HPI/ DI Flashcards

(91 cards)

1
Q

Intelligence unique 2 précurseurs

A

Spearman (1904) : Facteur G = facteur général intelligence et réussite , commun à tous. Intelligence est habileté générale impliquant surtout capacité de voir des relations et corrélats (étude factorielle).

Binet (1909) : Intelligence entière. Se manifeste dans processus supérieurs (raisonnement, imagination, etc.). Ensemble de fonctions qui permettent de s’adapter.
- QI = (âge mental/ âge chronologique ) x 100
- Repéré enfant pour classe enricihi.

Test Binet et simon : basé observation enfant (outil dx pour recrutement classe perfectionnement. Création concept âge mental. Intelligence peut être améliorée par édjucation.

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2
Q

Modèle de Cattell

A

INTELLIGENCE FLUIDE
- analogie, abstraction, raisonnement inductif / déductif
- capacité d’adaptation nouveautés
- en grande partie héréditaire mais environnement peut favoriser ou non éclosion potentiel cognitif
- Mise en évidence par tâche peu dépendantes culture/ éducation, mesure POTENTIEL INTELLECTUEL

INTELLIGENCE CRISTALLISÉE (Gc)
- compétences, stratégies, connaissances qui se développement à travers histoire apprentissage de l’individu
- influencée par éducation et culture
- produit de l’aptitude fluide agissant pendant les années de développement sur des groupes de capacités scolaires et culturelles
- mise en évidences par tâches dépendantes culture et éductation, prédisent RÉUSSITE SCOLAIRE

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3
Q

Modèle de Cattel-Horn-Caroll

A
  • hiérarchique, multifactoriel, le plus validé d’un point de vue empirique
  • études factorielles ont mis en évidence facteurs contribuant succès tâches cognitives
  • modèles RÉFÉRENCE pour dév et interprétation tests intelligence actuels, continue d’être mis à jour
  • 3 strates décrivant organisation des capacités : 1. facteurs nombreux assez spécifiques à une tâche ou situation, 2. facteurs + larges communs à un type de tâches (p. ex. mémoire et apprentissage, perception visuelle, auditive, capacité rappel ,rapidité cognitive, VT), 3. facteur intelligence générale (G)
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4
Q

Intelligence selon Weschler

A

Capacité globale d’un individu d’agir avec un but, penser rationnellement et composer façon efficace avec environnement : intelligence fluide.

  • se traduit dans habileté à manipuler abstractions, règles, généralisations et relations logiques au niveau de la sphère verbale comme non verbale
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5
Q

WISC 5

A

Compréhension verbale : similarité et vocab (information, compréhension)
Visuospatial : bloc et casse-tête
Raisonnement fluide : matrice et balance (concepts photos, arithmétique)
MT : empan chiffre et empan image (séquence lettre chiffre)
Vitesse ; symbole et code (annulation)

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6
Q

GAI ? quand utiliser

A

Permet obtenir estimation QI sans influence compétence cognitive = MT et VT

Utiliser quand MT et VT tirent vers le bas (p. ex. tdah)

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7
Q

Vulgariser concept intelligence

A

Intelligence, telle que mesurée par QI : fonctions cognitives nécessaires aux apprentissages et à la compréhension de son environnement. Permet comprendre, réagir, s’adapter à différentes situations en utilisant un raisonnement approprié

Façon générale : habileté à comprendre l’environnement, faire des déductions pour trouver solutions, s’adapter, généraliser / utiliser apprentissages

P. ex. «parents qui dit mes enfants ont jamais utilisés des blocs : dire c’est pas ça qu’on mesure. on mesure le transfert, la façon de s’adapter, généraliser/ utiliser les apprentissages

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8
Q

DÉFINITION

A
  • aptitude mentale très générale (raisonner, planifier, résoudre pb, penser abstraitement, à bien comprendre idées complexes, apprendre rapidement & tirer profit expériences).
  • Pas seulement école, au contraire : habileté étendue et profonde à comprendre environnement, à saisir problème, à donner un sens aux choses ou à imaginer des solutions pratiques.
  • peut être mesurée par tests intelligence (parmi les + précis (fidélité et validité)) de tous les instruments neurpsy. N’ont nullement la prétention de mesurer créativité, caractère, personnalité ou autres différences individuelles importantes.
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9
Q

Tx NDV - pour DI dans DSM5

A

tx NDV = handicaps intellectuels (3 types)

  1. handicap intellectuel - DI, tx du DVMPT intellectuel)
  2. retard global dév
  3. handicap intellectuel - DI, tx dvpmt intellectuel non spécifié.

**au qc on parle de déficience

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10
Q

DI - DSM-5

A

A. Déficits fcts intellectuelles (comme raisonnement, résolution pb, planification, pensée abstrait, jugement, apprentissage scolaire, apprentissage par expérience) confirmé à la fois par évaluations cliniques ET tests intelligence personnalisés et normalisés

B. Déficits du fonctionnement ADAPTATIFS, se traduit par non-respect normes dév et socioculturelles entourant autonomie personnelle et responsabilité sociale. Absence intervention continue, déficits adaptatifs limitent fonctionnement dans au moins un secteurs d’activités vie quotidienne comme communication, participation sociale et autonomie, ainsi que dans de multiples environnements comme maison, école, lieu travail et sphère loisirs.

C. Apparition déficits intellectuels et adaptatifs DURANT PÉRIODE DÉVELOPPEMENTALE

« est un tx pendant période du développement, fait déficits tant intellectuels qu’adaptatifs dans domaines conceptuels, sociaux et pratiques »

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11
Q

CRITÈRE A
DI : pour dx résultats tests intellectuels = ?

A

2 ET ou plus < moyenne de la pop
QI < 70 +/-5 (65-75)

  • importance jugement clinique !!!! (analyser profil, connaitre sous-tests et comment ils peuvent être influencés par autres conditions neurodév (TDAH, dyspraxie)
  • choisir des outils d’évaluation qui prennent en compte : facteurs socioculturels et langue maternelle.
    Analyser profil, bien connaitre sous test, facteurs confondants.
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12
Q

CRITÈRE A
Di QI fonctionnement intellectuel

A

50-55 à 70 (=/-5) : déficit léger
35-40 à 50-55 : déficit modéré
20-25 à 35-40 : déficit sévére
< 20-25 : déficit profond

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13
Q

CRITÈRE B : Déficits fonctionnement adaptatif, éléments clés

A
  • échec dans accession aux normes habituelles du dév socioculturel, permettant AUTONOMIE ET RESPONSABILITÉ SOCIALE. Sans assistance, déficits limitent fonctionnement dans UN OU PLUSIEURS CHAMPS activité vie quotidienne comme communication, participation sociale, indépendance dans des environnements variés tels que MAISON,ÉCOLE, TRAVAIL & COLLECTIVITÉ
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14
Q

B - Déficits du fctmt adaptatif cx concrets

A

Évaluation à partir outils adaptés CULTURE individu et APPROPRIÉS sur plan psychométrique (ABAS-II, Vineland)

  • Au moins UN déficit par rapport à la norme (< 2 ET, incluant erreur type) est observée dans un de domaines CONCEPTUEL, SOCIAL OU PRATIQUE
  • Déficits du fonctionnement adaptatif doivent être DIRECTEMENT LIÉS aux déficits intellectuels (A) = jugement clinique

p. ex. si tx langage, déficit relève langage ou limitation intellectuelle

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15
Q

Évaluation fctmt adaptatif (4 points)

A
  1. refléter performance HABITUELLE et non MAXIMALE
  2. préciser : évaluation de ce que L’individu fait RÉELLEMENT et non CAPACITÉ à le faire. voir TOUT LE COMPORTEMENT pas seulement une partie ou comportement approchant
  3. Évalué par PLUSIEURS PERSONNES : parents (possible biais, mécanismes de défense) et enseignant
    ***Au besoin revenir sur réponses avec parent / enseignant
  4. ABAS-II : le + utilisé (comprend les 3 domaines), mais peu discriminant et pas de scores adaptatif < 50. si déficit modéré, sévère ou profond
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16
Q

3 domaines fctmt adaptatif : 3 domaines

A

I. conceptuel : capacité mentale ou aptitude à résoudre pb abstraits et à utiliser et comprendre des processus symboliques y compris langage (langage, écriture, lecture, math, concepts temps, argent)

II. social : aptitude à comprendre et interagir efficacement avec des objets ou événements sociaux (agir de façon ok en société), être empathique, réfléchi, capable atteindre objectifs personnels (jugement, prise décision, maturité, crédulité, prudence, communication, capacités à établir des relations…

III. Pratique : aptitude à composer avec aspects physiques et mécaniques de la vie, inclut prendre soin de soi sur le plan domestique et socioprofessionnel (soins personnels, santé, sécurité, compétence domestiques, loisirs).

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17
Q

Vrai ou faux. Sévérité DI = sévérité fonctionnement intellectuel.

A

Faux : fonctionnement adaptatif

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18
Q

Vrai ou faux. Majorité des DI sont de niveau léger.

A

Vrai.

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19
Q

Quelles sont les précisions DI associée à ?

A
  • condition médicale
  • condition génétique
  • facteur environnemental (p. ex. faible poids à la naissance)
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20
Q

DI léger VS moyen VS sévère

A

LÉGER
Conceptuel : difficultés lecture, écriture, argent, temps. raisonnement concret. Faibles FE et mémoire.
Social : immaturité sociale ,langage simple. Difficultés à comprendre émotions et règles sociales. influençable (crédule)
Pratique : autonomie de base ok, mais besoin aide pour tâches plus complexes ( argent, repas , transport, enfants.). fonctionne seul, mais pas pour complexe.

MOYEN
Conceptuel : retard marqué lecture, écriture, gestion argent. Niveau scolaire élémentaire, besoins soutient constant. (acquisition lente)
Social : communication limitée, difficulté à créer des amitiés stables. Compréhension sociale faible. jugement limité. langage limité.
Pratique : peut satisfaire besoins personnels avec apprentissage prolongé. Besoin supervision pour emploi horaire, argent, transport. peu apprendre lentement. aide régulière.

GRAVE :
Conceptuel : très faible compréhension des mots, chiffres, temps, argent. Aide à vie entière pour résoudre problèmes. (peu ou pas)
Social : langage très limité, souvent des gestes. Peu de discours élaborés. Relations simples.
Pratique : dépendance importante pour hygiène, repas, sécurité. Aide constante. Comportements inadaptées possibles. assistance constante.

PROFOND :
Conceptuel : compréhension centrée sur objets concrets. Peu ou pas de symbolisation. Déficits sensoriels possibles. (zéro)
Social : communication très limitée, surtout non verbale. Réponses simples, parfois gestuelles, relations très simples.
Pratique : dépendance COMPLÈTE.

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21
Q

DISTINCTION RAPIDE sévérité DI

A

Léger : fonctionne seul au quotidien, mais difficultés avec tout ce qui est abstrait ou complexe.

Moyen : peut faire seul tâches simples après apprentissage long, soutien fréquent nécessaire

Grave : très peu autonomie. dépendance quasi tout. communication très limitée.

Profond : dépendance totale. pas langage ou rudimentaire. réponses uniquement simples ou émotionnelles.

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22
Q

Critère C : Apparition durant DVPMT (4 points)

A
  • apparition déficits durant enfance et ado
  • période dév = période de vie significative du dév de la personne
  • peut varier selon normes sociales et culturelles de la personne
  • question du point de césure peut statuer à quel moment se termine période développementale demeure toutefois entière
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23
Q

Dx RETARD GLOBAL DE DÉVELOPPEMENT

A
  1. réservé aux enfants < 5 ans, quand degré sévérité ne peut être évalué ave certitude dans 1ère enfance
  2. nécessite enfant n’accèdent pas aux stades attendus dév dans plrs domaines fonctionnement intellectuel
  3. AU MOINS 2 DOMAINES (2 ET < moyenne) : motricité globale, fine, cognition, communication, dvpmt personnel et social, activités quotidiennes
  4. nécessité d’une réévaluation ultérieure
  5. RGD : 1-3 % population pédiatrique < 5 ans

RGD : PAS NÉCESSAIREMENT DE CONGITON, P. EX. LANGAGE ET MOTRICITÉ !
PROVISOIRE

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24
Q

Lignes directrices RGD OPQ

A
  1. réévaluer enfant dès que possible obtenir nvelles infos ou recourir test normalisé (départagé DI, TSA, tx langage)
  2. Dx TEMPORAIRE
  3. situation sous-stimulation, dx peut être donné jusqu’à 7 ans
  4. Limitation cognitive PAS nécessaire pour dx
    Outils évaluation : Baylay, WPPSI, ABAS-II Vineland
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24
4 points déficience intellectuelle non spécifiée
- pour > 5 ans, quand éval degré sévérité au moyen des méthodes dispos est rendue difficile voir impossible - altérations sensorielles/ physiques, tx sévères de comportements, tx mentale associé, etc. - catégorie à n'utiliser que dans des circonstances exceptionnelles - requiert une évaluation ultérieure COTE POUR DI MAIS PAS CAPABLE COTER SÉVÉRITÉ PROVISOIRE
25
Cx dx de la DI évolution entre IV et V
passe d'évaluation niveau sévérité avec QI à fonctionnement adaptatif
26
prévalence
- 1 % dans pop générale (3 % avec ancienne définition) - variation prévalence en fonction type évaluation, échantillon et âge - QC 3 % pop (200 000 personnes) - prévalence chez enfants âge préscolaire : 1 % (formes + sévères) - prévalence enfant âge scolaire : 2% - 1,6/1 (H/F), toutes sévérité confondue - dx souvent pédiatrique, mais parfois adultes
27
Quand la DI légère est le plus fréquemment dx ?
début adolescence
28
Étiologie DI (4 points)
- plus elle est sévère, plus on a de chances de trouver étiologie - 50 % DI légères causes inconnue, 30 % pour sévère-profondes - Cause organique : malformations et dommages cérébraux diffuse - étiologie DI : complexe et multifactorielle = peut prendre du temps.
29
Vrai faux : AARM propose classer DI selon les tx dans lesquelles elle peut se manifester (causes prénatales, périnatales, postnatales) et non selon biologique vs psycho-sociale
VRAI
30
Nomme 5 types de causes prénatales DI et 2 exemples par type
1. Trouble chromosomiques : trisomie 21, x fragile, turner, klinefelter, etc. 2. Mutations génétiques : neurofibromatose type 1, m. sturge-weber, dystrophie musculaire, Prader-willi, William, Syngap1, etc. 3. Erreurs innées du métabolisme : phénylcétonurie, syndrome de Lesch-Nyhan; m. Wilson, adrénoleucodystrophie, ETC. 4. Tbles développementaux de la formation du cerveau : spina-bifida, hydro/ microcéphalie, etc. 5. Influences environmmentales : malnutrition intra-utérine, drogues, alcool pdt la grossesse
31
DI - Causes prénatales - facteurs globaux (4) Avant la naissance, pendant la grossesse
1. profils hétérogènes 2. syndromes, mutations rares/ inconnus 3. syndromes : associations de traits physiques et cognitifs => profils typiques - mais variabilité individuelle 5. signes appel : morphologie particulière (écartement des yeux, taille oreilles, taille enfant, forme visage, association de plusieurs tbls neurodév., association de tbls cognitifs, apprentissage ET tbls physiques / sensoriels
32
DI - CAUSES PÉRINATALES (3 points) Autour de la naissance (généralement de la 22e semaine de grossesse à 7 jours après la naissance)
- p. ex. : convulsion, ischémie, hypoxie, anoxie... - trouble intra-utérin : insuffisance placentaire, travail, accouchement anormaux... - trouble néo-natal : convulsions, infection, HIC, TCC
33
DI - CAUSES POST-NATALES
- traumatisme crânien - infection (encéphalite, méningite) - tx démyélinisant - tx dégénératif : syndrome de Rett, leucodystrophie - tx convulsif : spasme infantile, syndrome de Lennox-Gastaut, Rasmussen (épilepsie focale progressive) - tx toxicométabliques - malnutitrion - privation environnementale (carence en soins, associé avec tx attachement)
34
Contexte éval DI ? Triple objectif éval DI
Plusieurs !!! Retard dév, retard scolaire persistant, classement en classe tx de langage, non évolution malgré les interventions, référence en CRDI, accès au service 1. Administratif (services). 2. Éducatif (profil pour optimiser les interventions). 3. Orientation (scolaire et services)
35
5 défis éval DI
1. choix instrument mesure (effet plancher, + testing limites & analyse quali +++) 2. flexibilité et adaptation passations (jeux, pauses, intérêts enfant) - surmonter tx sensoriels, difficulté langage... être créatif !! - utiliser parent pour entrer en contact avec enfant au besoin 3. S'ajuster au niveau enfant (consignes), s'assurer plus régulièrement que l'enfant nous comprend (être dans le CONCRET), prendre le tps 4. se départir de nos stéréotypes : grande variabilité, ne pas sous-estimer enfant ou désinvestir évaluation car QI faible... 5. dx différentiel : tx apprentissage multiples, TSA, tx langage, intelligence limite, retard dév... etc.
36
V ou F. Rythme acquisition varie, mais mêmes stades dév DI que neurotypique ?
vrai.
37
5 caractéristiques dév de l'enfant avec une DI
1. lenteur ou retard du dvpmt intellectuel 2. ralentissement ou arrêt prématuré du dvpmt 3. fctmt intellectuel moins efficient 4. base de connaissance plus pauvre et peu organisée 5. difficultés de transfert et généralisation **élé importants pour psycho-ed au moment du bilan
38
PROFILS COGNITIFS DI variables ? V ou F
vrai, en fonction de l'étiologie
39
PROFIL COGNITIF DI. points communs (qi, langage, attention, mémoire, fct perceptuelles, praxies, visuospatiales et constructives, fe)
QI : plat et harmonieux (mais pas un cx dx). Faire ressortir forces et faiblesses relatives, comparer groupe enfants semblables - fct instrumentales mieux préservées que fct associatives - + de tps pour traiter info et apprendre (répétitions +++) - abstractions et généralisation PROBLÉMATIQUES. difficulté inhiber réponses surapprises LANGAGE : immature, vocab limité. phrases courtes. tbles articulation fréquents ( % élevé de tx sensoriels), retads de dév, lecture / écriture (variable selon sévérité et dx comorbides) ATTENTION : inférieure, si + significativement atteinte : TDA/H MÉMOIRE : - MCT non touchée - MLT inférieure, stratégies faibles, donc impact quand matériel complexe. - Apprentissage par coeur est une force (bons scores, liste de mots, histoires mais verbatim et organisation pauvres). FCTS PERCEPTUELLES, PRAXIES, VISUO-SPATIAL/ CONSTRUCTIF ; fcts perceptuelles forces sauf certains syndromes (X fragile). Immaturité neuro-motrice peut affecter praxies. FCT EXÉCUTIVES faiblesse, avec difficultés dans sphères suivantes - rigidité cognitive - rigidité comportementale - généralisation des apprentissages - stratégies d'apprentissage - point de vue de l'autre - planification / anticipation => apathie dans l'apprentissage ( >< motivation faible)
40
Profil affectif DI (5)
1. faible estime soi, anxiété 2. attachement démesuré, mais souvent superficiel 3. faibles capacités empathie = difficulté relations 4. jugement moral faible (immaturité) : évitement à la punition, recherche récompense immédiate 5. faible auto-régulation comportementale : intolérance aux délais et à la frustration avec réactions comportementales associées
41
Évolution DI
1. Dépend du niveau de sévérité 2. évol influencée par facteurs environnementaux (ex.: interventions) et l'évolution des affections sous-jacentes, si il y en a... 3. Pas de régression au niveau QI, juste écart qui se creuse 4. DI = incapacité affecte fonctionnement, donc si service adéquats et personnalités = amélioration fonctionnement adaptatif !!!!
42
Facteurs faibles évolution DI
double dx avec tx de santé mentale car impact sur le cptmt adaptatif - 30-50 % DI ont une comorbidité avec tble de santé mentale vs 9-18 % pour enfants sans DI
43
Que faire si éval 1 = DI = soutien & amélioration fonctionnement, donc éval 2 = ne rencontre plus le critère B pour DI, mais critère A maintenu ?
mentionner que mesure soutien ont influencé les résultats, et dire qu'à défaut de maintenir ces mesures, il faudrait envisager hypothèse retard mental
44
que faire jusqu'à 5 ans pour dx DI ?
dx retard global dév
45
de quoi peut priver absence dx précoce ?
- certains services - maintenir parents dans déni - parfois DI très marqué et dx sur avant 5 ans - analyse fine du profil est essentielle - étiquette lourde, mais se prononcer = service
46
Qu'est-ce qu'intelligence limite ?
intelligence située entre -1 et -2 ET dans moyenne - représente 12-18 % popo générale - dsm-v : considère comme code 5 aka une autre condition qui peut nécessiter attention clinique (ne donne pas accès à services si non associés autres tx) - avant 1973, considéré comme niveau DI. après augmentation de 40 % des dx tx apprentissages - souvent associé à tx apprentissages ou dx en tant que tx apprentissage
47
Intelligence limite : portrait
- difficultés parcours académique écriture, math, reprises années - parfois dans classes pour DI, mais ne fonctionne pas. à l'adolescence : + grandes comorbidités autres tx psychiatriques, risque suicidaire + élevé, + pb comportement, abus substance fréquent, surreprésenté dans population carcérale, plus rare qu'il y ait recours npsy à âge adulte (faible emploi & estime)
48
DI BILAN (9 points)
1. expliquer en termes de lenteur, difficultés généralisation, prendre exemples concrets et vocab simple 2. enfant va évoluer et le soutien adapté est nécessaire pour aider. mettre emphase sur accès au service 3. présenter forces, portrait nuancé. 4. s'assurer que parent a compris limites enfant, mais respecter rythme. 5. être sensible aux capacités et limites de chacun à faire face à la réalité. éviter affrontement. 6. ne pas pré-supposer de l'accueil du dx 7. défi du parent qui peut lui aussi avoir limitations intellectuelles. S'ajuster mais pas infantiliser. 8.question étiologie se pose souvent. s'y préparer (hypothèse génétique) 9. si profil limite, prévenir de à quoi on peut s'Attendre si rééval + tard dans dév.
49
vrai ou faux HPI = DX
faux. pas un dx ni un tx. mais pas de consensus sur une seule appellation et définition
50
HPI déf
potentiel + élevé que la norme, mais qui ne se manifeste pas nécessairement par un talent (notion de potentiel non actualisé)
51
Douance déf
possession et utilisation d'habiletés naturelles remarquables appelés aptitudes dans au moins un domaine d'habileté (intellectuel, créatif, social, perceptuel, moteur) à un degré tel qu'elles se situent l'individu au moins parmi les 10 % supérieurs de ses pairs en âge
52
Modèle des trois anneaux de douance de Renzulli
Intelligence composite, avec une relative indépendance entre formes multiples - intelligence triarchique de sternberg (non scientifiquement validés) - intelligences multiples de gardner (non scientifiquement validés) - modèle de gagné
53
Explication modèle renzulli
- douance nait interaction entre 3 composantes / aptitudes , dans certaines circonstances, dans certains domaines - possèdes ou sont capables de dév cet ensemble composite de traits et appliquer à tout domaine de la performance humaine - modèle à origine des programmes éducatifs, notamment pour HPI, pour diminuer nb enfant qui fonctionnent en-dessous de leur potentiel *** ces enfants là auraient besoin d'une grande variété d'opportunités et de services éducatifs supplémentaires
54
Renzulli, explique les caractéristiques qui sont dans les 3 sphères
INTELLIGENCE >> MOYENNE 1. niveau élevé pensée abstraite 2. adaptation à situations nouvelles 3. recherche rapide et précises d'info IMPLICATION >> 1. Capacité à faire preuve niveau élevé intérêt et enthousiasme 2. capacité à travailler dur et faire preuve de détermination dans domaine particulier 3. confiance en soi et volonté de réussir 4. capacité à identifier des pb importants dans domaine étude 5. fixation normes élevées pour son travail CRÉATIVITÉ >> 1. fluidité, flexibilité et originalité de la pensée 2. ouverture à de nouvelles expériences et idées 3. curiosité 4. volonté de prendre des risques 5. sensibilité aux caractéristiques esthétiques
55
combien de types de douance selon renzulli ?
2. QI = une seule partie du concept douance. douance = pas intelligence. Douance académique (intelligence) Douance créative-productive (nouveauté, innovation, pertinence)
56
Modèle triarchique de Sternberg. Définition intelligence et composition modèle
Intelligence : processus cognitif dans contexte adaptation à environnement et notion interaction avec facteurs qui modulent son expression relation dynamique entre 3 compétences ANALYTIQUE (intelligence conventionnelle/ cognitive) PRATIQUE (intelligence contextuelle. capacités adaptation à/ de environnement) CRÉATIVE (intelligence expérientielle, capacité à utiliser ses connaissances / expériences pour comprendre / formuler des hypothèses)
57
selon sternberg,gens sont intelligents dans la mesure où (4 points) ?
1. formulent/ atteignent objectifs qui aident à obtenir ce qu'ils recherchent dans vie, selon contexte culturel 2. capitalisent forces et compensent faiblesses 3. afin de s'adapter à des environnements, les façonner et les sélectionner 4. grâce à combinaison de compétences essentielles, créatives, analytiques, pratiques, des compétences fondées sur la sagesse pour s'assurer que les idées contribuent à la réalisation d'un bien commun à long terme ainsi qu'à court terme (valeurs éthiques positives)
58
idéal selon sternberg
- fournir variété expériences nouvelles et stimulantes - intégrer divers aspects intelligence pour augmenter performances académiques par rapport à l'enseignement conventionnel
59
5 critères douances sternberg
1. exceller dans un domaine 2. niveau excellence rare 3. excellence observée et mesurée par évaluation valide et standardisée 4. potentiel supérieur qui permet de produire qqchose 5. production a une valeur pour la société QI ne constitue qu'une partie du concept de douance - pas nécessaire d'exceller dans 3 formes intelligence/ compétences pour être doué dans un domaine
60
Problématique modèle
- indépendance des 3 intelligences non démontrée - corrélations habiletés créatrices et pratiques avec tests classiques saturés en facteur G (mesurant intelligence analytique/ logico-mathématique)
61
Modèle de Gagné
Habiletés naturelles + catalyseurs (environnementaux & intrapersonnels) + processus développemental = COMPÉTENCES habiletés naturelles qui s'actualisent ou non par biais catalyseurs environnementaux ou intrapersonnels. résultat actualisation = talent
62
CARACTÉRISTIQUES ENFANT DOUÉ
- pensée rapide et arborescente - créativité et imagination - énergie mentale et physique - curiosité et abstraction - rêverie et inattention - attention sélective - dyssynchronie - hypersensibilités - apprentissage autonome - surinvestissement de la sphère intellectuelle - insoumission ou adhérence rigide
63
pertinence hpi
- Dx ddl : TDA/H, TOP, TOC, dépression, bipolarité, tsa asperger - tx adaptation, difficultés scolaires, de cprtmt comorbides (dans/1 des cas : qualité de vie < - approche intégrative du neuropsy importante pour bien comprendre fonctionnement enfants avec haut fonctionnement au niveau intellectuel/ cognitif et socioaffectif - nécessité bien orienter enfant: dérogation, PII, accélération - écart aussi grand à la moyenne que la DI !!!!
64
prévalence hpi
difficile à établir = dépend définition et cx utilisés
65
Motif consultation
- difficultés adaptation - éléments anxieux persistants - difficultés socialisation ou autorégulation émotionnelle ou comportementale - mandat : évaluer et mieux comprendre source difficultés, plan intervention MAIS le + souvent douance = facteur de protection lié à une bonne évolution du développement
66
Dév enfant HPI
- Cerveau +efficace - dév précoce et atypique - émergence de particularités en fonction contexte /environnement = neuro-dév - nécessité de questionner parents précisément sur le dév - certains enfants HPI plus à risque développé difficultés associées
67
cut off qi ?
pas de consensus, 130 ou 120... généralisation résultats comprise AQNP 120-129= supérieur. 130 = très supérieur OPQ : 130 (avec marge erreur). - exercer jugement clinique. douance est un continuum, et non dichotomique. pas de profil spécifique qui distingue personnes douées et pas douées.
68
Différence HPI et très HPI
HPI facteur de protection (120-144) très hpi : difficultés à se faire des amis en classe régulière et rester motivé, plus de pb externalisés que les HPI et + de pbl cprtmts type TDAH (surtout les garçons). grande intensité. facteur de risque de difficultés sociales, académiques, professionnelles, psy.
69
Question seuil, tests (effet plafond)
- se questionner sur si systèmes de cotation adaptés - ne pas baser dx sur un seul test - s'adapter niveau client. testing limites, analyse contenu réponses. choisir tests challengeant. se questionner sur normes. MAIS TOUJOURS ADMINISTRÉS ET COTÉS SELON PROCÉDURE STANDARDISÉ - attention effet plafond THPI -
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hétérogénéité du QI fréquente
ICV et IRF >> IVS > IMT > IVT
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différents profils de douance (3)
HOMOGÈNE (laminaire) : dév harmonieux au niveau cognitif. Bonne adaptation. Ennui, anxiété. Difficultés sociales possibles mais fonctionnent bien. HÉTÉROGÈNE (complexe) : gros écarts dans les capacités cognitives. Douance risque d'être non visible. cerveau qui pense ++, grande créativité intuitive et résultats scolaires très variables. DYSSYNCHRONIE DU PROFIL (ICV > IRF/ IVS), enfant + à risques de difficultés (adaptation, psycho, apprentissages)
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2 types de profil HPI plus à risque de développer des difficultés
hétérogène et dyssynchronie du profil
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vrai ou faux : filles consulteraient plus tardivement, auraient tendance à plus masquer souffrance par de meilleures capacités d'adaptation
vrai
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TWICE déf
co existence HPI et trouble NDV, voir tx comportement ou santé mentale - sujet à débats - ddx dl complexes. - démarche dx : ÉVALUER COMMENT HPI PEUT MODÉRER EXPRESSION FORCES/ FAIBLESSES ET DONNER LIEU PROFIL UNIQUE
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% HPI avec TDA/H
5 %
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hpi ou asperger ? indice clé ?
cognition sociale
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2 hypothèses hpi et tdah de Rommelshe et conclusions (3)
1. intelligence élevée imite sx tdah mais pas atteinte neuro ? (profil typique tdah qui vient avec hpi ?) 2. dx tdah omis car stratégies compensatoires hpi (niveaux sx tdah inhabituels dans hpi) conclusion : 1. niveaux élevés sx tdah inhabituels dans hpi 2. QI négativement négativement corrélé construits phénotypiques et cognitifs étudiés (du tdah) DONC 3. tdah dans hpi : pareil = mêmes déficiences, corrélats cognitifs, évol sx, taux récurrence familiale et réponse au traitement. pas tant que ça de modulation du tdah par hpi (même expression)
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vrai ou faux ? tdah existe dans hpi
oui. construit valide. peut coexister. pas vrai que hpi imite tdah.
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+ QI est élevé + nb sx types tdah diminuent donc ? sx qui est moins distinctif pour tdah dans hpi ?
niveau élevé attention impulsivité = signe distinctif présence tdah dans hpi. = si quelqu'un qi élevé a inattention, impulsivité internalisé/ externalisé = TDAH Hyperactivité ! moins clair, peut augmenter avec QI, voir rester stable (malgré absence tdah).
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vrai ou faux. QI qui augmente est associée avec augmentation risque tdah
FAUX. QI élevé n'est pas associé au risque tdah, au contraire, problèmes attentionnels chez enfants très intelligents sont exceptionnels.
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rommelse et al. 2017 Où sont remarqué les difficultés apparentes au tdah chez enfant hpi et pourquoi ?
À LA MAISON + de pb d'attention signalé par parents (inverse pour enfants avec QI faible) - école = stimulant + que maison - hyperactivité tjrs signalé + par parents que enseignant, peu importe QI - inattention rapportée par enseignants = même conséquences fonctionnelles peu importe QI (et autant)
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HPI vs TSA
1. un pic dans sous-échelle = pas TSA 2. évaluer qualitativement les réponses fournies 3. questionner ensemble du tableau développemental et cognitif 4. HPI = fonctionnement exécutif supérieur 5. intérêts variés ou spécifiques ? HPI = curiosité intellectuelle 6. particularités sociales en contexte d'évaluation ? Dysynchronie vs tb 7. pensée flexible hpi, rigidité tsa
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pourquoi enfant HPI est en opposition
- possède mots et logique pour argumenter. besoin comprendre pourquoi - malaise psychoaffectif et impression injustice, sentiment être différent, rejet par pairs parfois enseignant = colère et frustrations accumulées (ex. solution à pb rejetée par enseignant car pas enseigné de cette façon)
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pistes réaction oppositions HPI
nourrir curiosité, argumenter de temps en temps, reconnaitre forces jeune en classe et y répondre (projet alternatif autorisé), suivi psy pour augmenter contrôle émotionnel
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HPI ET ÉCOLE. comment est la réussite ?
variable. dépend INTÉRÊT. - pédagogie classique répond mal aux besoins enfants HPI - difficultés scolaires car 1. apprentissage intuitif >< système éval 2. absence méthode de travail nuisible aux apprentissages plus complexes 3. ennui 4. refus tâches répétitives (par coeur) échecs scolaires = sous exploitation du potentiel. on s'Attend globalement à des bonnes notes
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éval neuropsy, quoi cibler en éval?
anamnèse - dév : précocité ? - cerner domaine habiletés ? - documenter catalyseurs (ex. environmment) Éval - QI (s'assurer évaluation STANDARDISÉE (comme DI) - mesure créativité peut ê intéressante :outils spécifiques, fluences verbales et graphiques - mode de pensée : intuitif et analogique VS feu artifice - détailler profil au max et rester objectif - connaitre finement tx NDV + santé mentale pour dx ddl
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Définitions créativité et sous composantes : pensée divergente exploratoire, pensée convergente-intégrative 2 ex de test pour mesure créativité
Créativité : Habileté à produire travail original qui convient et répond contraintes tâches. Générer de nvlles idées et cprtmts dans situations originales ou traiter situations familières de nvelles façons. - Pensée divergente exploratoire : proposer nombreuse solutions à partir un seul stimulus - Pensée convergente-intégrative : fournir une seule proposition, la plus originale ***Verbal et graphique EPOC : outil pour mesurer capacité créatives enfants dans domaine graphique et verbale HIPIC : évalue traits personnalité enfant scolaire, inclut imagination
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étude de cas. 8 ans QI 135. profil hétérogène. gai extrêmement élevé. SGT connu et TDAH. pas bcp intérêt pour aller avec les autres.
- GAI extrêmement élevé (profil typique tdah = MT tend à abaisser certains performances) - aussi SGT (SGT +tdah = impulsivité, fluctuations attentionnelles, fatigue cognitive, BESOIN STIMULATION sinon augmente diff comportementale) - qualitativement : abstraction, grande créativité dans réponse (analyse qualitative permet d'apprécier ça) - raisonnement moral : niveau raisonnement socio moral très élevé pour son âge. ** de façon générale : profil homogène rare
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Bilan orientation HPI
- pédagogie différente ? - aménagements à école, plan intervention (attention impact étiquette doué) - loisirs adaptés - comprendre et accepter douance - maintenir haut niveau engagement dans structure familiale - valider émotions - favoriser dév caractéristiques individuelles de l'enfant doué qui soutiennent dévloppement du talent
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conclusions générales (HPI) (8 points)
1. nuances entre potentiel, doué, talent : attention terminologie 2. expressions des traits dépend ++ facteurs (environnement, teméprament) 3. dans quel(s) domaine(s) s'exprime(nt) la douance ? 4. prudent & être conservateur (AUTANT DE NUANCE ET JUGEMENT CLINIQUE) autant que pour DI (pas juste un QI) 5. porter attention effets masquage HPI par tx associé et inversément 6. être minutieux dans description profil, dx ddl rigoureux 7. rester critique et prudent, se renseigner et se former 8. RARE (attention sous et sur dx)