test yourself Goldstein Flashcards

examen final (23 cards)

1
Q

Is imagery just a ‘laboratory phenomenon,’ or does it occur in real life?

A

Non, ce n’est pas seulement un phénomène de laboratoire. Des études montrent que l’imagerie mentale fonctionne comme la perception réelle (ex : rotation, balayage).

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2
Q

Make a list of the important events in the history of the study of imagery in psychology.

A

Débat des pensées sans image → Shepard & Metzler (1971) → Kosslyn (1973, 1975) → Pylyshyn (1973, 2003) → neuroimagerie (Kreiman, LeBihan, Ganis).

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3
Q

How did Kosslyn use the technique of mental scanning (boat and island experiments)?

A

Kosslyn a montré que plus la distance mentale entre deux lieux sur une carte imaginée est grande, plus le TR est long → imagerie préserve les distances réelles.

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4
Q

What is the imagery debate? Describe spatial and propositional explanations.

A

Débat : représentations figuratives (Kosslyn) vs. propositionnelles (Pylyshyn). Ce dernier pense que les résultats viennent de connaissances tacites.

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5
Q

Describe experiments by Kosslyn, Perky, and Farah that show interaction between imagery and perception.

A

Kosslyn : taille d’animaux influence TR. Farah : champ visuel = champ imaginatif. Perky : pas couverte dans les fichiers (à omettre).

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6
Q

Describe how physiological techniques provide evidence of parallels between imagery and perception.

A

a) Neurones uniques (Kreiman), b) Cortex visuel (Le Bihan), c) Patrons d’activation (Ganis), d) Lésion cerveau (Farah), e) Études neuropsy (ex : héminégligence).

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7
Q

What are some differences between imagery and perception? What is the conclusion?

A

Certaines dissociations existent : patients avec perception intacte mais imagerie déficiente (et inversement). Conclusion : chevauchement partiel.

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8
Q

Under what conditions does imagery improve memory? Describe related techniques.

A

Quand l’imagerie est disponible et utile. Techniques : images mentales riches, association d’objets. Principe : créer des représentations distinctes.

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9
Q

What is the evidence for individual differences in imagery?

A

Mentionnée dans les images (spatial vs object visualizers) mais pas vue dans les cours → probablement non exigée à l’examen.

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10
Q

Qu’est-ce que l’encodage? La récupération? Pourquoi sont-ils nécessaires à la mémoire?

A

L’encodage est le processus qui permet d’acquérir de l’information et de la transférer vers la mémoire à long terme (MLT). La récupération consiste à ramener cette information de la MLT vers la mémoire de travail (MCT). Les deux sont essentiels : sans encodage, l’information ne se stocke pas; sans récupération, elle ne peut être utilisée.

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11
Q

Quelle est la différence entre la répétition élaborative et la répétition de maintien, en termes de (a) procédure et (b) efficacité pour créer des souvenirs à long terme?

A

(a) La répétition de maintien consiste à répéter l’information de façon mécanique, sans la comprendre ou l’associer. La répétition élaborative crée des liens avec d’autres connaissances (ex. sens, image, soi).
(b) Seule la répétition élaborative est efficace pour l’encodage à long terme.

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12
Q

Qu’est-ce que la théorie des niveaux de traitement?

A

Elle postule que la mémoire dépend de la profondeur du traitement. Le traitement superficiel (ex. lettres majuscules) mène à une mémoire faible, tandis que le traitement profond (ex. sens d’un mot) mène à une mémoire forte. La répétition de maintien est un traitement superficiel, alors que la répétition élaborative est un traitement profond.

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13
Q

Donne des exemples qui améliorent la mémoire d’un mot :

A

(a) former une image mentale (ex. associer deux mots visuellement),
(b) le relier à soi-même (effet d’autoréférence),
(c) le générer (effet de génération),
(d) organiser les mots par catégories,
(e) l’évaluer en contexte de survie,
(f) pratiquer sa récupération (effet de test).
👉 Tous ces procédés impliquent un encodage élaboratif et créent des indices de récupération efficaces.

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14
Q

Qu’est-ce que l’effet de test?

A

C’est le phénomène selon lequel pratiquer la récupération (par des tests) améliore la mémorisation à long terme, plus que de simplement relire l’information.

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15
Q

Que nous indiquent les résultats de l’effet de test sur la relation entre encodage et récupération?

A

Ils montrent que l’encodage est renforcé quand il est couplé à une pratique active de la récupération. Tester améliore la consolidation et facilite le rappel futur.

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16
Q

Décris 5 façons d’améliorer l’étude :

A

Élaborer : approfondir en expliquant, en faisant des liens.
Générer et tester : créer l’info soi-même et se tester.
Organiser : structurer en catégories (arbre de concepts).
Prendre des pauses : espacer l’étude aide la consolidation.
Éviter les illusions d’apprentissage : relire sans comprendre ne suffit pas.
→ Tous ces points facilitent un encodage profond et une récupération efficace.

17
Q

Qu’est-ce qu’un apprenant actif? Quel lien avec la prise de notes manuscrite vs ordinateur?

A

Un apprenant actif traite l’information en profondeur. Prendre des notes à la main oblige à résumer et comprendre (traitement profond), alors qu’à l’ordinateur, on tend à transcrire mot à mot (traitement superficiel).

18
Q

Pourquoi les indices de récupération (retrieval cues) aident-ils la mémoire?

A

Parce qu’ils activent les réseaux liés à l’information encodée. Utiliser un mot en phrase, le visualiser ou le relier à soi crée de puissants indices contextuels qui facilitent le rappel.

19
Q

Qu’est-ce que le rappel indicé (cued recall)? Comparé au rappel libre?

A

Le rappel indicé donne un indice pour aider à se souvenir (ex. catégorie), alors que le rappel libre demande de tout se rappeler sans aide. Le rappel indicé mène généralement à une meilleure performance.

20
Q

. Décris l’expérience de Tulving & Pearlstone et celle de Mantyla :

A

Tulving & Pearlstone : groupe avec indices (catégories) se souvient de 75 % des mots, contre 40 % sans indices.
Mantyla : quand les indices sont auto-générés, le rappel atteint 91 %, contre 55 % avec des indices d’un autre et 17 % sans.
→ Les indices de récupération, surtout ceux qu’on crée soi-même, sont très puissants.

21
Q

Qu’est-ce que l’encodage spécifique? Résumé des expériences de Baddeley & Godden et Grant :

A

Baddeley & Godden : rappel supérieur quand l’environnement d’encodage et de test sont identiques (eau/eau ou terre/terre).
Grant : étudiants se rappellent mieux si le contexte de bruit est le même au test.
→ L’encodage est plus efficace si la récupération se fait dans le même contexte.

22
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage dépendant de l’état? Étude de Eich & Metcalfe :

A

Quand l’état émotionnel (triste ou heureux) est le même à l’encodage et au rappel, la mémoire est améliorée. Cela illustre le principe selon lequel l’état interne agit comme un indice de récupération.

23
Q

Décris l’expérience de Morris sur le traitement approprié au transfert :

A

Participants encodent soit par sens, soit par rime. Ceux testés sur les rimes se rappellent mieux s’ils ont aussi encodé par rime.
→ Cela montre que la mémoire est meilleure quand la tâche au test correspond à celle de l’encodage, même si le traitement n’était pas le plus profond.