E1 - C4 - Percep. Sociale & Congn. Flashcards Preview

PSY-4120 > E1 - C4 - Percep. Sociale & Congn. > Flashcards

Flashcards in E1 - C4 - Percep. Sociale & Congn. Deck (79)
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1
Q

Qu’est-ce qu’un schéma ?

A

Schéma = sorte de racourci cognitif qui peut biaiser ou induire en erreure.

On utilise car oriente attention, facilite emmagasinnage de l’info et le rappel de l’unfo en mémoire. Peut parfoit remplacer l’information manquante en mémoire. Aide à interpréter le mode autour de nous.

2
Q

On a un temps limité et attention limité pour le monde autour de nous.

On va parle d’heuristiquques = bcp info in, jugement simple out.

Heuristiques = nécessite moins d’efforts.

A

INFO

3
Q

• Perceptions sociales :

C’est :
▫ Évaluation, impression ou encore notre compréhension d’un individu ou d’un groupe
▫ Perception du bébé: colère ou peur

A

• Perceptions sociales :

▫ Évaluation, impression ou encore notre compréhension d’un individu ou d’un groupe

4
Q

• Cognitions sociales:

L’ensemble des processus psychologiques ou cognitifs pour émettre un jugement ou une perception sociale

▫ utilisées pour interpréter, analyser, se rappeler l’information provenant du monde social

▫ les cognitions sociales activées dans un contexte précis (ex. le genre) influenceront le type de perception que nous allons avoir (ex. enfant en colère ou qui a peur)

A

• Cognitions sociales:

L’ensemble des processus psychologiques ou cognitifs pour émettre un jugement ou une perception sociale

5
Q

Quels sont les buts des perceptions sociales ?

Donnez 3 exemples:

A

Buts des perceptions sociales :

• Comprendre l’autre et notre environnement
• Reconnaître les caractéristiques distinctes de la
personne: nos impressions
• Déterminer comment agir envers la cible
I.e. : Permet de prédire et de contrôler nos interactions
avec la cible

6
Q

La perception des individus…. c’est toujours

______________

A

La perception des individus…. c’est

approximatif

7
Q

Concernant la perception, identifier le(s) affirmation(s) véridique(s)

  • Un individu peut changer après une perception
  • Les individus peuvent influencer intentionnellement nos perceptions
  • Les individus (cibles) sont des percevants de nous-mêmes

• Les individus sont complexes (ex., apparence, traits,
émotions) et donc nos perceptions sont approximatives

• Le contexte nous permet de donner un sens à l’action de l’individu

A

TOUS VRAI

INFO IMP sur perception

8
Q

• L’environnement social est complexe, nous
devons alors être sélectifs dans nos perceptions

• Temps limité pour évaluer notre contexte social

• Besoin de stratégies cognitives pour aider dans
la prise de décisions efficaces tout en déployant
le minimum d’effort mental

A

INFO

9
Q

Étant donné que les informations sur notre monde sociale sont complexe et nombreuses, en plus d’avoir une capacité d’attention limitée, nous n’avons d’autres choix que de développer des stratégies mentales d’économie.

-

A

Stratégies de simplification :

Utilisation de schémas
Utilisation d’heuristiques

10
Q

Concernant les schémas :

  • Un schéma est une structure mentale qui nous permet d’organiser une grande quantité d’information de façon efficace; basé sur nos expériences (Fiske & Taylor, 1991)
  • Les schémas facilitent le traitement de l’information:
  • Ils orientent l’attention et facilitent l’emmagasinage de l’information et le rappel de l’information en mémoire
  • Les schémas sont à la fois contenu (structure permettant d’organiser l’information nouvelle) et processus (influence comment nous recevons et traitons l’information nouvelle)
A

INFO IMP

11
Q

Qu’est-ce qu’un schéma selon (Fiske & Taylor, 1991)

?

A

• Un schéma est une structure mentale qui nous permet d’organiser une grande quantité d’information de façon efficace; basé sur nos expériences (Fiske & Taylor, 1991)

12
Q

Vrai ou faux

Les schémas facilitent le traitement de l’information en plus d’orienter l’attention et de faciliter l’emmagasinage de l’information et le rappel de l’information en mémoire

A

VRAI

13
Q

Vrai ou faux

Les schémas sont à la fois contenu (structure permettant d’organiser l’information nouvelle) et processus (influence comment nous recevons et traitons l’information nouvelle)

A

Vrai

14
Q

Il existe différents types de schémas:

  • Soi:
  • Personnes:
  • Rôles sociaux:

• Groupes (stéréotypes): facilite la perception et le
traitement d’information d’individus appartenant à un
groupe donné (ex. garçon/fille)
- Les stéréotypes nous incitent à percevoir les membres d’un groupe comme étant tous semblables; on ne porte pas attention aux différences individuelles
- Influencent nos attentes envers les membres d’un groupe donné et comment nous allons interagir avec eux

• Événements significatifs: information emmagasinée sur la succession de faits familiers ou d’événements sociaux

A

Il existe différents types de schémas:

  • Soi: représentation que nous avons sur nous-mêmes et que nous avons emmagasinée dans notre mémoire
  • Personnes: pour chaque personne que nous connaissons, nous avons développé un schéma qui organise ce que nous savons et ressentons envers cette personne
  • Rôles sociaux: information emmagasinée sur nos attentes envers les membres de la société (ex. rôles homme/femme; occupations)

• Groupes (stéréotypes): facilite la perception et le
traitement d’information d’individus appartenant à un
groupe donné (ex. garçon/fille)
- Les stéréotypes nous incitent à percevoir les membres d’un groupe comme étant tous semblables; on ne porte pas attention aux différences individuelles
- Influencent nos attentes envers les membres d’un groupe donné et comment nous allons interagir avec eux

• Événements significatifs: information emmagasinée sur la succession de faits familiers ou d’événements sociaux

15
Q

Concernant les schémas, on ne peut pas confondre exactitude avec efficacité (ou rapidité) car …. ?

A

car nos schémas peuvent être efficaces, sans être exacts !

16
Q

Vrai ou faux

Les schémas peuvent affecter la précision de nos
perceptions des autres, et donc notre jugement

A

VRAI

17
Q

Vrai ou faux

Les stéréotypes, une forme de schéma, favorisent les
préjugés et la discrimination

A

VRAI

En plus, on porte plus attention à l’information qui soutient nos stéréotypes.

18
Q

Qu’est-ce que la corrélation illusoire ?

A
Tendance à surestimer l’association entre deux
variables qui sont légèrement ou pas du tout liées
entre elles (impression erronée).
19
Q

Afin d’étudier la corrélation illusoire, simulation de l’étude de Hamilton & Gifford (1979):

L’occurrence simultanée de deux événements distincts,
tels qu’être membre d’un groupe minoritaire et poser des gestes négatifs, a probablement plus attiré notre
attention et a donc causé une impression erronée de la relation entre les deux variables.

A

Cet exemple montre le phénomène de la corrélation
illusoire: impression erronée que deux variables sont
corrélées.

20
Q

L’occurrence simultanée de deux événements

distincts mène souvent à ____________

A

la corrélation illusoire (Ou post hoc ergo proter hoc)

21
Q

Ceci sont des exemples de la _________

▫ Mon équipe préférée gagne toujours lorsque je porte
mon chandail rouge.

▫ Il pleut toujours après que j’ai lavé ma voiture.

▫ Le téléphone sonne toujours lorsque je suis dans la
douche.

A

la corrélation illusoire (Ou post hoc ergo proter hoc)

22
Q

La corrélation illusoire est une des raisons pour
laquelle les individus développent des préjugés

▫ On surestime la relation entre les événements
négatifs distincts et les groupes minoritaires

A

La corrélation illusoire est une des raisons pour

laquelle les individus développent des préjugés

23
Q

Les _________ nous permettent de réduire de
l’information complexe en des jugements
simples (Kahneman, 2003)

A

Les heuristiques nous permettent de réduire de
l’information complexe en des jugements
simples (Kahneman, 2003)

24
Q

• 5 types d’heuristiques:

▫ Heuristiques de représentativité
▫ Heuristiques de disponibilité
▫ Heuristiques par simulation
▫ Heuristiques d’ancrage
▫ Heuristiques affectives
A
• 5 types d’heuristiques:
▫ Heuristiques de représentativité
▫ Heuristiques de disponibilité
▫ Heuristiques par simulation
▫ Heuristiques d’ancrage
▫ Heuristiques affectives
25
Q

Qu’est-ce que l’heuristiques de représentativité ?

Exe :

Est-ce qu’un individu fait partie d’une catégorie
particulière (personne typique)?

Exemple :
Linda a 31 ans, célibataire, intelligente et
franche. Elle a étudié la philosophie au CEGEP.
Aux études, elle était particulièrement intéressée
par la discrimination et d’autres problèmes
sociaux. De plus, elle a participé à plusieurs
démonstrations contre les guerres nucléaires.

Basé sur cette description, lequel des choix
suivants est le plus probable?
a) Linda travaille dans une banque
b) Linda travaille dans une banque et fait partie du
mouvement féministe

b = car concordance avec schéma qui a été activé juste avant.

Toutefois, les chances que Linda travaille dans une
banque ET qu’elle fasse partie du mouvement féministe ne peut pas être plus probable que le choix a, qui comprend juste le fait qu’elle travaille dans une banque. CAR Statistiquement, l’occurrence de deux faits simultanés ne peut pas être plus probable qu’un
seul fait (Tversky & Kahneman, 1983).
A

L’heuristique de représentativité associe l’information
provenant de notre environnement social à un schéma
déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent

▫ Si les deux correspondent, le schéma activé sera alors utilisé pour permettre le traitement de l’information sociale.

Exe :

Est-ce qu’un individu fait partie d’une catégorie
particulière (personne typique)?

Statistiquement, l’occurrence de deux faits
simultanés ne peut pas être plus probable qu’un
seul fait (Tversky & Kahneman, 1983).

26
Q

Qu’est-ce que l’heuristiques de disponibilité ?

Exemple :
Étant donné que les souvenirs d’accidents d’avion
sont facilement accessibles dans notre mémoire,
plusieurs pensent qu’ils sont plus à risque lorsqu’ils
voyagent en avion qu’en voiture.

▫ En réalité, de 2000 à 2009, les risques de décès chez les Américains étaient 200 fois plus élevés pour les accidents de voiture que d’avion (National Safety Council, 2014)
.
Accident d’avion = impressionnat, vite en tête
VS nbre accident de voitures

• Étude de Schwarz et al., 1991
- L’influence des souvenirs accessibles: La tendance à
s’affirmer.

Tâche :
Pensez à 6 fois où on s’est affirmé VS 12 fois. PLus c’est accessible, plus c’est caractéristique de la situation. Donc groupe où 6 fois se pensent plus affirmatifs que le groupe de 12 fois (dur à trouver 12 exemples).

A

Influencés par le nombre d’exemples qui nous
viennent en tête; processus par lequel on utilise
l’information que l’on peut se rappeler rapidement
pour porter un jugement (Tversky & Kahneman, 1973)

27
Q

Qu’est-ce que l’heuristiques par simulation ?

Utilisées pour imaginer ce qui va se passer dans le futur, ou ce qui s’est déjà passé.

Exemples :

Réactions envers un échec?

  • Plus les possibilités sont rapides et spontanées, plus elles seront jugées comme étant probables
  • Décortiquer les situations pour imaginer des alternatives (ex. médaille d’or vs argent)

argent OU bronze = argent mais non ! (erre diapo). Car celle argent = pensent à tt ce quelle aurait pu faire pour avoir l’or VS bronze qui pensent à tt ce qui aurait fait qui aurait rien eu.

Étude de Kahneman et Tversky (1982):
On présente aux participants une situation qui décrit deux hommes qui ont manqué leurs avions. Le premier a manqué son avion de 30 minutes, et le deuxième de 5 minutes (son avion était en retard).
▫ Dans ce scénario, qui sera le plus fâché?

A

Car personne manqué avion de 5 min peut plus facilement imaginer des petits changements qu’il aurait pu faire pour arriver à temps.

+ faché car heuristique par simulation.
Peut provoquer BCP de blâme personnel (j’aurais dü…)

28
Q

Qu’est-ce que l’heuristiques d’ancrage ?

Utilisation d’une information de base pour se former une impression dans des situations ambigües ou pour lesquelles nous avons peu d’informations (Tversky & Kahneman, 1974)

Ex. paiement minimum sur une carte de crédit:
▫ Les gens ont tendance à payer un montant moins élevé sur leur carte de crédit car ils se basent sur le paiement minimum nécessaire (Stewart, 2008)
= Lorsque ce montant n’est pas indiqué, les personnes payent un montant plus élevé

A

Heuristiques d’ancrage:

Utilisation d’une information de base pour se former une impression dans des situations ambigües ou pour lesquelles nous avons peu d’informations (Tversky & Kahneman, 1974)

29
Q

Qu’est-ce que l’heuristiques affectives ?
Les _________ ________(peur, plaisir, surprise), souvent inconscientes, peuvent servir de substitues dans les jugements plus complexes (Slovic et al., 2002).

  • Souvent utilisées pour évaluer les avantages et les risques :
  • Plus le sentiment est positif: + d’avantages, - d’inconvénients
  • Plus le sentiment est négatif: - d’avantages, + d’inconvénients

Exemples :
sentiments envers les mots « cancer des poumons » utilisés dans la formation de nos jugements

Visages tristes OU positifs présenté subliminalement. Apprécie plus le caractère présenté consciemmen si ‘‘subi’’ présentations de visages positifs.

A

les émotions affectives (peur, plaisir, surprise), souvent inconscientes, peuvent servir de substitues dans les jugements plus complexes (Slovic et al., 2002).

30
Q

L’heuristique _____________ associe l’information
provenant de notre environnement social à un schéma
déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent

A

L’heuristique de représentativité associe l’information
provenant de notre environnement social à un schéma
déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent

31
Q

Utilisées pour imaginer ce qui va se passer dans le futur, ou ce qui s’est déjà passé. __________

A

l’heuristiques par simulation

32
Q

Les émotions affectives (peur, plaisir, surprise), souvent inconscientes, peuvent servir de substitues dans les jugements plus complexes (Slovic et al., 2002) sont aossicé à l’heuristique ___________

A

Heuristiques affectives: les émotions affectives (peur,
plaisir, surprise), souvent inconscientes, peuvent servir de substitues dans les jugements plus complexes (Slovic et al., 2002).

33
Q

L’heuristique ______________ = Utilisation d’une information de base pour se former une impression dans des situations ambigües ou pour lesquelles nous avons peu d’informations (Tversky & Kahneman, 1974)

A

Heuristiques d’ancrage:
Utilisation d’une information de base pour se former une impression dans des situations ambigües ou pour lesquelles nous avons peu d’informations (Tversky & Kahneman, 1974)

34
Q

Tversky & Kahneman (1974) ont également montré que des points d’encrage différent = ______ ______

Tâche :
On demande aux participants de calculer en 5 sec, soit:
▫ 1 x 2 x 3 x 4 x 5 x 6 x 7 x 8 ou l’inverse,
▫ 8 x 7 x 6 x 5 x 4 x 3 x 2 x 1
• Par manque de temps, les participants doivent estimer le produit en fonction des premiers calculs….

A

Point d’encrage différent, estimé différent.

35
Q

Quels sont les jugements associé aux heuristiques ?

• 5 types d’heuristiques & de jugement

▫ Heuristiques de représentativité /
▫ Heuristiques de disponibilité /
▫ Heuristiques par simulation /
▫ Heuristiques d’ancrage /
▫ Heuristiques affectives /
A

• 5 types d’heuristiques:

▫ Heuristiques de représentativité / probabilité
▫ Heuristiques de disponibilité / Fréquence
▫ Heuristiques par simulation / Ce qui pourrait se produire
▫ Heuristiques d’ancrage / Position sur une dimension
▫ Heuristiques affectives / Appréciation

36
Q

• Les schémas et les heuristiques nous guident dans
le processus du traitement de l’information.

• Nous percevons seulement une partie de ce qui
existe dans le monde extérieur (l’attention), nous
enregistrons seulement une partie de ce que nous
percevons (l’emmagasinage) et enfin nous nous
rappelons seulement une partie de ce qui a été
emmagasinée dans notre mémoire (le rappel).

• Le traitement de l’information sociale nous permet
ensuite de poser des jugements.

A

INFO IMP

37
Q

Vrai ou faux

Nous percevons plus facilement ce qui est cohérent
avec notre schéma

A

Vrai

38
Q

Vrai ou faux

Ce qui attire l’attention d’une personne pourrait ne pas attirer l’attention d’une autre car on porte moins attention aux informations qui ne correspondent pas à notre schéma (dépend de nos motivations….).

A

VRAI

39
Q

Saillance des schémas: Étude de Kelley (1950)

Tâche :
Professeur invité
Grp1 : présentation comme : Personne froide, critique, déterminée
Grp 2 : Personne chaleureuse, critique, déterminée

Dans les deux conditions, le professeur donne le
même cours de la même façon

Résultats :
Professeur « chaleureux » évalué plus positivement

A

On voit tt mm chose mais sur ce quoi un porte attention = diffère en fct sch.ma activé par exemple.

+ qq chose en lien avec notre schéma + ça nous aute aux yeux

40
Q

De ce que nous percevons, seulement un
certain pourcentage sera emmagasiné en
mémoire. On appel cela ____________

A

L’entreposage

41
Q

L’information est plus facilement entreposée
en mémoire si on possède déjà un _______
organisé pour l’information donnée

Ex. accident avion + courant. = Porte + atention à ces nouvelles. On fait eds liens avec ce qu’on connais déjà aussi. Si j’ai perception de personne comme X = porte plus attention à cela et rentient plus. P.ex. : conjoint bad = enregistre + bad things = liste dans tete.

A

L’information est plus facilement entreposée
en mémoire si on possède déjà un schéma
organisé pour l’information donnée

42
Q

L’information emmagasinée / entroposé par le moyen de nos schémas peut être de différents types:

▫ les comportements
▫ les traits
▫ l’apparence
▫ peut être riche et diversifiée, ou limitée
▫ dépend du degré de connaissance de la personne ou
du groupe en question

A

INFO

43
Q

Influence de l’entreposage initial sur les
perceptions subséquentes (Anderson, Lepper, & Ross, 1980)

TÄCHE:
1. Informations sur la performance (prise de risques) de 2 pompiers: un «bon» et un «moins bon»

▫ Groupe 1: les pompiers qui prennent des risques
sont meilleurs que ceux qui en prennent moins
▫ Groupe 2: les pompiers qui prennent des risques
sont moins bons que ceux qui en prennent moins

  1. On demande aux participants de nous fournir des
    raisons pour soutenir ces observations: permet aux
    participants de former des perceptions en accord
    avec la description proposée.
  2. Session Post-Expérimentale: Présentation
    d’information qui contredit l’info fournie à l’étape 1

Question : Est-ce que cela change les perceptions des participants?

A

Mm si on dit pas vrai, gens gardent leur opinion biaisé.

Problématique avec schéma = une fois formée = difficile à changer.

44
Q

Mm si on dit pas vrai, gens gardent leur opinion biaisé.

Problématique avec schéma = une fois formée = difficile à changer.

A

Mm si on dit pas vrai, gens gardent leur opinion biaisé.

Problématique avec schéma = une fois formée = difficile à changer.

45
Q

Le rappel
• Réfère à l’information qui, une fois emmagasinée dans la mémoire, peut être récupérée par la personne

• Le rappel se fait en fonction des schémas existants
▫ Information COHÉRENTE plus facilement accessible

A

Le rappel
• Réfère à l’information qui, une fois emmagasinée dans la mémoire, peut être récupérée par la personne

• Le rappel se fait en fonction des schémas existants
▫ Information COHÉRENTE plus facilement accessible

46
Q

Qu’est-ce qui arrive lorsqu’on reçoit de l’information

non-conforme à notre schéma?

A

Au lieu de modifier notre schéma, on se rappelle l’info
en lien avec le schéma.

Double effet: On a tendance à oublier l’information
contradictoire et à conserver notre schéma initial
– Renforce notre schéma, même si celui-ci est erroné!
– Sert à maintenir les stéréotypes

47
Q

Double effet : On a tendance à oublier l’information
contradictoire et à conserver notre schéma initial

– Renforce notre schéma, même si celui-ci est erroné!
– Sert à maintenir les stéréotypes

A

INFO IMP

mm quand info contradictoire = double effet = ignore info contradic ET maintient schéma existant (maintenir stéréotypes.
Cmt briser ? Plein de variables comme expositions (derniers cours)

48
Q

Sur le RAPPEL : Étude de Lord, Ross, & Lepper (1979)

Tâche :
▫ On présente à des participants qui s’opposent à la
peine capitale de l’information contre leur opinion.

▫ Ensuite, on évalue de nouveau leur opinion envers
la peine capitale.

▫ Résultats: …..

  • Dépend tjrs de ….
A

▫ Résultats: Opinions encore plus polarisées!

Dépends tjrs de notre motivation et du temps à y mettre. si on fait ça vite = ces résultats. Mais dans vie de tt les jours, pas de temps pour penser à tt avant porter jugement.

49
Q

Quels sont les 4 étapes de Wyer et Radvinsky (1999) concernant le jugement
1. __________ des comportements sur un concept
général
2.___________ générale de la cible
3. Interprétation des comportements subséquents sur
la base de l’évaluation
4. Jugement basé sur l’évaluation générale

A

Les 4 étapes de Wyer et Radvinsky (1999):
1. Interprétation des comportements sur un concept
général
2. Évaluation générale de la cible
3. Interprétation des comportements subséquents sur
la base de l’évaluation
4. Jugement basé sur l’évaluation générale

50
Q

Vrai ou faux

On peut dire que le jugement est généralement rapide et basé sur une évaluation générale.

A

Le jugement est généralement rapide et basé sur une évaluation générale.

51
Q

Vrai ou faux :

Les schémas jouent un rôle important à toutes
les étapes du processus de traitement de
l’information.

A

VRAI

52
Q

Vrai ou faux

Malgré l’efficacité des schémas et des
heuristiques pour porter des jugements, ces
stratégies peuvent mener à des croyances
erronées, à des biais dans l’information perçue
et retenue en mémoire et à des erreurs
perceptuelles et à des biais importants.

A

VRAI

53
Q

L’influence du contexte :
- Le contexte permet au percevant de donner un sens à ce qu’il observe.

  • Le contexte favorise l’amorçage de certains schémas liés à la situation.
  • Amorçage: L’activation de structures cognitives
    par le contexte social actuel.
  • L’activation de ces structures cognitives (même
    subliminalement) influence nos perceptions et
    nos comportements.
A
  • L’activation de ces structures cognitives (même
    subliminalement) influence nos perceptions et
    nos comportements.
54
Q

Amorcage = activation de certains schéma (structures cognitives)

A

Amorçage: L’activation de structures cognitives

par le contexte social actuel.

55
Q

Étude :
L’amorçage et les processus automatiques (Bargh & Pietromonaco, 1982)

Tâche :
• Phase 1:
- Assignation aléatoire des participants à des conditions où l’on fait varier le pourcentage de mots associés à l’hostilité (0% groupe control, 20% et 80%).
- Activation subliminale
• Phase 2:
▫ Lecture d’une description ambigüe de Donald
▫ Impression de Donald

• Résultats:

A

Ceux cdt subliminale hostilité = Évalue dude dans histoire plus hostile.

• Résultats:
Les participants qui ont été exposés à des mots d’hostilité à 80% ont évalué Donald plus négativement que ceux des deux autres groupes
▫ En activant le schéma associé à une personne hostile, Donald a été perçu comme étant plus hostile

Dans la période de 10 min, plus d e60% qui ont eu msg inconscitn impoli = imppoli avec chercheurs qui était en ‘‘convo’’ avec qq1 d’autres.

56
Q

Les cognitions corporelles et le embodiment.

Embodiment =

A

Étude du lien corps-esprit et des apprentissages sensoriels : l’influence de nos états internes (émotions) sur notre état physique

57
Q

Oosterwijk et al., 2008: l’activation des émotions, fierté et déception, et l’effet sur la posture

A

INFO

58
Q

2e étude sur embodiment : Kille, D. R., Forest, A. L., & Wood, J. V. (2013).

Compléter des questionnaires sur un bureau et
une chaise stables versus instables: influence nos
perceptions de notre stabilité de couple, de notre
niveau d’engagement et de notre satisfaction
relationnelle

En bref :
Gens questionnaire sur bureau instable, ensuite bureau stable questionnaire couple, influencer perception couple comme étant plus instable.

A

En bref :
Gens questionnaire sur bureau instable, ensuite bureau stable questionnaire couple, influencer perception couple comme étant plus instable.

59
Q

Utilisons-nous toujours des raccourcis

lors de nos perceptions sociales?

A

Oui mais la motivation et l’occupation cognitive jou sur cela. Plus les conséquence sont importante, plus on porte attention, moins on utilise de schéma

60
Q

Caractéristiques du percevant:

▫ Motivation: Quel est le coût associé à une perception
erronée? Quelle en sera la conséquence?
Ex. membre d’un jury qui doit se prononcer sur la
culpabilité d’une personne accusée d’un meurtre…

▫ Occupation cognitive: Elle diminue la précision de
nos perceptions sociales

A

Plus les conséquence sont importante, plus on porte attention, moins on utilise de schéma

61
Q

Vrai ou faux

Plus les conséquence sont importante, plus on porte attention, moins on utilise de schéma

A

VRAI

Plus les conséquence sont importante, plus on porte attention, moins on utilise de schéma

62
Q

Comment les cibles influencent-elles nos
perceptions d’elles?

• L’apparence physique: un des déterminants les
plus importants lors des perception sociales

• La voix: des voix douces au ton aigu
suscitent des impressions de soumission
et de sincérité beaucoup plus que des
voix fortes et au ton grave

• L’habillement et la propreté

• La communication non-verbale: le regard, les
gestes

Peut-on distinguer faux sourires des vrais ? Nos perceptions ne sont pas tjrs bonnes !

• L’adoption de stratégies appropriées : Si les
actions du percevant envers la cible ne correspondent pas aux attentes de la cible, celle-ci peut agir de façon à influencer les perceptions du percevant.

A

Oui. Gens attirant = on leur donne pleins de caractéristiques positives. Surtout si on doit faire jugement rapide.
Voix doux & aigu = soumis. Voix grave et frote = dominant.
-Ça active des schéma.
-Pareil pour linge + on adhére aux normes, plus ont est jugés positivement (jugements rapide)

63
Q

La cible jou un rôle

Passif
Actif

A

Actif !

Le désir de la cible d’être perçue comme elle se
perçoit elle-même.
▫ Le dévoilement d’indices sur notre identité
(vêtements, comportements et apparence
physique)

64
Q

Vrai ou faux

Le désir de la cible d’être perçue comme elle se
perçoit elle-même.

A

VRAI

Le désir de la cible d’être perçue comme elle se
perçoit elle-même.

▫ Le dévoilement d’indices sur notre identité
(vêtements, comportements et apparence
physique)

65
Q

Vrai ou faux

Si les actions du percevant envers la cible ne correspondent pas aux attentes de la cible, celle-ci peut agir de façon à influencer les perceptions du percevant.

A

VRAI

• L’adoption de stratégies appropriées : Si les
actions du percevant envers la cible ne correspondent pas aux attentes de la cible, celle-ci peut agir de façon à influencer les perceptions du percevant.

Exemple d’interaction parent enfant (de leur interperceptions)

66
Q

Jeanne, qui s’évalue positivement, va agir de
manière plus agréable envers Julie afin que cette
dernière partage la perception de Jeanne.

Ceci est une façon que la cible influence son observateur et ce nomme ____________

A

L’adoption de stratégies appropriées :

67
Q

Les relations sont ______

A

réciproques

68
Q

Nous utilisons des stratégies permettant de
solliciter les informations qui sont de nature à
confirmer nos croyances ou nos schémas envers
les autres (Snyder & Klein, 2005).

A

IBNFO

69
Q

Vrai ou faux

On agit de façon à confirmer nos croyances relatives aux gens qui nous entourent.

A

VRAI !!

70
Q

La vérification confirmatoire des hypothèses
comprend deux types de comportements:

▫ des perceptions biaisées des comportements
manifestés par la cible

▫ la manifestation de comportements spécifiques conduisant à aller chercher l’information qui confirme nos hypothèses

= étude de Snyder & Swann, 1978

A

INFO

71
Q

Étude de Snyder & Swann, 1978

Tâche :
Les étudiants devaient questionner d’autres étudiants dans le cadre d’une étude en laboratoire. La moitié des participants devaient déterminer si la cible était extravertie et l’autre moitié si la cible était introvertie.

A

INtravertie VS extravertie = 2 schéma activé différent.
Résultats : Quand on devait déterminé extraversion chez qq1, pose + de questions qui confirme extraversion et dans autre groupe, des questions plus intraverstie = biais.

On a déjà attentes envers personne et influe type de questions.

Conclusions :

On cherche à se valider dans nos attentions
Schéma oriente attention qui oriente comportement qui valide schéma***

72
Q

Vrai ou faux

Selon Snyder & Swann, 1978, on cherche à se valider dans nos attentions.

A

VRAI

On cherche à se valider dans nos attentions
Schéma oriente attention qui oriente comportement qui valide schéma***

73
Q

Lorsque les croyances erronées du percevant
poussent la cible à adopter des comportements
conformes aux attentes du percevant (Merton,
1948).

• La prophétie qui s’auto-réalise perpétue les
croyances erronées.

A

Les prophéties qui s’autoréalisent

74
Q

Les prophéties qui s’autoréalisent

Attentes du percevant (il ne m’aime pas)
—>
Comportements du percevant envers la cible (percevant démontre colère)
—>
Comportements de la cible envers le percevant (cible réagit en s’éloignant)

Bein j’l’avais dit !

A

exemple
On vient solliciter chez l,autre le comportement attendu

Mon comportement a fait sortir ce compo

exemple avec enseignantes = ces enfants là sont vrm douée. = Prof agit différemment + de chances +de temps = nos attentes viennent solliciter chez l,autre ce qu’on veux voir.

75
Q

Est-ce le percevant ou la cible qui réussira à
changer la perception de l’autre? Ça dépend!

▫ La capacité des individus à résister aux influences des percevants dépend de leur certitude à l’égard de leurs propres perceptions (Swann & Ely, 1984).

▫ Si la cible est certaine de sa perception d’elle-même
(ex. extravertie vs introvertie), le percevant aura plus
de chance de partager la perception de la cible.

A

▫ La capacité des individus à résister aux influences des
percevants dépend de leur certitude à l’égard de leurs
propres perceptions (Swann & Ely, 1984).
▫ Si la cible est certaine de sa perception d’elle-même
(ex. extravertie vs introvertie), le percevant aura plus
de chance de partager la perception de la cible.

***Quand on est sûr de nous-même, l’autre ne peut pas nous influencer.

76
Q

Vrai ou faux

Quand on est sûr de nous-même, l’autre ne peut pas nous influencer.

A

VRAI

Swann et Ely, 1984:

77
Q

Swann et Ely, 1984:
Le percevant a des attentes certaines ou pas sur la
cible (extravertie ou introvertie) qui sont à l’inverse
des perceptions de la cible. Comment la cible
réagira-t-elle?

A

On check qui va influencer qui. Cible ou percevant ?
-Percevant = personne intraverti (alorsque la cible est extraverti) et vice-versa et on regarde qui influence quoi.

Cible agit en fct de sa personnalité quand sûr de nous mm et change perception du percevant,**

78
Q

Conclusions Swann et Ely, 1984:

Si la cible était certaine de sa perception d’ellemême,
elle agit conformément à sa personnalité, peu importe les attentes du percevant.

– Ceci amène le percevant à réviser sa perception
de la cible

TOUTEFOIS… lorsque les cibles sont incertaines, mais
que les percevants sont certaines:

Les percevants réussissent à influencer les comportements de la cible de façon à les amener à agir conformément à leurs croyances.

A

En somme, les attentes des percevants peuvent avoir une influence sur les comportements des cibles…. mais elles n’incitent pas celles-ci a agir en opposition avec les
perceptions d’elles-mêmes profondément ancrées.

Si dit bon a rien pis incertain = tendance à croire cela.

+ ambigue sur nous + influencable par opinion des autres ont sur nous.

79
Q

Exemple de question d’examen : dans le 1er cours, figures importantes (triplet) Kurklouin, philosphes = pourraient etre examen **

  • Dans son projet de recerche, veut quesitonnaire évaluer cople. veut sassurer que test bien satisfaction : =validité de construit / test-retest- etc..
  • Lui dit mieux que les autres mais tendant à se rehausser lorsque réaction négative : il possède : estime de soi implicite élevé, ES faible, =ES fragile, Aucune de ses réponse

.- Triplett psy sociale imp, pk ? -réalise 1er étude en psy social, rédigé manuel psy social découvre facilitation sociale =1er étude et facilitation sociale *** imp. Q comme ça = premier cous.

  • Kim et Markus diff culture NA et asiatiue, style unique, ceci démontre quoi ? (Elle donne mini description détude. Montre qui ? = distinctivité dans culture NA .. ou anto-évalua .et autres shits…
A

Exemple de question d’examen : dans le 1er cours, figures importantes (triplet) Kurklouin, philosphes = pourraient etre examen **
-Dans son projet de recerche, veut quesitonnaire évaluer cople. veut sassurer que test bien satisfaction : =validité de construit / test-retest- etc..
-Lui dit mieux que les autres mais tendant à se rehausser lorsque réaction négative : il possède : estime de soi implicite élevé, ES faible, =ES fragile, Aucune de ses réponse
.- Triplett psy sociale imp, pk ? -réalise 1er étude en psy social, rédigé manuel psy social découvre facilitation sociale =1er étude et facilitation sociale *** imp. Q comme ça = premier cous.
- Kim et Markus diff culture NA et asiatiue, style unique, ceci démontre quoi ? (Elle donne mini description détude. Montre qui ? = distinctivité dans culture NA .. ou anto-évalua .et autres shits…