végétal 3 Flashcards

1
Q

de quoi les scientifiques ont besoin ?

A

de comprendre l’organisation de la nature.
ils voulaient attribuer correctement une place à un être vivant, une espèce végétale dans cet ordre de la nature

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2
Q

sur quoi sont basées les classification de la nature ?

A

sur les caractéristiques morphologiques des plantes, notamment des fleurs

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3
Q

comment assemble t on les plantes ?

A

en groupes hiérarchisés

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4
Q

qu’es-ce qui est la base de toute classification ?

A

l’espèce est à la base de toute classification

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5
Q

que possèdent tous les individus d’une même espèce ?

A

des caractéristiques structurales et morphologiques très proches (critère de ressemblance utilisé pour définit l’espèce)
> les espèces sont d’abord définies sur des critères de ressemblance

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6
Q

définition du concept de genre ?

A

un genre donné regroupé des espèces ayant plusieurs points communs (les plus “voisines”)

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7
Q

par quoi est nommée (nomenclature) chaque espèce ?

A

par une phrase en latin (polynôme).
+ on décrit des espèces proches + la description se rallonge et se complexifie.

chaque naturaliste utilise ses propres critères, il n’y a pas de consensus

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8
Q

qui clarifie la situation complexe de la nomination des espèces ?

A

Carl Von Linné au XVIIIè siècle,
professeur suédois de botanique et de médecine (1707-1778)

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9
Q

de quoi Carl Von Linné est il à l’origine ?

A

de la généralisation du système binomial (=binomial) de nomenclature (il ne l’a pas inventé mais a décidé de le généraliser)

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10
Q

qu’est-ce qu’il y a dans le système binomial de nomenclature ?

A
  • chaque espèce est désignée par 2 mots latins : genre + épithète spécifique
  • ces deux mots sont suivis de l’initiale du découvreur (Digitalis purpurea L. découvert par Linné)
  • l’épithète spécifique fait souvent référence à une caractéristique remarquable de l’espèce (couleurs, propriétés pharmacologiques, origine géographique…)
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11
Q

que désigne une combinaison de 2 mots ?

A

désigne une espèce donnée et nulle autre

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12
Q

avantage de la nomenclature de C.V Linné ?

A
  • nomenclature simple et concise (qui évite la complexité prélinnéens)
  • évite les confusions liées à l’utilisation du nom vernaculaire (=nom commun) (plusieurs noms ≠ pour une même espèces, un même nom pour ≠ espèces
  • universellement acceptée (et étendue : quand on a découvert les micro-organismes on a appliqué la nomenclature aux bactéries)
  • toujours utilisée (≈ 350.000 espèces décrites chez les végétaux)
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13
Q

pour la publication d’une nouvelle espèce ?

A
  • choix d’un binôme nouveau (code international de nomenclature botanique)
  • il faut faire une diagnose de la plante en latin (ou en anglais), phrase en latin qui diagnostique les caractéristiques de l’espèce
  • échantillon de référence = holotype déposé dans un herbier officiel = spécimen type
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14
Q

où se trouve l’Herbier officiel ancien en France ? à Londres ?

A

à Paris au Musée d’histoire naturelle.
(400.000 échantillons).
à Londres, c’est le jardin botanique de kew, un des plus ancien et des plus beaux herbiers

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15
Q

classification de Linné ?

A

essentiellement sur la morphologie de l’appareil reproducteur.
6.000 espèces végétales, 4.000 animales

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16
Q

quel concept apparait au XVIII° ?

A

apparition du concept de famille énoncé par le célèbre botaniste Jussieu, et embranchement (par Cuvier)

17
Q

qu’est-ce que le fixisme ?

A

après avoir été créées par Dieu, les espèces ne changent pas.
> pas d’évolution

18
Q

que publie Darwin en 1859 ?

A

publie “sur l’origine des espèces”

19
Q

que faut-il faire selon Darwin ?

A

il faut classer les espèces dans un ordre qui reflète l’histoire de l’évolution du vivant, en regroupa-pant les individus sur la base du partage d’une ascendance commune.

20
Q

que doit restituer la classification naturelle pour classer les espèces dans un ordre qui reflète l’évolution ?

A

les relations de parenté entre les espèces
> intérêt croissant au cours du XIXè siècle.

21
Q

la phylogénie ?

A

Ernst Haeckel : au milieu du XIXè siècle : étude des relations de parenté entre différents être vivants afin de comprendre leur histoire évolutive :
- “qui partage quoi avec qui ?” pour comprendre “qui est plus proche de qui ?”

22
Q

à quoi correspond la généalogie ?

A

correspond à des liens génétiques d’ancêtres à descendants
≠ de la phylogénie :
> comprendre les liens de parentés (pas les ancêtre).
on le représente par un diagramme qu’on appelle arbre phylogénétique sur la base que tout provient d’un ancêtre commun

23
Q

qu’est-ce qu’il a fallut attendre pour que des classifications traduisent réellement la notion d’évolution de Darwin ?

A

attendre le milieu du XXI siècle et l’avènement de la systématique phylogénétique

24
Q

qu’est-ce que les scientifiques ont utilisés pour savoir qui partage quoi avec qui ?

A
  • caractères morphologiques, anatomiques… (d’autres des biochimiques…)
  • caractères moléculaires (en particulier de séquences de gènes) qui a permis l’essor de la phylogénie moléculaire au XXIè siècle)
25
Q

que permettent les caractères moléculaires ?

A

la mise en évidence de relations évolutives qui passaient inaperçues jusqu’alors au niveau phénotypique classique
> permet une analyse beaucoup + fine des liens de parenté

26
Q

postulat de la phylogénétique ?

A

plus les séquences obtenues,ues sont similaires, plus les organismes sont phylogénétiquement proche

27
Q

comment sont représentée les relations de parenté évolutive ?

A

de façon schématique :
par un arbre phylogénétique : à l’aide de branches les individus sont regroupés selon les caractères qu’ils sont en commun.
1 noeud = 1 ancêtre commun.
branche = individus partageant des caractères communs

28
Q

les groupes monophylétiques ?

A

(clades) : groupe qui réunit tous les organismes qui possèdent une même innovation évolutive et leur ancêtre commun exclusif, chez qui cette innovation est apparue

29
Q

définition d’une espèce ?

A

notion difficile à appréhender, elle a évolué avec le temps au fil des procès scientifiques et qui évolue toujours :

1942, Ernst Mayr définie le concept d’espèce biologique en abandonnant les aspects morphologiques :
“ les individus d’une même espèce (population( sont susceptibles de se croiser entre eux en donnant des descendants viables et féconds (critères d’interfécondité sexuelle)”

30
Q

que doit prendre en compte la définition d’une espèce ?

A

les caractères morphologiques, anatomiques, génétiques, biochimiques, écologiques