EMG Flashcards
(23 cards)
Les fonctions motrices s’expriment par
la contraction qui est dépendant directe des
motoneurones.
EMG DEF
influx électrique reflétant la contraction
musculaire.
Neurones au niveau de la corne antérieure de la
ME, où il y a de la substance blanche et grise (qui
contient les neurones). Donc neurones dans la
corne antérieure, qui sortent de la moelle, dont le
prolongement rejoint le SNP pour se fixer sur les
fibres musculaires. Induit un message nerveux,
déclenchant la contraction.Enregistrement d’un signal, qui va permettre d’évaluer la force de contraction et le
niveau d’activité des neurones. Méthode non-invasive pour étudier le mouvement et
les régions du SN qui contrôlent le mouvement.
Tous les mouvements dépendent de
Motoneurone
Les neurones vont recevoir des influences multiples venant de … et ql sont les conséquences
De la périphérie et de la région au-dessus de la ME. Action des neurones modifiée par ses influences. Modes opératoires qui font varier le
mode de contraction.
Quelles sont les régions du SN qui participent au mouvement ?
Donc EMG : étude du système sensorimoteur.
La première hypothèse sur le rôle du système nerveux central : la transmission de
l’information et son aspect cellulaire.
Pour Sherington le neurone est
neurones sont à l’origine du mouvement
Ibn
Sina.
tenté de compiler les connaissances médicales de l’Antiquité et de la médecine
arabe. Ensuite, a ajouté ses observations, qui ont permis de comprendre certaines
maladies, comme le diabète, la
tuberculose, et fait le lien entre peste et
rats. Il a essayé de comprendre comment
fonctionnait la circulation sanguine,
sang qui part du cœur et va vers les
poumons, puis retourne vers le cœur. Un
des premiers à décrire l’organisation des
nerfs chez l’être humain. Manuscrit
« Canon de la médecine », traduit en
latin, utilisé dans toute l’Europe, en
France et en Italie.
Luigi Galvani
Joue un rôle car permet de contracter les muscles, produite par l’animal. A l’intérieur,
électricité qui se propage, et à l’extérieur, substance blanche (myéline) qui sert
d’isolant. Il va être un des premiers à dire que la contraction dépend de l’électricité,
qui va être produite par l’animal.
Santiago Ramón y Cajal
été le premier à déterminer
qu’il y avait des cellules dans le cerveau.
La cellule est polarisé, contient un noyau qui
contient du matériel génétique, et à l’extérieur,
le cytoplasme, contenant des filaments qui
donnent la forme et permettent la mobilité de
la cellule. C’est un réseau très dense, il est
difficile d’identifier des entités.
Cajal observe avec des colorations au microscope
Eccles et Sherington
vont développer les
méthodes avec enregistrement de la décharge avec électrodes implantées. Avec ces
électrodes, cela a contribué à développer la compréhension du fonctionnement du
SNC
Études de neurophysiologie moderne ont débuté sur ql animale
Chat
Expérience de Sherington :
mise en évidence du
réflexe d’étirement. Mécanisme qui met en jeu des
fibres sensitives dans les nerfs. Il va enregistrer
chez un chat, ayant subi une section de la ME, pour
s’affranchir des influences issues du cerveau. Chat
allongé sur une planche, et mesure de la contraction
dans les pattes postérieure, avec un myogramme.
D’abord, le muscle est relié à la moelle par un nerf.
Le chat va incliner la planche, entraînant un
étirement, et enregistrant une contraction. Ensuite,
nerf sectionné, et là, il remarque que la réponse
réflexe est supprimée.
Première réponse sur la ME. Le réflexe
d’étirement met en jeu les fibres dans le nerf, sinon,
plus de réflexe.
Ensuite, plusieurs travaux réalisés. Le réflexe met en jeu des fibres
mettant en jeu des FNM, sensibles à l’étirement. Fibres non
longitudinales, présentent une région plus renflée, contenant les noyaux accumulés. Autour de ces fibres, des fibres sensitives viennent s’enrouler. Lorsque le muscle est étiré, décharge électrique dans les fibres, le nerf va revenir dans la ME, et la fibre va rentrer dans la ME et modifier le fonctionnement des neurones dans la ME.
LE RÉFLEXE MYOTATIQUE
Définition :
réflexe myotatique est la contraction brève d’un muscle déclanché par son
propre étirement. Dans le cas, le muscle est a la fois capteur et effecteur de la réponse.
C’est ce type de réflexe qui est declanché par un médecin lorsqu’il frappe un coup de sec
sur un tendon musculaire.
Dans les années 1950, Hoffman
va caractériser ce réflexe et montrer que les fibres Ia
connectent directement, par la déduction de la rapidité de la réponse des Ia.
Étude des réflexes : Méthode reflex H ou T
Méthode H (Hoffman) : stimulation électrique au creux poplité → enregistrement EMG.
Réponse précoce = activation directe des axones moteurs.
Réponse réflexe = activation via les fibres sensitives Ia.
Plus l’intensité ↑, plus la contraction ↑ jusqu’à saturation (réponse maximale).
Réflexe tendineux
Percussion d’un tendon → activation des organes tendineux de Golgi.
Méthodes d’études non-invasives chez l’Homme des réseaux spinaux
EMG : le cycle de la marche
EMG synchronisé avec cycle de marche :
Étude des activations musculaires (quadriceps, tibial antérieur, soléaire).
Résultats :
À vitesse confortable → contrôle automatique (réflexes spinaux).
À vitesse modifiée → implication du cortex moteur.
Méthode du PSTH :
décharge et fréquence de la décharge d’une unité motrice.
Pour le TC, on a la stimulation galvanique (mastoïdienne), qui applique un courant
électrique appliqué au niveau des mastoïdes. Stimulation du vestibule, récepteur qui
intervient dans le contrôle de la posture. Ce récepteur est connecté aux noyaux
vestibulaires (dans le TC), qui vont se projeter sur les neurones de la ME et intervenir sur
la posture.
On peut étudier l’activité des muscles lisses, comme la vessie, où l’on place un capteur
pour regarder comment se distend la vessie, observer les réflexes végétatifs.
TMS : stimulation magnétiques
transcrâniennes :
Pour étudier les mécanismes
de plasticité cérébrale. Méthode développée
dans les années 1985, qui consiste à produire un
champ magnétique à partir d’une bobine par un
stimulateur. Décharge qui se propage dans la
bobine et créée un champ magnétique. On pose
la bobine au-dessus du crâne du sujet.
PSTH (Post Stimulus Time Histogram)
Analyse de la décharge d’une unité motrice unique.
Étude fine de la fréquence de décharge en réponse à une stimulation.
TMS (Transcranial Magnetic Stimulation)
Stimulation magnétique ciblée sur le cortex moteur :
Activation des cellules pyramidales.
Induction ou inhibition temporaire de l’activité neuronale.
Permet d’étudier la plasticité cérébrale et les connexions cortico-spinales.
Stimulation galvanique mastoïdienne
Activation du vestibule (contrôle de la posture) par électrostimulation des mastoïdes.
Résultat : modulation de l’activité des muscles posturaux (ex : soléaire).
Stimulation calorique
Injection d’eau chaude ou froide dans l’oreille.
Évalue la réponse vestibulaire → test clinique des noyaux vestibulaires.
Circuits neuronaux moteurs importants
Interneurones propriospinaux :
Reçoivent influences périphériques (muscle) + corticales (cerveau).
Assurent l’automatisation de la marche.
Modification du recrutement musculaire selon vitesse et contexte :
Plus rapide = activation réflexe + corticale.