Geriatrie Flashcards

1
Q

critères de Fried

A
    1. Perte de poids involontaire dans la dernière année.
    1. Impression subjective de fatigue.
    1. Réduction des activités physiques.
    1. Vitesse de marche <0,60m/s : critère le plus important de la fragilité/ préduit a lui seul la mortalité
    1. Force musculaire (mesure par hand grip)

Trois critères sur cinq pour définir la vulnérabilité du sujet ÂGÉ

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2
Q

Longévité moyenne

A

Durée de vie biologiquement programmée en conditions idéales

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3
Q

Longévité maximale

A

Durée de vie maximale observée

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4
Q

Espérance de vie

A

Nombre moyen d’années de vie pour une classe d’âge donnée

  • l’espérance de vie à 60 ans a augmentée de près de 50% entre 1950 et 2010
  • L’espérance de vie est dépendante desux de mortalité
  • la courbe d’espérance de vie qui a le plus progressée ces 50 dernières années : L’espérance de vie à 65 ans
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5
Q

Espérance de vie sans incapacité

A

Nombre moyen d’années sans handicap

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6
Q

paramètres biologiques inchangés au cours de la vieillesse

A

Paramètres cardio-vasculaire
• débit et la fréquence cardiaques de repos.
• La fraction d’éjection

Paramètres pulmonaires
• PaCO2 (À part elle tout le reste diminue)

Paramètres métabolique
•Besoins alimentaires inchangés

Paramètres nerveux
•Tonus, sensibilité nociceptive, Fonctions motrices

Paramètres immunologiques
•Fonction humérale (VS fonction immunologique à médiation cellulaire liée lymphocytes T qui change et diminue)

Fonction psychique
•Personnalité inchangée

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7
Q

Modification du système nerveux autonome durant la vieillesse

A

Système nerveux autonome :
– ↓ de sensibilité des récepteurs aux catécholamines avec augmentation réactionnelle des taux plasmatiques des catécholamines et de l’activité des nerfs sympathiques;
– ↓ du fonctionnement de la boucle baroréflexe (favorise l’hypotension orthostatique);
– ↓ de la fréquence cardiaque maximale à l’effort (favorise l’inadaptation à l’effort).

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8
Q

Définition de la vulnérabilité

A

diminution de la capacité de l’organisme à faire face à une agression ou un stress ; elle est
liée à une diminution des capacités de réserver de l’organisme.

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9
Q

Définition de la ménopause

A

aménorrhée consécutive de 12 mois sans cause évidente, de définition rétrospective, et qui survient en moyenne à 50–51 ans ;

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10
Q

Définition de la ménopause prématurée

A

45 49 ans

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11
Q

Définition de la ménopause précoce

A

40 44 ans

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12
Q

Facteurs de risque de ménopause prématurée / précoce

A

Tabac et nulliparité sont des facteurs de ménopause prématuré ou précoce

Multiparité à l’inverse rallonge la date de début de la ménopause

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13
Q

Triade symptomatique du SGU (syndrome génito-urinaire)

A

Sécheresse vaginale

Symptômes urinaires

Symptômes sexuels

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14
Q

Facteurs de risques ostéoporose (8)

A
une prédisposition génétique
des antécédents familiaux d'ostéoporose
une ménopause avant 50 ans
un phénotype longiligne
une dénutrition
le tabac et l'alcool
la nulliparité
un faible niveau d'activité physique
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15
Q

THM VS THS

A
  • pour la ménopause précoce, anticipée, chirurgicale ou encore l’insuffisance ovarienne pré-maturée on parle de traitement hormonal substitutif THS
  • après 50 ans on parle de THM Traitement hormonal de la ménopause
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16
Q

Traitement des bouffées vasomotrices de la ménopause

A

–Œstrogènes

Hors AMM :
–Alpha adrénergiques centraux : Claudine
–inhibiteurs de la recapture de la sérotonine
–gabapentine
–Phyto œstrogènes
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17
Q

Surveillance du traitement Hormonal de la ménopause

A

Contrôle à :
2 mois
puis à trois mois
puis tous les six à 12 mois

La dose d’oestrogènes peut être diminuée en cas de :
–tension mammaire
–nausées

Après cinq ans de traitement la dose d’oestrogenes peut être diminuée de moitié

Durée maximale de traitement préconisée : 10 ans

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18
Q

Contre-indication au TMH

A
  • cancer hormonodépendant connu ou suspecté (sein, endomètre) ou antécédent de cancer du sein ou d’hyperplasie endométriale ;
  • antécédent de thrombose veineuse ;
  • antécédent de thrombose artérielle, de maladie coronaire, d’AVC ;
  • intervalle de plus de 10 ans sans œstrogènes.
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19
Q

Cut off concentration basse de testostérone andropause

A

< 8 nmol/l [2,3 ng/ml]

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20
Q

Diagnostic positif de la ménopause

A

Diagnostic CLINIQUE

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21
Q

Diagnostic positif de l’andropause

A

Diagnostic CLINIQUE et BIOLOGIQUE

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22
Q

Contre-indication au traitement androgénique substitutif

A
  • hypertrophie bénigne obstructive de la prostate ;
    – cancer de la prostate ;
    – polyglobulie, hématocrite > 50 % ;
    – cancer du sein, adénome à prolactine ;
    – insuffisances cardiaque, hépatique, rénale sévère.
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23
Q

Physiopathologie de la miction

A

En temps normal :
–système sympathique entraîne contraction du muscle lisse urétéral et inhibition de la contraction du détrusor
= muscle lisse contracté et detrusor decontracté

Au moment de la miction :
Encéphale arrêter d’inhiber le pont et donc :
–système sympathique entraîne relaxation du muscle lisse urétéral
–système parasympathique entraîne relaxation du muscle strié (par nerf pudendal) et contraction du muscle detrusor

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24
Q

À partir de quel volume vésicale peut on fortement suspecter une rétention aiguë d’urine chez la personne âgée ?

A

> 400mL

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25
Q

Recherche d’insuffisance urinaire transitoire réversible (IUTR)

A

Mnemo DIAPPERS

Délire : syndrome confusionnel 
Infection urinaire symptomatique 
Atrophies vaginale ou urétrale 
Psychologique : dépression 
Pharmacologique : iatrogénie 
Excès de diurèse
Restriction de mobilité
Selles : constipation
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26
Q

Liste des os indemnes d’ostéoporose

A
  • crâne, face ;
  • rachis cervical ;
  • trois premières vertèbres thoraciques;
  • doigts et orteils.
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27
Q

Définition d’un traumatisme à bas niveau d’énergie

A

Égal ou inférieur à une chute de sa hauteur

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28
Q

Étiologies ostéoporose primitive

A

–Vieillissement

-carence en œstrogènes

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29
Q

Étiologies endocriniennes ostéoporose secondaire

A
  • Cushing
  • HYPOgonadisme (incluant l’androgénoprivation par orchidectomie ou médicamenteuse [traitement prolongé par un analogue de la Gn-RH])
  • acromégalie
  • insuffisance antéhypophysaire
  • HYPERthyroidie
  • HYPERparathyroïdie primaire
  • hémochromatose
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30
Q

Déterminants principal du risque de fracture ostéoporotique

A

C’est la : diminution de la densité minérale osseuse (DMO)

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31
Q

Facteurs de risques de fracture ostéoporotique

A

–Diminution de la densité minérale osseuse (DMO) +++

Autres facteurs
–antécédents de fracture
–antécédent/ survenue de chute

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32
Q

Diagnostique positif d’ostéoporose

A

Constatation de :
–fracture ostéoporotique ou de facteurs de risques ostéoporotiques
–et/ou diminution de la DMO

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33
Q

DMO chez le sujet âgé

A
  • mesurée au niveau de l’EXTREMITE SUPÉRIEURE du fémur (mesure au niveau du rachis souvent faussée par l’arthrose vertébrale fréquente chez le sujet âgé donc non conseillée)
  • est une méthode PRÉCISE, REPRODUCTIBLE et NON IRRADIANTE
  • est exprimée :
  • en g/cm2
  • ou en valeur relative (%)
  • ou déviations standard (DS) : Z-score ou T-score

• est très PRÉDICTIVE du risque fracturaire ultérieur : toute diminution de 10 % ou d’une déviation standard de la DMO multiplie par 2 le risque fracturaire

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34
Q

Z-score définition

A

déviations standard (DS) par rapport à un sujet de même SEXE et de même ÂGE

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35
Q

T-score définition

A

déviations standard (DS) par rapport à un sujet de même sexe et âgé de 25 et 40 ans

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36
Q

Définition de l’ostéoporose densitométrique

A

T-score ≤–2,5;

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37
Q

Seuil de DMO indiquant un traitement ostéoporotique

A
  • en cas de T-score ≤ – 1 en cas d’antécédent de fracture sévère (FESF par exemple);
  • en cas de T-score ≤ – 2 en cas de fracture non sévère (poignet par exemple);
  • en cas de T-score ≤ – 3 en l’absence de fracture;
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38
Q

Diagnostic différentiel de l’ostéoporose

A
  • atteintes osseuses cancéreuses
    •myélome
    •métastases osseuses
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39
Q

Bilan para clinique de l’osteoporose

A
  • densité osseuse mesurée par absorptiométrie à rayons X en double énergie (dual X-ray absorptiometry [DXA] ou ostéodensitométrie).
  • CRP;
  • électrophorèse des protides;
  • calcémie, phosphorémie ;
  • créatininémie et calcul de la clairance de la créatinine ;
  • ± TSH (car l’hyperthyroïdie est une cause de perte osseuse) ;
  • avec dosage de la vitamine D totale (D2 + D3) &raquo_space; SYSTÉMATIQUE
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40
Q

Traitement de l’ostéoporose du sujet âgé en gériatrie

A
  • Calcium-vitamine D : calcium 1g/jour et vitamine D 800UI/jour
  • Biphosphonates : oui.
  • Dénosumab : oui.
  • Tériparatide : oui.
  • Raloxifène : pas après 70 ans, non abordé.
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41
Q

Contre-indication biphosphonates

A
  • d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min, voire 35 ml/min pour le zolédronate)
  • d’hypocalcémie.
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42
Q

Denosumab

A
  • Anticorps anti-RANK ligand : inhibe la résorption osseuse en inhibant l’action de RANK ligand sur le récepteur RANK des ostéoclastes.
    • Réduit de :
  • 68 % l’incidence des fractures vertébrales
  • 20 % l’incidence des fractures non vertébrales
  • 40 % l’incidence des fractures de hanche
    • Administration par injection SC de 60 mg tous les 6 mois pendant 3 ans
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43
Q

Contre-indication denosumab

A

Hypocalcémie

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44
Q

Indication dénosumab

A
  • Pour l’ostéoporose post-ménopausique chez les patientes à risque élevé de fracture
  • en seconde intention si échec biphosphonates
  • ou si CI aux biphosphonates

À l’arrêt de dénosumab : relais pendant un an par un biphosphonate pour éviter hausse du risque de fracture par remodelage osseux post-denosumab

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45
Q

Principaux effets secondaires des biphosphonates

A
  • Syndrome pseudo-grippal : très fréquent forme IV-> prévention par paracetamol
  • Toxicité digestive (contact direct de la muqueuse) : Fréquente -> prévention par grand verre d’eau au moment de la prise médicamenteuse
  • Ostéonécrose de la mâchoire : exceptionnel
  • Fractures atypiques fémorales (trait de fracture perpendiculaire) : exceptionnel
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46
Q

Contre-indications à la Parathormone (PTH) 1-34 ou tériparatide

A
  • maladie de Paget
  • l’ostéomalacie
  • ATCD de radiothérapie ou de tumeur osseuse
  • l’hypercalcémie
  • l’hyperparathyroïdie primitive
  • l’insuffisance rénale sévère
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47
Q

Effets secondaires de tériparatide

A
  • céphalées
  • nausées
  • hypotensions ortho- statiques

Une HYPERcalcémie Asymptomatique transitoire survient dans 20 % des cas dans les heures qui suivent l’injection.

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48
Q

Suivi de traitement ostéoporotique

A
  • dosage de CTX sérique (marqueur de résorption osseuse) entre le 3e et 12e mois sous biphosphonates ou dénosumab
  • évaluation régulière de la fonction rénale et de la calcémie
  • DMO réalisée après 3 à 5 ans de traitement pour décider de sa poursuite, sa modification ou son arrêt.
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49
Q

Reconduite d’un cycle de 3-5 ans de ttt ostéoporotique si :

A
  • survenue de fracture sous traitement;
    – nouveaux facteurs de risque de fracture ajoutés ;
    – diminution significative de la DMO à l’un des deux sites (FESF et rachis) (≥ 0,03 g/cm2) ou en cas de persistance d’un T-score abaissé (≤ –2,5).
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50
Q

Risque de fracture élevé

A
  • T-score ≤ − 2,5 sur au moins un site ;
  • ATCD personnel de fracture par fragilité osseuse après 50 ans ;
  • âge ≥70 ans;
  • corticothérapie avec une posologie ≥ 7,5 mg équivalent prednisone pour une durée > 3 mois.
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51
Q

Facteurs de risques ostéoporotiques chez la femme

A
  • ATCD de fracture du col fémoral chez un parent du premier degré
  • faible poids (IMC < 19)
  • précocité de la ménopause (< 40 ans)
  • ATCD de corticothérapie prolongée.
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52
Q

Évaluation gériatrique standardisée (9 échelles)

A
  • fonctions cognitives (Mini Mental State Examination [MMSE]) ;
  • autonomie et indépendance fonctionnelle (Activities of Daily Living [ADL], Instrumental ADL [IADL]) ;
  • risque de chutes (appui unipodal, Timed up and go test) ;
  • état nutritionnel (Mini Nutritional Assessment [MNA]) ;
  • confusion mentale (Confusion Assessment Method [CAM]) ;
  • dépression (Geriatric Depression Scale [GDS]) ;
  • risque d’escarres (Norton ou Braden) ;
  • comorbidités (cf. infra) ;
  • fonction rénale et traitement (clairance de la créatinine).
53
Q

Échelles pour évaluer le poids des comorbités chez le patient âgé

A
  • Cumulative Illness Rating Scale- Geriatric (CIRS-G)

- et le score de Charlson

54
Q

Différences de symptomatologie entre l’adulte âgé et l’adulte jeune

A
  • absence de douleur dans 30 % des infarctus du myocarde même en l’absence de diabète ;
  • inconstance de la fièvre dans les infections ;
  • absence de contracture ou de défense sur un abdomen chirurgical ;
  • confusion souvent seule manifestation clinique d’un globe urinaire ou d’un fécalome ;
  • ronchi en lieu et place de crépitants dans la pneumonie ;
  • absence de valeur du pli cutané en cas de déshydratation (chercher la sécheresse des aisselles ou du sillon gingivolingual);
55
Q

Formule de Chumlea

A

Échelle de mesure de la taille qui en mesurant la distance talon-genou au moyen d’une toise tient compte du facteur vieillissement

  • Femme : taille (T) (cm) = 84,88 – [0,24 × âge (années)] + [1,83 × hauteur de jambe (cm)].
  • Homme : T (cm) = 64,19 – [0,04 × âge (années)] + [2,03 × hauteur de jambe (cm)].
56
Q

Deux facteurs qui influencent l’albuminémie

A
  • l’inflammation (mesurer la CRP) : si élevée albumine difficilement interprétable
  • et le statut hydrique.
57
Q

MNA et MNA-SF

A

Score de la dénutrition

< 17/30 : dénutrition

  • entre 18 et 23,5 : situation à risque
  • ≥ 24 indique un bon état nutritionnel

La version courte, le Mini Nutritional Assessment Short-Form (MNA-SF) comporte les 6 premières questions du MNA et est cotée sur 14

  • ≥12 : statut nutritionnel normal
  • 8 à 11 : risque nutritionnel
  • ≤ 7 indique une DPE
58
Q

Quel micronutriment peut entraîner une altération du goût?

A

Carence en Zinc

Entraîne aussi déficit immunitaire et un retard de la cicatrisation des plaies et l’augmentation du risque infectieux

l’escitalopram peut aussi entraîner une perte de goût

59
Q

Citer les six conséquences de la dénutrition

A
  • Morbimortalité.
  • Sarcopénie.
  • Immunodépression.
  • Escarres.
  • Déshydratation.
  • Déficit en micronutriment.
60
Q

Syndrome de renutrition (anomalies biologiques)

A
  • hypokaliémie
  • hypophosphorémie
  • hypomagnésémie
  • déficit en vitamine B1
  • perturbations du bilan hépatique
61
Q

Syndrome de renutrition (anomalies cliniques)

A

Cliniquement :

  • rétention hydrosodée
  • insuffisance cardiaque et respiratoire, arythmie
  • confusion
  • rhabdomyolyse…
62
Q

Nutrition parentérale (complications)

A

risques :

  • d’hypervolémie
  • d’infection
  • de thrombose du cathéter
  • de perturbations métaboliques (hyponatrémie, hyperglycémie, perturbations du bilan hépatique)
63
Q

Hypodermoclyse (définition)

A

perfusion de solutés dans le tissu sous-cutané à des fins de réhydratation

64
Q

Hypodermoclyse (complications)

A
principales complications sont :
locales 
- induration
- hématome au point de perfusion
ou infectieuses 
- cellulite
- sepsis
65
Q

L’alpha-cétoglutarate d’ornithine

A

précurseur de l’ARGININE et de la GLUTAMINE

  • limite le catabolisme protéique musculaire : ttt adjuvant chez le sujet âgé dénutri
  • doit être accompagnée d’un apport protéino-énergétique suffisant et son utilisation isolée n’est pas recommandée
  • pas utile au-delà de 6 semaines
66
Q

Dose de vitamine D chez la personne Âgée

A

vitamine D doit être prescrite à la dose de 800–1000 IU/j (ou équivalent en doses de 80000 ou 100000 UI)

67
Q

Les 4 paramètres de la surveillance nutritionnelle chez le sujet âgé dénutri

A
  • poids ;
  • apports alimentaires (ingesta);
  • albumine : dosage recommandé sauf si l’albuminémie initiale est normale, au maximum une fois par mois, en dehors de situations particulières ;
  • transthyrétine ou préalbumine :
68
Q

Prévalence obésité et dénutrition chez personne âgée

A
  • Obésité : 15 %. conséquences sont surtout : troubles de la mobilité et la dépendance.
  • Denutrition de 5–10 % à domicile, 15–38 % en EHPAD et 30–70 % à l’hôpital.
69
Q

Critères de dénutrition chez la personne âgée

A

La dénutrition est définie par AU MOINS UN des critères suivants :

  • perte de poids ≥ 5% en un mois ou ≥ 10 % en 6 mois
  • IMC < 21
  • MNA-SF ≤ 7
  • ou albuminémie < 35 g/l.
70
Q

Apport nutritionnel chez la personne âgée

A

En bonne santé : 1 à 1,2 g de protéines/kg/j
Dénutrie :
- augmenter les apports énergétiques (30–40 kcal/kg/j)
- augmenter les apports énergétiques à 1,2–1,5 g de protéines/kg/j.
Obèse et dénutrie :
- maintenir un poids stable
- préserver des apports protéiques à 1–1,2 g/kg/j.

71
Q

Presbyacousie

A

perte de l’audition :
• progressive, bilatérale, symétrique, et liée à l’âge ;
• liée à une surdité de perception;
• habituellement à partir de 50 ans;
•Sur les fréquences hautes donc sur les sons aigus

72
Q

Les 3 stades de la presbyacousie

A

• infraclinique : perte isolée d’intelligibilité dans le bruit.
Audiogramme tonal :
- normal sur les graves
- perte < à 30 dB sur la fréquence 2000 Hz = fréquences hautes;

• retentissement social : la gêne auditive nette.
- > a 30 dB sur la fréquence 2000 Hz
PEC est impérative

• isolement : patient non traité communique de - en -

73
Q

syndrome de Charles Bonnet

A

complication du déficit visuel chez la
personne âgée ayant une atteinte cognitive

Il s’agit d’hallucinations visuelles constituées d’images linéaires perçues comme des personnages, mais dont le caractère cinématographique les distingue des hallucinations psychiques.

74
Q

Citer les cinq maladies fréquemment associées aux troubles de la sensibilité périphérique chez la personne ÂGÉE

A
– diabète;
– carence en vitamine B12 ;
– alcoolisme;
– causes paranéoplasiques ; 
– causes médicamenteuses.
75
Q

Outil de dépistage du trouble confusionnel

A

Confusion Assessment Method (CAM)

CAM : 1 + 2 + (3 ou 4)
• 1. Début aigu, fluctuation de l’évolution.
• 2. Troubles de l’attention.
• 3. Désorganisation du cours de la pensée et du langage.
• 4. Atteinte de la vigilance.

76
Q

Diagnostic positive du syndrome confusionnel

A

Diagnostic CLINIQUE

Sous diagnostic ou retard de diagnostic fréquent

77
Q

Règle du 1 + 3 ou 1+2+3 de J.-P. Bouchon

A
  • Facteur 1 : BAISSE DE LA RÉSERVE COGNITIVE : vieillissement baisse capacités d’adaptation au stress sans aboutir pourtant à la défaillance
  • Facteur 2 : FACTEURS PRÉDISPOSANTS : pathologies chroniques dont l’évolution peut aboutir à la défaillance de l’organe
  • Facteur 3 : FACTEURS PRÉCIPITANTS : rupture de l’équilibre entraine la défaillance
78
Q

Facteurs prédisposants au syndrome confusionnel

A
  • Âge ≥ 80 ans.
  • TNCM avéré ou troubles cognitifs chroniques sous-jacents.
  • Immobilisation, aggravée par la contention physique.
  • Déficit sensoriel (visuel ou auditif).
  • Comorbidités multiples.
  • Dénutrition.
  • Polymédication.
  • Antécédents de confusion, notamment postopératoire.
  • Troubles de l’humeur, en particulier état dépressif.
79
Q

Première étiologie à évoquer devant un syndrome confusionnel FÉBRILE

A

Méningoencéphalite

80
Q

Citer les trois étiologies à évoquer en cas de syndrome confusionnel NON fébrile chez la personne AG

A

•Origine toxique :
- excès ou sevrage en médicaments
- intoxication monoxyde de carbone en période hivernale
• origine métabolique :
–de diabète (acidocétosique ou hyperosmolaire)
–hypercapnie de l’insuffisance respiratoire
–insuffisance hépatique
•origine neurologique :
– entre autres, liste non exhaustive : AVC (notamment en TEMPORO PARIÉTAL DROIT car ne s’accompagnant potentiellement pas d’autre signe neurologique déficitaire)

81
Q

Bilan de première intention d’un syndrome confusionnel

A

bilan biologique : NFS, ionogramme sanguin, créatininémie et calculde la clairance, CRP, glycémie, Ca, Bu

+ ECG

82
Q

Indications du scanner cérébral dans le bilan de première intention du syndrome confusionnel

A

Si :
–traumatisme crânien
–Suspicion d’hémorragie méningée
–signes neurologiques focaux

83
Q

Indication du scanner cérébral dans le bilan de seconde intention du syndrome confusionnel

A

Si bilan biologique de première intention négatif réalisation d’un scanner cérébral à la recherche d’un AVC

84
Q

Coordinations territoriales d’appui (déf)

A
  • mises en place dans le cadre des parcours Paerpa
  • PLATEFORMES d’information et d’orientation appuyant les PROFESSIONNELS pour établir ce PPS et organiser au mieux les offres de services à destination des personnes âgées
85
Q

PPS

A

Projet personnalisé de santé

86
Q

Mission des réseaux de gérontologie

A

Apporter une réponse adaptée aux besoins des personnes âgées DÉPENDANTES désirant vivre à DOMICILE

87
Q

L’allocation personnalisée d’autonomie (APA)

A

Prestation sociale destinée aux personnes âgées DÉPENDANTES

Donnée par le Conseil départemental et pas par la MDPH

Son montant dépend :

  • du niveau de dépendance du bénéficiaire (GIR 1-4)
  • ET des revenus individuels
88
Q

1re cause de dépendance des plus de 80 ans?

A

TNC (Troubles neuro-cognitifs)

89
Q

Dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation (déf)

A

processus de soins et l’environnement hospitalier qui ne répondent PAS aux besoins spécifiques
de la personne âgée

90
Q

6 principales causes de dépendance iatrogène

A
  • Syndrome d’immobilisation
  • Confusion
  • Dénutrition
  • Chutes
  • Incontinence urinaire de novo
  • Effets indésirables des médicaments
91
Q

La grille AGGIR

A
  • acronyme : autonomie gérontologie groupes iso-ressources
  • six niveaux : groupes GIR de 1 (niveau d’aide requis le plus élevé) à 6 (niveau d’aide nul).
  • 17 variables de mesure
92
Q

Conditions d’accès à la APA

A

Critères pour bénéficier de l’APA :
• avoir au moins 60 ans;
• résider en France depuis au moins 3 mois ;
• avoir une perte d’autonomie justifiant une aide
pour accomplir les actes de la vie quotidienne(GIR 1 à 4 sur grille AGGIR)

La demande est à retirer au CCAS de la commune, ou au conseil départemental (mission personnes âgées, personnes handicapées).

93
Q

APA date de création

A

L’allocation personnalisée d’autonomie (APA) est entrée en vigueur en janvier 2002.

94
Q

unités de soins de longue durée (USLD)

A

structures hospitalières qui accueillent des personnes âgées LOURDEMENT dépendantes et/ou ayant des maladies SÉVÈRES ou évolutives.

95
Q

EHPAD avec PASA

A

PASA : pôle d’activités et de soins adaptés

  • qui accueille
  • dans la journée
  • les résidents de l’EHPAD ayant des troubles du comportement modérés
96
Q

Autonomie (déf)

A

Capacité à se gouverner soi-même : liberté de pouvoir agir, accepter ou refuser en fonction de son jugement.

Non réduite à l’absence de dépendance.

97
Q

Dépendance (déf)

A

Impossibilité d’effectuer sans aide humaine une activité

98
Q

Échelles d’évaluation de la dépendance

A

3 principales :
– Activités de la vie quotidienne (ADL de Katz) ;
– Activités instrumentales de la vie quotidienne (IADL de Lawton) ; – grille AGGIR.

99
Q

Paerpa

A

Parcours de santé des aînés

  • depuis 2014 sur des territoires pilotes
  • dispositif pour personnes âgées de 75 ans et +
  • dont l’autonomie est susceptible de se dégrader
  • 5 actions dont : Renforcer le maintien à domicile, éviter hospit inutiles, diminuer polymedicamentation
100
Q

Immobilisation (déf)

A

Alitement de plus de 3 jours ou une incapacité à réaliser les transferts lit-fauteuil ou à se mouvoir

101
Q

Complications de l’immobilité prolongée

A
  • Syndrome de désadaptation psychomotrice
  • diminution puissance muscu puis \ force muscu puis fonte muscu. + baisse des capacités en endurance ;
    – désadaptation cardiovasculaire : hypotension orthostatique ;
    – DIG : anorexie – constipation – troubles de la déglutition => pneumopathie d’inhalation ;
    – MTEV : TVP => anticoaguler !! Par HNF, HBPM (DFG>30ml/min) ;
    – anxiété – dépression – confusion ;
    – escarres.
102
Q

Syndrome de désadaptation psycho motrice

A

urgence gériatrique!

  • troubles de la posture statique à type de rétropulsion et perte des automatismes de la marche
  • souvent dans un contexte d’anxiété et de peur de tomber, d’altération cognitive et/ou de confusion.
103
Q

FdR escarre

A
  • Alitement prolongé
  • Pathologies orthopédiques : fracture col du fémur ++
  • Immobilité durant le sommeil
  • Obésité : a cause de baisse de mobilité + macération
  • Dénutrition : RR=2
  • Maladie vasculaire
  • Troubles de la sensibilité : neuropathies périphériques
  • Maladies chroniques : BPCO, diabète, anémie, insuffisances, maladies cardio vasc
  • Fin de vie : traduit alors une défaillance multisystémique
104
Q

Échelles escarre

A

Échelle de Braden
Échelle de Norton (du risque d’escarre) : <14 : risque
Échelle de Waterloo

105
Q

Stades de l’escarre

A

Stade 1
• Rouge et ne blanchit pas à la pression, sans effraction cutanée.

Stade 2
• Lésion cutanée partielle intéressant l’épiderme, le derme ou les deux.
• L’ulcération superficielle : abrasion ou une phlyctène

Stade 3
• Lésion cutanée de TOUTES les couches de la peau, entraînant une souffrance ou une nécrose du tissu sous-cutané pouvant s’étendre au-dessous, mais NE dépassant pas le fascia des muscles sous-jacents

Stade 4
• nécrose des tissus et/ ou atteinte du muscle, de l’os ou des structures sous-jacentes
•avec ou sans perte de substance cutanée complète.

106
Q

Les 3 échelles d’hétéro-évaluation de la personne âgée

A

ALGOPLUS
DOLOPLUS
ECPA

107
Q

ALGOPLUS

A
  • 5 items cotés 0 (non) ou 1 (oui).
  • Score seuil validé à 2/5 pour justifier d’un traitement antalgique.
  • Temps de passation < 1 min.
  • Validée pour les douleurs aiguës mais reste pertinente pour les douleurs chroniques.
  • Validée également chez des sujets avec troubles cognitifs et/ou dépression.
108
Q

DOLOPLUS

A
  • Dix items cotés de 0 à 3.
  • Trois dimensions (retentissement somatique, psychomoteur et psychosocial).
  • Score seuil validé à 5/30 pour traitement antalgique.
  • Temps de passation plus long (5 min)
  • Validée pour douleurs chroniques
109
Q

ECPA

A

échelle comportementale de la personne âgée non communicante
• Huit items cotés de 0 à 4
• Pas de score seuil actuellement défini.
• Permet d’évaluer le patient avant et pendant les soins.
• Nécessite de connaître le patient auparavant
• Assez longue à remplir (> 5 min).

110
Q

Seuils ttt antalgique de l’auto-évaluation de la personne âgée

A

> ou = à 3 à l’EN

> ou = à 2 à l’EVS

111
Q

Ttt de la douleur à éviter chez personne âgée

A
Pour douleurs nociceptives 
•Opioides faibles :
- tramadol a éviter ++
- poudre d'opium
-dihydrocodéine
- codéine

Pour douleurs neuropathiques
•Antidépresseurs tricycliques (privilégier ISRS ou antiépileptiques)

112
Q

Stratégies pour ralentir le vieillissement et augmenter la longévité pour lesquelles il existe des preuves expérimentales

A

contrôle du stress
maintien de l’activité physique
- restriction calorique
sommeil régulier

113
Q

Définition de la personne agee selon l’OMS

A

65 ans

114
Q

Définition de la polymédication

A

Polymédication si > 4 médicaments.

115
Q

Diazepam et personne âgée

A

NON
- benzodiazépines =>chutes chez la personne âgée, surtout dans un contexte de dénutrition et d’insuffisance rénale.

De plus, le diazepam a une demie vie plasmatique longue donc encore - recommandée chez le sujet âgé.

116
Q

Effets de la ménopause

A
  • AVC
  • modification de la répartition des graisses
  • ostéoporose
117
Q

Contre-indication au THM

A
  • cancer hormonodépendant connu ou suspecté (sein, endomètre) ou antécédent de cancer du sein ou d’hyperplasie endométriale ;
  • antécédent de thrombose veineuse ;
  • antécédent de thrombose artérielle, de maladie coronaire, d’AVC ;
  • intervalle de plus de 10 ans sans œstrogènes.
118
Q

Indication T.H.M

A

THM : indication LIMITÉE aux symptômes climatériques (même pour faible durée de traitement) (ex : sécheresse vaginale, bouffées de chaleur incommodantes, …cf fiche symptomatologie du climatère)

ATTENTION : la prévention et le traitement de l’ostéoporose ne représentent PAS une indication du THM (sauf si CI à tous les autres traitements de l’ostéoporose)

119
Q

THM et hystérectomie

A

Si hystérectomie : Ttt oestrogénique seul

Rappel : Le THM a pour objectif de corriger l’hypoestrogénie responsable des symptomes.

Si utilisation d’oestrogène seul : augmentation du risque de cancer de l’endomètre, d’où l’association systématique d’un progestatif aux oestrogènes.

Les progestatifs serait responsable du sur-risque de cancer du sein.

120
Q

Modalités du TMH

A

Par 17 béta estradiol par voie percutanée

121
Q

Conséquences cliniques de la ménopause

A

athérosclérose
accident cardiovasculaire
amincissement de la peau

122
Q

Symptomatologie de l’andropause

A
  • Une dysfonction érectile
  • Un trouble de la libido
  • Une gynécomastie
  • Une hypotrophie testiculaire
  • Une diminution de la force musculaire
  • Une obésité abdominale
  • Des troubles de l’attention
123
Q

Symptomatologie du climatère

A

–Dysménorrhée (VS aménorrhée pendant menopause)
–bouffées de chaleur
–céphalées
–irritabilité

124
Q

Épidémiologie des chutes chez le sujet âgé

A

20 à 30 % des plus de 65 ans (1/3)
50 % des plus de 85 ans (1/2)
Sont victimes d’au moins une chute dans l’année

125
Q

Facteurs de risques de chute chez le sujet AG

A

chute elle-même
âge
Sexe féminin
origine caucasienne

126
Q

Facteur de gravité de la chute chez le sujet AG

A

C’est l’incapable pour la personne âgée de se relever

Si immobilisation au sol > 1heure : risque de décès de 50 % dans les 12 mois suivants.

127
Q

Facteurs favorisants qui peuvent déclencher une insu cardiaque chez le sujet âgé

A
  • Troubles du rythme (type fa)
  • Troubles de la conduction de haut grade (BAV1 n’en fait pas parti par exemple)
  • Transfusion
  • Anémie aiguë
128
Q

Critères de la sarcopenie

A
–Diminution de la masse musculaire
–diminution de la force musculaire :
>Diminution de la force de préhension par dynamomètre :
•inférieur à 20 kg chez les femmes 
•inférieur à 30 kg chez les hommes
–diminution de la fonction musculaire 
>Vitesse de marche < à 0,8 m/s