TSA Flashcards

(55 cards)

1
Q

premières descriptions de l’autisme ?

A

Environ 1943-44.
Kanner & Asperger

Emphase sur aspects sociaux. pendant ++ aspect social a pris bcp de places.

Autistic excellent memory and precise recollection of complexe patterns and sequences, bespeak good intelligence

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2
Q

classification : qu’est-ce que la recherche a permis de faire ?

A

soulever idée du SPECTRE. (mais spectre grand… ++ hétérogénéité. difficile comprendre sous groupe)
enlever sous catégorie (asperger p. ex.)

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3
Q

Cx dx TSA DSM-5

A

A. Déficits persistantes de communication sociale ou interactions sociales dans des contextes multiples, actuellement ou dans histoire de développement.
- déficit marqué comm non verbale ou verbale utilisée dans interactions sociales (second degré, sarcasme)
- déficit de réciprocité sociale et émotionnelle
- incapacité à développer et maintenir relations appropriées avec autrui par rapport au niveau de développement
*pas cx délai acquisition langage

B. caractère restreint et répétitif des comportements, intérêts et activités (au moins 2 éléments)
- stéréotypies motrices ou verbales, ou comportements sensoriels inhabituels
- insistance sur similitude- attachement excessif aux routines et patrons ritualisés des comportements
- intérêts restreints et limités, atypiques dans leur intensité ou leur objet (p. ex. phénomène espace ou intérêt normal mais VRAIMENT INTENSE)
- hyper ou hypoactivité aux informations sensorielles ou particularités sensorielles dans les aspects sensoriels environnement

C. Apparition sx petite enfance, mais sx peuvent devenir manifestes plus tard

D. sx causent altérations cliniquement significatives domaines social, occupationnel ou autres aires importantes du fonctionnement

E. Difficultés pas mieux expliquées par DI ou retard global développement.

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4
Q

puisque DI et TSA souvent ensemble, comment faire dx ddl ?

A

communication sociale doit être inférieure à ce qui est attendu dans niveau développement général

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5
Q

Spécificateurs et importance

A
  • accompagné ou non DI
  • accompagné ou non déficit langage
  • associé à d’autres conditions médicales ou génétiques ou facteurs environnementaux
  • associé à d’autres tx NVP
  • niveau sévérité

important: description cx dx = peu mention particularités cognition autisme donc AJOUTER ++

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6
Q

3 niveaux sévérité et en fonction de quoi ?

A

1 = nécessite un soutien
(déficits visibles sans support. difficulté à initier conversations, intérêts restreints, échecs sociaux fréquents, pb organisation et flexibilité, difficultés à passer d’une activité à l’autre, impact fonctionnel mais moins massif)
DONC fonctionne mais interactions atypiques, difficulté organisation visible

2 = nécessite un soutien substantiel
(déficits marqués même avec support, initiation limitée, réponses sociales atypiques ou réduite, difficulté importante face aux changements, comportements répétitifs visibles pour les autres
DONC interaction et flexibilité plus limitées même avec support, difficultés évidentes pour observateurs

3 = nécessite un soutien très substantiel
(déficits sévères verbaux/ non verbaux, peu initiative sociale, répond peu ouvertures des autres, comportements rigides extrêmes, grande difficulté avec changements. interfère dans toutes les sphères. )
DONC communication minimale, comportements rigides extrêmes, détresse majeure en contexte de changement

en fonction 2 domaines liés à autisme

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7
Q

processus clinique

A
  1. dx médecin ou psy
  2. recommandation équipe multi : psy, ortho, psychoed, ts
  3. utilisation outils standardisés : ADI (Histoire dév), ADOS-2 ; évaluation avec personne autiste
  4. Considération
    - évaluer les tx associés
    - déterminer meilleures interventions
    - jugement clinique : formation continue et expérience
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8
Q

rôle neuropsy dans processus clinique

A
  1. établir rendement intellectuel et profil cognitif
  2. contribuer dx ddl avec d’autres conditions NDV ou santé mentale
  3. évaluer conditions associés (TDAH, tx apprentissage ?)
  4. déterminer meilleure interventions en fonction profil cognitif et comportemetnal
  5. formuler recommandations
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9
Q

prévalence autisme

A

1/66 au CA.
Courbe exponentielle depuis DSM4
- 1 des dx avec la plus forte augmentation¸
- 1/3 des élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage au QC

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10
Q

Ratio H/F

A
  • ratio 4H: 1F (remis en question)
  • sous dx F
  • 3H : 1F dans méta-analyse Loomes et al. 2017
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11
Q

Enjeux DX chez filles

A
  • cx et description TSA basée sur H
  • filles, besoin + sx pour dx
  • intérêts restreints parfois plus typiques chez F (p. ex. chevaux)
    • de camouflage social
  • dx difficile âge adulte (vs TPL)
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12
Q

Vrai ou faux. L’augmentation de la prévalence résulte de l’environnement uniquement.

A

Faux.
- meilleure compréhension dx par professionnels (mise en place programme comme Agir tôt)
- Dx précoce s’appuie sur outils standardisés
- augmentation + marquée TSA sans DI (avec di = plus tabl dans tps)
- changements concept dx et critères (social + vaste et large…)
- différents méthodologies recherche utilisées

MAIS

pb surdx ?

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13
Q

Quand on compare TSA et pas TSA dans le temps …

A

groupes de moins en moins différents avec les années, taille effet + en + petites

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14
Q

Changements de pratiques diagnostiques

A
  • Diminution de 50 % du score de sx chez enfants 7-12 ans recevant dx TSA de 2004-2014 (éval auprès des parents indépendante de éval dx)
  • pas de différence chez ceux dx entre 0-6 ams
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15
Q

Évol CONCEPTION autisme au fil du temps

A
  • Augmentation prévalence.
  • Évol facteurs explicatifs (parents toxiques à génétique/ héréditaire — interaction gènes- environnement)
  • Évol modes de soutien : institutiont, tentatives de guérir par thérapies psychodynamiques — thérapies comportementales — adaptation environnement et méthodes pédagogiques — design universel
  • neuro diversité et communauté autistique
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16
Q

Facteurs étiologiques

A

FACTEURS GÉNÉTIQUE : (gènes affectent formation synapses et la plasticité cérébrale)

FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX : facteurs périnataux, néonataux et postnataux (ex: âge maternel et paternel, prématurité, etc.)

Un même cause peut donner lieu à des profils différents; un même comportement peut avoir des causes différentes (interaction génétique et phénotype)

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17
Q

Facteurs génétique et prob avoir dx quand dx présent dans famille

A

héritabilité : 64-91 %
étude longitudinale sur un million frère et soeur et jumeux :
facteurs hériditaire = 83 %, environnement = 17 % (prédisposition ++,mais pas dx comme tel)

Concordant MZ : 70-90 %
Concordance DZ : 20 %
Fratrie : 13-18 %
Demi-fratrie : 6 %
Population générale : 1,5 %

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18
Q

Bénéfice spécificités cognition en autisme

A

Pertinence pour éval npsy !
- intérêts particuliers révélateurs d’un phénotype cognitif

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19
Q

Force cognitive en autisme

A

FORCES PERCEPTIVES (s’appuie aire perceptive, soit occipitales et postérieures, pour résoudre des tâches)
- très jeune chez enfant, tôt dans dév (intérêt pour patterns visuels > que stimuli sociaux)

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20
Q
  • Discrimination et recherche visuelle
  • construction visuo-spatiale
  • figures enchevêtrées
  • rotation mentale
  • illusions visuelles
    = caractéristiques communes de ces tâches ?
A
  1. toute info est présente
  2. se détacher du sens globale pour aller au local
  3. traiter facilement info au niveau local
  4. aisance pour dégager patterns et régularités (vite voir ce qui sort du lot)
  5. sensibilité à la constance et cohérence info
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21
Q

profil cognitif wisc-iv autistes ?

A

écart ressort pour IRP (raisonnement basé sur matériel visuel)

  • présent malgré ou sans retard langage !!
  • souvent par rapport à VCI mais ne pas tomber dans un piège (p. ex. asperger !)
  • profil le + commun : forces domaines visuo-spatiale et raisonnement fluide au profit du verbal
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22
Q

Profil cognitif. Différence intra TSA (autiste vs asperger)

A
  • autiste : grande plainte au niveau compréhension verbale (ÉCART avec raisonnement perceptuel)
  • Asperger : présentait des forces verbale ++ !!(significative par rapport à raisonnement, un peu profil inverse) tâche vocab et connaissance peut être très forte. non verbal pas déficitaire
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23
Q

SDNV vs asperger ?

A

parfois overlap. mais SDNV = atteinte fonctions visuospatiales +++
non verbal pas déficitaire chez autiste.

  • Regarde l’intensité des intérêts restreints,
  • La flexibilité (SDNV est maladroit, Asperger est rigide dans ses routines),
  • Et surtout les fonctions visuo-spatiales et motrices, bien plus touchées dans le SDNV.
24
Q

à quoi faire attention dans éval neuropsy en autisme ?

A

outils de mesure.

  • écart p. ex. entre raisonnement visuel et verbal
  • personne autiste + sensible à comment est fait outil
25
exemple concret d'un outil qui démontre importance outil mesure
Matrices progressives de Raven - permet évaluer capacité à inférer règles (raisonnement hypotético-déductif) et former des abstractions - considéré plus indépendant de la culture - test le + corrélé avec tous les tests intelligence (pour normaux. ATTENTION AUTISTE = performance pauvre au WISC 4, mais performe super bien matrice. - réponde plus RAPIDEMENT (Vitesse traitement) - utilisent davantage occipital que préfrontal
26
Il y a 10 ans, DI associé TSA était estimée à 75 %, aujourd'hui autour de 25-30 % avec plus grande hétérogénéité intra-individuelle POURQUOI
- outils moins adaptés avant pour aller chercher intelligence TSA (p. ex. pas capable faire wisc 4 = DI avant). SI tout est bas... voir matrice raven !! - spectre va chercher davantage TSA sans DI
27
À quoi ressemble coure normale QI autisme ?
+ plate, prévalence QI la + élevée = 110. + de gens dans les extrêmes.
28
Qu'en est-il chez les plus jeunes et les enfants minimalement verbaux ?
Fonction perceptive encore ++ - perception +++ liée à cognition, rassurer. p. ex. 65 % enfant minimalement verbaux résultat au RPM supérieur à 5 RC (parfois bas, mais parfois très haut aussi) p. ex. perception comparable à enfant neurotypique même si faiblesse autres mesures
29
Enjeux avec outils de mesure
- permettent pas toujours mettre en valeur capacités enfant - trajectoire dév différentes en autisme (critère arrêt pas tjrs cohérent avec profil dév) - peu opportunités pour pratiquer premiers items certains sous-tests (alors que pourrait réussir ++ difficile) - matériel et consignes changeantes
30
Un écart existe entre capacité mesurée tests intelligente et ce qui est rapporté au quotidien (soit comportements adaptatifs), dans quel sens va-t-il ?
Rendement intellectuel > comportements adaptatifs chez les enfants autistes sans déficience intellectuelle - écart entre QI et comportements adaptatifs PERSISTENT âge adulte MAIS rendement intellectuel + comparable niveau adaptatif quand QI déficitaire - écart encore présent à âge adulte
31
POINTS CLÉS RÉSUMÉ
1. profil souvent hétérogène TSA, mais pas tjrs - écarts signicatifs entre sous-tests d'un même test intelligence - certaines forces & faiblesses caractéristiques présentent verbaux ou non, adultes ou enfants - profil se met en place TÔT dans dév 2. Peut avoir différents profil selon phénotype - profil distincts enfants asperger (manipulation info verbale ++) et autistes (force visuospatiales ++) 3. habiletés raisonnement peuvent être intactes même chez minimalement verbaux (bonnes capacité perception visuelle et peuvent corrélé avec capacités raisonnement) 4. rôle particulier perception est retrouvée sur ensemble du spectre (aussi retrouvé chez enfants minimalement verbaux) 5. + grande variabilité rendement intellectuel au fil du temps 6. vigilance utilisation GIQ et GAI quand écart 7. ajouter autres sous-tests ou tests complémetnaires
32
Dév langage, points centraux
1. majorité = retard dév langage - 3 ans = 50-60 % minimalement verbaux - 20 % = avance dans première étape (premiers mots/ phrases) 2. plusieurs rattrapent ensuite - 6-7 ans, 60-80 % développent langage réceptif et expressif - 30 % de ceux qui ne parlaient pas à 4 ans demeurent à 8 ans - environ 10 % après 8 ans non verbal - 20 % = atteintes phonologiques 3. Trajectoires (plus qu'une !) de développement du langage; différentes des enfants non-autistes - souvent plateau. peut débloquer 4-5 ans (ou même 15 ans !)
33
différence langage tsa vs retard langage
retard langage = écart se maintien (stable) tsa = plateau, boom langage
34
variabilité trajectoire langage survient quand pour tsa ?
avant 7 ans.
35
trois marqueurs pour documenter profil cognitif (langage
1. Langage réceptif < Langage expressif - fait des phrases complexes mais comprend pas (ne pas se fier à ce qu'il dit) 2. écart entre dév vocab et habiletés morphosyntaxes et discursives - phrases très bien construites avec excellent vocab 3. faiblesses pour pragmatique langage (même avec temps qui passe) (pragmatique = capacité utiliser/ adapter langage pour communiquer en fonction de nos buts, des personnes, du contexte et respect des conventions)
36
Attention TSA
Sélective : ok, parfois supérieure neurotypique Soutenue : d'hab ok. Défi : distinguer capacités attentionnelles vs intérêt/ pertinence tâche (plus fragilisé :changer centre / focus attention = moins de flexibilité attentionnelle) Divisée/partagée : fragile (considérer 2 sources, vont parfois mettre aspect auditif de côté p. ex.)
37
que vont regarder tsa dans recherche visuelle ?
- objets non sociaux - tps attention variable (+ long sur objets intérêts)
38
FE et TSA (3 points)
1. déficits variables selon études (toujours variables) 2. mais 2 fonctions fragilisées qui reviennent souvent - planification - flexibilité (aspect routinier) 3. écart entre mesures objectives (supérieures) et subjectives (plus faibles). - meilleure dans tâche que dans quotidien (comme pour QI) - si on prend toutes les personnes autistes vs pas autistes = rendement plus bas. mais ne reflète pas TOUS les individus
39
Pourquoi le modèle cognitif de l'autisme de dysfonctionnement exécutif ne fonctionne pas ? (mais inclut mtn dans modèles plus globaux)
- ne permet pas d'expliquer tous les sx - variabilité intra et interindividuelle ++ - variabilité selon instruments de mesure - moins de spécificité du profil des FE chez jeunes enfants autistes et chez adulte - rôle langage dans performance aux tâches ? - profils FE différents (parfois pas de déficit, parfois certaines tâches, d'Autres fois juste tâche flexibilité interne p. ex. et planification)
40
différence trajectoire développementale profil cognitif avec pop normal
QI moins stable dans le temps (pop normale = vrmt stable) - dév langage et communication surtout. non verbal meilleur que le verbal, mais moins marqué âge adulte, écart s'Affaire tranquillement.
41
trajectoire développementale : communication
- + stable après 15 ans - avant 15 ans ++ variabilité - qualité interaction s'améliore, plusieurs vont rattrapé en partie un retard (écart s'affaise) *** un peu similaire pour interaction sociale. mais plus de stabilité (sous groupe de courbe qui reste plate score sociaux dans le temps)... ***un sous-groupe TSA inconnu s'améliore et décline ensuite quant à interactions sociales (adolescent decline), mais on sait pas trop...
42
Particularités traitement info sociale
-HÉTÉROGÈNE Motivation sociale : diminution motivation entrer en interaction avec les autres Anxiété sociale : ressenti d'une anxiété sociale ou tendance à évitement social Cognition sociale (ex. compréhension des indices sociaux non verbaux : expressions faciales, langage corpore et ton de voix, capacité à reconnaitre et à prendre en compte le point de vue des autres, etc.) - fragilité possible... Compétence sociale : capacité à entamer, s'engager et poursuivre une conversation ; utiliser la communication sociale non verbale, etc. **observer dans les rencontres.
43
Considération stimuli sociaux et non-sociaux Que faut-il considérer ?
Complexité de l'information. p. ex. information dynamique = ressort davantage (p. ex. vidéo)
44
Double-empathie
- Personnes non-autistes ont plus de mal à identifier les états internes et les émotions des personnes autistes - Personnes autistes plus confortables en interaction avec une autre personne autiste - Premières impressions plus négatives envers les personnes autistes ***TSA : lecture différentes situations. langage se développe, interaction se développe, cognition sociale se développe = EXPOSITION !. tout s'imbrique.
45
Attention caractère social
- plrs tsa souffrent solitude, souhaitent + de relation et décrivent importance relations pour bien-être
46
Substrat cérébraux
1. Croissance cérébrale différente - accélérée (matière blanche & grise) entre 2-4 ans - vol total se normalise à âge adulte, mais certaines aires ont + volume, + grande épaisseur corticale 2. Rôle + grand perception dans cognition (détecter, identifier et manipuler info visuelle) - ++ implication régions perceptives pour DIVERSES tâches cognitives (peu importe la tâche utilisent + zones postérieures) - vont aller plus rapidement vers région antérieure - ex raven : non tsa = + gyrus frontal moyen et cortex pariétal postérieur médian. tsa = + aires visuelles extrastriées 3. Sous-connectivité fonctionnelle - diminution fonctionnement des circuits intégratif (communication ENTRE régions cérébrales) - diminution connectivité fronto-pariétale - + de neurones, minicolonnes + nombreuses et + petites, neurones + petits - IRMf repos : + grande augmentation connectivité chez neurotypiques que TSA p. ex. connectivité frontopariétale : si zone postérieure peut faire travail seul, c'est cela qui va être favorisé !
47
conditions associées tsa
- 70-80 % : au moins une condition associée (très commun. dans éval autisme ET autre chose pas OU). - 40 % 2 conditions associées et plus - nb conditions associées positivement associé avec âge dx
48
principales conditions associées tsa
- tdah (29 %) - tdc - troubles anxieux (29-84 %) - tx humeur dépression - tx sommeil (40-80 %) : délai endormissement, éveils nocturnes, temps sommeil plus court - retard global dév et DI (25-35 %) tx langage (40 %) varie selon études. tdah et anxiété revient ++
49
Dx ddl tdah vs tsa
TSA : 1. difficulté à désengager attention 2. difficulté à filtrer info non nécessaire 3. difficulté compréhension normes sociales 4. hyperactivité/ agitation (vaariable - plus marqué dans certains contextes) 5. FE marquées par difficultés plus grandes au plan planification et flexibilité 6. peut se montrer particulièrement attentif à certains sujets ou domaines intérêts 7. mobilisation a attention liée intérêts 8. Fonctions liées à attention sélective visuelle : + préservées et supérieures avec stimuli non-sociaux TDAH : 1. difficultés attention + globale et retrouvée différents contextes 2. + grandes capacités de comprendre normes sociales 3. hyperactivité : augmentation activité physique 4. FE ; marquées par difficultés MT, inhibition et impulsivité 5. accès compréhension plus complexe langage (métaphore, phrases nébuleuses) 6. intérêts demeurent varisé, pas de grands écarts entre différentes habiletés de jeu
50
Fatigue, crise ou burn out autistique
État épuisement cognitif, physique et émotionnel associé au fait d'être autiste - parmi facteurs associés aux crises et burn out autistique : enjeux sensoriels et camouflage social - épuisement mental et physique important - repli sur soi - réduction significative aires fonctionnement (p. ex. travail-école) baisse performance significative - difficultés plus grandes FE - capacités camouflages réduites - désinvestissement intérêt restreint
51
Évol âge adulte Comment est la qualité de vie ?
1. Autonomie résidentielle : majorité résident avec famille ou ressource, mais majorité souhaite forme autonomie - proportion plus faible par rapport à d'autres conditions cliniques (restent dépendants) se questionner sur ce qui définit un bon outcome...
52
Question de la neurodiversité
- diversité de modes de fonctionnement sur plan neurologique - mouvement de reconnaissance et inclusion sociale des personnes neurodivergentes ou neuroatypiques - modèle biomédical vs social du handicap - ne pas viser à rendre moins autiste
53
Grande force neuropsy
ACCÈS AUX FORCES. INTERVENTIONS BASÉES SUR LES FORCES - cohérence information - forces visuo-spatiales - intérêts - structures complexes - régularité et patterns P. ex. créer des contextes favorables d'apprentissage, en se basant sur les forces (p. ex. rétroaction basée sur perception)
54
Pour favoriser apprentissage, différence autisme vs tsa
Hausse intensité rétroaction = aide typiques pas TSA MAIS accès à toute info nécessaire aide TSA, pas de différence typiques
55
Comment utiliser les forces perceptives dans apprentissage (5 points)?
1. Présenter info visuelle 2. Présenter info de façon structurée 3. Donner accès ensemble des infos pertinentes 4. permettre manipulation et expérimentation 5. favoriser rétroaction informative