Lecture 1: Trigger warning: Empirical evidence ahead Flashcards
(7 cards)
Quels sont les effets observés des trigger warnings sur les participants ?
a) Ils réduisent l’anxiété face à des textes anxiogènes
b) Ils augmentent la perception de vulnérabilité face aux traumatismes
c) Ils renforcent l’identification implicite à la résilience
d) Ils augmentent la perception que les autres sont vulnérables
b) et d)
Quel était le profil des participants inclus dans l’étude ?
a) Des personnes diagnostiquées avec un PTSD
b) Des individus sans expérience de traumatisme majeur
c) Uniquement des étudiants en psychologie
d) Des adultes recrutés via une plateforme en ligne
b) et d)
Quels effets les trigger warnings ont-ils sur l’anxiété immédiate ?
a) Ils augmentent l’anxiété chez ceux qui croient que les mots peuvent blesser
b) Ils réduisent globalement l’anxiété chez tous les participants
c) Ils n’ont pas d’effet global, sauf pour certains sous-groupes
d) Ils déclenchent une désensibilisation progressive
a) et c)
Quels outils ont été utilisés pour mesurer les effets psychologiques ?
a) IRM fonctionnelle
b) Test d’association implicite (IAT)
c) Questionnaires sur la vulnérabilité perçue
d) Observations cliniques directes
b) et c)
Quelles conclusions les auteurs tirent-ils sur les trigger warnings ?
a) Ils renforcent la résilience émotionnelle
b) Ils augmentent la vulnérabilité perçue chez les non-traumatisés
c) Ils justifient des politiques de protection généralisée
d) Ils peuvent avoir des effets iatrogènes sur la résilience
b) et d)
Dans quel contexte les textes utilisés dans l’étude ont-ils été présentés ?
a) Par oral en présence d’un thérapeute
b) Par écrit, dans un cadre similaire à un cours universitaire
c) À l’aide de films documentaires
d) Sous forme de passages littéraires normés
b) et d)
Quelles croyances augmentent les effets anxiogènes des trigger warnings ?
a) La croyance que les mots peuvent être nocifs
b) La croyance en la maîtrise de ses émotions
c) La croyance en un monde prévisible et contrôlable
d) La croyance que la souffrance émotionnelle est normale
a) et c)