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MED H2022 - SYST DIGESTIF PARTIE 1 > COURS 04 - PHYSIO > Flashcards

COURS 04 - PHYSIO Flashcards

1
Q

quelle est la fonction principale du tube digestif (2)

A
  • acquisition de nutriment, d’eau et d’électrolytes essentiels à la vie
  • protéger des agents infectieux et allergiques ingérés
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2
Q

comment est-ce que la fonction du tube digestif concorde avec sa structure

A
  • sa fonction requiert un long tube au cours duquel les ingestas sont broyés, stérilisés, digérés et absorbés, et les excrétas éliminés
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3
Q

qu’est-ce qui controle la cavité bucoharyngée

A

SNC

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4
Q

qu’est-ce qui controle la déglutition (2)

A
  • réflexes neuro-musculaires précis pour le transfert du bolus alimentaire de la bouche a l’oesophage sans erreur de transfert à la trachée
  • controle volontaire
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5
Q

qu’est-ce qui controle le péristaltisme de l’oesophage

A

SNA

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6
Q

oesophage - fonctions (2)

A
  • transport du bolus vers l’estomac
  • protection des voies aériennes
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7
Q

oesophage - comment transporte-t-il le bolus vers l’estomac

A

grace aux mouvements péristaltiques de ses muscles striés et de ses muscles lisses

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8
Q

oesophage - décrire sa forme histologique

A
  • épithélium pavimenteux stratifié avec des glandes qui sécrètent du bicarbonate et du mucus (lubrification)
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9
Q

déglutition : comment peut-elle survenir (2)

A
  • volontairement
  • de façon réflexe lorsque le bolus atteint le palais mou
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10
Q

déglutition - quel nerf la commande

A
  • NC 12 (nerf hypoglosse) → mouv volontaire
  • NC 9 (glossopharyngien) et NC 10 (vague) → mouv réflexe
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11
Q

déglutition - comment est-ce que le NC12 y participe

A

active les muscles striés de la langue, propulsant volontairement le bol alimentaire vers le pharynx

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12
Q

déglutition - comment est-ce que les NC9 et NC10 y participent (2)

A
  • mouvement réflexe du palais, du pharynx, du larynx et de l’oesophage sup
  • l’ascencion du pharynx par la contraction du muscle stylo-pharyngien permet au palais mou de fermer la voie vers le nasopharynx, et permet à l’épiglotte de basculer vers le bas → fermeture de l’entrée de la trachée
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13
Q

roles du NC9 (3)

A
  • ascension du pharynx par le muscle stylo-pharyngien
  • gustation de la langue
  • sensibilité du tiers postérieur de la langue
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14
Q

roles du NC10 (4)

A
  • contraction du voile du palais, du pharynx et de l’oesophage sup
  • gustation de l’épiglotte et du pharynx
  • sensibilité du pharynx et du larynx
  • phonation via les cordes vocales
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15
Q

oesophage - que se passe-t-il au niveau de l’oesophage lors de la déglutition

A
  • le sphincter oesophagien sup (muscle crico-pharyngien) se relache pour accueillir le bolus dans le conduit oesophagien
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16
Q

oesophage - qu’entraine une dysfonction des réflexes de la déglutition (2)

A
  • dysphagie haute de transfert qui permet un passage de liquide a la trachée
  • se manifeste par des quintes de toux réflexes
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17
Q

oesophage - qu’entraine un dysfonctionnement chronique de relaxation du sphincter œsophagien sup

A
  • formation graduelle d’une diverticule de Zenker (sacculation/réservoir) juste au dessus du muscle crico-pharyngien
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18
Q

oesophage - nommer les étapes de la déglutition

A
  1. propulsion du bol alimentaire pr la langue vers le pharynx
  2. élévation du palais mou afin de fermer le nasopharynx
  3. basculement de l’épiglotte afin de boucher le larynx et la trachée
  4. fermeture du sphincter oesophagien sup a la suite du passage du bol alimentaire dans l’oesophage
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19
Q

oesophage - qu’est-ce que le péristaltisme oesophagien

A
  • action musculaire involontaire qui est médiée par le syst nerveux entérique du plexus d’Auerbach
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20
Q

oesophage - comment est-ce que le péristaltisme osophoagien est provoqué (3)

A
  • le passage du bolus alimentaire dans l’oesophage stimule les nerfs sensitifs du plexus
  • il ya une contraction des muscles circulaires en amont du bolus grace à la sécrétion de neurotransmetteurs (Ach et neurokinine)
  • il y a un relâchement simultané des muscles circulaires en aval du bolus (grace à la sécrétion de VIP et de NO)
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21
Q

oesophage - nommer les 3 ondes péristaltiques dans l’oesophage

A
  • primaires
  • secondaires
  • tertiaires
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22
Q

oesophage - décrire l’onde primaire (2)

A
  • initiée en réponse à la déglutition
  • propulse le bolus du haut vers le bas a une vitesse de 3-4 cm/sec de manière irréversible —> on peut ainsi boire la tete en bas
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23
Q

oesophage - décrire l’onde secondaire (3)

A
  • initiées de façon réflexe en réponse a une stimulation locale des nerfs sensitifs par des résidus alimentaires
  • peuvent commencer a n’importe quel niveau de l’oesophage
  • repoussent le matériel en provenance de l’estomac lorsqu’il y a RGO
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24
Q

oesophage - décrire les ondes tertiaires (4)

A
  • on les observes chez les individus normaux, mais aussi en situations patho
  • contractions non péristaltiques des muscles circulaires
  • n’ont pas de fonction motrice propulsive
  • on les retrouve en présence d’achalasie ou de spasmes diffus de l’oesophage (parfois douloureux)
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25
Q

oesophage - définir le sphincter oesophagien inf (2)

A
  • courte région qui possède une tonicité musculaire presque constante au repos
  • créé une zone de pression
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26
Q

oesophage - quand est-ce que le SOI se relache? comment?

A
  • à l’arrivée du bolus alimentaire
  • sous l’action de NO et de VIP
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27
Q

oesophage - que cause une insuffisance du SOI

A
  • permet le RGO et entraine une oesophagite secondaire
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28
Q

oesophage - que cause une hyperpression du SOI

A
  • dysphagie basse (de transport) qui mene a l’achalasie
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29
Q

estomac - nommer ses 5 principales fonctions

A
  • réception d’un volume alimentaire
  • stérilisation des ingestas
  • digestion chimique
  • digestion mécanique
  • régulation de la vidange gastrique
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30
Q

estomac - comment fait-il la réception d’un volume alimentaire

A
  • la diminution du tonus vasc gastrique lors de la réception d’aliments (relaxation réceptive) permet d’accommoder un plus grand volume sans + la pression intra-gastrique
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31
Q

estomac - comment stérilise-t-il les ingestas

A

grace a l’HCl

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32
Q

estomac - comment fait-il la digestion chimique

A

grace a la sécrétion de HCl et de pepsine

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33
Q

estomac - comment fait-il la digestion mécanique

A

par les contractions gastriques, qui mélangent les ingestas et les sécrétions salivaires et gastriques pour mieux prep les aliments pour leur transfert a l’intestin grele

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34
Q

estomac - synonyme de digestion mécanique

A

trituration

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35
Q

estomac - comment fait-il la régulation de la vidange gastrique

A
  • le rythme de vidange est régulé pour optimiser la digestion et l’absorption intestinale
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36
Q

estomac - décrire les cellules pariétales

A
  • cellules uniques à l’estomac
  • sécrètent l’HCl et le facteur intrinsèque
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37
Q

estomac - cellules pariétales : par quoi est stimulée la sécrétion d’HCl (3)

A
  • histamine (récepteur H2)
  • Ach (R M3)
  • gastrine (R CCK-B)
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38
Q

estomac - cellules pariétales : par quoi est inhibée la sécrétion d’HCl? (2)

A
  • somatostatine
  • prostaglandines
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39
Q

estomac - cellules pariétales : comment fonctionne la sécrétion d’HCl

A
  • une pompe a proton (H/K-ATPase) permet la sécrétion d’H+ dans l’estomac en échange du passage d’un ion de K dans la cellule
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40
Q

estomac - cellules pariétales : effet des médicaments inhibiteurs à p+ (IPP)

A
  • réduisent la sécrétion d’HCl en agissent uniquement sur la pompe a protons spécifique de la cellule pariétale
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41
Q

estomac - cellules pariétales : comment n’est-elle pas endommagée par ses propres excrétions de HCl (2)

A
  • elle change de forme et développe des villosités qui la protègent lorsqu’elle sécrète le HCl
  • elle est enfouie profondément au niv de cryptes gastriques, ce qui la protège aussi
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42
Q

estomac - cellules pariétales : que permet le facteur intrinsèque

A
  • absorption de B12 au niveau de l’iléon terminal
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43
Q

estomac - cellules pariétales : que se passe-t-il en cas de déficit du facteur intrinsèque

A

anémie mégaloblastique (de Biermer) peut survenir

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44
Q

estomac - cellules principales : role

A

sécrétion du pepsinogène et de la lipase gastrique

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45
Q

estomac - cellules principales : comment le pepsinogène devient-il pepsine (2 étapes)

A
  • le proenzyme est stocké dans des vésicules proches de la surface de la cellule et est libéré dans la lumière gastrique
  • il génère se la pepsine lorsqu’il entre en contact avec un pH acide
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46
Q

estomac - cellules principales : role de la pepsine

A

action protéolytique permettant de scinder les polypeptides en peptides

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47
Q

estomac - cellules principales : role de la lipase gastrique

A

contribue à la digestion des lipides

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48
Q

estomac - cellules caliciformes : role

A
  • sécrétion de mucus et de bicarbonate dans la lumière gastrique
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49
Q

estomac - cellules caliciformes : ou sont situées les granules sécrétoires

A

région apicale

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50
Q

estomac - cellules caliciformes : par quoi est stimulée la sécrétion de mucus (3)

A
  • NC10 (nerf vague)
  • agents cholinergiques
  • PG
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51
Q

estomac - cellules caliciformes : par quoi est inhibée la sécrétion de mucus

A
  • par certains med, comme les AINS
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52
Q

estomac - cellules caliciformes : quelle conséquence peut avoir la - de la prod de mucus causée par les AINS

A

ulcères gastriques

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53
Q

estomac - cellules caliciformes : utilité du mucus

A
  • forme une mince couche protectrice de glycoprots a la surface luminale des cellules gastriques, afin que ces dernières ne soient pas endommagées par l’acidité de l’estomac (pH 1-2)
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54
Q

estomac - cellules caliciformes : que permet le bicarbonate (2)

A
  • de créer un micromilieu ayant un pH de 7 sous la couche de mucus
  • contribue ainsi a protéger les cellules gastriques du contenu luminal acide
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55
Q

estomac - cellules endocrine (ECL) : pourquoi est-elle nommée cellule ECL

A

EnteroChromaffin-Like Cell

(cellule entérale/entérocyte qui a une affinité pour le colorant chrome)

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56
Q

estomac - cellules endocrine (ECL) : role

A

sécrétion d’histamine

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57
Q

estomac - cellules endocrine (ECL) : ou sont placées les granules sécrétoires

A

a la région basale, puisque sa sécrétion s’effectue dans l’espace extracell

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58
Q

estomac - cellules endocrine (ECL) : qu’est-ce qui déclenche la sécrétion d’histamine

A
  • lorsque la gastrine, via la voie sanguine, se fixe sur le R CCK-B de la cellule ECL, celle-ci sécrète de l’histamine2 dans l’espace extra-cell
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59
Q

estomac - cellules endocrine (ECL) : voie d’action des cellules ECL

A
  • agissent par voie paracrine sur les cellules pariétales situées a proximitée
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60
Q

estomac - cellules endocrine (ECL) : role de l’histamine2

A

l’histamine2 stimule les récepteurs H2 des cellules pariétales et ainsi stimule la sécrétion de p+

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61
Q

estomac - cellules endocrine (ECL) : par quoi est inhibée la sécrétion d’histamine2 (2)

A
  • somatostatine (des cellules D gastriques)
  • peptide YY
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62
Q

estomac - cellules endocrine (ECL) : qu’est-ce que le peptide YY

A

hormone de satiété prod par des cellules intestinales de l’iléon lorsqu’il recoit des aliments

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63
Q

estomac - cellule endocrine (cellule G) : quel est leur role

A
  • sécrétion de la gastrine, une hormone
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64
Q

estomac - cellule endocrine (cellule G) : ou sont située les granules sécrétoires

A

a la région basale des cellules, puisque la sécrétion est endocrine

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65
Q

estomac - cellule endocrine (cellule G) : role de la gastrine

A
  • elle est sécrétée dans la circulation sanguine afin de stimuler par voie endocrine la cellule ECL a sécréter d’avantage d’histamine
  • (celle-ci stimulera ensuite par voie paracrine la cellule pariétale a sécréter davantage de HCl)
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66
Q

estomac - cellule endocrine (cellule G) : par quoi est-elle stimulée (3)

A
  • nerf vague
  • gastrin-releasing peptide
  • présence d’AA en post-prandial dans l’estomac
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67
Q

estomac - cellule endocrine (cellule G) : par quoi est-elle inhibée (2)

A
  • pH gastrique très acide (<2)
  • il y a ainsi une rétroaction négative (autoregul) pour maintenir un milieu gastrique acide
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68
Q

estomac - cellule endocrine (cellule G) : comparer les valeurs sanguine de la gastrine normalement, après Tx à l’IPP et en présence d’un gastrinome

A
  • normalement : < 180𝜇g/mL
  • après IPP : elle double ou triple
  • gastrinome : quintuplée (> 1000𝜇g/mL)
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69
Q

estomac - cellule endocrine (cellule D) : que sécrète-t-elle

A

la somatostatine

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70
Q

estomac - cellule endocrine (cellule D) : ou sont située ses granules sécrétoires

A
  • a la région basale, puisque la somatostatine est libérée dans le sang
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71
Q

estomac - cellule endocrine (cellule D) : role de la somatostatine

A
  • inhibition de la sécrétion des cellules G, ECL et pariétales par voie paracrine
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72
Q

estomac - cellule endocrine (cellule D) : role de la cellule D

A
  • régulation de l’activité sécrétoire des cellules qui sécrètent le HCl (D, ECL, pariétales)
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73
Q

estomac - cellule endocrine (cellule D) : qu’est-ce qui stimule la sécrétion de somatostatine

A

pH < 2

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74
Q

estomac - cellule endocrine (cellule D) : est-ce que la mesure sérique de la somatostatine est possible?

A

non

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75
Q

estomac - cellule endocrine (cellule D) : utilités thérapeutiques de la somatostatine (2)

A
  • injections SC possibles chez les Px porteurs de tumeurs carcinoides, si le syndrome carcinoide se manifeste
  • utilisée en perfusion lors d’hémorragie digestive en provenance de varices oesophagienne ruptures, car elle diminue la pression de perfusion sanguine du syst porte
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76
Q

estomac - cellule endocrine (cellule P/D) : que sécrète-t-elle

A

la ghréline, dans le sang

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77
Q

estomac - cellule endocrine (cellule P/D) : ou sont situées les granules sécrétoires

A

a la région basale

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78
Q

estomac - cellule endocrine (cellule P/D) : role de la ghréline

A
  • joue un role dans la régulation de l’appétit
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79
Q

estomac - cellule endocrine (cellule P/D) : qu’est-ce qui stimule la sécrétion de ghréline

A

la sécrétion augmente en période de jeune

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80
Q

estomac - cellule endocrine (cellule P/D) : quel est l’effet d’une réduction Cx partielle de l’estomac (gastrectomie partielle)

A

reduction de l’appétit

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81
Q

estomac - quelles cellules sont paracrines (3) et quelles sont endocrines (4)?

A
  • paracrines : pariétales, caliciformes, principales
  • endocrines : G, ECL, P/D, D
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82
Q

estomac - décrire la régulation des cellules gastriques en post post-prandial

A
  • la cellule G est stimulée par l’Ach et les AA alimentaires. Elle libère de la gastrine, qui stimule la cellule ECL
  • la cellule ECL libère de l’histamine, qui stimule la cellule pariétale
  • la cellule pariétale est aussi stimulée par l’Ach
  • les AA alimentaires inhibent la cellule P/D, diminuant la sécrétion de ghréline
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83
Q

estomac - décrire la régulation des cellules gastriques en sit de jeune

A
  • pH acide stimule la cellule P/D → + ghréline
  • pH acide stimule cellule D → + somatostatine
    • somatostatine → inhibition cellule pariétale → - HCl
    • somatostaine et pH acide inhibe cellule G → - gastrine
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Q

estomac - nommer les 3 principales voies de régulation de la sécrétion de l’acide gastrique

A
  • neurocrine
  • endocrine
  • paracrine
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Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : quelles mol sont impliquées dans la voie neurocrine (2)

A
  • ACh (nerf vague, paraympa)
  • NA (sympa)
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Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : quelles mol sont impliquées dans la voie endocrine (2)

A
  • gastrine
  • ghréline
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87
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : quelles mol sont impliquées dans la voie paracrine (2)

A
  • somatostatine
  • histamine
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88
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : nommer les 3 phases de la regul

A
  • phase céphalique
  • phase gastrique
  • phase intestinale
89
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : par quoi est stimulée la phase céphalique (2)

A
  • stress
  • psychisme (vue, odorat…)
90
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : quel nerf est responsable de la stimulation de la phase céphalique

A

nerf vague

91
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : combien de temps dure la phase céphalique

A
  • en temps normal, pas longtemps, car l’arrivée de la nourriture dans l’estomac déclenche la phase gastrique
92
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : quel % de la sécrétion d’acide postprandial a lieu durant la phase céphalique (2)

A
  • 20% normalement
  • jusqu’à 50% de la sécrétion max d’HCl lors de stimulation en labo (ex : mastiquer sans avaler)
93
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : dans quelle phase est-ce que la sécrétion post-prandiale d’HCl est a son max?

A

phase gastrique

94
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : décrire la phase gastrique (3)

A
  • les AA contenus dans le repas activent les cellules G qui déversent + de gastrine dans le sang et stimulent donc les cellules ECL par voie endocrine
  • les cellules ECL sécrètent alors de l’histamine, qui stimule a son tour les cellules pariétales par voie paracrine
  • la cellule pariétale active ses pompes a p+ et sécrète le H+
95
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : dans la phase gastrique, quand est-ce que la sécrétion de gastrine par les cellules G cesse (2)

A
  • lorsque le pH < 2
  • lorsque le contenue en AA dans l’antre diminue par le vidange du chyme gastrique au grele
96
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : dans la phase gastrique, quand est-ce que la sécrétion de somatostatine par les cellules D débute? quel est son effet

A
  • pH < 2
  • la somatostatine emprunte une voie paracrine et inhibe davantage la cellule G
97
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : par quoi est définie la phase intestinale

A

par l’entrée du chyme dans le duodénum

98
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : quel % de la sécrétion totale d’HCl représente la phase intestinale? pourquoi?

A
  • moins de 10%
  • parce que cette sécrétion est inhibée par des hormones issues de l’intestin grele
99
Q

estomac - régul de la sécrétion d’acide gastrique : nommer les hormones issues de l’intestin grele qui inhibent la sécrétion d’HCl lors de la phase intestinale (3)

A
  • gastrin inhibitory peptide (GIP)
  • CholeCystoKinin (CCK)
  • sécrétine
100
Q

estomac - nommer les 3 phénomènes qu’on regroupe sous le titre de “motilité gastrique”

A
  • relaxation réceptive
  • trituration
  • controle de la vidange gastrique
101
Q

estomac - définir relaxation adaptative

A

capacité de l’estomac a augmenter son volume sans pour autant augmenter sa pression intraluminale

102
Q

estomac - que permet la relaxation adaptative

A
  • d’integrer une grande quantité d’aliments en un court laps de temps
103
Q

estomac - comment s’opère la relaxation adaptative?

A
  • inhibition du tonus de muscles lisses des parois gastriques
104
Q

estomac - quels autres effets (autres que la relaxation adaptative) permet l’inhibition du tonus des muscles lisses de la paroi gastrique (2)

A
  • cette relaxation évite aussi une vidange trop rapide (dumping) du contenu gastrique vers le grele
  • ce tonus détermine la régulation de la vidange liquides ingérés
105
Q

estomac - que permet la trituration? comment fonctionne-t-elle? (3)

A
  • assure une digestion mécanique des aliments
  • lorsque la vague de contraction musculaire atteint le pylore, il se contracte a son tour et se ferme, créant un mouvement de retour du chyme au centre de l’estomac
  • ce mouvement de va et vient du contenue triture le repas
106
Q

estomac - comment est controlée la trituration

A
  • force de contraction diminue lorsque le pH gastrique est acide
  • augmente lorsque le duodénum détecte un contenue trop osmolaire, trop gras (réceteurs duodénaux) ou trop acide → une sécrétion de CCK et de sécrétine augmente alors la résistance a l’évacuation
107
Q

estomac - décrire la vidange des aliments liquides (2)

A
  • sont plus rapidement évacués de l’estomac, car le pylore laisse aisément passer les particules ayant un diamètre inférieur à 2mm
  • cest la contraction tonique du fundus qui permet de pousser les aliments liquides vers le pylore et l’antre gastrique
108
Q

estomac - comment se fait la vidange des aliments solides (2)

A
  • les muscles circulaires permettent de propulser les aliments solides vers le pylore via des contraction circonférentielles et péristaltiques
  • ainsi, les aliments ayant un diamètre de +2 mm sont retenus par le pylore jusqu’à ce que la digestion mécanique et chimique diminue leurs taille
109
Q

estomac - comment évolue la vidange des solides (2)

A
  • elle commence après un plateau de 20 à 30 min durant lqel aucun aliment ne passe le pylore
  • elle progresse par la suite de façon linéaire et constante
110
Q

estomac - comment est mesurée la vidange gastrique

A
  • par un repas standard (sandwich aux oeufs marqué de technicium radioactif)
111
Q

estomac - temps moyen d’une vidange gastrique

A

normalement, le temps de ½ vidange varie de 60 à 90 min

112
Q

intestin grêle - l’intestin grele est un site de _____ dans sa lumière et de ____ à sa surface

A
  • digestion
  • absorption
113
Q

intestin grêle - de quoi bénéficie la digestion luminale (2)

A
  • sécrétions hépatiques (bile)
  • sécrétions pancréatique (sucs pancréatiques)
114
Q

intestin grêle - ou sont abondantes les sécrétions hépatiques et pancréatiques

A
  • tout en haut de son segment le plus long (5-9m)
115
Q

intestin grêle - a quoi est essentielle la motilité des parois du grele (2)

A
  • a sa fonction digestive post-prandiale
  • de plus, lors du jeune, de contraction occlusives et propulsives de grande amplitude (complexe moteur migratoire) vidangent le contenue du grele au colon, réduisant ainsi la [bactéries] dans sa lumière
116
Q

intestin grêle - qu’est-ce qui permet sa motilité

A
  • le grele est mobile au bout d’un long mésentère souple et est entouré de péritoine viscéral qui lui confère une grande liberté de mouvement dans le sac péritonéal de la cavité abdo
117
Q

intestin grêle - structure de son épithélium

A
  • composé d’entérocytes disposés en une seule couche, dite prismatique simple
  • les entérocytes sont liés les uns aux autres par des jonctions serrées
118
Q

intestin grêle - comment se fait l’absorption des ingestas (2)

A
  • vois transcellulaire
  • voie paracellulaire
119
Q

intestin grêle - décrire la voie transcell d’absorption

A
  • les substrats doivent franchir la membrane apicale des cellules et, par la suite, la membrane basale, pour être dirigés a la circulation veineuse portale directement au foie ou aux canaux lymphatiques vers la circul veineuse syst (évite le foie)
120
Q

intestin grêle - décrire les moyens permettant la voie d’absorption transcell (4)

A
  • diffusion simple
  • transport passif dans un canal/transporteur
  • transport actif
  • transporteur spécifique
121
Q

intestin grêle - quelles molécules empruntent la voie paracrine

A
  • principalement empruntée par les molécules assez petites telles que l’eau et les ions
122
Q

intestin grêle - que se passe-t-il lorsqu’il y a un appel d’eau par charge osmotique de la lumiere intestinale vers les vaisseaux sanguins

A
  • l’eau entraine avec elles des ions Na et K
123
Q

intestin grêle - voie paracrine : comment est-ce que les bactéries ne pénètrent pas dans l’organisme

A

des jonctions serrées les en empechent

124
Q

intestin grêle - par quoi est découplée la surface de contact des entérocytes avec le contenu luminal (4)

A
  • bordure en brosse
  • villosités
  • plis circulaires
  • longueur du tube
125
Q

intestin grêle - décrire la bordure en brosse

A

la membrane cellulaire de chaque entérocyte du grêle est augmentée par une multitude de micro-villosités

126
Q

intestin grêle - décrire les villosités

A

une organisation des entérocytes en longues villosités qui baignent dans le chyme

127
Q

intestin grêle - décrire les plis circulaires

A
  • la surface de la muqueuse forme des plis circulaires dans le tube musculaire du grele
128
Q

intestin grêle - décrire la longueur du tube et comment elle décuple la surface de contact des entérocytes

A

la longueur du tube digestif excede de bcp la distance de la bouche à l’anus

129
Q

intestin grêle - est-ce que les cellules des cryptes de la muqueuse digestive sont en contact avec le contenu intestinal?

A

non

130
Q

intestin grêle - entérocytes : que possède la membrane cellule au pole apicale des entérocytes (membrane en brosse) (3)

A
  • peptidases
  • disaccharidases
  • transporteurs
131
Q

intestin grêle - entérocytes : des transporteurs pour quelles substances retrouvent-on au pole apical des entérocytes (7)

A
  • sucres simples ou doubles
  • AA simples
  • dipeptides
  • tripeptides
  • vitamines
  • sels bilaires
  • acides gras
132
Q

intestin grêle - entérocytes : role de leur cytoplasme (2)

A
  • contribue à la digestion en scindant davantage certains dipeptides et tripeptides
  • les chylomicrons s’assemblent dans le cytoplasme
133
Q

intestin grêle - digestion des hydrates de carbone : nommer le substrat, les produits intermédiaires ainsi que le produit final de la dégradation

A

hydrates de carbone complexes (amidon, glycogène, cellulose végétale) → disaccharides → monosaccharides

134
Q

intestin grêle - digestion des hydrates de carbone : décrire la digestion et absorption dans la bouche (2)

A
  • amylase salivaire débute la digestion des hydrates de C : polysaccharides → disacchardides
  • compte pour environ le ⅓ de la digestion
135
Q

intestin grêle - digestion des hydrates de carbone : décrire la digestion et absorption dans la lumière intestinale

A
  • amylase pancréatique digère le ⅔ des hydrates de C : polysaccharides → disaccharides
136
Q

intestin grêle - digestion des hydrates de carbone : décrire la digestion et absorption dans la bordure en brosse intestinale

A
  • présence de pls disaccharidases, enzymes spécifiques (lactases, sucrases, isomaltase…) qui scindent le lactose, sucrose et maltose en deux monosaccharides (galactose, fructose, glucose)
137
Q

intestin grêle - digestion des hydrates de carbone : décrire la transport des monosaccharides

A
  • la memb basolatérale transfère les monosaccharides vers la circulation par les transporteurs GLUT2
138
Q

intestin grêle - digestion des hydrates de carbone : résumer

A

amidon, cellulose, glycogène (hydrates de C complexes) → amylase salivaire + amylase pancréatique → poly- et di-saccharides → maltase, lactase, isolmaltase (saccharidases) → mono-saccharides (glucose, galactose, fructose) → GLUT2 → circulation sanguine

139
Q

intestin grêle - digestion des prots : décrire la transformation qui a lieu

A

protéine → oligopeptide → AA ou di/tri-peptides → AA

140
Q

intestin grêle - digestion des prots : décrire la digestion et l’absorption dans l’estomac

A

sécrétion de la pepsine et du HCL qui hydrolysent les prots et les scindent en oligopeptides

141
Q

intestin grêle - digestion des prots : décrire la digestion et l’absorption dans la lumière intestinale (2)

A
  • la carboxy-peptidase scinde les oligopeptides en AA
  • la trypsine, l’elastase et la chymotrypsnie transforment les oligopeptides en di/tri-peptides

*enzymes pancréatiques sécrétées dans la lumière intestinale

142
Q

intestin grêle - digestion des prots : décrire la digestion et l’absorption dans les microvillosités membranaires (2)

A
  • transforment le reste des di/tri-peptides en AA par la peptidase pancréatique
  • il y a absorption par PEPT-1
143
Q

intestin grêle - digestion des prots : décrire la digestion et l’absorption dans les entérocytes

A
  • transforment le reste des di-/tri-peptides en AA par la peptidase cytoplasmique
144
Q

intestin grêle - digestion des prots : décrire le transport des AA

A

la memb basale transfère les AA vers la circulation sanguine par des transporteurs spécialisés

145
Q

intestin grêle - digestion des prots : résumé

A
  • protéines → pepsine → oligopeptide → carboxy-peptidase → AA

ou

  • protéines → pepsine → oligopeptide → trypsine, élastase, chymotrypsine → di-peptides/tri-peptides → peptidase → AA

à partir de là :

  • AA dans entérocytes → transporteur spécifique → circulation sanguine

*les di-/tri-peptides peuvent aussi entrer directement dans l’entérocyte, ou ils sont transformés en AA par la peptidase et prennent le même chemin que les autres AA

146
Q

intestin grêle - digestion des lipides : décrire la digestion opérée dans la bouche

A

sécrétion de la lipase linguale = digestion d’une faible proportion des lipides (<10%)

147
Q

intestin grêle - digestion des lipides : décrire la digestion opérée dans l’estomac

A
  • sécrétion de la lipase gastrique : role mineur
148
Q

intestin grêle - digestion des lipides : décrire la digestion opérée dans la lumière intestinale du grêle (3)

A
  • la lipase pancréatique scindes les TG et 3 AG libres et en 1 glycérol
  • le cholestéol ester hydrolase et la phospholipase hydrolysent le cholestérol et les phosholipides
  • les sels biliaire émulsifient les graisses et créent des micelles afin de les rendre plus solubles et de faciliter l’absorption
149
Q

intestin grêle - digestion des lipides : décrire l’absorption dans la bordure en brosse (2)

A
  • absorption et dégradation des micelles pour en libérer leur contenu dans les entérocytes
  • l’absorption des micelles se fait au niveau du grele moyen et distal
150
Q

intestin grêle - digestion des lipides : décrire l’absorption dans le cytoplasme (3)

A
  • reformation des TG et du cholestérol a partir des prod de dégradation des micelles
  • les TG, le cholesterol et les vitamines ADEK s’assemblent en chylomicrons
  • des apolipoprots sont également créées pour le transport
151
Q

intestin grêle - digestion des lipides : décrire le transport des chylomicrons

A
  • portés vers la circulation lymph qui se déverse dans la veine sous-clavière gauche, se propageant ainsi dans le circulation systémique
152
Q

intestin grêle - digestion des lipides : décrire la réutilisation des sels biliaires (2)

A
  • ils sont réabsorbés au niveau de l’iléon terminal et retournés au foie par la veine porte
  • ils sont ensuite réutilisés et excrétés a nouveau dans la bile
153
Q

intestin grêle - digestion des lipides : que cause une insuffisance pancréatique exocrine (1) ? quels sont les impacts (3)

A
  • diminue grandement la digestion des lipides
  • se manifeste par :
    • des diarrhées dont le contenu flotte à la surface de l’eau
    • perte de pouds
    • déficits en vitamines liposolubles
154
Q

intestin grêle - absorption des vitamines : définir vitamine

A

substance organique qui est de provenance diétéique puisqu’elle n’est pa synth par l’organisme

155
Q

intestin grêle - absorption des vitamines : nommer les vitamines liposolubles (4)

A

ADEK

156
Q

intestin grêle - absorption des vitamines : comment sont absorbées les vit liposolubles

A
  • absorbées avec les lipides graces aux enzymes pancréatiques et à la formation de micelles
157
Q

intestin grêle - absorption des vitamines : nommer les vitamines hydrosolubles (8)

A
  • B1
  • B2
  • B3
  • B6
  • B12
  • C
  • biotine
  • acide pantothénique
158
Q

intestin grêle - absorption des vitamines : comment sont absorbées les vit hydrosolubles

A
  • grace à pls mécanismes de transport au niveau du grele proximal
159
Q

intestin grêle - absorption des minéraux : nommer des exemples de minéraux absorbés (4)

A
  • fer
  • calcium
  • phosphore
  • magnésium, etc
160
Q

intestin grêle - absorption des minéraux : comment est absorbé le Ca (3)

A
  • principalement par voie transcell
  • par voie paracell lorsque la [Ca] est élevée
  • transport actif effectué aux duodénum et jéjunum
161
Q

intestin grêle - absorption des minéraux : comment est absorbé le Mg

A
  • par voie paracellulaire au niv de l’iléon
162
Q

intestin grêle - absorption des minéraux : décrire l’absorption du Fe (2)

A
  • seulement absorbé a 10-20%
  • se fait au niveau du duodénum et du grele proximale
163
Q

intestin grêle - absorption de la B12 : que requiert-elle

A
  • des contirbution de pls organes digestifs
164
Q

intestin grêle - absorption de la B12 : décrire le processus (5 étapes)

A
  • la pepsine et l’HCl séparent les mol alimentaires des vit B12 qu’elles contiennent
  • la 12 libéré se lie a la prot R pour ne pas se faire hydrolyser par le pepsine et l’HCl dans l’estomac
  • la trypsine pancréatique sépare la B12 de la prot R
  • le facteur intrinsèque (sécrété par la cellule pariétale) se lie avec la B12 lorsqu’ils se retrouvent ensemble dans le duodénum
  • cela permet à la B12 d’être absorbée dans l’iléon
165
Q

intestin grêle - absorption de la B12 : comment suppléer un déficit en B12 (2)

A
  • per os
  • si facteur intrinsèque absent : injection mensuelle intramusculaire
166
Q

intestin grêle - absorption de la B12 : nommer des situations cliniques qui requièrent une prescription de B12 intramusculaire d’emblée (2)

A
  • gastrectomie totale
  • résection de l’iléon
167
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : qu’est-ce qui permet a l’intestin grele de pousser la nourriture tout au long de son trajet? (2)

A
  • cellules de Cajal (pacemaker intestinal)
  • plexus d’Auerbach (propagation de l’onde de dépolarisation)
168
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : que sont les cellules de Cajal

A
  • neurones du plexus d’Auerbach qui génèrent des ondes de dépolarisation répetés
169
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : role des cellules de Cajal (2)

A
  • la transmission de leurs dépol ryhntme les contraction des muscles lisses du grele (mais, contrairement au coeur, un QRS ne survient pas à ch dépol)
  • elles agissent ainsi comme pacemakers afind e réguler la motricité du grele
170
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : ou sont situées les cellules de Cajal

A
  • pls pacemakers sont distribués le long du grele, chacun avec une zone d’influence assez courte (10-50cm)
171
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : comment varient les dépol des cellules de Cajal le long du grele

A
  • leurs fréquences diminuent tout au long du grele (16/min → 10/min)
172
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : role du plexus d’Auerbach (syst nerveux intrinsèque) (2)

A
  • transmet la dépolarisation
  • coordonne le réflexe péristaltique a chaque endroit stimulé par le contenu intestinal
173
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : que fait l’intestin en rep a une distension générée par le bolus alimentaire (3)

A
  • l’intestin répond avec une contraction en amont du bolus et une relaxation en aval pour favoriser le mouvement du bolus vers l’aval
  • lors de la contraction en amont, le muscle circulaire se contacte et le longitudinal se relaxe
  • lors de la relaxation en avale, le muscle circulaire se relaxe et le longitudinale se contracte pour maintenir une forme de rigidité à l’arrivée du chyme
174
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : role du plexus de messner (2)

A
  • permet d’agiter la muqueuse et ses villosités
  • transmet des influx des R intestinaux pour coordonner les rep hormonales du tube digestif
175
Q

intestin grêle - motricité et réflexe péristaltique : ou est le plexus de messner

A

sous-muqueuse

176
Q

intestin grêle - régulation de la motricité : comment est-ce que les contraction intestinales sont régulée (2)

A
  • mécanismes de contrôle neurologique et hormonaux
  • ceux-ci créent 2 activités contractiles différentes en fonction du cotnenue (période post-prandiale/digestive ou de jeune/interdigestive)
177
Q

intestin grêle - régulation de la motricité : décrire l’activité contractile lors de la période interdigestive (jeune) (2)

A
  • l’estomac et le grele sont au repos : relative inactivité contratcile, mais qui augmente pour culminer en contractions maximales et de haute amplitude (complexe moteur migrant)
  • ce cycle dure environ 2 heures et des constitué de 3 phases (1, 2, 3)
178
Q

intestin grêle - régulation de la motricité : décrire la phase 1 du CCM de la période interdigestive

A
  • 90 min sans contraction
179
Q

intestin grêle - régulation de la motricité : décrire la phase 2 du CCM de la période interdigestive (3)

A
  • 20 min
  • contractions modérées
  • mouvement de va-et-vient du contenu intestinal
180
Q

intestin grêle - régulation de la motricité : décrire la phase 3 du CCM de la période interdigestive (3)

A
  • 3-5 min
  • contraction puissantes et péristaltiques qui débutent dans l’estomac et migrent au duodénum puis a l’iléon, poussant le contenue vers l’aval
  • vide le tube et diminue le nb de bactéries
181
Q

intestin grêle - régulation de la motricité : décrire l’activité contractile de la phase digestive (2)

A
  • après un repas, la vitesse du transit intestinal doit favoriser une absorption max
  • ainsi, en période post-prandiale, l’activité motrice du grele sa’pprente a celle de la phase 2 de la phase interdigestive (20 min, contractions modées, mouvement de va et vient du contenu intestinal), la phase 1 étant trop lente, et la phase 3, trop rapide
182
Q

colon - nommer ses fonctions (3)

A
  • emmagasiner les déchets
  • absorber l’eau
  • controler la vidange
183
Q

colon - le colon emmagasine le chyme pour déverser son contenu de façon sporadique et a un moment oportun : en quoi est-ce que cette fonction fav la survie chez les animaux? (2)

A
  • permet d’éviter aux animaux de laisser des traces qu’un prédateur pourrait suivre
  • faorise aussi la création d’un nid/terrier propre qui offre protection et socialisation
184
Q

colon - qu’est-ce qu’implique sa capacité d’emmagasiner (2)

A
  • la nécessité d’une motilité différente de celle de l’oesophage, de l’estomac et du grele
  • cette motilité doit etre sporadique et sans péristaltisme
185
Q

colon - est-ce que le colon vide complètement son contenu?

A

non, jamais

186
Q

colon - le colon ne vide jamais complètement son contenue : qu’est-ce que cela entraine

A
  • une pullulation bactérienne : les bactéries sont nourries par les aliments non digérées ou non absorbés qui sont déversés au caecum
187
Q

colon - quel % du volume liquidien qui provient du grele est réabsorbé par le colon

A

près de 90%

188
Q

colon - est-il un organe essentiel a la survie?

A

non

189
Q

colon - que se passe-t-il en absence de colon (3)

A
  • une ilésotomie excète près de 600 mL/jour
  • le liquide provient de l’intestin grele
  • il est composé d’électrolytes, d’eau, de quelques nutriments non absorbés et de substances non digérées par le grele telles que les fibres
190
Q

colon - décrire le rapport structure/fonction (3)

A
  • la muqueuse ne possède pas de villosité → protection contre les agressions bact
  • il ne sécrète pas d’enzyme digestif → protection contre les aggressions bact
  • l’organisation des entérocytes est toute en cryptes (similaire a l’estomac) qui sécrètent du mucus en grande quantité → protection, lubrification
191
Q

colon - décrire comment il absorbe l’eau et le sodium (4)

A
  • l’absorption active du sodium influence l’absorption d ‘eau
  • une Na/K-ATPase située sur la memb basale des colonocytes excère le sodium dans l’espace intercell
  • l’hypoconcentration intracell de Na fait migrer passivement le Na de la lumière du colon vers l’int des cellules
  • les mol d’eau suivent le mouvement pour eq les []
192
Q

colon - que se passe-t-il lorsqu’une hypovolémie du volume sanguin est détectée

A
  • l’aldostérone agit sur la pompe Na/K au niveau du colon et aux tubules distaux des reins afin de + l’absorption d’eau
193
Q

colon - microbiote : de combien d’espèces différentes est composée la flore cloque

A
  • environ 500 à 30 000
194
Q

colon - microbiote : combien de bact/mL dans le colon

A

1014

195
Q

colon - microbiote : quel type de bact est majoritaire

A
  • anérobes > aérobes
196
Q

colon - microbiote : quand est-ce que ces bact peuvent etre néfastes pour la santé (2)

A
  • si elles envahissent les tissus (diverticulites, colites ischémiques, appendicites, ischémies intestinales…)
  • toutefois, le colon sain les contient sans prob
197
Q

colon - microbiote : qu’assurent les bact

A
  • une sorte de protetcion contre des bact très nuisibles (ex : C. difficile)
198
Q

colon - microbiote : les nutriments non absorbées peuvent etre utilisés par les bact coliques pour leurs propre survie et multiplication : qu’en résulte-t-il (2)

A
  • formation de différents gaz
  • transformation de sucre en AG, qui peuvent etre réabsorbés par diffusion simple
199
Q

colon - motilité colique : décrire la vitesse de transit du colon (2)

A
  • elle est plus lente (vs les autres organes du tube digestif)
  • cela prend 1 à 3 jours pour traverser du caecum à l’expulsion
200
Q

colon - motilité colique : sur quoi est-ce que la vitesse de transit a un impact

A
  • sur la quant d’eau réabsorbée par le colon : + le transit est rapide, + les selles seront liquides
201
Q

colon - motilité colique : qu’est-ce qui influence l’activité des muscles circulaires? qu’est-ce que cela a comme impact?

A
  • la distension des parois coliques
  • ainsi, des contraction intermittente occasionnent des “mouvements de masse)
202
Q

colon - motilité colique : décrire les étapes des contractions coliques (“mouvements de masse”) (3)

A
  • le colon ascendant se contracte lorsque plein durant quelque minutes, évacuant son contenu au colon transverse
  • quelques heures plus tard, le transverse se contractera
  • éventuellement les fécès seront propulsés au rectum et un besoin exonérateur sera perçu
203
Q

colon - motilité colique : comparer les contactions des muscles circulatoires du grele vs colon

A
  • grele : ryhtme régulier de contractions
  • colon : aucun ryhtme reg
204
Q

colon - motilité colique : en quoi sont regroupés les muscles circulaires

A

en haustrations

205
Q

colon - motilité colique : role des muscles circulaires

A

contribuent à former les fèces

206
Q

colon - motilité colique : en quoi sont regroupés les muscles longitudinaux

A
  • en 3 minces bandes, les taenias, qui ne recouvrent pas tout la surface du colon
207
Q

colon - motilité colique : role des taenias

A
  • leur contraction crée des forces soutenues et puissantes qui raccourissient le colon tel un accordéon et contribuent au “mouvement de masse”
208
Q

anorectum - role général

A

assurer la continence

209
Q

anorectum - sensibilité anorectale : qu’est-ce qui la caractérise (2)

A
  • différente du reste du tube digestif : en partie consciente et en partie réflexe
  • cela permet de déféquer dans les moments opportuns et dans un lieu choisi
210
Q

anorectum - sensibilité anorectale : décrire la portion “réflexe” (2)

A
  • l’arrivée du contenu colique dans l’ampoule rectale stimule des tensiorécepteurs de la paroi qui signalent au cerveau un besoin exonérateur
  • cette stimulation déclenche, via le syst nerveux intrinsèque, des réflexes qui assurent la continence, même durant le sommeil
211
Q

anorectum - accommodation réflexe : définir (2)

A
  • relaxation réceptive qui diminue la tension des parois, faisant disparaitre le besoin exonérateur
  • fait en sorte que l’augmentation de pression due à l’arrive du contenu colique n’est que temporaire
212
Q

anorectum - réflexe recto-anal inhibiteur : le décrire (4)

A
  • le sphincter interne se rlache lorsqu’il percoit une + de la pression dans le rectum
  • cest alors qu’une partie du contenu rectal descend dans la partie haute du canal anal
  • cela permet a l’épithélium malpighien de percevoir la nature du contenu (liquide, solide, gazeux) et à l’individu d’adapter sa conduite en fonction
  • ex : → durant notre sommeil on évacue des gaz, mais pas de liquides ou de solides
213
Q

anorectum - réflexe recto-anal excitateur : le décrire

A
  • réflexe sous le controle du système nerveux
  • capacité qui est acquise
214
Q

anorectum - réflexe recto-anal excitateur : que permet-il? comment?

A
  • permet de la défécation soit un choix volontaire en controlant l’ouverture du sphincter anal externe
215
Q

anorectum - réflexe recto-anal excitateur : quels mouvement musculaires permettent une évacuation volontaire de l’ampoule rectale (4)

A
  • relaxation du muscle releveur de l’anus
  • relax des shpncters interne et externe
  • contraction du rectum
  • contraction abdominale
216
Q

anorectum - réflexe recto-anal excitateur : quels mouvement musculaires permettent une continence volontaire (4)

A
  • contraction du muscle releveur de l’anus
  • fermeture des sphincters int et ext
  • relaxation du rectum
  • absence de contraction abdominale
217
Q

tube digestif : décrire les apports endo/exo de liquide (6)

A
  • diète : + 2-3 L
  • salive : +1L
  • sucs gastriques : 2L
  • bile : 1L
  • suc pancréatique : 2L
  • suc entérique : 1L
218
Q

tube digestif : décrire les vol d’absorption liquidienne selon les diff parties (3)

A
  • jéjunum : 5-6 L
  • iléon : 1-2 L
  • colon : 0,5 - 1,5 L
219
Q

tube digestif : décrire le volume de ses sécrétions externes (1)

A
  • selles : 0,2 kg

MED H2022 - SYST DIGESTIF PARTIE 1 (17 decks)

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