alimentation Flashcards

1
Q

besoin nutritionnel minimal

A

la plus faible quantité d’un nutriment permettant de maintenir des fonctions physiologiques et un état de santé normal, tout en assurant une croissance optimale chez l’enfant et un poids stable chez l’adulte

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2
Q

besoin nutritionnel moyen

A

résulte de l’observation de la consommation alimentaire spontanée de ce nutriment par un groupe d’individus en bonne santé, et correspond à la moyenne de leurs besoins individuels

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3
Q

apports nutritionnels conseillés

A
  • repères pour les individus, 130 % du BNM
  • correspondent au BNM, auquel, sauf pour l’apport énergétique, sont ajoutés 2 écarts-types, marge de sécurité statistique permettant de prendre en compte la variabilité interindividuelle des besoins et ainsi de couvrir les besoins de la quasi-totalité de la population
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4
Q

risque de carence significatif pour un nutriment

A
  • que si l’apport de ce nutriment est inférieur au BNM (qui représente en règle générale 77 % des ANC)
  • Pour un individu, si l’apport en un nutriment est inférieur aux ANC, cela ne signifie pas pour autant qu’il ne couvre pas ses besoins.
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5
Q

% eau dans le corps chez le bb

A

75 % du poids du corps les premières semaines de vie et 60 % à l’âge d’un an

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6
Q

apports hydriques conseillés

A
  • d’autant plus importants, par kilogramme de poids, que l’enfant est plus jeune
  • en mL/kg/j:
    Naissance: 150
    < 6 mois: 120
    1–2 ans: 100
    2–5 ans: 80
    > 5 ans: 55
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7
Q

besoins énergétiques les + élevés

A

d’autant plus élevés que l’enfant est en phase de croissance rapide, notamment au cours des 2 premières années et pendant la puberté

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8
Q

doublement du poids de naissance

A

à 4-5 mois

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9
Q

triplement du poids de naissance

A

vers 1 an

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10
Q

gain statural la 1ère année

A

+ 25 cm

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11
Q

gain statural la 2e année

A

+ 10 cm

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12
Q

gain statural la 3e année

A

+ 8 cm

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13
Q

dépense énergétique de base (DE de base)

A

DE mesurée le matin, chez un sujet à jeun depuis 12 heures, éveillé mais au repos, allongé et dans une ambiance proche de la neutralité thermique

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14
Q

Mesure DE de base chez le nourrisson

A

impossible on ne peut pas le faire jeuner -> on mesure le DER (dépense énergétique de repos), le plus à distance possible d’un repas

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15
Q

DER < 1 an

A

50-70 kcal/kg/j

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16
Q

DER 1-10 ans

A

40-50 kcal/kg/j

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17
Q

DER 10-15 ans

A

30-40 kcal/kg/j

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18
Q

DE liée à l’activité physique

A
  • très variable selon l’âge et le type d’activité physique
  • faible < 6 mois: 10–20 kcal/kg/j, augmente ensuite pour atteindre 25–40 kcal/kg/j jusqu’à 1 an
  • très variable chez l’adolescent selon son activité physique
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19
Q

facteurs de variation de la DE de thermorégulation

A

environnement thermique, âge de l’enfant et protection vestimentaire

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20
Q

coût énergétique de la croissance

A

énergie nécessaire à la synthèse de nouveaux tissus et à l’énergie déposée dans ces tissus sous forme de lipides et de protéines

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21
Q

variation du coût énergétique de la croissance

A

maximal durant les 6 premiers mois de la vie, où il représente 20–25 % des ingesta, avant de diminuer ensuite rapidement. Il est d’environ 5 kcal par gramme de gain pondéral.

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22
Q

Importance des protéines

A
  • source d’azote
  • apportent les acides aminés indispensables
  • développement musculaire et squelettique
  • production de protéines fonctionnelles (immunoglobulines, hémoglobine, enzymes)
  • ne devraient pas contribuer à plus de 15 % des apports énergétiques
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23
Q

acides aminés indispensables

A

que l’organisme ne peut synthétiser

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24
Q

ANC en protéines

A

10 g/j jusqu’à l’âge de 2 ans, puis d’environ 1 g/kg/j

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25
Q

densité calorique lipides

A

9 kcal/g

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26
Q

Intérêt de l’apport lipidique

A
  • contribuent beaucoup à la couverture des besoins énergétiques (45–50 % des apports énergétiques jusque 2–3 ans et 35–40 % ensuite)
  • doivent également assurer les besoins en vitamines liposolubles (A, D, E et K) et en acides gras essentiels (AGE)
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27
Q

Acides gras essentiels

A
  • constitués de 2 acides gras polyinsaturés: l’acide linoléique (C18:2n-6) et l’acide α-linolénique (C18:3n-3)
  • constituants indispensables des membranes cellulaires, en particulier du tissu cérébral
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28
Q

carence en AGE

A
  • très rare dans les pays développés
  • se manifeste par un retard de croissance staturo-pondéral, des anomalies cutanéophanériennes, des infections à répétition et des perturbations du développement psychomoteur
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29
Q

transformation des AGE

A
  • par une série d’élongations et de désaturations
  • aboutissant à des acides gras polyinsaturés à longue chaîne (AGPI-LC)
  • principalement l’acide arachidonique (C20:4n-6) pour la série n-6 et l’acide docosahexaénoïque (C22:6 n-3) pour la série n-3
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30
Q

Rôle AGPI-LC

A
  • développement du système nerveux central et de la rétine, ainsi que dans l’immunité et le contrôle de l’inflammation
  • présents dans le lait materne
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31
Q

rôle glucides

A

rôle d’apport calorique: 50–60 % des apports énergétiques

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32
Q

source principale de glucides pendant les premiers mois de vie

A

lactose = glucose + galactose

33
Q

absorption intestinale du fer

A
  • basse, de l’ordre de 10 %

- fer héminique (viande, poisson) mieux absorbé que le fer non héminique (lait, végétaux, œuf)

34
Q

ANC fer

A

6–7 mg/j jusqu’à 10 ans

élevés pendant la puberté surtout pour les filles (pertes menstruelles)

35
Q

besoins fer

A

1-2mg/j

36
Q

Facteurs de variation des ANC en calcium

A
  • coefficient d’absorption intestinale (fonction de la biodisponibilité du calcium des aliments)
  • apport en vitamine D
37
Q

vitamine D rôle

A
  • absorption intestinale du calcium
  • minéralisation osseuse
  • prévention du rachitisme
38
Q

réserves en vitamine D du nouveau-né

A

dépendent étroitement de celles de sa mère, et sont le plus souvent basses en Europe

39
Q

contenu du lait maternel en vitamine D

A

25–70 UI/L

40
Q

prévention du déficit en vitamine D

A
  • supplémentation des femmes enceintes au début du 7e mois avec une dose unique de 80 000 à 100 000 UI
  • 600–800 UI/j chez l’enfant allaité artificiellement, 1000-1200 UI si allaitement maternel ou FdR carence
  • de 18 mois à 5 ans et > 10 ans: 2 doses de charge de 100 000 UI, en novembre et en février
41
Q

FdR carence en vitamine D

A
  • enfant allaité par sa mère
  • enfant recevant un lait non enrichi en vitamine D
  • forte pigmentation cutanée
  • pas d’exposition au soleil estival
  • dermatose empêchant cette exposition
  • vêtements très couvrants en période estivale
  • malabsorption digestive
  • cholestase
  • insuffisance rénale
  • syndrome néphrotique
  • traitement par corticoïdes, rifampicine, phénobarbital ou phénytoïne
42
Q

Rôle vitamine K

A

synthèse des facteurs de coagulation, en particulier en période néonatale

43
Q

ANC vitamine K

A

5–10 μg/j jusqu’à 2 ans

44
Q

Prévention maladie hémorragique du nouveau-né

A
  • 2 mg de vitamine K per os à la naissance et au 3e jour de vie
  • supplémentation de 2 mg per os par semaine pendant la durée de l’allaitement exclusif
45
Q

Clinique rachitisme

A
  • bourrelets métaphysaires au niveau des poignets et des chevilles
  • chapelet costal
  • déformation des membres inférieurs en genu varum
  • lésions crâniennes : craniotabès et retard à la fermeture de la fontanelle antérieure
  • signes musculo-ligamentaires : hyperlaxité ligamentaire et hypotonie musculaire responsables d’un gros ventre et d’un retard d’acquisition postural
  • signes respiratoires: hypotonie associée à des déformations thoraciques responsables de bronchopneumopathies
46
Q

chapelet costal

A

nodosités au niveau des jonctions chondrocostales

47
Q

craniotabès

A

ramollissement des zones occipitales et pariétales, élastiques à la pression, donnant la sensation de balle de ping-pong en celluloïde

48
Q

Bio rachitisme

A
  • phosphatases alcalines très élevées
  • 25(OH)D3 diminuée, 1,25(OH)2D3 d’abord normale puis diminuée
  • calcémie parfois normale, parfois diminuée
49
Q

Radio rachitisme

A

Signes les plus précoces au niveau des métaphyses du poignet:

  • élargissement transversal de la métaphyse
  • concavité de la ligne métaphysaire et apparition de spicules latéraux donnant l’aspect dit « en toit de pagode »
  • aspect flou, dentelé en peigne, de la ligne métaphysaire, ou simple irrégularité dans les formes discrètes
  • retard d’apparition des points d’ossification, qui sont flous et irréguliers
50
Q

Meilleur ttt rachitisme

A

prophylaxie systématique par de la vitamine D

51
Q

TTT rachitisme normocalcémique

A

vitamine D (200 000 UI en dose de charge puis 2 000 à 5 000 UI/j)

52
Q

TTT rachitisme avec hypocalcémie

A

correction de l’hypocalcémie indispensable avant de débuter la vitaminothérapie

53
Q

3 périodes clés dans l’alimentation du nourrisson et de jeune enfant

A
  • alimentation lactée exclusive (naissance-4/6mois)
  • diversification alimentaire (4/6 mois-1 an)
  • alimentation diversifiée (> 1 an)
54
Q

Avantages allaitement maternel

A
  • réponse et adaptation aux besoins physiologiques de l’enfant par une modification de la composition du lait selon l’âge et le terme de l’enfant, le nycthémère et le moment de la tétée (début ou fin)
  • protection en partie contre les risques infectieux (diarrhées, infections ORL)
  • réduction du risque de manifestations allergiques (eczéma, asthme) chez les nourrissons à risque pendant les 2–3 premières années de vie, sous réserve qu’il soit exclusif pendant au moins 3–4 mois
  • moindre risque de surpoids et d’obésité pendant l’enfance et l’adolescence
  • interactions mère-enfant
  • coût
55
Q

Lait de vache chez le nourrisson

A

Pas adapté: formellement proscrit avant l’âge d’un an

  • contenu trop riche en protéines et en sodium
  • contenu trop faible en acides gras essentiels, en fer et en vitamines
56
Q

Préparations lactées standards selon l’âge

A
  • préparations pour nourrissons (laits « 1er âge »): naissance à 4–6 mois
    préparations de suite (laits « 2e âge »): de 4–6 mois à 12 mois
  • préparations pour enfant en bas âge « laits de croissance »): de 1 à 3 ans
57
Q

Préparations pour nourrissons

A

0-4/6 mois
denrées alimentaires destinées à l’alimentation particulière des nourrissons pendant les premiers mois de leur vie et répondant à elles seules aux besoins nutritionnels de ces nourrissons jusqu’à l’introduction d’une alimentation complémentaire appropriée
- protéines autorisée: de lait de vache, de soja, de lait de chèvre
- graisses, le plus souvent d’origine végétale

58
Q

Préparations de suite

A

4/6 - 12 mois
denrées alimentaires destinées à l’alimentation particulière des nourrissons lorsqu’une alimentation complémentaire appropriée est introduite et constituant le principal élément liquide d’une alimentation progressivement diversifiée de ces nourrissons
- même protéines que dans les préparations pour nourrissons
- enrichissement en fer

59
Q

Préparations pour enfant en bas âge

A

1-3 ans

  • prévention des carences en fer, AGE et vitamine D
  • composition très proche de celle des préparations de suite
  • l’enfant peut consommer du lait de vache
60
Q

laits spéciaux

A

laits destinés à des nourrissons qui ont des besoins nutritionnels spécifiques ou sont à risque élevé de pathologie ou en situation pathologique avérée
-> HA, AR, sans lactose, hydrolysats poussés de protéines

61
Q

Laits hypoallergéniques (HA)

A

préparations dans lesquelles les protéines du lait de vache ont été partiellement hydrolysées dans le but d’en diminuer l’allergénicité

62
Q

Indications laits HA

A
  • prévention de manifestations allergiques chez les nourrissons à risque d’allergie, ie lorsqu’il a au moins un parent du 1er degré (père, mère, frère ou sœur) allergique, soit 25–30 % de la population des nourrissons
  • aucune place dans le traitement de l’allergie aux protéines du lait de vache avérée
63
Q

Prescription laits HA

A

à défaut ou en complément de l’allaitement maternel, de manière exclusive jusqu’à la diversification, en choisissant un produit ayant fait la preuve de son efficacité préventive

64
Q

Laits antirégurgitations (AR)

A

préparations épaissies par l’adjonction d’amidon (de maïs, riz, ou pomme de terre) ou de farine de caroube afin d’augmenter la viscosité

65
Q

Indications laits AR

A

peuvent être utilisés en cas de régurgitations isolées témoignant d’un RGO non compliqué

66
Q

Laits sans lactose

A

préparations dans lesquelles le lactose est remplacé par de la dextrine-maltose ou des polymères du glucose, parfois du saccharose

67
Q

Physio fonctionnement des laits sans lactose

A
possibilité d’un déficit en lactase (disaccharidase hydrolysant le lactose en galactose et glucose, située au sommet des villosités intestinales) au décours d’un épisode de diarrhée (gastroentérite) infectieuse, en particulier à Rotavirus. Le lactose qui n’est alors plus métabolisé, reste dans la lumière intestinale, provoque un afflux d’eau et une pérennisation de la diarrhée. 
est rare (<5%), ne justifie pas l’utilisation systématique de laits sans lactose
68
Q

Indications laits sans lactose

A
  • chez > 4 mois, en cas de récidive ou de pérennisation de la diarrhée (plus de 5–7 jours) après la réintroduction du lait qu’avait l’enfant au moment de l’apparition de la diarrhée: conseiller l’utilisation d’un lait sans lactose pendant 1 à 2 semaines, le temps nécessaire à la restauration de l’équipement en lactase de la bordure en brosse intestinale
  • diarrhée aiguë sévère de plus de 10 % de perte de poids corporel, imposant une hospitalisation
69
Q

Hydrolysats poussés de protéines

A

préparations dans lesquelles les protéines ont été extensivement hydrolysées dans le but d’en réduire le plus possible l’allergénicité

  • protéines du lait de vache ou de riz
  • dépourvus de lactose +/- contiennent des triglycérides à chaîne moyenne, d’absorption facilitée
70
Q

Indications hydrolysats poussés de protéines

A
  • allergie aux protéines du lait de vache (APLV)
  • diarrhée aiguë chez < 4 mois, en raison du risque de sensibilisation secondaire aux protéines du lait de vache, pour une durée de 3 semaines
71
Q

CaT inefficacité des hydrolysats de protéines chez un nourrisson ayant une APLV

A

préparation à base d’acides aminés libres, quasiment anallergénique

72
Q

Pq pas de diversification avant 4 mois

A

risque allergie

73
Q

introduction du gluten

A

en petites quantités entre 4 et 7 mois révolus, idéalement alors que l’enfant est encore allaité

74
Q

risque diversification trop précoce et trop rapide

A

faire diminuer la quantité de lait de l’alimentation, au risque de ne pas couvrir les besoins en calcium, en fer et en AGE si le nourrisson ne reçoit pas au moins 500 mL d’équivalent de lait (lait maternel ou préparation de suite) ou de produits laitiers jusqu’à l’âge de 1 an

75
Q

diversification chez un nourrisson à risque d’allergie

A

ne pas la retarder

76
Q

quantité de lait quotidienne (mL) pour le nourrisson dans les premiers mois de vie

A

règle d’Appert : 200–250 + 1/10e poids (g)

77
Q

Modalités pratiques allaitement

A
  • le chauffage au micro-ondes n’est pas recommandé
  • ne pas dépasser un délai de 30 minutes dès lors que le biberon a été réchauffé
  • ne pas utiliser de l’eau embouteillée provenant d’une bouteille ouverte depuis > 24 h
  • en cas d’utilisation de l’eau du robinet : faire couler l’eau pendant 5 minutes, utiliser de l’eau froide et veillez au bon entretien du robinet (nettoyage, détartrage)
  • la stérilisation des biberons n’est pas indispensable : un lavage au lave-vaisselle ou à la main, au goupillon, dans de l’eau chaude additionnée de liquide vaisselle est suffisant
78
Q

apport protidique dans les aliments max

A

limité à 30–50 g/j de viande + poisson + œuf