d’avoir un peu de lâcher prise);
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Transformation des relations durant l’adolescence
Baisse de l’asymétrie au profit de la mutualité. (hiérarchie qui se modifie, relation plus partagé, pas d’attente d’obéissance complète) Modèle de violation → réarrangement (violation de la règle, comment le parent y réagit va transformer la relation; bris de règle est attendue sur le plan du développement) Changement de la vision du parent adoptée par l’adolescent → compréhension réciproque. (Je comprends pk il ressent ça, moins dans l’idéalisation du parent)
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Quels sont les Facteurs contextuels liés à la transformation
- L’adolescence et crise de la quarantaine - Santé mentale des parents - Revenus familiaux à la baisse - Importance grandissante des pairs.
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expliquer facteur L’adolescence et crise de la quarantaine
- Inquiétudes parentales. (pertes de capacité physique, bilan de sa vie, confrontation entre la vision parentale et adolescence) - Perception du temps et du futur aux opposés. - Gain VS stabilité quant au statut. - Stress vécu par les parents.
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Expliquer santé mentale des parents des Facteurs contextuels liés à la transformation
- Plus difficile pour celle des parents que celle de l’adolescent. - Niveau faible de satisfaction liée à leur vie personnelle et conjugale.
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quelles sont les tâches développementale de la famille avec un adolescent ?
Tâche que l’on vit en tant que famille 1. Redéfinir la relation et le fonctionnement familial. (échange, attente de redéfinir) 2. Accroître l’autonomie et l’indépendance de l’adolescent (frontières plus perméables; règles plus flexibles). (il faut améliorer l’autonomie et ne pas restreindre, car cette indépendance est importante) 3. Soutenir le processus de différenciation et d’autonomisation de l’adolescent. 4. Renégocier l’autorité et le pouvoir parental. 5. Ajuster les attentes des parents. 6. Partager plus de temps avec le conjoint. (Réalisation que l’enfant n’a plus besoin de nous, le couple se laisse de côté car on a trop investit dans le développement dans l’enfant)
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Quelle est la distinction entre pair, ami et meilleur ami
Pair - Personne qui a un statut similaire : âge, occupation, statut social. Ami - Relation de réciprocité et d’engagement où les personnes se perçoivent comme des égaux. Meilleur ami - Relation d’amitié où le niveau d’intimité est supérieur : partage de confidence, plus grande honnêteté
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Comment évolue l'amitié au fil du temps
Petite enfance : limité par l’environnement - qqn avec qui on joue Enfance : On parle et on partage des secrets; se tienne en petit groupe de 3-5 - qqn avec qui on partage des éléments intime, amitiés plus durables Adolescence : Role de soutient et de support; compréhension de réciprocité et de relation fragile, plus mal quand ça change sur le plan amical - Rôle centrale et complexifications du système social
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Quels sont les éléments de la centralité des amis à l'adolescence
- biologique, - social - cognitif
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Aspect biologique dans la centralisé des amis à l'adolescence
Grands groupes de pairs facilitent l’inclusion des pairs d’autres genres. Créent des occasions (party, activités) pour de premiers contacts romantiques. . (veulent rencontrer les autres, plus d’évènement)
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Aspect social dans la centralisé des amis à l'adolescence
Amis ne sont plus restreints au quartier (École plus grosse, pas juste le quartier, bassin de personne plus vaste) Diminution de la supervision parentale. (Supervision des parents et prof est plus souple, on tisse des liens pour savoir comment me réguler et explorer les nouveaux environnements; compréhension mutuelle présente)
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Aspect cognitif dans la centralisé des amis à l'adolescence
Capacités de réflexion abstraite et métacognitives, prise en compte du point de vue de l’autre ou de se mettre à sa place. (être avec des amis = zone de récompense/plaisir, plus élevé dans l’adolescence) Comparaison sociale. (erikson = commence au primaire; Identité sociale.
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élément important de l'amitié à l'adolescence
Les amis : Une source de soutien affectif pendant une période de transition. (Source de validation et de soutient. Je peux tester comment résoudre mes conflits) Un espace pour expérimenter différentes facettes identitaires. Un milieu où les jeunes deviennent autonomes et indépendants de leurs parents. Un lieu pour expérimenter des relations plus intimes : apprendre à exprimer son point de vue et ses sentiments. Tâche développementale : établir des relations plus matures et intimes avec des amis tout en développant une relation plus indépendante avec les parents (permet de développer des relations sérieuses) Opinion des autres matters car il valide plrs facettes de leur personnalité/identité.
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Élément déterminant une relation d'attachement
1. La recherche de proximité 2. La détresse suivant des séparations inexpliquées 3. Le plaisir ressenti lors des réunions 4. La douleur ressentie suite à la perte 5. Le sentiment de sécurité en présence de l’ami qui tient le rôle de figure d’attachement (présent pour nous peu importe ce que on dit ou autres) 6. La confiance en la disponibilité de cet ami, peu importe le moment et le contexte
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Quels sont les processus d'influence à l'adolescence?
Sélection : Similarité Socialisation: Renforcement positif - Si je donne un commentaire inapproprié = ignore ou le dise - Si juge approprié = il y aura une réponse positive - J’Apprend par la réaction des autres, comment me comporter Pression sociale - Ex. consommation - Avant que le comportement soit émis Imitation
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quel est l'influence des parents et des amis
Les parents vont se sentir en opposition entre eux et la pression des amis. Mais en faite ils cohabitent car zone d’influence ne sont pas les mêmes. Ex. amis = plus contemporain (vêtement, musique), famille = étude, futur, valeur. À adolescence, c’est une continuité de la relation. Si déjà dificile à l’enfance, alors zone d’influence des amis prend plus de place, car pas d’encadrement des parents.
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Qu'est-ce qu'une clique ?
5 à 6 ados Membres nucléaires (membre plus centraux) et membres Périphériques (membre qui ont pas temps d’influence)
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qu'est-ce qu'une bande
Réseau plus grand et plus décousu que la clique. (ex. les sportifs, les gothiques…) Partage une réputation / activités et attitudes similaires. (les personnes s’associent ensemble par intérêts ou comportement similaire) Contexte relationnel moins proche et moins intime. (que une clique)
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Quelle est la préférence des filles pour l'amitié ?
Les filles rapportent plus d’intimité, d’empathie, d’affection, de soutien, d’acceptation et de sécurité que les garçons, mais aussi plus de préoccupations et plus d’attentes (Sur le plan relationnel, plus d’inquiètude, perdre des relations est vécu difficilement chez les filles que les garçons) ) - Préférence pour les relations dyadiques. - Lié à la socialisation reçue. - Les filles ont tendance à co-ruminer. (décortiquer une relation qui a eu lieu. Ex. interaction avec un gars, suranalyser la situation, les sentiments dépressif/anxités sont contagieux même si c’est pas eux qui sont impliqués)
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Quelle est la préférence des garçons pour l'amitié ?
Les garçons se regroupent entre eux : les amis des uns deviennent les amis des autres. - Ont donc plus d’amis, mais relations moins caractérisées par l’intimité et par l’échange d’affection.
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LGBTQ+ et l'amitié ?
Les jeunes LGBTQ+ doivent initier, développer et maintenir leurs relations amicales dans un contexte plus large de marginalisation (stigma, discrimination). Plus difficile de créer des relations vraies. Les amitiés développées avec des personnes cisgenres/hétérosexuelles tant qu’avec des personnes LGBTQ+ sont un grand facteur de résilience. - Soutien et alliés. - Solidarité, mais risque de trauma vicariant. (à force de cotoyer les traumas de l’autres, étant empathique, je peux risquer d’Avoir un trauma en étant exposé au trauma de la même communauté/amis, en plus de mes propres traumas)
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Comment le genre structure les relations?
Les filles ont tendance à intégrer des garçons dans leur réseau plus tôt (en début d’ado) et à un rythme plus accéléré. (souvent binaire) peu intégré des gars plus vieux. Facteur de risque. Expérience de l’adolescence pas le même. Garçon peu mettre pression sur la fille. Primaire : gars vs fille Mixité est souhaitable car vivre en société surtout à adolescence
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Qu'est-ce que le statut sociométrique ?
Nominations d’acceptation « Avec qui aimes-tu le plus jouer?» Nominations de rejet « Avec qui aimes-tu le moins jouer? » Donne 5 catégories : rejetés (impact négatif toute la vit) , populaires, controversés (bcp de nomination et bcp de rejet), négligés (pas de nomination, pire être négligé que rejeté), moyens (pas de distinction, pas de conséquence)
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Qu'est-ce que la popularité perçue ?
Statut extrêmement désirable à l’adolescence : - Prestige et visibilité : admirés, invités à des partys, obtenir gain de cause dans des désaccords, décident des normes de groupe. - Pouvoir d’attirer et d’influencer. (les filles sont plus capables de savoir comment attirer) - Priorisé au-delà des amitiés, des relations amoureuses et de la réussite scolaire. Statut qui peut être risqué : les ados populaires sont plus sujets à se désengager à l’école et à adopter des comportements à risque (délinquance, consommation, sexualité). Exercent leur leadership/influence de façon prosociale et de façon antisociale. Popularité perçu où ceux qui le sont = plus controversé