Cours 13 Flashcards

(18 cards)

1
Q

Quel est l’effet dunning Kruger?

A

Moins on est connaissant et
expérimenté sur un sujet et plus on a l’impression que le problème posé est simple et facile à résoudre.

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2
Q

Comment limiter le biais cognitif de l’effet dunning Kruger ?

A

▪ Valider ses hypothèses avec des preuves objectives.
▪ Demander des avis extérieurs (collègues, mentors).
▪ Être conscient de ses propres limites et poursuivre son apprentissage.

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3
Q

Impression clinique;
une seule bonne
réponse?

A

▪ Il existe plusieurs bonnes
réponses. Le modèle bio-psycho-social reconnaît que diverses causes peuvent entraîner différentes solutions.
▪ À l’inverse, il existe également plusieurs réponses inappropriées,
notamment celles qui pourraient mettre en danger le client.

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4
Q

Une impression clinique efficace doit intégrer les trois sphères. La contribution relative de chaque sphère varie selon la condition :

A
  • Pour une condition courante et bien
    documentée (ex. épicondylite latérale);
    forte base scientifique (méta-analyses),
    priorité aux données probantes pour
    orienter la réadaptation.
  • Pour une condition rare, l’accent est mis
    sur l’expérience clinique et les besoins
    du patient, en raison du manque de
    données scientifiques.
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5
Q

Quelles sont les 3 sphères de la médecine basée sur évidences?

A

Données probantes
(science)
Besoins et attentes du
client
Expérience clinique

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6
Q

Que permet l’analyse?

A

de donner une impression clinique concernant la
condition du client.

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7
Q

À quoi sert l’impression clinique?

A

une démarche intégrative qui sert à faire
des liens entre la théorie (science), la pratique (expérience
clinique) et le patient (attentes et contexte personnel) pour
proposer un plan d’intervention optimal et individualisé (evidence-
based medicine).

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8
Q

Qu’est-ce qui est à la lumière de l’ensemble des
données recueillies et des objectifs du client?

A

Raisonnement professionnel

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9
Q

Que permet l’analyse lors d’‘une évaluation initiale?

A

▪ Permet de se faire une image clinique du client (raisonnement)
▪ Elle permet de proposer un plan d’intervention optimal et individualisé

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10
Q

Que permet l’analyse lors d’une réévaluation?

A

Toute inscription dans A doit aussi être précédée de nouvelles informations
dans S et O.
▪ Sert à identifier une nouvelle priorité, à indiquer l’atteinte d’un objectif ou à préciser
l’évolution de la condition.

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11
Q

De quoi doivent être accompagnés les priorités?

A

doivent être classées par ordre d’importance et accompagnées d’un
objectif SMART spécifique

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12
Q

Que doit inclure l’impression clinique?

A

un court résumé du cas avec les informations les plus
pertinentes.

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13
Q

Comment sont justifiées les priorités?

A

en expliquant son importance et son classement.

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14
Q

Pourquoi cette priorité ?

A

Basée sur les objectifs du patient, les déficits identifiés lors des tests cliniques ou les facteurs contribuant à la douleur

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15
Q

Pourquoi est-ce important ?

A

Explication du lien avec la douleur, la fonction ou la
performance, en détaillant les mécanismes sous-jacents justifiant son traitement
prioritaire (evidence-based)

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16
Q

Quand faut-il faire des liens entre les conditions?

A

Il est essentiel d’établir des liens entre les conditions lorsque possible.

17
Q

Quels sont les facteurs influençant l’impression clinique?

A

▪ Expérience du kinésiologue.
▪ Variabilité individuelle des clients.
▪ Connaissances en biomécanique et neurophysiologie.
▪ Biais cognitifs (ex. : Dunning-Kruger).

18
Q

Quel est le processus de raisonnement clinique?

A
  1. Recueillir les informations (tests et observations).
  2. Identifier les problèmes et les liens entre eux.
  3. Formuler une hypothèse sur la cause des déficits.
  4. Tester cette hypothèse par des interventions ciblées.
  5. Réévaluer et ajuster.